April 24, 2017

Batterie Acer Aspire 5741G

La gestion de la chaleur est le gros point faible de cet ordinateur. Lors de notre stress-test, la machine a atteint un maximum de 67,3°C au niveau des extractions d'air arrière, et 50,7°C sur une partie du clavier. Ces températures élevées sont dues à un système de refroidissement sous-dimensionné et à la compacité du châssis. Autre point négatif : le bruit des ventilateurs qui peut atteindre 53 dB(A). Il est possible de régler la ventilation sur 3 modes, mais le plus silencieux bride les performances de la machine. Le niveau intermédiaire fait souffler les ventilateurs par intermittence, tandis que le dernier les fait tourner à plein régime sans interruption, ce qui devient vite insupportable.L'Aorus s'équipe d'une dalle QHD+ (3200 x 1800 px) mate. Sa luminosité maximale s'établit à 419 cd/m², pour un excellent taux de contraste de 1536:1. Une utilisation en environnement très lumineux est donc tout à fait possible. Asus G751tempcou(1) Asus G751gamma Asus G751DeltaE(2)

La colorimétrie suit la même tendance, avec un DeltaE — écart entre les couleurs idéales et les couleurs mesurées — à 4, ce qui est correct, même si les meilleures machines descendent sous la barre des 3. La température des couleurs s'établit à 6855 K, très près des 6500 K attendus. La courbe de gamma frôle la perfection, avec une ligne presque horizontale à 2,2 et donc des niveaux de gris très bien respectés.Malgré ces bons résultats, on ne peut s'empêcher de se demander pourquoi le constructeur a choisi une telle définition, surtout pour une dalle de 14 pouces. Elle n'est absolument pas exploitable en utilisation simple, et encore moins en jeu, où les performances sont bridées par une telle définition.La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-4860HQ, 16 Go de mémoire, un chipset Nvidia GeForce GTX 870M et deux SSD en RAID 0 d'une capacité totale de 461 Go. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les Aorus X3, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.

La configuration de cet Aorus est la plus performante de notre comparatif, avec un indice de 151. Il se place donc devant le MSI GT72 (14 ou l'Asus N751 (146). Ces résultats sont dus à la présence d'un processeur fonctionnant à des fréquences plus élevées que celles des modèles concurrents et grâce à la présence du RAID 0 de SSD.En pratique, le démarrage ne demande que 6 secondes, et l'extinction 8 s. Tous les programmes se lancent instantanément, les tâches les plus lourdes sont exécutées en un minimum de temps (notre test Lightroom en 265 s, soit 60 s de moins que ses concurrents). On peut donc l'utiliser pour tout type de tâche sans jamais avoir peur de manquer de ressources.L'Aorus X3 Plus est équipé d'une puce graphique d'ancienne génération, la Nvidia GeForce GTX 870M. Cette carte ne dépasse que de peu les performances d'une Nvidia GTX 860M et se trouve largement distancée par sa remplaçante, la GTX 970M.

Les résultats en jeux sont de premier ordre... en Full HD (définition utilisée lors de nos tests). Sachez tout de même que nos tests n'ont jamais dépassé 10 i/s dans la définition native de l'écran, qui s'avère donc inutilisable en jeu.La carte fait tourner des titres comme Tomb Raider, Bioshock Infinite ou Battlefield 4 à plus de 40 i/s en Full HD avec tous les détails au maximum. Dans des titres plus gourmands, comme Crysis 3 ou Hitman Absolution, on tombe à une moyenne de 25 i/s avec les mêmes paramètres graphiques ; il faut alors réduire certains réglages pour vivre une expérience satisfaisante.Le châssis de 13,9 pouces est assez compact (330 x 263,5 x 22,9 mm) et se glisse donc assez facilement dans un sac, d'autant plus que son poids (1,8 kg) reste très acceptable pour une machine gamer. Malheureusement l'autonomie se limite à 2h45 dans notre test (visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², rétroéclairage du clavier éteint, casque branché . Malgré la petite taille du châssis, le constructeur a réussi à y intégrer une connectique assez complète : deux ports USB 3.0, un port USB 2.0, un HDMI, un mini-DisplayPort, un RJ45, une entrée jack micro, une sortie casque (compatible SPDIF) et un lecteur de carte SD.

La sortie casque est de bonne qualité. Elle offre une spatialisation très correcte et très peu de distorsion. Son seul défaut vient de son léger manque de puissance, mais rien de rédhibitoire. Les haut-parleurs sont, comme de coutume sur les ordinateurs portables, assez décevants. La courbe de réponse en fréquence est repliée sur les médiums, ce qui se traduit à l'écoute par un son reproduisant correctement les voix, mais qui laisse aux abonnés absents les basses et les aigus. Toshiba présente ses nouveautés en matière d'ordinateurs portables. Toutes ses séries ou presque sont mises à jour, avec l'intégration de nouveaux processeurs et de nouvelles cartes graphiques. Nous commençons ce tour d'horizon par la série C, qui constitue l'offre du constructeur en matière d'ordinateurs portables entrée de gamme. Ces deux déclinaisons embarquent un écran de 15,6 pouces avec une définition de 1 366 x 768. Le Satellite C55C intègre un processeur Intel (jusqu'à l'Intel Core i5-500U), tandis que le C55D-C est équipé en processeur AMD (A8-7410). Ils sont accompagnés par un maximum de 16 Go de mémoire vive et un disque dur mécanique d'une capacité allant jusqu'à 2 To ou d'un SSD de 256 Go (exclusivement pour les modèles Intel).

La partie graphique est confiée soit à des chipsets intégrés Intel Graphics HD 5500, soit à une carte Nvidia GeForce 930M ; pour les modèles avec un APU AMD, on retrouve des cartes graphiques dédiées AMD Radeon Série AMD Radeon R5 M330. Concernant le châssis, où le plastique abonde, les mensurations et le poids sont les suivants : 380 x 259,9 x 23,5 mm pour 2,2 kg. La connectique peut varier d'un modèle à l'autre, en se composant soit de deux ports USB 2.0 et d'un port USB 3.0, soit, inversement, d'un seul port USB 2.0 et de deux ports USB 3.0. Les trois modèles sont pourvu d'un lecteur/graveur DVD, d'un port Ethernet, d'un port HDMI et d'un lecteur de carte SD. La connectivité sans fil est présente avec le support du Wi-Fi ac standard et du Bluetooth. La partie audio est confiée à SkullCandy pour les haut-parleurs et le port combo casque/écouteurs. Les modèles seront disponibles en trois coloris : noir, argent et blanc. Les configurations matérielles (processeur, stockage, mémoire et solutions graphiques) sont les mêmes que pour les modèles 15,6 pouces comme leurs dénominations. 70 La connectique se différencie des 15,6 pouces : le nombre de ports USB passe à deux USB 2.0 et deux USB 3.0. Le choix du lecteur optique évolue, puisque le L70 pourra intégrer un lecteur Blu-ray en lieu et place du lecteur DVD. Pour le reste, les caractéristiques sont les mêmes que sur les L50. Les mensurations de ces modèles sont de : 413 x 268 x 33,7 mm pour un poids de 2,7 kg. Ils existeront en deux teintes : noir ou blanc.

Comme on le comprend à la lecture de ces données, si les choix en matière de configuration sont nombreux, leur dénominateur commun est une orientation vers un usage basique ou du multimédia simple. Plutôt connu pour ses batteries portables, Anker commercialise aussi plusieurs enceintes nomades, dont la Sport XL, la plus imposante de la série Soundcore. Le constructeur nous promet une enceinte ultra-robuste, résistante à l'eau et qui offrirait un son puissant, tout cela pendant près de 15 heures d'autonomie. L'occasion de ressortir notre chrono et notre plus beau maillot de bain pour ce test. Avec ses vis apparentes et son style un peu baroudeur, l'Anker Soundcore Sport XL arbore les mêmes codes que les enceintes du constructeur Braven. Cette enceinte bien construite présente une grille en métal sur la face avant, quand le reste est en plastique caoutchouteux et robuste. Elle est d'ailleurs certifiée IP67, et donc résistante à la poussière et à un plongeon sous l'eau jusqu'à 1 mètre de profondeur pendant 30 minutes. La connectique se compose d'un port USB pour la recharge d'un appareil mobile, un port micro-USB pour la recharge de l'enceinte et un mini-jack 3,65 mm pour l'utiliser en filaire. Le Bluetooth (version 4.1) permet d'appairer l'enceinte à un appareil mobile en sans-fil jusqu'à 20 m. Un microphone est également intégré, ce qui permet de se servir de la Soundcore Sport XL comme d'un kit mains libres. Si aucune application n'est présente pour contrôler l'enceinte, il est toujours possible de le faire via les touches du smartphone, mais aussi via les touches physiques de l'enceinte (On / Off, réglage du volume, passage d'un morceau à l'autre, mode lecture / pause ou encore appairage Bluetooth, indiqué par un voyant bleu). Juste à côté, 3 leds indiquent la charge de la batterie (cf. photo ci-dessous).

Nous avons mesuré l'autonomie de cette enceinte à environ 7 heures à volume maximal.Côté accessoire, Anker a fait le minimum en ne fournissant qu'un simple câble USB vers micro-USB et une dragonne ; aucune housse ni câble jack. L'Anker Soundcore Sport XL profite d'un rendu stéréo grâce à deux transducteurs de 8 watts chacun. Le tout est couplé à deux radiateurs passifs, l'un en face avant, l'autre à l'arrière. rep-anker-souncore-sport-xl-filaire-g-bt-droite-900.jpgRéponse en fréquence de la Soundcore Sport XL en filaire (à gauche) et en Bluetooth (à droite) Comme on peut le voir sur les courbes ci-dessus, la courbe de réponse est relativement linéaire de 150 Hz à 10 kHz. Concernant le bas du spectre, il faut approcher l'enceinte d'un mur pour qu'elle puisse émettre un semblant de graves. Ces dernières sonnent d'ailleurs vraiment trop cartons quand on pousse le volume. Pour ce qui est du reste du spectre, les voix sont plutôt bien retransmises, fidèles et intelligibles. La scène est plutôt bien détaillée et claire.

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Batterie Toshiba PA3395U-1BRS

Le Predator 15 est évolutif. Une trappe facile à retirer (seulement 2 vis) permet d'accéder à deux emplacements libres pour de la RAM en DDR4, au HDD préinstallé et à un emplacement supplémentaire pouvant accueillir un second SSD au format M.2 PCIe. Côté connectique, tout y est, qui plus est de manière très accessible : quatre ports USB 3, un port USB Type C, un port HDMI, un RJ45, un DisplayPort, une sortie jack casque et une entrée micro. Petite originalité pour optimiser le refroidissement, Acer propose de série un ventilateur supplémentaire qui s'installe très facilement en remplacement du lecteur optique. Il permet de faire descendre la température de quelques petits degrés supplémentaires. Sans ce ventilateur, on relève ainsi un point chaud à 42,6°C à l'avant, et 55,6°C à l'arrière. Comme sur le ROG G752, la chaleur est principalement évacuée par l'arrière. En ajoutant le ventilateur supplémentaire, la température passe à 38,9°C à l'avant et reste quasiment la même à l'arrière. Le bruit passe quant à lui de 39 dB à 40 dB. La machine est donc un poil plus bruyante que le ROG G752, qui oscille, lui, entre 37,5 dB et 41 dB. On entend ainsi un souffle permanent mais acceptable durant un jeu gourmand en ressources.

Le Predator 15 d'Acer profite d'un écran mat IPS de 15,6 pouces affichant une définition Full HD (1920 x 1080 px). C'est un format intéressant pour jouer et qui offre un bon compromis entre le confort visuel et la compacité. La dalle affiche une luminosité maximale satisfaisante (320 cd/m²), mais un taux de contraste un peu décevant qui ne dépasse pas 680:1. Reste que la dalle mate offre tout de même une bonne lisibilité. La colorimétrie est plutôt bonne, avec un delta E mesuré à 4,3 et une température des couleurs à 6630 K. Des chiffres très corrects qui se traduisent par des couleurs assez fidèles et un rendu équilibré. La courbe gamma est relativement régulière mais met en évidence des noirs assez bouchés.Dans la catégorie des PC portables gamer, l'écran du Predator 15 se situe donc dans le haut du panier, essentiellement grâce à sa bonne colorimétrie et sa dalle mate.Impossible d'imaginer autre chose qu'un processeur Intel Core i7 de sixième génération dans une machine comme celle-ci. On profite donc d'un 6700HQ, CPU à 4 cÅ“urs proposant des fréquences allant de 2,6 GHz à 3,5 GHz en mode Turbo. Les 16 Go de RAM en DDR4 et le SSD de 128 Go couplés à cette configuration permettent d'espérer un très bon indice de performance... et il est bien au rendez-vous.Que ce soit pour de la bureautique avancée, du montage vidéo lourd ou de la retouche photo à haut niveau, le Predator 15 ne bronche pas. Windows 10 tourne ainsi comme un charme, démarre en 12 secondes et se coupe en 11 secondes.

D’ici deux jours, deux nouveaux smartphones de haut de gamme devrait être lancés par Samsung : les Galaxy S8 et S8+. Avec leurs caractéristiques techniques avancées, et leurs grands écrans, ces terminaux devraient pouvoir remplacer efficacement le Note 7. Il faudra toutefois probablement attendre avril pour pouvoir mettre la main sur ces nouveaux smartphones.La malédiction Samsung se poursuit, avec un incendie dans une de ses usines de production de batteries. Un site qui produira des batteries pour le Galaxy S8.Un feu mineur a pris dans une usine opérée par Samsung SDI à Tianjin, dans le nord-est de la Chine. Il a pu être éteint et aucun blessé n’a été dénombré.L’affaire aurait pu en rester là. Mais, ironie de l’histoire, l’incendie a pris dans un conteneur à déchet contenant – entre autres – des batteries. L’usine concernée n’est autre qu’une des deux qui avait été en charge de produire les batteries du Galaxy Note 7. Un smartphone affublé de problèmes de chauffe pouvant mener à l’enflammement de sa batterie.

Orange et Objenious se bougent pour Lora. L’union fait la force. Concurrents dans le civil, Orange et Objenious (filiale de Bouygues Telecom) ont décidé de s’associer pour accélérer le développement d’applications pour l’Internet des objets (IoT) sur le protocole Lora. En association avec des partenaires technologiques (Microchip Technology et Sagemcom) et sectoriels (Groupama, Schneider Electric et Colas), les deux opérateurs lance le Lora IoT Challenge. Ce hackathon invite les développeurs à construire des services, applications, prototypes d’objets connectés ou même de connecter un objet existant pour répondre aux cas d’usages des partenaires. Agriculture, smart-cities et voiture connectée sont les principaux domaines d’application du concours. Les participants auront accès aux kits de développement Lora, à des machines de fabrication (imprimantes 3D, découpes laser…) du Fab-lab Usine IO, et à des capteurs. Les gagnants bénéficieront d’un soutien financier et d’accompagnement pour développer leur projet. Officiellement lancé demain, mercredi 14 décembre, les épreuves se dérouleront les 17 et 18 janvier prochains après un suivi qui commencera le 15 décembre. Au-delà de l’opportunité donnée à des développeurs de faire connaître leur projet, l’initiative permet aussi aux acteurs de Lora en France de promouvoir le réseau IoT bas débit basse consommation concurrent de Sigfox.

Et si les problèmes du Galaxy Note7 ne venaient pas de la batterie mais de la conception même du smartphone ? C’est ce que suggèrent des ingénieurs de Instrumental, une société qui propose des solutions d’aide à la conception de produits industriels. Selon eux, le problème qui a poussé Samsung à mettre fin à la production de son smartphone vedette de la rentrée ne provient pas du module énergétique. Sinon, « pourquoi annuler la ligne de produits et céder plusieurs trimestres de revenus aux concurrents ?, interroge Anna Shedletsky sur le blog de l’entreprise Nous pensons […] qu’il y avait un problème fondamental avec la conception du téléphone lui-même. »instrumental extincteur Armé d’un banc de mesures et d’un extincteur (photo ci-contre), deux ingénieurs d’Instrumental ont donc enquêté sur les phénomènes qui poussent la batterie du Note7 à surchauffer au point d’exploser. Et ils ont découvert que « le design [du boîtier] peut compresser la batterie même en fonctionnement normal ». Une compression du module qui agirait sur la couche en polymères, laquelle sépare les ions positifs et négatifs dont la circulation d’une zone à l’autre génère l’énergie. Or, « si jamais les couches positives et négatives se touchent, le flux d’énergie va directement dans l’électrolyte, provoquant son échauffement et la perte de plus d’énergie - ce qui se traduit généralement par une explosion », indique l’ingénieure.

Il faut savoir que, lors des charges et décharges des batteries au Lithium, le processus chimique provoque une dilatation du boîtier, même infime. Et il est courant de laisser un espace, de 10% généralement, entre les bords de la batterie et ceux de son réceptacle. Ce qui n’était apparemment pas le cas du Galaxy Note7, vieux de deux mois, qu’a étudié Instrumental. Samsung aurait probablement réduit cette marge pour gagner de la place, la batterie étant le composant le plus volumineux d’un téléphone. « Sous l’angle de la conception, les ingénieurs de Samsung ont clairement essayé d’équilibrer le risque d’un processus de fabrication super-agressif pour maximiser la capacité », ajoute Anna Shedletsky.Selon elle, le problème aurait pu être résolu avec une nouvelle batterie, plus compacte. Mais avec pour conséquence de fournir un appareil doté d’une autonomie inférieure à celle de son prédécesseur, le Note5, et, pire, l’iPhone 7 d’Apple. Impensable pour un smartphone haut de gamme. Aux yeux de l’experte, « Samsung a pris une mesure délibérément dangereuse, et leur infrastructure de test existante et le processus de validation de conception a échoué. Ils ont expédié un produit dangereux ».

Samsung doit, de son côté, présenter les résultats de son enquête avant la fin de l’année, comme il le constructeur coréen l’a promis. Plus que quelques semaines pour expliquer la catastrophe industrielle du Galaxy Note7.Samsung va lancer une nouvelle mise à jour logicielle de son Galaxy Note 7 pour en limiter la charge de la batterie afin d’éviter les risques d’explosion et de blessures.Samsung va effectuer une nouvelle mise à jour par les airs (OTA) de son Galaxy Note 7. Cette deuxième opération de mise à niveau après celle opérée en septembre dernier devrait intervenir à partir du 31 octobre prochain. Comme la précédente, elle vise à limiter le chargement de la batterie du smartphone à 60% de sa capacité. Une initiative visant à réduire les risques de surchauffe et d’explosion de l’appareil.

Samsung a décidé de mettre fin à la commercialisation du Note 7 et a lancé un programme de récupération et d’échange, tant pour la première génération du terminal haut de gamme, que pour la seconde qui était censée corriger les problèmes précédemment constatés. Mais il semble que nombre de clients ne souhaitent pas se séparer de leur terminal flambant neuf. Seuls les deux tiers des Note 7 auraient ainsi été récupérés en Europe. Or, « notre priorité absolue reste la sécurité des clients », a déclaré Conor Pierce, responsable de Samsung Mobile pour le Royaume-Uni et l’Irlande.Même si aucune nouvelle explosion du Note 7 n’a été reportée après la décision de Samsung de remiser son produit phare aux oubliettes des catastrophes industrielles, la mise à jour logicielle s’inscrit donc comme une mesure de sécurité pour les clients récalcitrants. Le constructeur coréen entend surtout profiter de l’occasion pour leur faire prendre conscience des risques qu’ils encourent à poursuivre l’utilisation du smartphone jugé défaillant. « Cette nouvelle mise à jour logicielle de la batterie est spécifiquement conçue pour rappeler à tous les clients du Galaxy Note 7 de remplacer leur appareil dans les meilleurs délais possibles », insiste le responsable local.

Ne doutons pas de sa sincérité, d’autant que des cas de blessures ont été rapportés en Amérique du Nord et certaines explosions du Note7 ont provoqué des dégâts matériels conséquents (une voiture partie en fumée notamment). Mais prévenir de potentielles surchauffes de l’appareil vise aussi limiter la casse financière pour Samsung. Le constructeur estime aujourd’hui à 5,3 milliards de dollars les pertes dues à cette catastrophe industrielle. Une facture qui pourrait s’alourdir au fil des des procédures judiciaires qui commencent à émerger aux États-Unis. Humains, matériels ou financiers, Samsung n’a pas fini de payer les conséquences de l’échec du Galaxy Note 7.Samsung pourrait pousser un correctif pour limiter le chargement des batteries du Galaxy Note 7 à 60%. En attendant les rappels s’organisent.Les problèmes de surchauffe de batteries qui peuvent entraîner leur combustion dans les Galaxy Note 7 touchent-ils plus le marché nord-américain que le reste du monde ? Toujours est-il que les incidents s’y multiplient. Parfois de manière spectaculaire comme ce fut le cas en Floride où le smartphone a explosé dans une Jeep provoquant un incendie qui a détruit le véhicule. Au-delà de cette affaire qui a fait grand bruit dans la presse américaine, 70 cas de combustions auraient été rapportés à Samsung depuis la commercialisation du terminal le 19 août dernier aux Etats-Unis.

C’est dans ce cadre que le constructeur travaille avec les autorités nationales pour organiser la récupération des Note 7 potentiellement dangereux. Ainsi la CPSC (Consumer Product Safety Commission), agence américaine ayant pour mission de protéger les personnes contre les « risques déraisonnables de blessures provenant de produits grand public », a signé un accord avec Samsung pour mettre en Å“uvre ce que le constructeur appelle un « programme d’échange ». Programme qui a été lancé sur les dix marchés de commercialisation du produit. Environ 2,5 millions d’appareils seraient en circulation. Essentiellement aux Etats-Unis et Corée du Sud où le produit est sorti en amont. Selon les accords passés avec les opérateurs, les clients qui devaient bénéficier du Note 7 pourront se voir prêter un Galaxy J ou équivalent. Il est aussi possible d’opter pour un Galaxy S7 ou S7 Edge et de se faire rembourser la différence, avance ITespresso.fr

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Laptop Battery for Dell ud260

If Dotcom is extradited, the ensuing copyright case could set a precedent for internet liability laws and, should he win, could force entertainment companies to rethink online distribution methods.The ruling overturned an earlier High Court decision that the search warrants were vague and enabled police to seize materials irrelevant to the charges against Dotcom.But the appeals court said the warrants were adequately worded and should not have caused misunderstanding."A reasonable reader in the position of the recipients of the search warrants would have understood what they related to," the appeal court judges said in a statement."There was no disconnect between what there were reasonable grounds to believe might be at the properties and what the warrant authorised the police to take."However, the appeals court upheld an earlier ruling that prosecutors had not been authorised to send clones of seized electronic evidence to the United States.The decision could pose a setback to a separate case in which Dotcom is seeking damages from the government for its role in the raid on the German-born, New Zealand resident's home.

At the same time, Dotcom could now find it difficult to challenge evidence at his extradition hearing set for July. A Supreme Court decision is pending on whether US prosecutors must disclose evidence to be used in the hearing.Dotcom's lawyers said they could also appeal to the Supreme Court against Wednesday's ruling."Our legal team is reviewing the rulings made by the Court of Appeal and will likely seek leave to appeal to the Supreme Court," US attorney Ira Rothken tweeted.Dotcom says Megaupload, which housed everything from family photos to Hollywood blockbusters, was merely an online warehouse and should not be held accountable if stored content was obtained illegally.The US Justice Department counters that Megaupload encouraged piracy by paying users who uploaded popular content and by deleting content that was not regularly downloaded.

A New Zealand government enquiry in 2012 found the nation's secretive spy agency acted unlawfully by giving information on Dotcom to US authorities before the 2012 raid.Dotcom's case highlights the scope of cooperation between the United States and other nations after former NSA contractor Edward Snowden revealed a surveillance program on US citizens and other targets, including missions of the European Union and EU states.Belkin's WeMo home-automation system has multiple security flaws - which in the most extreme case could lead to an attacker trying to burn your house down.The WeMo system uses connected plugs to give you control of appliances and lights via a smartphone.Security firm IOActive said it had uncovered "multiple vulnerabilities" in the smarthome system, which could let attackers to takeover control of devices connected via WeMo, monitor those devices, access the internal home network, and even "perform malicious firmware updates".The vulnerabilities could allow a hacker to see when a home is left empty, and also to turn devices on and off. This could simply have the affect of wasting electricity, but could have more "tragic consequences" – for example, if an appliance that heats up is left running long enough, it could cause a fire. However, there's no evidence that such an attack, or any others using the flaws, have been attempted.

As we connect our homes to the internet, it is increasingly important for Internet-of-Things device vendors to ensure that reasonable security methodologies are adopted early in product development cyclesAs we connect our homes to the internet, it is increasingly important for Internet-of-Things device vendors to ensure that reasonable security methodologies are adopted early in product development cyclesHackers could also use WeMo as a weak point to access the rest of a home network, in order to grab data from laptops or mobile devices.IOActive identified multiple vulnerabilities. WeMo's updates are protected via public key encryption, but the key and password are embedded on the installed firmware. "This allows attackers to use the same signing key and password to sign their own malicious firmware and bypass security checks during the firmware update process," the company said.In addition, IOActive said that WeMo devices don't validate their SSL certificates when talking to Belkin's cloud service, instead sending data in clear text, making it easy for an attacker to impersonate the Belkin cloud and push "malicous firmeware updates".The security firm also uncovered holes in the API, as well as in the way WeMo devices talk to each other - if one device is successfully attacked, it's easy to takeover others.

"As we connect our homes to the internet, it is increasingly important for Internet-of-Things device vendors to ensure that reasonable security methodologies are adopted early in product development cycles," said Mike Davis, IOActive’s principal research scientist. "This mitigates their customer’s exposure and reduces risk."Belkin hadn't responded to several attempts to contact the firm from IOActive and the US Computer Emergency Response Team (CERT).The security firm said it believes very strongly in responsible disclosure, but was forced to go public with the flaws after not hearing from Belkin."Due to Belkin not producing any fixes for the issues discussed, IOActive felt it important to release an advisory and recommends unplugging all devices from the affected WeMo products," the security firm said.Update: Belkin has replied, saying it was in contact with the security researchers before the CERT advisory was published and said it has already fixed the flaws relating to updates."Users with the most recent firmware release (version 3949) are not at risk for malicious firmware attacks or remote control or monitoring of WeMo devices from unauthorised devices," a spokesperson said. "Belkin urges such users to download the latest app from the App Store (version 1.4.1) or Google Play Store (version 1.2.1) and then upgrade the firmware version through the app."

Dell has entered the Chromebook market with the cheapest model yet, unveiling the Chromebook 11 for £159, or around £190 inc VAT.Aimed at schools, the Chromebook 11 will hit the UK some time in January. New models targeted at businesses and consumers will follow in the coming months, the company said.The starter price makes Dell's Chromebook 11 the cheapest Chrome OS laptop on the market, with Acer's C7 Chromebook starting at £200.Internally, the Chromebook 11 largely matches its more expensive rivals. It features Intel's Haswell, found in Acer's touchscreen C720P Chromebook, and an 11.6in display with a screen resolution of 1,366 x 768.The laptop comes with only 16GB of SSD, paired with 2GB of RAM. There will be a 4GB configuration, but Dell hasn't revealed the price.There's 802.11abgn Wi-Fi, two USB 3 ports, Bluetooth 4 and one HDMI port. Dell has promised battery life of up to ten hours, and the laptop is 2.5cm thick and weighs 1.3kg.School IT admins will be able to track and configure the devices centrally through a web-based console, Dell said."Adding Dell's first Chromebook to our stable of devices built for the classroom is a big milestone, and Dell has been a great partner in this effort," said Google vice-president of product management, Caesar Sengupta.

With its brightly coloured, touch-friendly Start screen, Windows 8 is widely viewed as an operating system designed for consumer tablets. However, the latest version of Windows contains plenty of valuable features for businesses, whether they’re equipping employees with tablets, laptops or regular desktop PCs.Before we dive into the business features found in Windows 8, let’s first deal with what’s regarded as a stumbling block for many business rollouts: the Start screen. Yes, the Windows 8 Start screen is very different from its predecessor’s Start button, and yes, it is better suited to tablets than it is non-touchscreen laptops and desktops.Yet, Microsoft has made some sensible concessions with Windows 8.1. First, PCs can be set to boot straight to the familiar Windows desktop, rather than the Start screen. Here, commonly used business applications can be pinned to the Taskbar or assigned their own desktop shortcut icons, just as in Windows 7. It’s perfectly possible for employees to get through a working day without ever seeing the Start screen, and yet still benefit from the other business-friendly features of Windows 8.

Companies who decide to stick with Start screen can customise it so that employees can only access a pre-defined set of applications. They may even decide to install their own tiles on to employees’ Start screens, providing convenient shortcuts to, say, an online expenses form or even a Windows 8 app that has been custom built for the business.All of this can be controlled by Group Policy, so that different Start screens and desktops can be deployed to different departments, and employees don’t have the option to install their own apps on the Start screen.Perhaps the biggest reason to migrate business PCs to Windows 8 instead of its predecessor is its touchscreen support. It’s becoming increasingly difficult to even purchase a new laptop without a touchscreen, and touch is now a mandatory part of Intel’s Ultrabook specification. If you’re deploying new laptops to employees as part of a migration plan, then it makes much more sense to have these devices running on Windows 8 than Windows 7, which only offers limited support for touchscreen activity.With a touchscreen tablet, laptop or hybrid device, employees can, for example, merely swipe the screen with their finger to move PowerPoint to the next slide when delivering presentations, easily scroll through web pages by dragging their finger down the screen, or quickly respond to emails in cramped train seats using the onscreen keyboard. It’s amazing how quickly touch soon becomes second nature when you’ve been using a Windows 8 device for even a short while.

A new feature contained in the Enterprise edition of Windows 8 that may particularly appeal to businesses is Windows To Go. This allows you to create a bootable image of a Windows 8 PC on a USB stick, allowing employees to plug the device into any computer and run Windows 8 and all of their regular business applications as if they were sitting in front of a Windows 8 PC. All trace of the Windows To Go session is deleted once the USB stick is removed from the PC.It means IT administrators could, for example, give home workers a Windows To Go device to allow them to work securely from their home PCs, saving the cost and theft/damage risk of issuing the employee with a laptop. Windows To Go can also be used as part of Bring Your Own Device (BYOD) programme, allowing employees to use their own machines without compromising company data by leaving it stored on the employee’s PC. It could also be used in a hot-desking environment, with the employee able to plug in their Windows To Go stick on any office PC.Windows To Go supports BitLocker encryption technology, so if an employee loses their USB stick, not only is the cost of replacing the device much lower than it would be with a laptop, but all their data is safe from thieves.

  1. http://oowerusern.blogas.lt/
  2. http://www.blogstuff.co.uk/folgenden/
  3. http://www.birdwatch.co.uk/blogs/blogShow.asp?blog=566
  4. http://www.nichtraucher-blogs.de/blogs/akkusmarkt/

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Batteria per PC portatile Asus X42J

Per questo motivo Nikon posiziona sul suo sito Nikon D600 al top della gamma consumer e ha racchiuso il sensore CMOS in formato Full Frame FX (35.9x24.0mm) da 24,3 megapixel in un corpo poco più grande della APS-C Nikon D7000. Il peso di 760 grammi non farebbe pensare subito a una Full Frame, ad esempio. Come abbiamo subito notato nel nostro primo contatto con la macchina, il corpo in lega di magnesio con guarnizioni contro polvere e umidità è degno della fascia superiore, ma l'ergonomia e la distribuzione dei tasti ricordano molto le reflex APS-C. Un paio di tasti sembrano essere oggetto della discordia per i Nikonisti: il posizionamento dei tasti + e - per aumentare o diminuire l'ingrandimento delle immagini durante la revisione degli scatti: rispetto a Nikon D90 e Nikon D7000 sono infatti posizionati come ultimi due della fila a sinistra del monitor, ma invertiti, con il meno in basso e il più in alto. Chi dei possessori di D90 e D7000 ha provato D600 ci ha messo un po' ad abituarsi alla nuova disposizione.

Anche l'oculare potrebbe far pensare di essere di fronte a una reflex APS-C: nonostante non abbia la forma circolare riservato solitamente alle Full Frame resta però un mirino da pieno formato, con ingrandimento 0,7x e copertura del 100% del fotogramma. Il monitor posteriore è un LCD TFT da 3,2" con 921k punti. MultiCAM 4800FX AF è il nome del nuovo modulo autofocus, in pratica la versione Full Frame del modulo già visto su Nikon D7000: è caratterizzato da 39 punti di messa a fuoco, di cui 9 a croce. Interessante la possibilità di utilizzare 7 di questi ultimi anche con obiettivi f/8, garantendo la compatibilità, ad esempio, con i teleobiettivi spinti o usati con duplicatore di focale. Nikon conferma la scelta fatta per le sue full frame prosumer: non manca, infatti, tra i dati di targa il flash pop-up GN12.

Nikon D600: tutti i particolari della full frame compattaGuarda tutte le foto »
Il sensore 35mm è assistito nel suo lavoro dal processore EXPEED 3: la coppia permette alla macchina di lavorare con supporto RAW a 12 o 14 bit a sensibilità di 100-6400 ISO e di spingersi in modalità espansione fino a un intervallo di 50-25,600 ISO. Tutto l'intervallo delle sensibilità ISO è sfruttabile anche per la registrazione di filmati. Questi ultimi beneficiano del supporto Full HD 1080p a 30, 25 o 24p, e 720p a 60, 50 e 30p. Video e foto sono memorizzabili su schede SD in modo flessibile grazie alla presenza del doppio slot Secure Digital, utilizzabile in modo personalizzato (back-up, JPEG su una scheda e RAW sull'altra, e via dicendo) Trovate tutti i dettagli tecnici nelle news e articoli che abbiamo già dedicato a Nikon D600.

Anche HP ha da qualche tempo inserito nella propria gamma alcune soluzioni Ultrabook cercando però di smarcarsi dalla concorrenza per alcune scelte e caratteristiche. L'offerta di HP è ben precisa e si articola in poche configurazioni hardware che se da una parte lasciano poca possibilità di scelta, dall'altra offrono all'utente una più chiara indicazione. Nelle pagine seguenti ci occuperemo di HP Spectre XT, un Ultrabook dotto di display da 13 pollici che tra le caratteristiche principali può contare su un design molto curato.Si tratta di un Ultrabook, e con questo termine si fa riferimento a un marchio registrato da Intel, che si pone l'obiettivo di indicare, a prescindere dal marchio, un PC portatile contraddistinto da caratteristiche ben precise. Questi PC devono essere equipaggiati con una piattaforma Intel, con processori appartenenti alla famiglia Core di seconda o terza generazione (Sandy Bridge o Ivy Bridge). Oltre a questo, lo spessore deve mantenersi entro i 21mm, pesare massimo 1,5Kg senza per questo sacrificare prestazioni o autonomia.

Questo modello di HP appartiene ancora alla generazione di soluzioni che utilizzano come sistema operativo Windows 7. Al momento la disponibilità di sample con il nuovo sistema operativo Windows 8 è ancora limitata ma nel corso delle prossime settimane ci attendiamo qualche interessante novità che andremo a provare quanto prima.Le specifiche appena riportate non rivelano particolari sorprese: l'Utrabook HP Spectre XT 13 presenta una componentistica pressochè standard rispetto a molte altre soluzioni simili sul mercato. Siamo però convinti che per questo prodotto gli aspetti costruttivi e di design siano in grado di fare la differenza e l'immagine riportata poco sopra anticipa già alcuni aspetti che approfondiremo nella pagine seguentiNei giorni scorsi abbiamo pubblicato, a questo indirizzo, la nostra analisi della nuova generazione di iPad con Retina Display, soluzione nota anche con il nome di iPad 4. Come abbiamo avuto modo di indicare in quell'occasione Apple indica i propri tablet solo con il nome iPad avendo rimosso qualsiasi indicazione numerica a supporto: per meglio distinguere questo prodotto dal modello di precedente generazione, immesso sul mercato solo lo scorso mese di Marzo, abbiamo optato per fornire una indicazione numerica a iPad 3 e iPad 4.

Nel passaggio da 3 a 4 iPad è stato aggiornato intervenendo sulla componente CPU: l'introduzione del SoC A6X ha permesso di ottenere un raddoppio nelle prestazioni velocistiche tanto per la parte CPU come per quella GPU, ferme restando le altre caratteristiche tecniche introdotte con iPad 3. Altra novità è rappresentata dal connettore Lightning, che Apple ha introdotto inizialmente con iPhone 5 e che verrà progressivamente esteso a tutte le famiglie di prodotti dell'azienda americana.La principale novità introdotta in commercio da Apple circa 2 settimane fa è tuttavia rappresentata da iPad mini, prodotto del quale si è a lungo discusso per buona parte dell'anno con indiscrezioni e immagini non ufficiali emerse sul web in varie occasioni. Si tratta di un tablet della famiglia iPad che, come il nome lascia facilmente intendere, utilizza un display con diagonale inferiore a quello di 9,7 pollici che ha sino ad ora caratterizzato tutte le versioni di iPad apparse in commercio.La diagonale passa a 7,9 pollici, con una sensibile diminuzione nelle dimensioni complessive e nel peso. In questa prima versione di prodotto perdiamo il display Retina, che rimane appannaggio delle soluzioni iPad tradizionali della famiglia 3 e di quella 4, mentre il prezzo d'acquisto viene contenuto così da renderlo più accessibile, benché non ai livelli che molti utenti speravano prima del debutto ufficiale sul mercato. Non cambia la diversificazione del prodotto: abbiamo 3 tagli per quanto riguarda la capacità di memoria (16, 32 oppure 64 Gbytes) mentre accanto alla versione WiFi base troveremo in commercio da fine Novembre anche quella Cellular, compatibile con schede SIM.

Quali sono le principali caratteristiche tecniche di iPad mini? Nella tabella seguente abbiamo messo a confronto questo nuovo prodotto con iPad 2, attualmente ancora in commercio nella sola versione con 16 Gbytes di memoria di sistema, con il nuovo iPad 4 che è in vendita da poco meno di 2 settimane e con iPad 3, modello che è stato completamente sostituito dal modello 4 nella gamma di prodotti Apple.Fatta eccezione per le dimensioni più contenute e per la diagonale del display, in iPad mini troviamo un mix di componenti hardware provenienti dalle altre generazioni di tablet iPad. Il cuore del sistema è il SoC A5 di Apple: si tratta dello stesso componente integrato nelle soluzioni iPad 2, basato su architettura dual core con componente GPU PowerVR SGX 543MP2, sempre con architettura dual core. Una scelta di questo tipo non deve sorprendere: iPad 2 e iPad mini condividono la stessa risoluzione del display di 1024x768 pixel e quindi richiedono lo stesso tipo di sottosistema video per poter assicurare una riproduzione fluida di giochi e applicazioni.

Passando a Wireless, Bluetooth, supporto reti cellulari, fotocamera frontale e posteriore troviamo gli stessi componenti integrati in iPad 3 e iPad 4: in questo caso, soprattutto per quanto riguarda le due fotocamere, i passi avanti rispetto a quanto messo a disposizione in iPad 2 sono tangibili. In quest'ottica il confronto tra iPad 2, rimasto a listino Apple nelle versioni WiFi e Cellular con solo quantitativo di memoria di sistema di 16 Gbytes, e iPad mini viene quasi automatico; introducendo i listini ufficiali il quadro diventa ancora più interessante e diventa il leit motiv nell'analisi del nuovo arrivato di Apple.

A parità di quantità di memoria di sistema e di tipologia di trasmissione dei dati iPad mini viene proposto, IVA inclusa, ad un prezzo inferiore di 70,00€ rispetto ad iPad 2 per la versione WiFi e di 60,00€ per quella Cellular. Questa cifra giustifica un display da 2 pollici di diagonale in più, con risoluzione video che è identica tra i due prodotti, SoC che non cambia, autonomia complessiva comparabile e comparto fotocamera di qualità ben più elevata con iPad mini rispetto a quanto messo a disposizione da iPad 2. Seguendo l'ormai abituale segmentazione nei prezzi dei prodotti Apple iPad mini vede un incremento di prezzo di 100,00€ per ogni raddoppio nel quantitativo di memoria di sistema integrata, e di 130,00€ passando dalla versione WiFi a quella Cellular.Inserendo nel confronto iPad 4 notiamo come iPad mini e iPad 4 siano separati da 170,00€ a parità di versione, WiFi oppure Cellular, e di dotazione di memoria di sistema: è indicativamente possibile acquistare con la stessa cifra un iPad 4 con una dotazione di memoria di sistema di 16 Gbytes, oppure un modello iPad mini con 64 Gbytes di memoria integrata.

Per Fujifilm la lettera X è sinonimo di rinascita: dalla capostipite X100 sono seguite fotocamere compatte e ben due corpi macchina mirrorless designati da quella lettera dell'alfabeto. La prima mirrorless Fujifilm X-Pro1 ha introdotto allo scorso CES di Las Vegas una interessante novità nel mondo dei sensori con il sensore APS-C X-Trans CMOS da 16,3 milioni di pixel, basato sul filtro colore X-Trans, il primo ad avere il coraggio di mettere in discussione il filtro Bayer utilizzato sulla stragrande maggioranza dei sensori, CCD o CMOS che siano. Una mossa coraggiosa e azzeccata, come potete leggere nella nostra recensione.Fujifilm ha però deciso di declinare la serie X anche verso il basso, riducendo la superficie del sensore, ma introducendo anche in questo caso qualcosa di nuovo sul mercato. In un periodo in cui per le compatte si parlava solo di dimensioni pari a 1/2,3" o al massimo 1/7", Fujifilm ha integrato in X10, la sua prima compatta della serie X, un sensore EXR CMOS da 12 megapixel in formato 2/3" (6.6 x 8.8mm), aprendo di fatto la corsa all'allargamento dei sensori delle compatte culminato poi con Sony RX100, che ha allargato le dimensioni fino al formato da 1".

  1. http://www.bloghotel.org/enablesyou/
  2. http://en.donkr.com/blog/gesamtidee
  3. http://www.neighbour123.com/blog/show/batteria-fujitsu-lifebook-b3010d
  4. http://www.useek.com.au/myblog/index.php?blog=http://wwwakkusmarktcom

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Akku Toshiba PA3818U-1BAS

Ein von den Forschern entwickelter Virus namens PowerSpy kann diese Informationen beschaffen, ohne dafür Zugriff auf GPS, WLAN oder Mobilfunkdaten zu benötigen. Die Zugriffsberechtigung zum Auslesen des Stromverbrauchs würde bei den meisten Nutzern kaum Verdacht auslösen. Betroffen seien alle Mobilgeräte, die es Apps erlauben, Daten zum Stromverbrauch auszulesen.Wie Law360 berichtet, hat der amerikanische Akkuhersteller A123 Systems eine Klage gegen Apple eingereicht. A123 Systems wirft Apple in der Klage vor, innerhalb weniger Monate fünf wichtige Mitarbeiter des Unternehmens abgeworben zu haben, um A123 Systems zu schädigen. Die Auseinandersetzung zwischen Apple und A123 Systems soll im Juni 2014 begonnen haben, als der CTO von A123 Systems Mujeeb Ijaz unter ungeklärten Umständen zu Apple wechselte. Im Januar 2015 verließen dann mit Don Dafoe, Michael Erickson, Depeng Wang und Inrajeet Throat vier weitere Mitarbeiter A123 Systems innerhalb von einem Monat, um Positionen bei Apple anzutreten. Der Klage zufolge arbeiteten alle von Apple abgeworbenen Mitarbeiter bei A123 Systems in der Abteilung für fortgeschrittene Energiespeicherung, wobei Sie an der Entwicklung von "revolutionären Technologien" beteiligt waren. Durch den Verlust der Mitarbeiter mussten einige Projekte eingestellt werden, da diese nicht ersetzt werden konnte, so das Unternehmen.

Zusätzlich zu Mitarbeitern von A123 Systems soll Apple auch planen, gezielt Angestellte von LG, Panasonic, Samsung, Toshiba und Johnson Controls abzuwerben. A123 Systems wolle mit der Klage verhindern, dass die ehemaligen Mitarbeiter Ihre Stellen bei Apple antreten. Zusätzlich dazu sollen Sie für einen Zeitraum von einem Jahr auch bei keinem anderen Unternehmen in der Branche anfangen dürfen, um die Entwicklungen und Arbeit von A123 Systems zu schützen. Wie bei Klagen dieser Art üblich verlangt A123 Systems des weiteren auch eine Entschädigungszahlung sowie die Übernahme der Prozesskosten von Apple.Einige Beobachter und Gerüchte-Webseiten werten Apples Personal-Aktivitäten als Hinweis dafür, dass Apple selbst an neue Akkutechnologie forscht.

Schaltet man das Gerät ein, wird sichtbar, wie zackig es mit Intels neuer Prozessor-Generation "Skylake" zur Sache geht. Das Surface Pro 4 ist bereits nach wenigen Sekunden startklar. Mit einem bis zu 2,5 Gigahertz schnellen Core i5 6300U und 8 Gigabyte Arbeitsspeicher gehört das Testgerät dabei nur zur neuen Mittelklasse. Microsoft bietet auch Tablets mit Core-i7-Prozessoren und 16 Gigabyte RAM an. Das Test-Surface dürfte aber den meisten Ansprüchen genügen. Es bewältigt mühelos auch aufwändigere Photoshop-Arbeiten flüssig und Hobbyfilmer können es problemlos für den Videoschnitt verwenden.Die Kühlung soll dabei so gut arbeiten, dass auch der stärkste Core i7 immer seine Höchstleistung bieten kann. Beim Testgerät hört man die Lüftung nur selten rauschen, im Normalbetrieb kommt das Gerät die meiste Zeit mit der passiven Kühlung aus. Der Akku hält dabei in etwa so lange wie beim Surface Pro 3 durch. Microsoft gibt bis zu 9 Stunden bei der Videowiedergabe an, im Test hielt die Batterie bei einer gemischten Nutzung fünf bis sechs Stunden durch.

Wie "ComputerBase" herausgefunden hat, bremst derzeit aber noch ein fehlender Treiber die Samsung-SSD vor allem bei den Schreibraten aus. Und tatsächlich: Nachdem auf dem Testgerät ein alternativer Treiber installiert wurde, glänzte der Speicher im AS SSD Benchmark mit guten bis sehr guten Werten.Das Display des Surface Pro 4 ist mit 267 ppi nicht nur schärfer, sondern auch sichtbar besser als der schon sehr gute Bildschirm des Vorgängermodells. Der Kontrast ist deutlich knackiger und Farben wirken natürlicher und leuchtender. Im direkten Vergleich scheint das Display des Pro 3 einen leichten Grünstich zu haben, während der neue Bildschirm perfekt kalibriert aussieht.Über dem Display hat das neue Surface neben einer 5-Megapixel-Frontkamera zusätzlich eine Infrarot-Kamera zur Gesichtserkennung. Damit kann das Gerät die Windows-10-Funktion "Hello" nutzen, die alternative Entsperrmöglichkeiten zur Passworteingabe oder PIN bietet. Die Gesichtserkennung klappte im Test vorzüglich, nachdem die Kamera in den Einstellungen unter Konten – Anmeldeoptionen auf verschiedene Lichtsituationen trainiert wurde. Nutzer erkannte das Surface Pro 4 schneller, als sie eine PIN tippen könnten und auch wer gelegentlich eine Brille trägt, kann die Funktion problemlos mit oder ohne Sehhilfe verwenden.

Der magnetisch anhaftende S Pen nutzt dagegen in Deutschland noch nicht alle Möglichkeiten, die Windows 10 seit dem Herbst-Update eigentlich zu bieten hat. Denn bisher fehlt außerhalb der USA bei der digitalen Assistentin Cortana das Feld, über das handschriftlich Termine und andere Erinnerungen notiert werden können. Dafür dient beim neuen Pen der Druckknopf auch als virtueller Radiergummi und der Stift kann jetzt 1024 verschiedene Druckstufen unterscheiden.Um ein Surface wirklich produktiv einzusetzen, muss man es mit einem Tastatur-Cover kaufen, für das Microsoft nochmal 150 Euro extra kassiert. Das Type Cover wurde ebenfalls verbessert und kann auch am Vorgängermodell eingesetzt werden. Zwischen den Tasten ist jetzt ein deutlicher Abstand, wodurch man fehlerfreier und schneller tippen kann. Außerdem hat das neue Tastatur-Cover auch ein viel größeres und glatteres Touchpad als sein Vorgänger.Insgesamt sind Surface Pro 4 und das neue Type Cover eine gelungene Weiterentwicklung der besten Tablet-Tastatur-Kombination, die derzeit zu haben ist. Zwar kann sie kein vollwertiges Notebook zu 100 Prozent ersetzen, aber es kommt der Sache schon sehr nahe, so lange das Gerät auf dem Tisch steht. Auf dem Schoß platziert, bleibt das Surface Pro 4 mit Type Cover eine etwas wackelige Notlösung.

Alleine kostet das einfachste Gerät rund 1000 Euro, die günstigste Surface-Kombination 1150 Euro. Für die Testausstattung sind knapp 1600 Euro fällig, die teuerste Variante gibt's für 2600 Euro. Für so viel Geld bekommt man auch hervorragende Notebooks mit noch mehr Leistung. Wer aber vor allem ein Windows-Tablet haben möchte, das mit Tastatur-Cover auch gehobene Laptop-Aufgaben übernehmen kann, kommt um Microsofts Angebot kaum herum. Eine Alternative wäre das Surface Pro 3, das je nach Ausstattung bis zu 350 Euro günstiger ist und im Alltag fast ebenso leistungsfähig wie das neue Tablet.Microsoft stellt in New York neue Spitzentechnik vor. Das Lumia 950 und das 950 XL sind die aktuellen Smartphone-Flaggschiffe, das Surface Pro 4 ist das neue High-End-Tablet - doch die große Überraschung kommt erst am Ende.

Microsoft zeigt in New York die lang erwarteten neuen Top-Smartphones aus der Lumia-Reihe, die ersten eigenen Modelle mit Windows 10 Mobile. Das Lumia 950 und das Lumia 950 XL sind die neuen Flaggschiffe der Amerikaner. Star der Präsentation sind aber das Surface Pro 4, ein Tablet mit Tastatur-Dock und Edel-Ausstattung, sowie ein völlig unerwartetes Gerät, das erst ganz am Schluss gezeigt wird.Microsofts neue Smartphones sind technische Höchstleistungen: das 5,2-Zoll-OLED-Display des Lumia 950 löst mit 2560 x 1440 Pixeln auf, das Lumia 950 XL hat bei 5,7 Zoll Displaydiagonale die gleiche Auflösung und ebenfalls einen OLED-Bildschirm. Das kleinere wird von einem Snapdragon 808 angetrieben, das XL hat den Snapdragon 810 unter der Haube, beiden stehen 3 Gigabyte Arbeitsspeicher zur Verfügung.Intern haben beide 32 Gigabyte Speicherplatz, per Micro-SD-Karte lässt sich dieser um bis zu 200 Gigabyte erweitern. Die wechselbaren Akkus haben Kapazitäten von 3000 und 3340 Milliamperestunden und können drahtlos oder per Schnellladegerät aufgeladen werden. Beide haben einen USB-C-Anschluss sowie eine 20-Megapixel-Kamera mit dreifachem LED-Blitz für bessere Beleuchtung bei Blitz-Aufnahmen und optischen Bildstabilisator. Ebenfalls dabei: Eine eigene Kamerataste für schnelle Aufnahmen.

An Bord ist außerdem eine Gesichtserkennung für die sichere Anmeldung über Windows Hello - vorerst aber nur im Beta-Stadium. Großen Applaus gibt es für Continuum, das Smartphones zum Mini-PC macht. Mit dem passenden Dock mit HDMI- und Displayport sowie 3 USB-Anschlüssen wird das Lumia-Smartphone mit einem Monitor, Maus und Tastatur zum vollwertigen PC. Das Lumia 950 geht für 599 Euro in den Verkauf, das XL soll 699 Euro kosten.Ein neues Mittelklasse-Smartphone ist ebenfalls Teil der Präsentation, das Lumia 550 für schmale 139 Euro. Es hat ein 5-Zoll-Display mit Full-HD-Auflösung. Als Prozessor kommt der 4-Kerner Snapdragon 210 mit 1 Gigabyte Arbeitsspeicher zum Einsatz, 8 Gigabyte interner Speicher stehen zur Verfügung, die Kamera löst mit 5 Megapixeln und die Frontkamera mit 2 Megapixeln auf.

Auch zur Augmented-Reality-Brille HoloLens gibt es Neuigkeiten: Microsoft zeigt das "Mixed Reality"-Spiel "Project X-Ray", bei dem der Träger der HoloLens im eigenen Wohnzimmer gegen virtuelle Roboter kämpfen kann. Teil der Demonstration sind virtuelle Schusswaffen und Schutzschilde, die der Spieler direkt in den Händen trägt - tragbare Hologramme. Im ersten Quartal 2016 will Microsoft ein Entwickler-Paket mit HoloLens verkaufen, der Preis liegt bei 3000 US-Dollar.Das Fitness-Armband Microsoft Band bekommt in New York ein Update. Der neue Tracker hat ein gebogenes Display, eingebautes GPS, Barometer, Schlafaufzeichnung, Kalorienzähler, einen UV-Sensor und bietet umfassende Einblicke in alle Daten, die das Armband aufzeichnet. Ende Oktober kommt das Band 2 in den Handel, der Verkaufspreis liegt bei 249 Dollar, für Europa gibt es noch keine Preisdaten.

Das Surface Pro 4, Microsofts neues Tablet mit Notebook-Ambitionen, wurde in New York ebenfalls präsentiert. Im Vorfeld waren, im Gegensatz zu den Lumia-Smartphones, kaum Informationen durchgesickert. Die Rede war von einem hauchdünnen Displayrand, der das Tablet in Verbindung mit einem Tastaturdock zum edlen 13-Zoll-Notebook machen sollte.Tatsächlich hat das Surface Pro 4 ein 12,3-Zoll-Display mit einer Pixeldichte von 267 ppi. Es soll ausgestattet mit Intel Core-i5- oder Core-i7-Prozessoren 30 Prozent schneller sein als das Surface Pro 3 und rund 50 Prozent schneller als das MacBook Air. An Bord sind bis zu 1 Terabyte interner Speicher und bis zu 16 Gigabyte Arbeitsspeicher. Außerdem ist das neue Surface Pro nur noch 8,4 Millimeter dick und mit 766 Gramm auch leichter als der Vorgänger.

Zusammen mit dem neuen Surface zeigt Microsoft auch eine neue Docking-Station für Surface-Geräte sowie einen neuen Stift mit 1024 Druckstufen, der wie ein echter Bleistift eine Art Radiergummi an der Rückseite hat. Der Stift wird mittels Magneten am Tablet-Gehäuse festgehalten. Er kommt in fünf Farben und mit auswechselbaren Stiftspitzen. Neben dem digitalen Stift hat Microsoft auch das Tastatur-Cover verbessert. Es ist nun leichter und schmaler, hat ein größeres Trackpad und einen verbesserten Tastaturblock - und einen Fingerabdruckscanner. Leistung und Ausstattung haben ihren Preis: Das günstigste Surface Pro 4 kostet in Deutschland knapp 1000 Euro, für die Premium-Version mit 16 GB RAM und 512 GB Speicher ruft Microsoft 2450 Euro auf. Für den Surface-Vorgänger zahlt man rund 600 Euro. Marktstart der neuen Generation ist der 26. Oktober.

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Akku toshiba Tecra M11

iPAQ H2210 Besser ausgestattet gibt sich der iPAQ H2210, der einen Intel-X-Scale-Prozessor vom Typ PXA255 mit einer Taktrate von 400 MHz sowie 64 MByte RAM sein Eigen nennt. Obgleich der H2210 ziemlich dünn geraten ist, bietet er neben einem SD-Card-Steckplatz auch einen Slot für Speicherkarten vom Typ Compact Flash Type II. HP spendierte dem 144,2 Gramm wiegenden und 115,4 x 76,4 x 15,4 mm messenden Modell eine IR-Fernbedienungs-Software, um darüber Unterhaltungsgeräte wie Videorekorder, TV, CD- und DVD-Player oder die Stereo-Anlage steuern zu können. Zum Lieferumfang gehört eine USB-Dockingstation samt Netzteil und eine Tasche zum Transport des Geräts.Alle vier WindowsCE-Modelle wurden bislang ausschließlich für den US-Markt angekündigt. Ob oder wann die Geräte auch nach Deutschland kommen, ist nicht bekannt. Der iPAQ H5550 wird in den USA 649,- US-Dollar kosten, während der Preis für den iPAQ H5150 bei 549,- US-Dollar liegt. Der iPAQ H2210 kommt auf einen Preis von 399,- US-Dollar, während der iPAQ H1940 299,- US-Dollar kostet.

Siemens C60 Das Farb-Display im Siemens C60 zeigt bei einer Auflösung von 101 x 80 Bildpunkten 4.096 Farben an. Durch die Tri-Band-Funktion arbeitet das Mobiltelefon in den GSM-Netzen mit 900, 1.800 und 1.900 MHz, während für Datendienste GPRS der Klasse 8 unterstützt wird.Das C60 bietet eine Tonaufnahmefunktion, unterstützt MMS, EMS sowie WAP 1.2.1 und signalisiert Anrufe mit 16-stimmigen polyphonen Klingeltönen. Das 110 x 47 x 23 mm messende und 85 Gramm wiegende Gerät beherbergt einen Lithium-Ionen-Akku, der eine Gesprächszeit von fünf Stunden und eine Stand-by-Zeit von rund zehn Tagen liefert. Über austauschbare Clip-it-Cover lässt sich das äußere Erscheinungsbild des Geräts verändern.Siemens will das C60 in Deutschland im September 2003 auf den Markt bringen. Einen Preis für das Gerät konnte Siemens auf Nachfrage nicht mitteilen; es wird erwartet, dass das Gerät im mittleren Preissegment angeboten wird.Siemens teilte jetzt mit, dass das C60 für unter 200,- Euro ohne Mobilfunkvertrag angeboten wird. Auf den Markt soll das Gerät Ende September 2003 kommen.Für den Einsteiger-Markt bringt Siemens mit dem A52 ein neues Dual-Band-Handy, das in den GSM-Netzen mit 900 und 1.800 MHz arbeitet. Das Mobiltelefon versendet und empfängt neben langen SMS auch EMS und signalisiert Anrufe mit polyphonen Klingeltönen.

Siemens A52 Das Siemens A52 enthält zehn vorinstallierte polyphone Klingeltöne und besitzt ein monochromes Display mit einer Auflösung von 101 x 64 Bildpunkten. Ein Lithium-Ionen-Akku versorgt das 103 x 46 x 21,5 mm messende und 84 Gramm wiegende Mobiltelefon mit Strom, wobei damit eine Gesprächszeit von bis zu fünf Stunden möglich ist. Im Empfangsmodus soll der Akku rund zehn Tage durchhalten.Im Handy selbst lassen sich zusätzlich zur SIM-Karte bis zu 50 Telefonnummern abspeichern. Zudem enthält das Gerät auch einen Rechner und einen Wecker. Über austauschbare Clip-it-Cover kann das Äußere des Handys nach eigenem Wunsch verändert werden.Siemens will das A52 in Deutschland voraussichtlich im September 2003 auf den Markt bringen. Einen Preis für das Gerät konnte der Hersteller auch auf Nachfrage nicht mitteilen. Bekannt ist nur, dass das Handy im Einsteigerbereich angeboten werden soll.

Toshiba erweitert seine Produktpalette um zwei neue Modelle der Satellite-Pro-2100-Serie. Die als Allround-Notebooks bezeichneten Geräte richten sich an kleine und mittelständische Unternehmen sowie Home-Office-User und sind mit mobilen Pentium-4-M-Prozessoren von Intel mit einer Taktrate von 2,2 GHz ausgestattet. Bislang gab es die Geräte nur maximal mit 2,0 GHz.Je nach Konfiguration integrieren die Modelle 256 MByte oder 2 x 256 MByte DDR-RAM (PC2100) Arbeitsspeicher, der insgesamt auf bis zu einem GByte ausbaubar ist. Die Geräte sind mit 40- bzw. 60-GByte-Festplatten ausgerüstet. Als Grafikchip fungiert ein Nvidia GeForce4 420 Go mit 32 MByte eigenem DDR-Video-RAM. Die Satellite-Pro-2100-Modelle sind mit einem 15-Zoll-TFT-Farbdisplay ausgestattet, das 1.024 x 768 Bildpunkte darstellen kann.Zur Standardausstattung der Notebooks aus der Satellite-Pro-2100-Serie gehört neben dem integrierten Disketten- auch ein integriertes CD-RW/DVD-ROM-Laufwerk mit 8x DVD-ROM, 24x CD-ROM, 16x CD-R und 10x CD-RW.

Die Modelle der Satellite-Pro-2100-Serie sind mit drei USB-Ports, TV-Ausgang sowie einem externen Mikrofon-Anschluss ausgestattet. Zudem bietet sie dem Anwender eine IEEE-1394-Schnittstelle sowie einen SecureDigital-(SD-)Card-Slot und einen Steckplatz für wahlweise zwei PC-Cards des Typs II oder einmal Typ III.In beiden Notebooks sind sowohl kabelgebundene als auch kabellose Kommunikationsmöglichkeiten integriert. Neben der 10/100-Ethernet-Funktionalität, einem V.90-Fax-/Datenmodem sowie einem Infrarot-Port sind die beiden Satellite-Pro-2100-Varianten zusätzlich mit einer Wi-Fi-Antenne für Wireless LAN 802.11b ausgestattet. Eine optionale Erweiterung mit dem entsprechenden Mini-PCI-Funkmodul ermöglicht somit die Einbindung der Notebooks in ein Wireless-LAN-Netzwerk.Das Soundsystem besteht aus einem Yamaha-YMF753-Chip und eingebauten Stereolautsprechern. Die Tastatur ist mit Kurzwahl-Knöpfen ausgerüstet, die mit der direkten Bedienung des CD-/DVD-Laufwerks, des MP3-Players sowie des Internet-Browsers belegt sind. Dazu kommt ein Touchpad bzw. Touchpad mit Scrollrad. Der Lithium-Ionen-Akku soll bis zu 2,7 Stunden Betriebsdauer erlauben. Die Geräte messen 327,6 x 286,6 x 42,8 bzw. 45,5 mm und wiegen 3,4 Kilogramm.

Toshiba liefert die Modelle der Satellite-Pro-2100-Serie mit vorinstalliertem Windows XP Professional sowie Win DVD und einem Online-Benutzer- und Modemhandbuch aus. Für beide Notebooks besteht eine internationale Garantie von zwei Jahren, die sich auf fünf Jahre verlängern und durch verschiedene Optionen erweitern lässt.Für das Gerät mit 2,2-GHz-Intel-Mobile-Pentium-4-M-Prozessor, 256 MByte DDR-RAM, 40-GByte-Festplatte und 15-Zoll-TFT zahlt man 1.679,- Euro. Das Modell mit 2,2-GHz-Intel-Mobile-Pentium-4-M Prozessor, 2 x 256 MByte DDR-RAM, 60-GByte-Festplatte sowie 15-Zoll-TFT kostet 1.799,-. Die neuen Satellite-Pro-2100-Modelle sollen ab sofort erhältlich sein.T-Mobile Deutschland will jetzt mit T-Mobile NaviGate BlueKit ein Navigationssystem per Handy realisieren. Das soll auch Staus erkennen und den Fahrer "dynamisch" um diese herum lotsen, allerdings vorerst nur mit den beiden Nokia-Smartphones 3650 und 7650, sofern diese mindestens auf dem Software-Stand 3.16 sind.

Dabei verbindet T-Mobile Handy und Satellitenempfänger über eine Bluetooth-Funkverbindung. Die Lösung soll ab 8. Juli 2003 zunächst für die Nokia-Smartphones 3650 und 7650 zur Verfügung stehen, weitere Modelle sollen folgen."Mit NaviGate BlueKit erweitern wir die Handy-Nutzung um ein äußerst attraktives Leistungsmerkmal, das in der heutigen Zeit fast jeder im Alltag einsetzen kann", so Martin Knauer, Geschäftsführer Marketing bei T-Mobile Deutschland. "Wir möchten zukünftig immer mehr Menschen unsere praktische Navigations-Lösung anbieten. Daher werden wir in Kürze weitere Handymodelle auf den Markt bringen, die das Navigieren nicht nur in Deutschland, sondern auch europaweit ermöglichen werden." Die NaviGate Software muss dabei einmalig über PC oder Laptop auf dem Handy installiert werden - per Bluetooth, Infrarot oder E-Mail. Anschließend soll sich das mobile Navigationssystem mit wenigen Handgriffen in jedem Automodell einsetzen lassen, ohne zusätzlichen Anschluss oder Einbau.

Die für die Navigation notwendigen Verkehrsdaten werden per Mobilfunk übermittelt und sollen so stets auf dem aktuellsten Stand sein. CDs oder DVDs mit neuen Straßenkarten seien so nicht erforderlich. Nach Eingabe des gewünschten Ziels wird per GPS die derzeitige Startposition ermittelt und anschließend die Route anhand aktueller Karten und unter Berücksichtigung der momentanen Verkehrslage im Rechenzentrum von T-Mobile errechnet und schließlich per GPRS wieder an das Handy übertragen. Die erforderlichen Fahrmanöver werden dann per Sprachausgabe und über Pfeil-Anzeigen und Entfernungsangaben auf dem Handy-Display dargestellt.Das T-Mobile NaviGate BlueKit enthält die NaviGate Software, die kabellose GPS-Maus mit Akku und integrierter Ladeelektronik und ein Kfz-Ladekabel für die GPS-Maus. Der kabellose GPS-Empfänger soll bei voller Akkuladung bis zu zehn Stunden durchhalten.Abgerechnet wird der Dienst über die Mobilfunkrechnung von T-Mobile. Die Ermittlung einer Route kostet 1,99 Euro, wobei alle Updates zur Strecke enthalten sind, unabhängig von deren Länge. Zusätzlich werden die im jeweiligen Tarif geltenden GPRS-Preise berechnet.

In der Einführungsphase bis zum 30. September 2003 bietet T-Mobile das NaviGate BlueKit mit dem Nokia 3650 für 349,95 Euro an. Das Angebot gilt nur in Verbindung mit dem Abschluss eines T-Mobile-Vertrages mit einer Mindestlaufzeit von zwei Jahren. T-Mobile-Kunden, die bereits ein Nokia 3650 oder 7650 besitzen, erhalten das NaviGate BlueKit für 249,95 Euro. Geplant ist für den Herbst 2003 eine Erweiterung der Navigationssoftware für das europäische Ausland.Acer hat den Nachfolger des zum Tablet PC umklappbaren Notebooks TravelMate C100 vorgestellt. Dank stromsparender Centrino-Technik - bestehend aus Pentium-M-Prozessor, Chipsatz und WLAN-Modul von Intel - sollen die Modelle der TravelMate-Serie C110 trotz höherer Rechenleistung mit langer Batterielaufzeit und flachem Design aufwarten.Tablet PC und Notebook Das erste vorgestellte TravelMate-C110-Modell, das TravelMate C111TCi, besitzt ein drehbares 10,4-Zoll-XGA-TFT-LCD und einen 1-GHz-Pentium-M-Prozessor in der Ultra-Low-Voltage-Version. Als Chipsatz kommt Intels 855GM zum Einsatz, der für seinen integrierten Grafikkern bis zu 64 MByte vom Hauptspeicher abzweigt. Neben 512 MByte DDR-SDRAM (2 x 256 MByte SO-DIMMs) und 40-GByte-Festplatte gibt es auch je ein mitgeliefertes externes DVD/CD-RW- (Firewire) und Diskettenlaufwerk (USB). Ein ins C111TCi integriertes SmartCard-Laufwerk kann dank beiliegender Sicherheitssoftware zur Authentifizierung genutzt werden.

Neben WLAN (802.11b, theoretisch 11 Mbps) ist das Gerät mit Bluetooth ausgestattet. Für verkabelte Kommunikation sind auch Fast-Ethernet und 56k-Modem integriert. Weitere am C111TCi zu findende Schnittstellen: PCMCIA (PC-Card Typ II), Infrarot, Firewire 400 (IEEE 1394), 2x USB 2.0 und ein VGA-Ausgang. Per mitgeliefertem Port-Replikator soll das Kabelmanagement beim Ein- und Ausdocken vereinfacht werden.Durch Aufklappen und Drehen des Displays lassen sich die TravelMate-C110-Modelle je nach Anforderung als Notebook oder als Tablet PC verwenden. Im Tablet-PC-Modus kann zwischen Quer- und Hochformat gewechselt werden. Zur Bedienung des Geräts kann neben der Tastatur und dem integrierten Touchpad auch ein spezieller Stift auf dem mit elektro-magnetischem Sensorsystem ausgestatteten Display (256 Druckstufen) benutzt werden.

Microsofts deutscher Chefdesigner Ralf Groene hat es hinbekommen, den Bildschirm von 12 auf 12,3 Zoll anwachsen zu lassen und das Gerät trotzdem etwas leichter und dünner zu machen. Dafür hat er unter anderem den Rahmen um das Display verschmälert, was das Surface Pro 4 auch moderner aussehen lässt.Microsoft hat außerdem auf ein Windows-Logo auf der Vorderseite verzichtet und stattdessen den Schriftzug auf der Rückseite durch ein poliertes Windows-Logo ersetzt. Und die Lautstärkewippe ist nach oben neben den Einschalter gewandert, um dem jetzt magnetisch anhaftenden Surface Pen auf der linken Seite des Aluminiumgehäuses Platz zu machen. Rechts sitzen nach wie vor eine USB-3.0-Buchse, ein Mini-DisplayPort und der Stromanschluss. Links oben ist wie gehabt die Kopfhörerbuchse, der microSD-Karten-Einschub versteckt sich immer noch unter dem stufenlos verstellbaren Standfuß.

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April 22, 2017

Laptop Akku Sony VGP-BPS9/B

Die Kamera bietet dem Nutzer verschiedene Motivprogramme etwa für die Porträt- oder Landschaftsfotografie. Er hat jedoch auch die Möglichkeit, wie bei einer DSLR Blende, Verschlusszeit, Lichtempfindlichkeit des Sensors und andere Werte manuell einzustellen. Bilder können zudem nicht nur im .jpg-Format aufgenommen werden, sondern auch als Rohdaten ohne Kompression, was mehr Möglichkeiten zur späteren Bildbearbeitung eröffnet. Im Serienmodus macht die Kamera drei Bilder pro Sekunde, wobei sie im .jpg-Format bis zu zehn Bilder in Serie aufnimmt, Rohdaten hingegen nur drei. Gespeichert werden die Bilder auf SD- (bis 2 GByte) oder SDHC-Karten (bis 8 GByt e).Neben stehenden kann die NX100 auch bewegte Bilder aufnehmen: Videos werden im Format H.264 mit einer Auflösung von 1.280 x 720 Pixeln und 30 Bildern pro Sekunde aufgezeichnet. Die Höchstdauer beträgt 25 Minuten. Um Videos auf dem Fernseher anzuschauen, verfügt die Kamera über einen HDMI-1.3-Ausgang.

Wie eine DSLR bietet auch Samsungs neue Hybridkamera die Möglichkeit, das Objektiv zu wechseln. Passend zu der neuen Kamera gibt es neue Objektive, die sogenannte i-Function-Serie. Diese ermöglicht es dem Nutzer, Kamerafunktionen über das Objektiv einzustellen: Drückt er auf den i-Fn-Knopf, kann er durch Drehen des Einstellrades Aufnahmeparameter wie Belichtungswerte, Weißabgleich oder Iso-Zahl einstellen oder die zur Verfügung stehenden Szeneprogramme wie Gegenlicht- oder Nachtaufnahmen aktivieren.Zum Marktstart der NX100 kommen zwei Objektive dieser Serie auf den Markt: ein Zoomobjektiv mit einem Brennweitenbereich von 20 bis 50 mm, mit dem die Kamera ausgeliefert wird, sowie ein 20-mm-Weitwinkelobjektiv. Bis Ende des Jahres sollen noch zwei weitere Objektive folgen, darunter ein Teleobjektiv. Einen Termin dafür gibt es noch nicht.

Anfang des Jahres auf der CES hatte Samsung mit der NX10 bereits eine Hybridkamera vorgestellt. An dieser Kamera können die neuen Objektive ebenso genutzt werden wie die alten Objektive an der NX100 - nur dass dann die i-Function jeweils nicht zur Verfügung steht.Die NX100 soll noch in diesem Monat auf den Markt kommen. Der Preis soll bei 650 Euro liegen. Über die Preise für die Wechselobjektive gibt es noch keine Informationen.Der Zubehörspezialist Fantasea hat ein Unterwassergehäuse für Nikons neue Kompaktkamera P7000 vorgestellt, mit dem eine Tauchtiefe von 60 Metern erreicht werden kann. Aber auch für raue Sportarten und unwirtliche Bedingungen an Land ist das Gehäuse vorgesehen. Das Gehäuse Fantasea FP7000 besitzt eine Doppeldichtung, die Wassereinbrüche verhindern soll. Über Schalter und Hebel sollen alle Kameraknöpfe und Funktionen erreicht werden können. Das Gehäuse ist stoßfest und erlaubt den Anschluss von externen UW-Leuchten und Blitzgeräten, teilte der Hersteller mit.

Das Gehäuse soll Anfang 2011 auf den Markt kommen und ist für die Unterwasser-, aber auch für die Outdoor-Fotografie allgemein gedacht. Der Hersteller empfiehlt es zum Beispiel auch in extrem sandigen und staubigen Gebieten. Zum Preis des Unterwassergehäuses machte Fantasea noch keine Angaben.Nikons Coolpix P7000 besitzt ein fest eingebautes 7fach-Zoom. Die Auflösung des 1/1,7 Zoll großen CMOS-Sensors liegt bei 10 Megapixeln. Die Kamera ist gegen Canons Powershot G11 und Panasonics Lumix LX5 positioniert und besitzt ein 3 Zoll (7,62 cm) großes Display mit 921.600 Bildpunkten (VGA-Auflösung). Dazu kommt ein optischer Sucher. Ohne Akku wiegt die Kamera 310 Gramm und misst 114,2 x 77 x 44,8 mm. Die Nikon Coolpix P7000 speichert auf SD-(HC-) und SDXC-Karten und soll ab Ende September 2010 für rund 550 Euro erhältlich sein.Tomtom will Mitte September 2010 für das Tomtom Car Kit für das iPhone einen Adapter ausliefern, um die Autohalterung auch mit dem iPhone 4 nutzen zu können. Mit dem iPhone 4 hat sich das iPhone-Gehäuse verändert, so dass eine Anpassung notwendig wurde. Käufer eines Tomtom Car Kit für das iPhone können ab sofort den iPhone-4-Adapter bestellen und erhalten ihn gratis Mitte September 2010 zugesandt. Neben Name, Anschrift und E-Mail-Adresse muss die Seriennummer der Autohalterung an Tomtom übermittelt werden. Beim Neukauf eines Car Kit für das iPhone liegt dieser Adapter bereits seit Anfang September 2010 bei.

Tomtoms Car Kit für das iPhone kann an der Windschutzscheibe oder am Armaturenbrett im Auto befestigt werden und erlaubt die Nutzung des iPhones im Hoch- oder Querformat. Das Car Kit besitzt einen GPS-Empfänger, der vor allem in Häuserschluchten oder bewaldeten Gebieten eine bessere Ortung verspricht als der GPS-Empfänger, der im iPhone enthalten ist.Tomtom hat außerdem Lautsprecher und ein Mikrofon in das Car Kit integriert, so dass es sich als Freisprechanlage verwenden lässt. Das mitgelieferte Ladekabel versorgt den iPhone-Akku mit Strom und am Car Kit befindet sich ein Aux-Out-Anschluss, um das iPhone mit der Musikanlage im Auto zu verbinden.

Panasonic hat seinen Proficamcorder AG-AF101 offiziell vorgestellt. Die Videokamera ist mit wechselbaren Objektiven des Bajonettsystems Micro-Four-Thirds ausgerüstet, die bislang nur bei Digitalkameras eingesetzt werden. AVCHD-Videos werden unter anderem mit 1.080/60i oder 1.080/30p aufgezeichnet. Der AG-AF101 wird auf einigen Märkten als AG-AF100 vertrieben. Er kann mit fast allen Micro-Four-Thirds-Objektiven verwendet werden, die derzeit erhältlich sind. Über spezielle Adapter können auch zahlreiche andere Objektive von praktisch allen Kameraherstellern an Micro-Four-Thirds angeschlossen werden. Dies geht zwar mit dem Verlust der Autofokusfunktion einher, doch der wird beim professionellen Filmen sowieso extrem selten eingesetzt.Der AF101 zeichnet ausschließlich auf Speicherkarten der Typen SDHC und SDXC auf. Er besitzt zwei Kartenschächte und erreicht eine mittlere Datenrate von etwa 21 MBit/s und Spitzenwerte von 24 MBit/s. Die Kamera besitzt XLR-Anschlüsse (48 V Phantomspeisung) und kann über HD-SDI mit professioneller Videohardware verbunden werden. Der Camcorder arbeitet ausschließlich im Format AVCHD mit 1.080 und 720 Linien und zeichnet mit 59,94, 50, 29,97, 25 oder 23,9p auf.

Neben einem elektronischen Sucher mit 1,22 Millionen Bildpunkten ist ein Videoausgang für externe Farbdisplays vorhanden. Die Panasonic AF101 misst ohne Objektiv 163 x 195 x 209 mm und bringt ohne Akku und Speicherkarten rund 1,2 kg auf die Waage. Im Lieferumfang sind keine Objektive enthalten.Panasonic stellt den AF101 auf der Messe IBC 2010 in Amsterdam aus und will ihn im Dezember 2010 auf den europäischen Markt bringen. Der Preis soll bei ungefähr 5.830 Euro liegen.Der nächste Elektro-Kleinwagen wird angekündigt: Hyundai will 2012 eine elektrisch betriebene Version des i10 auf den Markt bringen. Ein Pilotprojekt mit 30 Blue Ons soll im kommenden Monat in Südkorea anlaufen. Der südkoreanische Mischkonzern Hyundai hat in Seoul sein Elektroauto Blue On vorgestellt. Das Auto basiert auf Hyundais Kleinwagen i10. Einen elektrisch betriebenen Prototyp hatten die Südkoreaner vor einem Jahr auf der Internationalen Automobilausstellung in Frankfurt gezeigt. Im zwei Jahren soll das Auto auf den Markt kommen.

Der Blue On konkurriert mit Mitsubishis i-Miev und Nissans Leaf: Das Auto ist knapp 3,6 Meter lang. Der Motor hat eine Leistung von 61 kW (81 PS), der den Kleinwagen in 13,1 Sekunden von 0 auf 100 km/h beschleunigt. Sehr viel schneller wird der Blue On auch nicht: Die Höchstgeschwindigkeit ist auf 130 km/h beschränkt.Als Energiespeicher dient ein 16,4-kWh-Lithium-Polymer-Akku. Mit einer Akkuladung kommt der Kleinwagen rund 140 km weit. Diese wird etwas vergrößert durch die Rückgewinnung von Energie beim Bremsen. Geladen wird der Akku an der Haushaltssteckdose mit 220 Volt. Etwa sechs Stunden dauert es, bis er wieder voll geladen ist. Schneller geht es mit einer Spannung von 380 Volt: Laut Hersteller ist der Akku dann nach 25 Minuten zu 80 Prozent geladen.Zur Sicherheit von Fußgängern verfügt das Elektroauto über ein sogenanntes Virtual Engine Sound System (VESS). Das erzeugt Geräusche, die Fußgänger auf das Nahen des Autos aufmerksam machen sollen. Wegen der fehlenden Motorengeräusche sind Elektroautos leiser als Autos mit Verbrennungsmotoren. Das ist zwar angenehm für Anwohner an stark befahrenen Straßen, gilt aber auch als Gefahrenquelle.

Der Blue On soll im August 2012 in den Handel kommen. Eine Testflotte von 30 Fahrzeugen will der Hersteller jedoch schon im kommenden Monat verschiedenen Regierungsstellen zur Verfügung stellen. Mit Hilfe dieser Fahrzeuge sollen Ladeinfrastrukturen entwickelt und getestet werden, bevor das Auto für jedermann verfügbar sein wird.Pentax hat mit der RZ 10 eine Kompaktkamera mit einem 10fach-Zoomobjektiv vorgestellt, die ausgeschaltet nur 3,3 cm dick ist. Das Objektiv erlaubt Makroaufnahmen ab einem Motivabstand von einem Zentimeter. Das Objektiv deckt einen Brennweitenbereich von 28 bis 280 mm (KB) bei F3,2 und 5,9 ab. Die Pentax RZ 10 besitzt einen CCD-Bildsensor mit einer Auflösung von 14,1 Megapixeln. Er ist beweglich aufgehängt und soll Verwackler ausgleichen. Die Empfindlichkeit des Sensors reicht von ISO 80 bis 6.400. Er kann neben Standbildern auch Videos mit 720p und 30 Bildern pro Sekunde aufnehmen. Wer wenig einstellen will, kann eines der 16 Motivprogramme der RZ 10 wählen. Dazu kommt eine automatische Gesichtserkennung für bis zu 32 Personen und eine an den Auslöser gekoppelte Lächelerkennung. Neben der Menschen-Gesichtserkennung gibt es auch eine für Hunde und Katzen.

Auf der Rückseite der Kamera sitzt ein 2,7 Zoll (6,86 cm) großes Display mit einer Auflösung von 230.000 Bildpunkten (Subpixel). Damit werden die Motivkontrolle und die Menüsteuerung realisiert.Die Pentax RZ 10 misst 97 x 62 x 33 mm und wiegt ohne Akku und SD-(HC-)Speicherkarte rund 157 Gramm. Pentax bietet wie bei seiner neuen Spiegelreflexkamera K-r auch die Kompaktkamera RZ 10 in zahlreichen Farben an. Sie soll ab Oktober 2010 für rund 220 Euro in den Handel kommen.Nikon hat mit der Coolpix S80 eine Kompaktkamera mit einem berührempfindlichen OLED ausgerüstet, das 8,7 cm (3,5 Zoll) groß ist. Die Auflösung liegt bei rund 819.000 Bildpunkten. Die Coolpix S80 ist mit einem 5fach-Zoomobjektiv ausgerüstet, das eine Brennweite von 35 bis 175 mm (Kleinbild) bei F3,6 und F4,8 abdeckt. Mit einem optischen Bildstabilisator sollen Verwackler reduziert werden.

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Batterie d'ordinateur HP Compaq NC4400

La seule photo disponible laisse apparaître une machine qui reprend trait pour trait le design du précédent G752, et l'on espère surtout que l'on profitera à nouveau d'une gestion du bruit et de la température exemplaire. Avec sa gamme ROG, Asus s'est fait une jolie place sur le marché du PC portable gamer et propose désormais bon nombre de modèles très intéressants. C'est notamment le cas de ce GL552 au format 15 pouces, qui est actuellement proposé à 929 € chez Amazon, à l'occasion du Prime Day. L'offre est donc réservée aux membres Premium.Ce ROG GL552 n'a pas encore été testé dans notre labo, mais son rapport configuration/prix semble très intéressant. Il propose ainsi un écran mat de 15 pouces (38,1 cm) affichant une définition Full HD (1 920 x 1 080 px), soit un format agréable pour qui veut jouer de manière nomade. Le couple processeur/GPU fait également le job, puisque l'on profite d'un Intel Core i7-6700HQ et d'une carte graphique Nvidia GeForce GTX 960M (2 Go de VRAM). À cela s'ajoute 8 Go de mémoire vive, un SSD de 128 et un HDD de 1 To. Bref, de quoi installer de nombreux jeux et les lancer dans de bonnes conditions, la 960M étant suffisante pour faire tourner la grande majorité des titres récents dans la définition native de la dalle et à un niveau de détails compris entre "moyen" et "élevé". On peut également compter sur un lecteur graveur de DVD (de plus en plus rare sur du 15 pouces), trois ports USB 3, une sortie HDMI, un port Ethernet, et une prise jack.

Rappelons enfin que cette offre chez Amazon se fait dans le cadre des Amazon Prime Day ; il faut donc être membre Premium pour pouvoir en profiter. La promotion dure jusqu'à ce soir minuit, ou épuisement des stocks. L'UE Boom 2 s'inspire fortement de la conception qui avait fait le succès de la précédente version. Elle se démarque surtout par une construction solide et une résistance accrue aux éléments, notamment l'eau, puisqu'elle est submersible (IPX7). Sa prise en main facile et très rapide joue également en sa faveur, grâce à de nombreuses indications sonores ainsi qu'un appairage rapide via le Bluetooth. De plus, elle peut compter sur une application très complète qui lui octroie quelques fonctionnalités supplémentaires (alarme, égaliseurs, etc.).

Autre point fort, l'UE Boom 2 offre environ 14 heures d'autonomie. Nous déplorons toutefois l'absence des contrôles pour la navigation entre les pistes, de câble mini-jack (alors qu'elle peut très bien être utilisée en filaire) ou encore de puce NFC. La Boom 2 diffuse un son en 360° relativement équilibré et tranchant compte tenu de son gabarit. Les basses sont à la fois présentes, percutantes et rondes, voire un chouïa boomy, mais cela reste maîtrisé. Les aigus apportent une belle brillance à l'ensemble et les voix ne sont pas en reste, puisqu'elles bénéficient d'un bon boost et d'une belle clarté. Cette enceinte développe assez de puissance pour sonoriser vos sorties en extérieur ou vos soirées en intérieur, le tout avec peu de distorsion. Ne vous attendez quand même pas à faire trembler les murs de la maison. La latence de communication en sans-fil n'est pas des plus courtes, mais elle permet de regarder une série ou une vidéo sans trop d'écart. Si vous le pouvez, appliquez une avance sur l'image ou un retard sur le son. L'Alcatel Idol 4S surpasse mon téléphone actuel, un HTC One M8, sur presque tous les points : l'interface est plus fluide, l'appairage Bluetooth plus rapide, le Wi-Fi a plus de portée et l'écran se révèle plus confortable. Le casque VR reste pour moi un gadget et n'est pas vraiment exploitable à l'heure actuelle.

Concernant l'autonomie, l'Idol 4S fait légèrement mieux que le One M8, mais elle n'est pas exceptionnelle pour autant. En pratique, j'atteins rarement les deux jours d'autonomie en utilisant ce téléphone de façon modérée. Lorsque je le sollicite plus (GPS, jeux, Facebook…), il tient tout juste une journée éloigné de toute prise électrique.Globalement, ce smartphone fait bien mieux qu'un téléphone haut de gamme d'il y a deux ans. À 450 €, ce n'est pas vraiment une bonne affaire. En revanche, si son prix venait à baisser rapidement, je serais sûrement tenté…Le terminal souffre d'un problème de chauffe assez gênant en usage intensif. Cela ne concerne peut-être que mon appareil, mais j'ai aussi constaté une perte de sensibilité sur les bords de l'écran : assez inquiétant pour un portable vendu à ce prix.Excepté ces quelques défauts, l'Idol 4S reste un bon téléphone, élégant et correctement fini, que je peux recommander sans problème. La charge rapide est un véritable plus au quotidien : en moins de 2 heures, la batterie est pleine. Pour conclure, si Alcatel arrive à corriger le défaut de chauffe et de sensibilité de l'écran, ce portable n'aura rien à envier aux smartphones très haut de gamme… vendus deux fois plus cher ! Le son incomparable des 4 haut-parleurs, le design et la qualité des matériaux utilisés ainsi que les accessoires fournis font de l'Idol 4S un véritable haut de gamme. JULIE, e-commerçante Il n'y a pas de doute : l'Idol 4S surclasse mon Asus Zenphone 2. Il fait aussi bien, voire mieux sur certains points, que mon Samsung Galaxy Note 3. Ce smartphone Alcatel m'a séduite par sa facilité d'utilisation, la fluidité de son interface et son écran Amoled lumineux, net et réactif.

La "Boom Key" ajoute une touche d'originalité à ce mobile. Musique, photo, vidéo, jeux vidéo… Ce bouton permet d'introduire à tout moment une dose de peps et de fantaisie dans son contenu multimédia.Le son incomparable des 4 haut-parleurs JBL intégrés, le design et la qualité des matériaux utilisés ainsi que les accessoires fournis (coque, protection d'écran, kit mains-libres JBL et casque VR) font de l'Idol 4S un véritable appareil haut de gamme.En revanche, l'impossibilité d'ajouter une carte mémoire microSD lorsque deux SIM sont intégrées dans le smartphone pourra être vu comme un défaut rédhibitoire par certains utilisateurs, notamment les professionnels jonglant avec deux lignes téléphoniques. La chauffe excessive de l'appareil pendant les jeux vidéo et la VR est aussi gênante. Je recommande sans hésiter ce téléphone à toutes les personnes qui souhaitent acquérir un modèle double SIM avec un bel écran et un son puissant et fidèle. FAUVE, étudiante Je possède actuellement un One Touch Idol 2S. Comparé au 4S, il n'y a vraiment pas photo : le dernier modèle d'Alcatel fait beaucoup mieux. L'interface est plus attractive, la réactivité nettement supérieure et le contraste de l'écran bien meilleur. Les couleurs sont aussi plus vives. Cet élégant smartphone permet de surfer sur Internet, d'utiliser des applications ou de jouer sans rencontrer le moindre problème de saccade ou de ralentissement.

Du côté des défauts, je reproche à l'Idol 4S la qualité de ses photos en basse lumière ainsi que le bouton d'alimentation/veille assez mal placé.Il est vrai qu'Alcatel nous a habitués à des prix plus attractifs. La présence d'un casque VR atténue toutefois cette déception. À ce tarif-là, un capteur d'empreintes digitales aurait été le bienvenu. Je recommande sans hésiter ce téléphone à toutes les personnes qui souhaitent acquérir un modèle double SIM avec un bel écran et un son puissant et fidèle. Bon point aussi pour la coque et le film protecteur d'écran fournis en standard. À la place de la rédaction des Numériques, j'attribuerais 4 étoiles à ce téléphone performant et élégant. Un bon rapport qualité/prix pour résumer ! BENOIT, informaticien L'Idol 4s est un très bon mobile. Dans presque tous les domaines, il est clairement plus performant que mon LG G3. Son look réversible — vous pouvez l'utiliser dans n'importe quel sens ! — et son excellente finition lui confèrent un certain cachet. De nombreux collègues (plus ou moins geeks) sont venus regarder l'appareil avec intérêt.

Je pense que la partie son est clairement ce qui impressionne le plus. L'écran se révèle largement meilleur que celui de mon G3. Le rechargement s'avère très rapide avec l'adaptateur fourni, ce qui est plutôt une bonne chose vu l'autonomie limitée de la batterie. En usage intensif, vous ne tiendrez pas plus d'une journée sans faire le plein d'électricité !De même, Alcatel doit absolument procéder à une correction de son logiciel photo pour améliorer la qualité et la rapidité de la mise au point des clichés en milieu peu éclairé. Je regrette aussi que la batterie ne soit pas amovible. D'autant plus que le téléphone n'est pas compatible IP68 [résistance à la poussière et à l'eau, NDLR]…L'expérience VR se révèle quant à elle plutôt sympathique, mais le manque de contenu en fait plutôt un gadget pour le moment. À la place de la rédaction des Numériques, j'attribuerais 4 étoiles à ce téléphone performant et élégant. Un bon rapport qualité/prix pour résumer !

Dans l'ensemble, l'Alcatel Idol 4S a convaincu nos quatre lecteurs-testeurs. Design et ergonomie réussis, performances au rendez-vous, bel écran Amoled, son puissant… Ce smartphone fait l'unanimité. Des mises à jour seraient toutefois les bienvenues afin de corriger la qualité des photos en basses lumières ainsi que la chauffe excessive de l'appareil dans les jeux vidéo 3D et VR. Sur le plan esthétique, la T7 arbore de nouveaux coloris. La base est disponible en noir ou en marron, associée à une housse en cuir noir ou marron avec un intérieur en daim confectionnée par Burberry et finie à la main en Italie. Le reste de cette enceinte portable est identique à la T7 originale et conserve une finition impeccable, une excellente autonomie d'environ 18 heures. Côté audio, on aime sa très bonne puissance, le son précis et sa jolie stéréophonie, le tout avec un taux de distorsion contenu. Néanmoins, l'absence de kit mains-libres, de NFC ou encore de port de recharge USB pour smartphone lui font perdre une précieuse étoile. Lancée à l’automne 2015, la dernière mouture de la célèbre suite bureautique de Microsoft apporte son lot de nouveautés, sans être pour autant en rupture avec les précédentes versions. Avec plus de 1,2 milliard d’utilisateurs dans le monde (toutes versions confondues), la firme de Redmond ne veut surtout pas prendre le risque de tuer la poule aux Å“ufs d’or... Après plus de 6 mois d’utilisation, voici ce que l’on pense de cette version et de ses nouvelles fonctions.

Comparativement aux versions 2007 et 2010 d'Office qui ont la fâcheuse tendance à planter régulièrement, cette mouture se montre plus stable. Nous avons toutefois rencontré quelques fermetures inopinées, notamment sur Word 2016, mais l'application s'est à chaque fois relancée automatiquement en proposant une récupération complète du document en cours. Idem lorsque l'ordinateur nous a fait des siennes en affichant un bel écran bleu affublé du message « Votre ordinateur a un problème et doit redémarrer...» ; nous avons pu ensuite retrouver les fichiers dument sauvegardés au moment de la fermeture. L'idéal serait évidemment que la suite logicielle ne plante plus du tout, mais on peut au moins maintenant récupérer nos documents sains et saufs, sans avoir à mettre les mains dans le cambouis comme sur les précédentes versions. En revanche, l'ouverture de documents créés avec d'anciennes versions d'Office continue de générer parfois des erreurs, en particulier avec Excel.

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Batteria per PC portatile ACER UM09B7D

Nel settore degli ebook reader in questo periodo c'è fermento: oltre all'ormai noto e affermato Kindle di Amazon sono stati presentati alcuni dispositivi da Samsung, da Acer e da Sony, solo per citarne alcuni. Nelle prossime pagine ci occuperemo proprio di un prodotto sviluppato dal produttore giapponese, già disponibile sul altri mercati e ora presente anche sugli scaffali della grande distribuzione italiana. Il perché di questo ritardo è presto detto: Sony ha voluto aspettare che il mercato mettesse a disposizione un numero di ebook tale da rendere interessante l'acquisto del proprio prodotto e per il nostro Paese questa condizione necessaria si sta verificando solo in questo periodo.Il prossimo Natale è da molti indicato come il periodo in cui l'ebook si affermerà anche nel nostro Paese e per forza di cose questa situazione dovrebbe portare un incremento nelle vendite degli ereader, ovvero di quei dispositivi dalle caratteristiche tecniche espressamente studiate per rendere la lettura di un ebook il più comoda possibile e, nei limiti del possibile, il più simile alla lettura di un tradizionale libro. Sarà veramente così? Per ora ci limitiamo a descrivere il PRS-650 di Sony lasciando un ulteriore breve spazio di commento alla parte finale dell'articolo.

La tabella precedente riassume le caratteristiche principali di questo modello e tra i tanti dati riportati sottolineiamo il dato relativo al peso, solo 220 grammi, e lo spessore di 9,6 millimetri. Questa accoppiata rende il PRS-650 un dispositivo facilmente trasportabile e la costruzione in gran parte realizzata in alluminio ne accentua le caratteristiche di resistenza.Esattamente 7 giorni fa, in concomitanza con il Financial Analyst Day 2010, AMD ha anticipato la propria roadmap delle piattaforme desktop e notebook attese al debutto nel corso del 2011 e del 2012. L'attenzione è tutta incentrata sulle soluzioni Fusion, nome che indica le architetture APU (Accelerated Processor Unit) dotate al proprio interno di CPU e GPU montate sullo stesso componente di silicio. Abbiamo fornito informazioni sia sulle roadmap in generale sia sulle architetture Brazos, nome in codice utilizzato per identificare le piattaforme a più basso consumo basate su architettura della CPU nota con il nome in codice di Bobcat.Nell'articolo odierno forniremo le prime analisi prestazionali delle soluzioni AMD della famiglia Brazos, grazie ai test che abbiamo potuto eseguire nel campus AMD di Austin, TX, su un sistema di test interno basato su piattaforma Brazos e dotato di processore Zacate dual core, con frequenza di clock di 1,6 GHz.

I processori per piattaforme Brazos verranno proposti in due distinte versioni, con TDP pari a 18 Watt oppure a 9 Watt: i primi sono indicati come serie E e sono noti con il nome in codice di Zacate, mentre i secondo come serie C con nome in codice Ontario. Per ogni tipologia di processori verranno proposte versioni single e dual core, entrambe dotate di GPU integrata compatibile con le API DirectX 11. L'architettura di GPU prevede due moduli SIMD ciascuno con 40 stream processors, per un totale di 80 stream processors con frequenze di clock differenti a seconda della tipologia di processore.Le roadmap 2011 e 2012 di AMD prevedono al debutto processori Zacate in sistemi desktop e notebook, con le proposte Ontario con TDP contenuto in 9 Watt riservate alle sole soluzioni notebook di più ridotte dimensioni. Il target di riferimento è per i sistemi desktop quello delle soluzioni di più ridotte dimensioni, anche per impieghi industriali specifici; è presumibile che già nei primi mesi del 2011 vedremo in commercio schede madri Mini-ITX basate su questa piattaforma. Per i sistemi portatili le soluzioni Zacate verranno sviluppate in sistemi di tipo thin & light con display di ridotte dimensioni, ma riteniamo comunque entro gli 11 pollici di diagonale come minimo, lasciando alle proposte Ontario i sistemi di più piccole dimensioni con autonomie che vengono stimate sino a superare la soglia delle 10 ore utilizzando batterie tradizionali a 6 celle.

Per ottenere questi risultati AMD ha investito a lungo nell'architettura Bobcat, la prima del produttore americano ad essere stata specificamente sviluppata ricercando i più ridotti consumi possibili. Bobcat rappresenta per AMD il punto di partenza di una nuova strategia, con la quale le esigenze di basso consumo e costo contenuto di una numerosa classe di prodotti vengono ottenute non ottimizzando un'architettura di processore già presente ma sviluppandone una apposita. La conseguenza diretta è un ideale bilanciamento tra consumi, dimensioni e costi di produzione, con un risultato che per certi versi può ricordare quanto ottenuto da Intel con le soluzioni Atom ma che per le APU Bobcat si abbina a prestazioni velocistiche, sia dal versante CPU sia da quello GPU, ben più elevate.Nel corso delle passate settimane ASUS ha lanciato sul mercato le nuove proposte notebook destinate all'utenza professionale, enterprise e delle PMI, che si concretizzano nelle linee di portatili B e P. Con questi nuovi prodotti ASUS cerca di rispondere in maniera diretta a quelle che sono le esigenze di quella tipologia di utenza che abbiamo citato, puntando su caratteristiche quali la sicurezza, l'affidabilità, la trasportabilità e l'espandibilità.

Partiamo proprio da quest'ultimo aspetto, con una risposta ad una esplicita richiesta da parte del mercato: con le linee di portatili B e P Asus introduce Power Station II, una docking station che consente di espanderne le opzioni di connettività nel momento in cui il notebook viene usato in postazione fissa. Power Station II, oltre alla presenza di quattro porte USB aggiuntive (dislocate a coppie di due orientate in maniera differente per poter venire incontro a qualsiasi necessità), include una serie di porte per connessioni audio/video di tipo HDMI e DVI-D per passare ai connettori seriale, parallela e PS/2 e, sul versante delle operazioni di networking, si segnala la presenza di un connettore Ethernet.Sul fronte sicurezza i nuovi notebook ASUS implementano la tecnologia ASUS Secure Delete per la rimozione sicura dei dati sensibili ed integrano un lettore di Smart Card, oltre a fare affidamento sulle tecnologie comprese nella suite Intel Anti Theft che permettono di bloccare il funzionamento del notebook da remoto qualora questo venisse smarrito o rubato. I notebook della serie B includono inoltre un lettore di impronte digitali ed un modulo hardware TPM.

Le risposte che ASUS cerca di dare sul tema dell'affidabilità e della robustezza possono ricordare alla lontana alcune caratteristiche dei ben più corazzati sistemi Toughbook di Panasonic: entrambe le linee P e B offrono infatti notebook con tastiere isolate e con una tenuta ai liquidi fino ad un volume di 120cc mentre sulle soluzioni della serie B viene inoltre impiegato un sistema di anti-shock per l'unità di storage. Per ambo le linee ASUS propone inoltre una copertura assicurativa KASKO, della durata di un anno, cui si può ricorrere nel caso di danni accidentali dovuti ad urti, scariche elettriche, contatto con liquidi o incendio. In ambito portabilità ed in particolar modo in riferimento alle correlate esigenze di autonomia operativa e della sua tenuta nel corso della vita del notebook, Asus offre opzionalmente la possibilità di equipaggiare i notebook delle linee B e P con batterie Boston-Power ad elevata efficienza. Sempre sul versante della gestione energetica si segnala inoltre la presenza della tecnologia ASUS Express Charge che in 90 minuti consente di ricaricare la batteria fino al 90% della propria capacità complessiva.

I portatili ASUS delle linee B e P e la docking station ASUS Power Station II sono disponibili sul mercato dal mese di ottobre e (oltre alla formula KASKO precedentemente citata) saranno coperti da garanzia di due anni con formula di pick up and return, che include il ritiro e la riconsegna a domicilio a mezzo corriere espresso.Lo sviluppo di una scheda video segue di solito un processo piuttosto lineare e definito per arrivare sul mercato: l'azienda che si è dedicata alla realizzazione della scheda, sia essa AMD o NVIDIA, rilascia generalmente un design reference. A partire da questo design i partner danno il via alla produzione delle soluzioni. Ecco spiegato, in poche parole e facendo una generalizzazione per facilitare la compresione, come mai la maggioranza delle schede video in commercio si assomigliano tutte.Un aspetto da tenere però in seria considerazione riguarda la personalizzazione delle schede video: se AMD e NVIDIA presentano dei design consigliati, non sono però gli unici che devono essere impiegati dai partner per la realizzazione delle soluzioni. La customizzazione, o personalizzazione che dir si voglia, nasce quindi dalla necessità di diversificare la gamma prodotto dalla concorrenza, puntando su caratteristiche particolari per rendere determinate soluzioni preferibili rispetto ad altre.

Sono molti gli aspetti su cui i diversi partner di AMD e NVIDIA lavorano in modo proattivo nel tentativo di andare a fornire all'utente finale una scheda video che sia il più appetibile possibile: si passa dalla semplice personalizzazione grafica del dissipatore di calore, a sostanziali modifiche alla struttura del PCB. Ecco quindi in quale scenario andiamo a presentare la scheda oggetto dell'analisi odierna, MSI N480GTX Lightning.La proposta offerta di MSI, sviluppata su quella GPU GF100 che fino a pochi giorni fa rappresentava il non-plus ultra in ambito video, è una soluzione destinata alla fascia alta del mercato e caratterizzata da modifiche che rendono ENGTX480 Lightning una scheda video particolarmente indicata al mondo degli appassionati. I lettori più attenti potrebbero però obbiettare, giustamente, che stiamo trattando una scheda video vecchia, che sarà nel giro di poche settimane sostituita dalla nuovissima NVIDIA GeForce GTX 580. A questi non possiamo rispondere che è vero: il ciclo vitale di GeForce GTX 480 è oramai giunto al capolinea, ecco perchè in questo articolo ci soffermeremo non tanto sulle mere prestazioni della soluzione, quanto sull'approccio che MSI ha deciso di impiegare con lo sviluppo di questa proposta.

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Batterie d'ordinateur HP Pavilion dm1

Cet écran n'en reste pas moins largement exploitable et finalement assez bon par rapport à la multitude des mauvaises dalles présentes dans les portables. Suite à vos commentaires nous avons actualisé notre test avec les valeurs de réactivité. L'écran de l'Asus ROG G551 s'est montré décevant puisque nous avons mesuré une réactivité de 25 ms alors que les meilleures dalles ont des résultats compris entre 4 et 6 ms.La sortie casque est très correcte, avec une puissance élevée et une faible distorsion, même à haut volume. L'image stéréo est bien restituée et le niveau de bruit est correct. Le graphique ci-dessus ne reprend que la réponse des haut-parleurs situés en façade de l'ordinateur ; le caisson de basses n'étant pas reconnu par notre protocole de test. Les haut-parleurs fournissent un son correct dans les aigus et les hauts médiums, mais manquent de basses. Un trou que ne comble pas réellement le "caisson de basses".La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-4710HQ, 16 Go de mémoire, une carte graphique Nvidia Geforce GTX 860M et un SSHD de 1 To avec 24 Go de mémoire flash. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les ROG G551, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.

Avec cette configuration, la machine obtient un très bon indice de performance (146). Elle se place logiquement au même niveau que des ordinateurs dotés du même processeur, s'intercalant entre le N550JK — pourvu d'un HDD — et le MSI GT72 — doté d'un SSD. Comparé à une machine équipée d'un processeur i5, l'écart est flagrant, même quand il s'agit du 4200H du Acer V Nitro, pourtant performant.Sans surprise l'expérience utilisateur est donc très bonne. On ne note aucune latence dans le lancement des applications ou à l'ouverture des fenêtres. En utilisation, ce portable se révèle performant dans tous les usages. Il ne lui faut par exemple que 327 secondes pour exporter 100 photographies sous Lightroom ou encore 115 secondes pour encoder notre fichier vidéo de test. Le démarrage et l'extinction sont rapides grâce à la mémoire flash du SSHD.Nous retrouvons dans cette machine la carte Nvidia GeForce GTX 860M que nous avons déjà croisée à de nombreuses occasions. Elle délivre ici des performances correctes. Il faut dire que la fréquence maximale du GPU a été relevée à 1097 MHz grâce à la technologie GPU Boost du constructeur.

En pratique et en jeux, la carte se comporte de manière satisfaisante pour son placement tarifaire. On peut donc jouer à des titres comme Tomb Raider, Assassins Creed ou Battlefield 4 à une moyenne de 30 i/s, dans la définition native de l'écran et avec tous les détails graphiques au maximum. Des titres plus exigeants, comme FarCry 3, Crysis 3 ou Hitman Absolution sont également jouables en Full HD, mais avec une grosse baisse des détails graphiques pour dépasser la barre des 30 i/s.Notre test d'autonomie (visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², rétroéclairage du clavier éteint, casque branché a permis au G551LN de tenir 3h20. Un score assez faible qui s'explique en grande partie par la puissance de cette configuration. Le G551JM appartient à la série ROG qu'Asus destine aux joueurs. Contrairement au modèle 17,3 pouces qui s'adresse aux plus exigeants, ce modèle de 15,6 pouces privilégie la polyvalence aux performances brutes. On trouve donc à l'intérieur un processeur i7, un SSHD et une carte graphique Nvidia GeForce de dernière génération.

Le châssis du G551JM est assez sobre. Il emprunte discrètement le code couleur noir et rouge de la série ROG. L'ensemble du châssis est donc noir, avec un capot en aluminium, un repose-poignet en plastique mat et une base en plastique granuleux, tandis que la couleur rouge est réservée au logo ROG, au cerclage du châssis et aux grilles de ventilation. L'ensemble est correctement assemblé. L'encombrement le situe dans la moyenne supérieure de ce genre de machine (383 x 255 x 28 mm pour un poids de 2,7 kg).Le clavier est du même — très bon — niveau que celui du N550JK. On retrouve des touches bien espacées, de bonne taille et qui offrent un contact agréable. Il dispose de tous les raccourcis que l'on attend et d'un pavé numérique. Le touchpad de bonne taille permet une manipulation aisée du pointeur, qui réagit vivement. Il offre tous les raccourcis propres à Windows 8.

La connectique se compose de trois ports USB 3.0, un port Ethernet, un HDMI, un mini-DisplayPort, un lecteur de carte et un graveur de DVD. La connectivité sans fil n'a pas été oubliée, avec le Bluetooth et le Wi-Fi. Ce dernier offre un signal relativement stable, à -48 dBm entre 5 et 10 mètres et qui tombe à -53 dBm à 20 mètres. Avec sa configuration relativement puissante, on aurait pu s'attendre à ce que le G551JM chauffe beaucoup. Heureusement il n'en est rien. En plein stress-test, la machine n'a pas dépassé les 56,3°C ; un résultat honorable pour une configuration gamer. Le niveau de bruit est également très bon, avec un maximum de 42 dB enregistré par notre sonomètre.La dalle IPS Full HD offre une luminosité maximale de 314 cd/m² et un taux de contraste de 947:1. Des valeurs qui permettent à cet écran de rester exploitable dans les environnements les plus lumineux, en particulier grâce au revêtement mat efficace qui le recouvre.La colorimétrie est pour sa part assez bonne. Le deltaE s'établit à 5,2, une valeur honorable même si elle est un peu plus haute que celle des meilleurs laptops (qui atteignent les 3). La température des couleurs se situe à 7901 K ; les images affichées tirent donc légèrement sur le bleu, sans que cela ne devienne gênant. La courbe de gamma affiche certainement la moins bonne mesure et traduit des blancs brûlés et des gris foncés perdus dans le noir.

Cet écran n'en reste pas moins largement exploitable et finalement assez bon par rapport à la multitude des mauvaises dalles présentes dans les portables. Suite à vos commentaires nous avons actualisé notre test avec les valeurs de réactivité. L'écran de l'Asus ROG G551 s'est montré décevant puisque nous avons mesuré une réactivité de 25 ms alors que les meilleures dalles ont des résultats compris entre 4 et 6 ms.La sortie casque est très correcte, avec une puissance élevée et une faible distorsion, même à haut volume. L'image stéréo est bien restituée et le niveau de bruit est correct. Le graphique ci-dessus ne reprend que la réponse des haut-parleurs situés en façade de l'ordinateur ; le caisson de basses n'étant pas reconnu par notre protocole de test. Les haut-parleurs fournissent un son correct dans les aigus et les hauts médiums, mais manquent de basses. Un trou que ne comble pas réellement le "caisson de basses".La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-4710HQ, 16 Go de mémoire, une carte graphique Nvidia Geforce GTX 860M et un SSHD de 1 To avec 24 Go de mémoire flash. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les ROG G551, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.

Avec cette configuration, la machine obtient un très bon indice de performance (146). Elle se place logiquement au même niveau que des ordinateurs dotés du même processeur, s'intercalant entre le N550JK — pourvu d'un HDD — et le MSI GT72 — doté d'un SSD. Comparé à une machine équipée d'un processeur i5, l'écart est flagrant, même quand il s'agit du 4200H du Acer V Nitro, pourtant performant.Sans surprise l'expérience utilisateur est donc très bonne. On ne note aucune latence dans le lancement des applications ou à l'ouverture des fenêtres. En utilisation, ce portable se révèle performant dans tous les usages. Il ne lui faut par exemple que 327 secondes pour exporter 100 photographies sous Lightroom ou encore 115 secondes pour encoder notre fichier vidéo de test. Le démarrage et l'extinction sont rapides grâce à la mémoire flash du SSHD.Nous retrouvons dans cette machine la carte Nvidia GeForce GTX 860M que nous avons déjà croisée à de nombreuses occasions. Elle délivre ici des performances correctes. Il faut dire que la fréquence maximale du GPU a été relevée à 1097 MHz grâce à la technologie GPU Boost du constructeur.

En pratique et en jeux, la carte se comporte de manière satisfaisante pour son placement tarifaire. On peut donc jouer à des titres comme Tomb Raider, Assassins Creed ou Battlefield 4 à une moyenne de 30 i/s, dans la définition native de l'écran et avec tous les détails graphiques au maximum. Des titres plus exigeants, comme FarCry 3, Crysis 3 ou Hitman Absolution sont également jouables en Full HD, mais avec une grosse baisse des détails graphiques pour dépasser la barre des 30 i/s.Notre test d'autonomie (visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², rétroéclairage du clavier éteint, casque branché a permis au G551LN de tenir 3h20. Un score assez faible qui s'explique en grande partie par la puissance de cette configuration. Materiel.net propose l'ordinateur portable Lenovo Z70-80 à 850 € en saisissant le code P100C. Un prix correct pour une machine équipée d'un écran de 17 pouces (43,2 cm) Full HD, un processeur de dernière génération, un large espace de stockage et une carte graphique dédiée. L'achat de ce modèle permet en plus de repartir avec un bon d'achat de 25 €, valable pour une prochaine commande d'un montant minimum de 100 €.

Nous n'avons pas testé ce modèle, cependant la lecture de la fiche technique nous éclaire sur les capacités de la machine. Nous retrouvons donc un processeur i7-5500U accompagné de 16 Go de mémoire et d'un disque dur de 1 To.Cette configuration est capable de faire tourner un très grand nombre de programmes dans de bonnes conditions. La carte graphique Nvidia GeForce 840M peut quant à elle convenir pour jouer à un certain nombre de titres dans la définition native de l'écran (1 920 x 1 080 px), à condition de mettre le niveau de détails graphiques sur "moyen", voire "faible" pour les jeux les plus gourmands. Elle décode en revanche sans aucun souci n'importe quel fichier vidéo.La connectique est composée de deux ports USB 2.0 et d'un port USB 3.0, d'un HDMI, d'un VGA, d'un Ethernet et d'une prise combo casque-micro. On retrouve également le Bluetooth 4.0 et le Wi-Fi à la norme 802.11n. Le tout est complété par un lecteur-graveur de DVD. L'existence des GTX 1070 et 1080 pour PC portable est de plus en plus un secret de polichinelle et l'on est à peu près sûrs que Nvidia les officialisera dans le courant du mois d'août. En attendant, les fuites continuent d'arriver, avec ce modèle très alléchant de la gamme ROG.

Asus est depuis longtemps fidèle à Nvidia en matière de GPU pour ses portables, notamment sur sa gamme ROG, destinée au jeu vidéo — on peut difficilement faire plus explicite que "Republic of Gamers". En 2015, la compagnie a notamment proposé plusieurs modèles de laptop équipés d'une GTX 960M, 970M et 980M, dont l'excellent G752, qui est clairement devenu un produit phare pour la marque. Il est donc peu étonnant de voir arriver une déclinaison de ce dernier qui, selon toute vraisemblance, tournera avec une carte graphique GeForce GTX 1070. A priori, pas de suffixe "M" ici, et l'on devrait donc profiter d'une puissance égale à une machine de bureau.Selon les informations de Laptop Media, le ROG G752VS arriverait dans le commerce mi-août, à partir de 2000 € et afficherait la configuration suivante : écran IPS 17,3 pouces Full HD (1920 x 1080 px) ou UHD (3840 x 2160 px) compatible G-Sync, processeur Intel Core i7-6700HQ, carte graphique Nvidia GeForce GTX 1070 équipée de 8 Go de VRAM, jusqu'à 64 Go de mémoire vive et 1 To de HDD + 512 Go de SSD. La machine pèserait tout de même 4,23 kg, pour presque 5 cm d'épaisseur.

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Akku Toshiba Satellite L40

Siemens ST55 Das TFT-Display im ST55 zeigt bei einer Auflösung von 120 x 160 Bildpunkten 65.536 Farben und dient als Sucher für die integrierte VGA-Digitalkamera. Die geschossenen Bilder werden im JPEG-Format gespeichert und lassen sich in einem integrierten Foto-Album ablegen.Als Dual-Band-Handy arbeitet das ST55 in den GSM-Netzen 900 sowie 1.800 MHz und beherrscht GPRS der Klasse 10 für schnelle, drahtlose Datenverbindungen. Das Gerät unterstützt neben MMS auch EMS und natürlich SMS, verfügt über einen Browser gemäß WAP 2.0, unterstützt Java und spielt polyphone Klingeltöne in 40-stimmiger Klangqualität, die selbst komponiert werden können. Eine Infrarot-Schnittstelle besitzt das Mobiltelefon leider nicht.Das 98,5 x 47,2 x 21,6 mm große Gehäuse beherbergt ein Adressbuch, das bis zu 15 Felder pro Eintrag verarbeitet. Ein Kalender mit Erinnerungsfunktion übernimmt die Terminplanung. Zudem lassen sich mit dem ST55 Faxe senden und empfangen. Für den Spielspaß zwischendurch wurden Strategie- und Action-Spiele vorinstalliert.

Der Lithium-Ionen-Akku versorgt das 87 Gramm wiegende Mobiltelefon im Empfangsmodus knapp 6 Tage mit Strom; für Dauergespräche kann man sich etwa 4,5 Stunden Zeit lassen. Für eine effiziente Akkunutzung enthält das Gerät eine automatische Ausschaltfunktion, die das Handy zu einem festen Zeitpunkt komplett ausschaltet.Siemens will das ST55 im August 2003 zum Preis von unter 400,- Euro ohne Kartenvertrag auf den Markt bringen. Zunächst wird es das Handy nur bei T-Mobile bei Abschluss eines 24-Monatsvertrags zum Preis von 129,95 Euro geben.Creative hat den Festplatten-MP3-Player Jukebox Zen erneut überarbeitet und präsentiert nun ein Gerät, das mit deutlich geringeren Ausmaßen und weniger Gewicht als direkte Konkurrenz zu Apples iPod positioniert werden soll. Bisherige Jukebox-Zen-Modelle waren deutlich größer und schwerer als der Apple-Player.

Jukebox Zen NX Die Jukebox Zen NX verfügt wahlweise über eine 20- oder 30-GByte-Festplatte, wird per USB 2.0 an den PC angeschlossen und besitzt einen austauschbaren Lithium-Ionen-Akku, der laut Creative eine Betriebszeit von etwa 14 Stunden ermöglicht. Neben MP3-Dateien kann die Jukebox Zen NX auch Musikstücke im WMA-Format wiedergeben.Während die bisherige Jukebox Zen (20-GByte-Modell) etwa 270 Gramm wog und die Maße 75,9 x 112,6 x 24,5 mm besaß, wiegt das neue Modell nur noch 224 Gramm (inklusive Akku) bei Abmessungen von 76,2 x 111,8 x 21,8 mm. Zum Lieferumfang der Jukebox Zen NX gehört die neue MediaSource-Software, mit der sich unter anderem Audio-CDs rippen und MP3-Dateien auf den Festplatten-Player übertragen lassen.Der neue Creative-Player wird zumindest in den USA derzeit ausgeliefert und ist zum Preis von 299,99 US-Dollar (30-GByte-Modell) bzw. 249,99 US-Dollar (20-GByte-Modell) erhältlich. Preise und Verfügbarkeit für Europa stehen noch aus.

Mit dem Image Writer 7in1 des taiwanesischen Herstellers Carry soll im August 2003 ein externes Kombilaufwerk, das DVD-ROM, CD-RW und einen Speicherkartenleser integriert, auch auf den deutschen Markt kommen. Das Gerät für die USB-2.0-Schnittstelle verfügt über einen eigenen Akku und kann auch ohne PC genutzt werden - unter anderem, um Speicherkarten-Inhalte auf CD zu kopieren oder Filme, Bilder und Musik abzuspielen.DVDs liest der Image Writer 7in1 mit bis zu 8facher, während CDs laut Datenblatt mit bis zu 24facher Geschwindigkeit ausgelesen werden - genaue Angaben zur Schreibgeschwindigkeit fehlen, da verschiedene Kombilaufwerke verbaut werden. Angeschlossen an die USB-2.0-Schnittstelle kann das Gerät als CD-Brenner, DVD-Laufwerk und Speicherkartenleser genutzt werden. Die Inhalte der unterstützten Speicherkarten - CompactFlash (inkl. MicroDrive), SmartMedia, MMC/SD und MemoryStick/MemoryStick Pro - können allerdings per Knopfdruck auch ohne angeschlossenen PC auf CD-R und CD-RW kopiert werden.Will man unterwegs auch Videos anschauen ohne den PC zu bemühen, bietet der 550 g wiegende Image Writer 7in1 dafür den nötigen Composite-, S-Video- und Stereo-Audio-Ausgang, die entsprechenden Bedienelemente und auch eine Fernbedienung. So lassen sich DVDs, VideoCDs und JPEG-Bilder wiedergeben. Ein PAL/NTSC-Umschalter am Gerät dient zur Nutzung an Fernsehgeräten verschiedener Fernsehnormen. Ohne Fernseher lässt sich das externe Laufwerk immer noch als AudioCD- und MP3-Player nutzen, verspricht der deutsche Exklusiv-Distributor Tragant.

Laut Carry hält der abnehmbare 7,4-V/2000-mAh-Lithium-Ionen-Akku etwa 2 bis 3 Stunden durch, danach muss er für 4 bis 5 Stunden wieder über das mitgelieferte Netzteil am Image Writer 7in1 aufgeladen werden. Firmware-Upgrades werden per Speicherkarte eingespielt.Während Carry das Gerät unter dem Namen FotoBar seit dem 15. Juli 2003 bereits außerhalb Deutschlands ausliefert, will es Tragant unter dem Namen Image Writer 7in1 ab Mitte August 2003 für 399,- Euro auf den deutschen Markt bringen. Kabel (S-VHS/VHS, USB 2.0), Tragetasche, Handbuch, Brenner-Software, Treiber, Fernbedienung (inkl. Batterien) und zwei CD-R-Medien liegen dem Paket bei.Dell hat mit seinem Latitude X300 ein Notebook mit einem Pentium-M-Prozessor mit einer Taktrate von 1,2 GHz angekündigt. Das Subnotebook verfügt über einen 12,1-Zoll-Bildschirm mit 1024 x 768 Pixeln Auflösung sowie WLAN.Das Latitude X300 besitzt einen Hauptspeicher von 256 MByte DDR-SDRAM, der auf maximal 1 GByte aufgerüstet werden kann. Für die Grafikausgabe sorgt Intels 855GM und nutzt dazu bis zu 64 MByte des Hauptspeichers. Als Chipsatz wurde der Intel Mobile 830 GM verbaut.

Dell Latitude X300 Die Festplatte des Latitude X300 fasst je nach Modell 20, 30, 40 oder 60 GByte. Dazu gibt es als externes optisches Laufwerk (Mediabay genannt, wird per USB 2.0 eingebunden), alternativ ein 8x-DVD-ROM-Laufwerk oder ein CD-RW-24x/10x/24x-Laufwerk oder ein 8x-DVD-ROM und 24/10/24x-CD-RW-Combolaufwerk sowie ein 2x-DVD+R/+RW-Laufwerk.Neben zwei USB-2.0- und einer Firewire-400-Schnittstelle finden sich ein PC-Card-Slot (für PCMCIA-Karten vom Typ 1 und Typ 2), ein internes V.92 Modem, eine Fast-Ethernet-Schnittstelle, IrDA und ein Mini-PCI-WLAN-Adapter (Intel Pro Wireless 2100 für IEEE-802.11b-Netze) sowie ein S-Video-Ausgang und ein SD-Speichersteckplatz an Bord. Dazu kommt ein VGA-Ausgang für den Anschluss eines externen Displays mit maximal 1.600 x 1.200 Pixel. Ferner bietet das Gerät einen Stereo-Kopfhöreranschluss sowie einen Mikrofoneingang. Gegen Aufpreis erhält man einen Bluetooth-Adapter.

Mit der optional erhältlichen Erweiterungseinheit "MediaBase" kann man das Latitude X300 zum Desktop-Ersatz ausbauen, was damit unter 2,3 Kilo wiegt. Die MediaBase lässt sich an der Unterseite des Notebooks andocken und bietet nochmals Audioanschlüsse, einen parallelen und seriellen Port sowie einen VGA- und S-Video-Ausgang, einen Gigabit-Ethernet-LAN-Anschluss sowie eine Firewire-400- und zwei USB-2.0-Schnittstellen, einmal PS/2 und Platz für zusätzliche optische Laufwerke oder Festplatten. Außerdem verfügt die MediaBase über einen integrierten Akku-Aufladeschacht und einen Subwoofer Reflex-Kanal.Eine Laufzeit für den 28-Wattstunden-Lithium-Ionen-Akku wurde nicht angegeben. Alternativ kann man einen 65-Wattstunden-Akku für 199,- US-Dollar bestellen. Das Gerät misst 19,8 bis 24 x 275 x 233 mm und wiegt 1,32 Kilogramm. Vorinstalliert werden entweder Windows 2000, XP Home oder Professional.

Das Dell Latitude X300 ist im Rahmen des August-2003-Einführungsangebotes ab 1.507,- Euro zzgl. Versand erhältlich. Enthalten sind für diesen Preis ein Intel Pentium M-Prozessor mit 1,2 GHz, 256 MByte DDR-SDRAM, eine 30 GB-Festplatte, ein 12,1 Zoll TFT-Display mit 1.024 x 768 Bildpunkten, ein externer Mediabay, ein kleiner Lithium-Ionen-Akku, ein 8x DVD-ROM-Laufwerk, eine Intel 2100 Pro Wireless WLAN-Karte (802.11b) oder Dell TrueMobile 1300 (802.11b+g), ein 56K/V.92-Modem, integriertes 10/100 Ethernet-Netzwerk sowie Windows XP Professional.Voraussichtlich ab Ende 2004 will Sony mit der PlayStation Portable (PSP) dem Marktführer Nintendo im Bereich portabler Spielekonsolen Konkurrenz machen. Detaillierte Informationen bezüglich des neuen Gerätes gibt es weiterhin nur wenige, diversen amerikanischen Medienberichten zufolge wird die PSP aber über WLAN-Funktionen verfügen.So können mehrere Spieler drahtlos gegeneinander antreten - beim Game Boy Advance von Nintendo ist für Spiele zwischen mehreren Konsolen noch ein spezielles Link-Kabel erforderlich. Per WLAN könnte es zudem möglich sein, sich neue Charaktere oder Inhalte für Spiele herunterzuladen.

Zusätzlich wird der PSP mit einem hintergrundbeleuchteten TFT-LCD ausgestattet sein, wobei die Auflösung 480 x 272 Pixel beträgt. Als Video-Codec nutzt man MPEG 4. Die Spiele sollen auf speziellen Universal Media Discs (UMD) ausgeliefert werden - eine 60 mm große optische Disc, die in einem Modul steckt und eine Kapazität von 1,8 GByte besitzt.Ein USB-2.0-Port soll zusätzliche Erweiterungsmöglichkeiten bieten, unter anderem ist so aber auch eine Verbindung mit der PlayStation 2 möglich. Ein Memory-Stick-Slot ist ebenfalls in das Gerät integriert. Angetrieben wird der PSP von einem Lithium-Ionen-Akku; integrierte Stereo-Lautsprecher sollen für guten Klang sorgen.Wie die Vorgängerin FinePix A204 wird auch Fujifilms Digitalkamera FinePix A205 mit 2-Megapixel-CCD aufwarten, eine 1,9-Megapixel-Auflösung von 1.600 x 1.200 Bildpunkten unterstützen und einen 3fachen optischen und 2,5fachen digitalen Zoom mit einer Brennweite von 36 mm bis 108 mm (umgerechnet auf das 35 mm Kleinbild-Format) bieten. Die Blendenöffnung rangiert zwischen F 3.0 und F 7.0 im Weitwinkelbereich und F 4.8 bis F 10.8 im Telebereich. Der Makrobereich beginnt bei 9,14 cm.

Auf der Kamerarückseite befindet sich ein 1,5 Zoll-TFT Farb-Display mit einer Auflösung von 55.000 Pixeln, über das die Menüsteuerung und Motivkontrolle möglich ist. Dazu kommt ein optischer Sucher. Die Verschlusszeiten liegen zwischen 1/2 und 1/2000 Sekunden und die Empfindlichkeit beträgt ISO 100. Der Weißabgleich erfolgt wahlweise automatisch oder anhand von 6 voreingestellten Programmen. Der Selbstauslöser verzögert die Aufnahme um 10 Sekunden.Die AVI-Motion-JPEG-Videoclips (ohne Ton) der FinePix A205 haben eine Auflösung wahlweise von 320 x 240 oder 160 x 120 Bildpunkten bei 10 Bildern pro Sekunde und einer Aufnahmedauer von 20 respektive 80 Sekunden, was auch die FinePix 204 schon bot.Die Kamera ist mit einem eingebauten Miniblitz mit einer Reichweite von 0,79 bis 3,5 m versehen und speichert ihre JPEGs (Exif Ver 2.2) auf xD-Picture-Card. Auf die mitgelieferte 16-MByte-xD-Card passen in der höheren Auflösung bis zu 98 Sekunden und in der niedrigeren Auflösung bis zu 5,6 Minuten Video. In höchster Auflösung - bei 1.600 x 1.200 Bildpunkten - passen bis zu 25 Fotos auf die 16-MByte-Speicherkarte.Die Kamera soll zum neuen separat zu erwerbenden CP-FXA10 Picture Cradle kompatibel sein, welches ein Aufladen und die Anbindung an den PC erlaubt. Über das Cradle kann die FinePix A205 auch für Videokonferenzen genutzt werden. Weiterhin stehen über das Cradle Videoausgänge zum Anschluss an Fernseher und Videorekorder zur Verfügung, so dass Bilder und Videoclips nicht nur zum PC überspielt werden können.

Wie die ebenfalls für August 2003 angekündigte, aber mit höherer Auflösung ausgestattete FinePix A210 misst auch die A205 laut Fujifilm 98,5 x 65 x 52,5 mm und wiegt ohne Zubehör und Batterien 175 Gramm.Als Stromversorgung dienen zwei zwei AA-Batterien oder ein Ni-MH Akkupack. Mitgeliefert werden nur AA-Alkaline-Batterien. Wer das Cradle erwirbt, bekommt den Akku-Pack dazu. Ein USB- und Video-Kabel, eine 16-MByte-xD-Picture-Card und die passende Software liegen der Digitalkamera bei.Laut Fujifilm wird die FinePix A205 zumindest in den USA ab August 2003 für einen Preis von rund 200,- US-Dollar erhältlich sein. In Deutschland wird das Produkt unter dem Namen FinePix A205s Mitte September für 219,- Euro erhältlich sein. Das optionale Cradle schlägt mit rund 79,- Euro zu Buche.Nachdem JVC die beiden WindowsCE-PDAs MP-PV 131 und 331 parallel zum Start von PocketPC 2003 für den US-Markt im Juni 2003 angekündigt hat, steht nun der Marktstart für Deutschland fest. Demnach sollen beide Geräte im September 2003 in den Handel kommen und auf der Internationalen Funkausstellung 2003 in Berlin gezeigt werden.

MP-PV 131 Beide WindowsCE-PDAs besitzen einen mit 400 MHz getakteten XScale-Prozessor des Typs PXA255 von Intel, verfügen über 128 MByte RAM sowie 32 MByte Flash-ROM. Zur Erweiterung von Speicher oder das Hinzufügen neuer Funktionen bieten beide Modelle einen Steckplatz für CompactFlash-Karten vom Typ II sowie einen Slot für SD-Cards und MultimediaCards (MMC), der den SDIO-Standard unterstützt. Das transflektive Farb-Display in beiden Geräten bietet eine Auflösung von 240 x 320 Pixeln und zeigt 65.536 Farben an. Ferner verfügen die beiden 13,2 x 7,6 x 1,7 cm messenden und 170 Gramm wiegenden Modelle über eine Infrarotschnittstelle.Als Unterschied enthält das teurere Modell MP-PV 331 802.11b WLAN und erlaubt MPEG-4-Videoaufnahmen und das Abspielen von MPEG-4 Video in Zusammenarbeit mit einer MiniDV-Videokamera von JVC. Die Videos können nach Herstellerangaben auch über die WLAN-Verbindung per Streaming verbreitet und empfangen werden und kompatible JVC-Camcorder lassen sich mit dem PDA sogar fernsteuern.

Beiden Modellen liegt die Software AV Player bei, die zahlreiche Audio- und Video-Formate inklusive MPEG-4, WAV, MP3 und OGG Vorbis abspielen kann und über einen Equalizer sowie einige andere Tonverbesserungsmaßnahmen verfügt. Beide Geräte enthalten einen Lithium-Polymer-Akku mit einer Kapazität von 1100 mAh. Leider gab JVC keinerlei Akku-Laufzeiten für die PDAs an.JVC will beide WindowsCE-PDAs im September 2003 in Deutschland in den Handel bringen. Während der MP-PV 131 zum Preis von 499,- Euro angeboten wird, geht der JVC MP-PV 331 für 699,- Euro über die Ladentheke. Wie es schon seit Jahren bei Handys üblich ist, kann man beide PDAs im Aussehen mittels austauschbarer Deckel den eigenen Vorstellungen anpassen.JVC hat mit seinem MP-XP7310 ein Centrino-Subnotebook mit Intel Pentium M 1 GHz Ultra-low-Voltage angekündigt. Das Subnotebook verfügt über einen 8,9-Zoll-Bildschirm mit 1.024 x 600 Pixel Auflösung sowie integriertes WLAN nach IEEE802.11b.

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Akku Sony VGP-BPS8

Die Stromversorgung wird mit einem 1000 mAh Lithium-Ionen Akku realisiert. Die Kyocera Finecam S5R misst 92 x 57,5 x 33 mm und wiegt nach Herstellerangaben 180 Gramm. Die Kamera wird mit 16 MByte SD-Card, Lithium- Ionen-Akku, Netz-/Ladegerät und weiterem Zubehör ausgeliefert.Die Finecam S5R soll ab Ende August 2003 erhältlich sein und 549,- Euro kosten.Minolta hat mit der DiMAGE A1 den Nachfolger der SLR-typischen Digitalkamera-Serie DiMAGE 7x angekündigt. Die Kamera verfügt über einen progressiven 2/3-Zoll-CCD mit einer Auflösung von 5-Megapixeln und ein 7-fach optischen APO-Zoom-Objektiv, das ein Brennweitenspektrum von 28 bis 200 mm (entsprechend Kleinbild) bei F2,8 bis 3,5.Auf das optische Zoom-Objektiv können Filter mit einem Filtergewinde von 49 mm angebracht werden. Außerdem gibt es einen Filtergewinde-Adapter von 49 auf 62 mm. Das mechanische Anti-Verwacklungssystem, das nicht an den Linsen sondern am CCD ansetzt, soll je nach Aufnahmesituation bis zu drei Zeitstufen längere Belichtungswerte ermöglichen, verspricht der Hersteller.Ein kippbares 1,8-Zoll-Display (118.000 Pixel) mit einem einstellbaren Betrachtungswinkel (schwenkbar von minus 20 bis plus 90 Grad) erlaubt sowohl die Bildbetrachung als auch die Menüsteuerung. Der elektronische Sucher verfügt über einen TFT-Panel mit 235.000 Pixel. Für einen bequemen Einblick lässt sich der Sucher zudem von 0 bis 90 Grad schwenken. Dazu gibt es eine Dioptrien-Feineinstellung.

Die Scharfeinstellung erfolgt über ein 11-Punkt AF-System (ohne Aufheller) und einem griffsensorgesteuerten Nachführautofokus. Das Autofokus-System verfügt über einen mittleren Kreuzsensor. Ein Flexible-Fokus-Punkt (FFP) besteht aus einem Kreuzsensor, welcher sich beliebig positionieren lässt, was hilfreich ist, wenn sich die Kamera auf einem Stativ befindet und zur Bildkomposition bewegt werden müsste oder wenn die Schärfeebene, z.B. bei Makroaufnahmen, durch das AF-System nur schwer erkannt werden kann.Der FFP kann direkt mit der Spotbelichtungsmessung kombiniert werden, um eine gezielte Belichtungs- und Schärfemessung auf das Bilddetail zu legen. Das mit dem FFP angewählte Motivdetail lässt sich darüber hinaus auf dem Monitorbild vergrößern. Zudem gibt es eine manuelle Scharfstellmöglichkeit.

Zu den Belichtungsfunktionen zählen eine Programm- und eine Zeitautomatik mit Blendenvorwahl sowie eine Blendenautomatik mit Zeitvorwahl und die Möglichkeit der manuellen Einstellung. Die Kamera erlaubt Verschlusszeiten zwischen einer 1/16.000 Sekunde und 30 Sekunden. Die Empfindlichkeit kann entweder über eine Automatik oder manuell zwischen ISO 100, 200, 400 und 800 festgelegt werden.Die Serienbildfunktion kann bis zu drei JPEG-Bilder oder bis fünf Aufnahmen im Minolta-eigenen RAW-Format mit einer Bildrate von 2 Bildern pro Sekunde schießen. Als weiteres speichert die Kamera auf Wunsch im TIFF-Format. Die Farbräume der Kamera umfassen sRGB und Adobe RGB. Die Aufnahme kann bei der DiMAGE A1 außerdem mit dem 50 cm langen Auslösekabel RC-1000S oder dem 5 m langen Auslösekabel RC-1000L aktiviert werden. Ein eingebauter Selbstauslöser verzögert die Aufnahme um wahlweise 2 oder 10 Sekunden.Es können bis zu 15 Minuten lange Farb- oder S/W-Filme in QVGA- Auflösung (320 x 240) angefertigt werden. Die Nachtfilmfunktion ermöglicht darüber hinaus Aufnahmen bei sehr geringem Außenlicht. Eine Intervallfunktion produziert eine Serie von Einzelbildern, welche in VGA-Auflösung zu Zeitrafferfilmen zusammengesetzt werden können. Bei einer Bildrate von 4 Bildern pro Sekunde kommen sonst fast kaum merkliche Veränderungen wie das Erblühen einer Blume oder die Änderung einer Wolkenformation zum Vorschein.

Die Kamera besitzt einen Steckplatz für CompactFlash-Karten des Typs I sowie II und kann auch mit dem Microdrive betrieben werden. Die Kamera verfügt über eine USB-1.1-Schnittstelle und einen Videoausgang für NTSC bzw. PAL.Ein eingebauter Kleinblitz weist eine Reichweite von 0,5 m bis 3,8 m im Weitwinkel- und 0,5 m bis 3 m im Telebereich auf. Darüber hinaus verfügt die Kamera über einen eingebauten Synchronblitzanschluss, mit dem man die DiMAGE A1 an professionelle Studioblitzanlagen anschließen kann. Ferner stehen mehrere Programmblitzgeräte optional zur Auswahl.Die Stromversorgung erfolgt über einen Lithium-Ionen-Akku, mit dem etwa 330 Bilder aufgenommen werden können. Für eine längere Ausdauer der Kamera und eine Handhabung bei Hochformataufnahmen verkauft Minolta einen Funktionshandgriff BP-400 als Sonderzubehör, der mit zwei aufladbaren Lithium-Ionen-Akkus oder sechs Akkus Typ AA gefüllt werden kann.Die Kamera misst 117 x 85 x 113,5 mm und wiegt ohne Akkus und Speichermedium 560 Gramm. Die Minolta DiMAGE A1 wird voraussichtlich ab August 2003 zum Preis von 1.299,- Euro im Handel erhältlich sein.Nachdem Asus bereits Ende Juni 2003 zur Markteinführung von PocketPC 2003 den WindowsCE-PDA MyPal A620 für den US-Markt angekündigt hat, kommt das Gerät nun auch auf den deutschen Markt.

MyPal A620 Der MyPal A620 besitzt einen XScale-Prozessor des Typs PXA255 von Intel mit einer Taktrate von 400 MHz. An Speicherplatz stehen 64 MByte RAM zur Verfügung, wobei sich Daten über den integrierten Steckplatz für CompactFlash (CF) Typ II auf entsprechende Speicherkarten auslagern lassen. Über den Steckplatz lassen sich aber auch zahlreiche Funktionen wie Bluetooth, GSM, GPRS oder etwa WLAN nachrüsten.Das transflektive Display zeigt bei einer Auflösung von 240 x 320 Bildpunkten 65.536 Farben an. Zu den weiteren Ausstattungsdaten des 125 x 76,8 x 13,3 mm messenden Geräts zählen eine Infrarot-Schnittstelle, ein eingebauter Lautsprecher sowie ein integriertes Mikrofon. Die WindowsCE-Version PocketPC 2003 befindet sich in einem 32 MByte Flash-ROM und bietet die üblichen PIM-Applikationen zur Termin- und Adressverwaltung sowie unter anderem die funktionsreduzierten Pocket-Versionen von Word, Excel, Windows Media Player und Internet Explorer.

Der Lithium-Ionen-Akku soll den 141 Gramm wiegenden PDA bis zu 19 Stunden am Stück mit Strom versorgen. Leider machte Asus keine Angaben dazu, ob diese Laufzeit mit oder ohne eingeschalteter Display-Beleuchtung gilt. Mit einer so genannten SmartKeeper-Technik sichert man den existierenden System-Status bei niedriger Akkuladung auf eine CF-Speicherkarte, um Datenverlust zu vermeiden.Panasonic hat ein Toughbook mit Namen CF-M34 im Angebot, das mit einem Mobile-Pentium-III-Prozessor vom Typ M mit Ultra-Low-Voltage-Technik und einer Taktrate von 866 MHz ausgestattet ist und auch extreme Temperaturen überstehen soll. Das Subnotebook verfügt über einen 8,4-Zoll-Touchscreen mit einer Auflösung von 800 x 600 Bildpunkten.Für die Grafikausgabe sorgt der Silicon-Motion-Grafikchip, der 4 MByte VRAM besitzt. Das Gerät ist von Hause aus mit 256 MByte SDRAM bestückt, maximal lässt sich der Speicher leider nur auf 768 MByte ausbauen. Die Festplatte des Toughbook CF-M34 fasst 30 GByte. Eine externe Floppy oder CD-ROM-, DVD-ROM- bzw. CD-RW-Laufwerk gibt es nur gegen Aufpreis.

Neben einem PC-Card-Slot für PCMCIA-Karten vom Typ 1 und Typ 2, einem internen Modem und einer Fast-Ethernet-Schnittstelle gibt es auch einen VGA-Ausgang für den Anschluss eines externen Monitors. Für die Audioverarbeitung bietet das Gerät einen Kopfhörer- und Mikrofon-Anschluss, während ein Mono-Lautsprecher integriert ist.Das Notebook soll wasser- und staubgeschützt gemäß der Industrienorm IP53 sowie vibrations- und stoßfest gemäß MIL- Standard sein. Auch die Festplatte ist nach Herstellerangaben vibrationsgeschützt. So solle das Gerät in Umgebungen mit Temperaturen zwischen minus 20 Grad bis plus 60 Grad benutzbar sein.Ein CF-M34 begleitete den Bergführer und Mediziner Dr. Markus Tannheimer auf den höchsten Gipfel Nordamerikas. Am 6.194 Meter hohen Mount McKinley erwies sich das Modell auch bei Minusgraden von bis zu 34,8 Grad als zuverlässig, so Tannheimer. Dabei sollten unterschiedliche höhenmedizinische Untersuchungen - wie die kontinuierliche Messung der Sauerstoffsättigungswerte sowie die Herzfrequenz - durchgeführt werden. Da die Speicherkapazitäten der Messinstrumente nicht den angesetzten Expeditionszeitrahmen von zwei Wochen abdeckten, musste ein Windows-Notebook zur Datenspeicherung mit auf den eisigen Berg in Alaska.

Der Lithium-Ionen-Akku soll bis zu 4 Stunden Stunden durchhalten. Das Gerät misst 229 x 43 x 188 mm und wiegt 1,8 Kilogramm. Laut Panasonic ist das Toughbook CF-M34 ab 3.950,- Euro mit vorinstalliertem Windows 2000 erhältlich.Kodak bringt mit der EasyShare DX4530 eine neue 5-Megapixel-Digitalkamera, die über ein 3fach-Zoom-Objektiv und einen ergänzenden 3,3fachen Digital-Zoom verfügt. Das Objektiv bietet eine Brennweite zwischen 38 und 114 mm (umgerechnet auf eine 35 mm Kleinbildkamera) bei F2,8 bis 5,1 im Weitwinkelbereich und F4,8 bis 8,7 im Telebereich.Kodak EasyShare DX4530 Auf der Kamerarückseite befindet sich ein 1,8-Zoll-TFT-Farb-Display. Ein Orientierungssensor registriert die Ausrichtung der Kamera in Hoch- und Querformat, so dass die Bilder auf dem Display automatisch richtig angezeigt werden.Die Fokussierung erfolgt über ein Mehrzonen-Autofokus-System. Die Belichtungsmessung wird mit einer Mehrfunktions-TTL-AE mit vier Programmmodi (Sport, Nacht, Video und Nahbereich) realisiert. Die Kodak EasyShare DX4530 erlaubt für künstlerische Effekte eine Belichtungskorrektur (+/- 2,0 in 0,5 Schritten). Die Verschlusszeiten liegen zwischen 1/2 bis 1/1.700 Sekunde, dazu kommen auswählbare Langzeitbelichtungen zwischen 0,7 bis 4 Sekunden. Die einstellbare Empfindlichkeit rangiert von 130 bis 200 ISO. Der Weißabgleich erfolgt automatisch oder anhand von drei Voreinstellungen für Tageslicht, Innen- und Neonbeleuchtung.

Die Kamera verfügt über einen Selbstauslöser mit einer Verzögerung von 10 Sekunden, wobei die Aufnahmebereitschaft nach Herstellerangaben bereits nach unter 2 Sekunden besteht. Ferner besitzt die Kamera einen eingebauten Miniblitz mit einer Reichweite von 0,6 bis 3,4 m (Weitwinkel) und 0,6 bis 2,0 m (Tele). Bilder speichert die Kamera als JPEG nach EXIF V2.1 auf einen 32 MByte großen internen Speicher oder auf MMC- bzw. SD-Speicherkarten.Videoaufnahmen können mit einer Auflösung von 320 x 240 Pixel Pixeln bei 15 Bildern pro Sekunde gemacht werden. Die Datenübertragung erfolgt neben dem Speicherkartenaustausch auch per USB-2.0-Kabel.Kodak EasyShare DX4530 Die Energieversorgung wird mit 2 AA-Lithiumbatterien, 2 AA-Ni-MH-Batterien oder einer CRV3 Lithiumbatterie realisiert. Die EasyShare DX4530 misst 111 x 66 x 39 mm und wiegt nach Herstellerangaben ohne Batterien 210 Gramm. Im Lieferumfang enthalten sind neben der Digitalkamera eine CRV3-Lithiumbatterie sowie Audio-/Video- und USB-Kabel für den Anschluss an den Fernseher und Computer. Mitgeliefert wird zudem das Kodak-Software-Paket EasyShare.

Als Zubehör für die EasyShare DX4530 gibt es Adapter zur Realisierung größerer Weitwinkel- und Telebrennweiten. Die optional erhältliche EasyShare-Kamera-Station überträgt auf Knopfdruck per USB-Kabel automatisch die Bilder von der Kamera auf den Computer und lädt gleichzeitig die bei der Dockingstation mitgelieferten Ni-MH-Akkus auf.Ebenfalls als Zubehör erhältlich ist das neue EasyShare Printer Dock 4000, das die Digitalfotos im Thermo-Farbtransferverfahren randlos im Format 10 x 15 cm ausdruckt - wahlweise mit oder ohne Einsatz eines Computers. Der Drucker soll zu allen künftigen Kameras der Kodak CX/DX-3000-er und 4000-er Serie kompatibel sein.Kodak Printer Dock 4000 Die Ausgabegeschwindigkeit für ein Bild beträgt nach Herstellerangaben weniger als 2 Minuten. Die Schutzlaminierung, die das Gerät aufbringt, soll die Bilder vor Wasserspritzern schützen und für eine Haltbarkeit ähnlich herkömmlicher Fotopapiere sorgen.

Neben dem Ausdrucken der Digitalfotos fungiert das Gerät auch als Akku-Ladegerät sowie als Bildübertragungsstation und bringt Fotos per Video-Kabel auf den TV-Bildschirm. Das im Lieferumfang enthaltene Starter-Kit umfasst 10 Fotopapiere plus Farbband. Mitgeliefert werden zudem wiederaufladbare Ni-MH-Batterien sowie Druckertreiber-Software für den Anschluss an Windows- oder MacOS-Rechner.Das Gerät misst 33,6 x 20,2 x 8,3 cm und wiegt 1,1 kg. Der Preis für das Ende August 2003 erhältliche Kodak Printer Dock 4000 soll bei rund 250,- Euro liegen. Eine Auffüllpackung mit 40 Fotopapieren im Format 10 x 15 cm und einem Farbband soll rund 30,- Euro kosten.Mit dem ST55 bringt Siemens demnächst ein weiteres Handy-Modell mit integrierter Digitalkamera auf den Markt. Die Kamera nimmt Bilder in VGA-Auflösung auf und besitzt einen vierfachen Zoom. Das ST55 verfügt ferner über ein Farb-Display und kann MMS empfangen und versenden. Ein 5-Wege-Navigator soll die Steuerung des Geräts deutlich vereinfachen.

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April 21, 2017

Batterie Toshiba Satellite P800

Pour simplifier les choses et attraper l'amateur de basses telluriques, Sony désigne son traitement sonore par "Extra Bass" — mais dans les faits, c'est un peu plus subtil que ça. Certes, enclencher ledit effet rajoute une certaine dose de bas-médiums — car ne vous méprenez pas, en deçà de 150 Hz, il n'y a plus personne — mais il n'y a pas que ça : les aigus eux aussi sont liftés — attention, de petites sibilances peuvent alors pointer le bout de leur nez à fort volume —, le volume général est rehaussé — ce qui psychoacoustiquement donne toujours une sensation de son plus ample — et surtout, la scène stéréophonique est considérablement élargie — via un travail sur la phase. L'impression générale est celle d'un son avec beaucoup plus d'assise et d'ampleur, mais de manière inversement proportionnelle, moins précis. Il est amusant de basculer avec/sans l'Extra Bass en fonction des morceaux et de l'effet recherché. Le sac à dos Kontrast KDB101 de CaseLogic se destine principalement à ceux qui désirent transporter un matériel conséquent adapté aux reflex professionnels. Imposant, gros volume, garanti 25 ans, rangement avec logements pour tablette et ordinateur portable... le Kontrast Pro est un gros sac à dos qui offre la place. Le sac à dos KDB 101 est le dernier de la gamme Kontrast qui compte 6 modèles en tout, dont un étui, des sacs en bandoulière et une sacoche. C'est le modèle haut de gamme, destiné aux professionnels ou à ceux qui souhaitent transporter un matériel assez conséquent. Ses dimensions extérieures sont de 31 x 24 x 47 cm et il convient aux appareils 26 x 18 x 40 cm, donc jusqu'aux reflex. Plutôt imposant, le sac à dos pèse 1,77 kg vide. Le design est relativement classique et le coloris noir passe partout. Comme c'est souvent le cas, l'intérieur est quant à lui plus flashy. Le Kontrast Pro opte ici pour un vert fluo qui ne passe pas inaperçu mais qui permet de distinguer facilement le matériel. Vert que l'on retrouve également au niveau de la fermeture de la poche supérieure ou encore des lanières sur le côté. Le KDB 101 est composé de polyester. Le sac n'est pas spécifié étanche ni déperlant, mais semble suffisamment costaud pour résister à une petite pluie. Il n'intègre cependant pas de housse de protection dont il faudra se munir en complément pour s'assurer de protéger le matériel, surtout si vous baroudez dans des conditions difficiles. En revanche, il profite d'une base DuraBase rigide qui assure stabilité et étanchéité, pratique pour poser son sac au sol sans se soucier de l'humidité ou des petites flaques gênantes. Autre bon point, le Kontrast Pro est garanti 25 ans par le constructeur ; de quoi faire un bon bout de chemin avec ce compagnon de voyage. Le Konstrast Pro dispose d'une capacité de stockage impressionnante. Le compartiment central est suffisamment grand pour loger aisément un appareil photo reflex professionnel et 8 petits objectifs. 1_case-logic-kontrast-101-pro-cpapacité.jpg En revanche, l'insertion de l'appareil s'effectue via la poche du dessus. C'est plutôt judicieux, notamment pour sortir son appareil rapidement, sans se soucier du reste du matériel et tout en gardant le sac à l'épaule. Dès que vous désirez changer d'objectif, par exemple, nous vous recommandons plutôt de poser votre sac à dos au sol ou à plat, afin d'éviter que votre matériel ne tombe. Même si le compartiment est relativement profond, le risque existe. Nous apprécions d'ailleurs la robustesse des séparateurs qui empêche le matériel du dessus d'écraser celui du dessous. Ces derniers sont également déplaçables pour réorganiser le sac à l'envi. Deux poches latérales à filets permettent de ranger une bouteille d'eau et de fixer un trépied maintenu par les sangles de part et d'autre du sac. Deux autres poches localisées à l'avant du compartiment central et sur le dessus de la poche de l'appareil photo sont prévues pour accueillir petits accessoires et effets personnels (cartes mémoires, petits carnets, smartphone, etc.).

Quand le sac est rempli, son poids est assez conséquent et a tendance à tirer vers le bas. Même ajustées, nous trouvons les épaulières trop fines et pas suffisamment rembourrées. Elles ont tendance à rapidement tirer sur les épaules et peuvent s'avérer gênantes lors de longues balades. Le dos, par contre, est bien molletonné et plus agréable. Les lanières peuvent être ajustées au porteur, retroussées ou raccourcies pour ne pas pendre dans le vide. Une fois le sac sur le dos, une lanière à clip localisée à l'avant au niveau du torse permet de resserrer le sac pour une tenue optimale. Ce Konstrast Pro intègre un compartiment spécial avec deux logements pour ranger une tablette de 10,1" et un ordinateur de 15". Des outils de travail souvent indispensables aux photographes professionnels. Nous n'avons pas encore eu l'occasion de tester l'Asus ROG G502, mais sa configuration laisse augurer de très bonnes performances dans les jeux. On profite ainsi d'un processeur Intel Core i5-6300HQ, de 8 Go de mémoire vive et, surtout, d'une carte graphique dédiée Nvidia GeForce GTX 970M (3 Go de GDDR5) . De quoi faire tourner l'immense majorité des jeux du marché en Full HD (la définition native de la dalle), à un niveau de détails situé entre "élevé" et "très élevé", le tout à plus de 40 images par seconde. Par ailleurs, on apprécie la présence d'un SSD de 128 Go (en plus d'un HDD de 1 To), qui assure un démarrage et un Windows 10 (préinstallé très réactifs.

Côté connectique, on trouve 3 ports USB 3, 1 port USB Type-C, 1 mini DisplayPort, 1 sortie HDMI et 1 port RJ45. La machine est également assez facilement transportable, grâce à un poids de 2 kg et une épaisseur de 23,5 mm.À noter : pour profiter de l'offre de bons d'achat de PriceMinister, il faut tout d'abord créer un compte et s'inscrire gratuitement au programme Price Club. Les points Rakuten, qui font office de bons d'achat, sont récupérés à compter du 7e jour suivant la date de réception du produit et sont alors valables 1 mois sur l'ensemble du site. Après l'Acer Liquid Jade Primo, le HP Elite x3 est le second smartphone à sortir sous Windows 10 Mobile sans être estampillé Microsoft. Pour rappel, le terminal de HP est un smartphone de 6 pouces (15,2 cm env.) en dalle Amoled de 2 560 x 1 440 px. Il est animé par un SoC Snapdragon 820, 4 Go de RAM et une mémoire interne de 64 Go extensible. Le tout est alimenté par une batterie de 4 150 mAh. Au-delà de cette fiche technique peu surprenante pour un smartphone haut de gamme, l'Elite x3 a pour vocation de se muer en PC une fois relié à un écran, comme le Jade Primo et le Microsoft Lumia 950 XL. Pour ce seul smartphone, HP réclame la modique somme de 699 € HT, soit environ 840 € TTC.

Un tarif déjà salé qui peut atteindre près de 1 500 € TTC, pour peu que l'on décide de s'offrir le pack comprenant un dock permettant de relier le smartphone à un écran et le "Mobile Extender" qui le meut en ordinateur portable. HP respecte ainsi la volonté de Microsoft d'assoir les smartphones sous Windows 10 Mobile comme des ordinateurs de poche. Si le prix paraît forcément élevé de prime abord, il faut tout de même signaler que le fabricant ne vise pas le grand public, mais les entreprises. Pour comparaison, le Liquid Jade Primo est vendu 599 € avec son dock — certaines boutiques le bradent déjà à 399 € — et le Lumia 950 XL se trouve sous les 650 € avec un moniteur, le dock, un clavier et une souris. Le fabricant américain Jaybird, spécialisé depuis 2006 dans la conception d'intras-auriculaires pour les sportifs, vient d'annoncer la sortie prochaine de ses Freedom 5e génération. Ce modèle sans-fil se démarque notamment par la finesse de son châssis, sa petite batterie portable supplémentaire et son application dédiée.

Les Freedom partagent des points communs avec les X2, les derniers intras en date signés Jaybird que nous avons testés. Toutefois, les Freedom ne jouent pas tout à fait dans la même catégorie puisque leur châssis a subi une très sévère cure d'amincissement. Cette finesse de conception lui permettrait notamment d'épouser bien mieux le bas du pavillon, afin d'être utilisé avec un casque de moto par exemple. Cerise sur le gâteau, le châssis est totalement en métal et promet une résistance accrue à la sueur et à l'eau. Pour ce qui concerne les nombreux accessoires dédiés au confort, ce modèle ne fait pas exception à la règle. On retrouve 3 paires d'embouts en silicone, 3 paires d'embouts en mousse à mémoire de forme Comply (un peu aéré et spongieux que ceux habituellement fournis), 3 paires d'ailettes en silicone à loger sous la conque pour favoriser le maintien, 2 petits adaptateurs de gestion du câble pour le resserrer à l'arrière ainsi qu'une pince.

Comme les UE Custom, les Freedom peuvent être portés de deux manières : en position standard avec le câble qui passe par en bas, ou en position "in-ear", avec le câble passant par le haut et derrière l'oreille. Les quelques heures que nous avons pu passer en leur compagnie nous ont rapidement confirmé cette volonté d'offrir un confort à toute épreuve, même s'il faut avouer qu'un temps d'adaptation est nécessaire pour comprendre comment placer les ailettes et surtout trouver la bonne taille pour chaque élément. Lors de notre article de présentation des UE Custom, nous avions évoqué la participation de Jaybird sur l'intégration d'un boîtier de commande pour la communication Bluetooth et le contrôle de la lecture. Les Freedom bénéficient de ce même boitier, avec les mêmes possibilités (Bluetooth multipoint, kit mains-libres, contrôle du volume et bouton multifonction) et surtout le système astucieux de batterie portable qui permet de recharger les intras ou d'étendre tout simplement le temps d'utilisation en branchement direct. Avec la promesse initiale de 4 heures, les Freedom ne porteraient pas bien leur nom sans cette petite batterie, qui allonge la durée d'écoute à 8 heures. 20 minutes de rechargement permettent d'ailleurs de profiter d'une heure de lecture. Pour le moment, nos quelques jours d'utilisation confirment cette autonomie et attestent par ailleurs d'une excellente facilité de prise en main : la plupart des actions importantes sont notifiées soit par des indications sonores, soit par des indications vocales, pour le moins énergiques. Seul bémol, le volume des alertes vocales est un peu exagéré, surtout si votre niveau d'écoute est faible.

Pour parfaire l'expérience sonore, Jaybird propose une application entièrement dédiée à la personnalisation sonore. Le fabricant aurait cherché une réponse en fréquence "neutre" pour ses intras pour ainsi laisser la liberté à l'utilisateur de personnaliser son expérience d'écoute via l'appli. MySound App (iOS, Android smartphones, tablettes et smartwatches) offre donc un égaliseur paramétrique relativement simple qui communique directement à la puce interne des intras pour transmettre automatiquement les changements opérés. Les modifications apportées sont gardées en mémoire par la puce, il n'est donc pas obligatoire de garder l'appli lancée pour conserver ses préférences. Cet EQ est avant tout pensé pour les néophytes, mais il est possible d'opérer un réglage un minimum précis, sous réserve d'avoir un minimum de doigté. Cette application dispose également de quelques presets partagés par les partenaires sportifs et d'une "partie sociale" qui permet de partager son EQ avec d'autres utilisateurs. L'originalité de la One Click réside dans sa poignée interchangeable. À ma gauche, une anse à l'allure chic, qui lui confère un look sac à main. À ma droite, un crochet type mousqueton, lui permettant de se cramponner lors de vos virées autrement plus acrobatiques.

Ses 900 grammes dissimulent un woofer de 7,5 cm, un tweeter de 2,5 cm et deux radiateurs passifs qui diffusent un son à 360°, le tout protégé contre les projections d'eau de toutes directions et les chocs grâce à sa robuste armature en caoutchouc. L'autonomie est promise à 12h. La One Click dispose d'un kit mains-libres bénéficiant de la réduction de bruit et de l'annulation des échos. Via la Libratone App, compatible Android et iOS, il est en outre possible d'appairer deux One Click-s pour bénéficier d'un surplus de puissance, ou d'un champ stéréophonique plus large. Bien entendu, on peut toujours s'y connecter à l'ancienne (ergo en mini jack).La One Style est extrêmement proche de la One Click : même autonomie (12h), conception acoustique identique (un woofer, un tweeter et deux radiateurs passifs), son omnidirectionnel, possibilité d'appairer deux enceintes via l'application dédiée, splashproof (IPX4), Bluetooth/entrée analogique et kit mains-libres. La seule chose qui change, c'est l'absence de poignées interchangeables, la One Style étant munie d'une dragonne intégrée. Elle est disponible au prix de 179 € dans les mêmes coloris que sa grande sÅ“ur, à savoir noir, gris ou vert.

À l'instar de la One Style, la Too est elle aussi équipée d'une dragonne. Cylindrique, elle est également splashproof mais n'embarque qu'un seul radiateur passif. L'autonomie, la connectique et l'indice de protection sont identiques (12h et IPX4), et le kit mains-libres est toujours de la partie. L'appairage de deux enceintes est lui aussi possible via l'application. Fin avril 2015, Microsoft annonçait viser le milliard d'appareils fonctionnant sous Windows 10, d'ici la fin de l'été 2018. Un objectif ambitieux, qui semblait relativement crédible étant donné la rapidité d'adoption dont fait preuve le dernier OS de la compagnie. Mais c'était sans compter sur le marché de la mobilité, qui vient jouer les trouble-fêtes.

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Batterie SONY VGP-BPS22

La connectique enfin, à savoir l'entrée analogique en mini-jack et le port micro-USB pour le recharge, se situe à l'arrière et est dissimulée sous un cache en caoutchouc — splashproof exige. La XB2 n'est certes pas immersible, mais n'est pas non plus une mauviette : certifiée IPX5, elle est donc protégée contre les jets d'eau de toutes directions à la lance (buse de 6,3 mm, distance 2,5 m à 3 m, débit 12,5 l/min ±5 %). Notons malgré tout l'absence d'un port USB pour la recharge d'appareils mobiles (smartphone, tablette, baladeur, etc.). En parlant de recharge, l'autonomie annoncée à 12 heures tient bien ses promesses (12 h 27 min mesurées). Sur la tranche, enfin, on découvre un discret "ADD" qui permet de coupler deux XB2 pour profiter d'une véritable stéréophonie, ou tout simplement d'une plus grande puissance. Les leds L/R à son chevet indiquent si l'enceinte est assignée au canal droit ou gauche — après, vous faites bien ce que vous voulez.

La XB2 est certes catégorisée enceinte portable, cependant elle pourrait quasiment être considérée comme une ultra-portable. Et au vu de ce petit gabarit, doudou dis-donc, qu'est-ce qu'elle envoie ! Il ne s'agit pas de s'arracher les tympans en l'écoutant à niveau maximal, mais plutôt de bénéficier d'un volume d'écoute moyen à fort avec un taux de distorsion relativement faible : puisque la XB2 a de la réserve, elle peut sans aucun problème sonoriser une pièce de volume moyen, surtout en Bluetooth. Réponse fréquentielle de la SRS-XB2 : analogique en noir, Bluetooth en bleu, Bluetooth + Extra Bass en vertComme une personne agréable à vivre, la XB2 est une enceinte agréable à écouter. Sans Extra Bass, elle se concentre plutôt sur la partie haute du spectre et offre un niveau de détails tout à fait correct. Les voix sont sur le devant de la scène, et les aigus, légèrement chimiques, ne sont toutefois jamais agressifs. Lorsque l'on se place bien dans l'axe, les haut-parleurs délivrent une performance relativement équilibrée à partir de 400 Hz. Cependant, dès que l'oreille se décentre, la réponse se resserre autour des médiums et devient plus nasale. Dommage, étant donné que les enceintes nomades — contrairement à leurs copines du monitoring — ne sont pas vraiment faites pour être religieusement écoutées depuis un sweet-spot.

Difficile de nier le succès de Windows 10 du côté de l'informatique grand public (PC fixe et PC portable), le système d'exploitation étant désormais installé sur plus de 350 millions de machines. Un chiffre cependant à nuancer, les méthodes de Microsoft pour pousser les utilisateurs à passer Windows 10 étant assez agressives, voire très intrusives. Rappelons d'ailleurs que la migration depuis Windows 7 et 8.1 est toujours gratuite, et ce jusqu'au 28 juillet à minuit. Il est donc logique que W10 connaisse un taux d'adoption record, d'autant plus que l'OS est globalement très réussi. Bref, sur le papier, tout était réuni pour que Microsoft atteigne le milliard d'appareils l'utilisant d'ici un peu plus de 2 ans. La mobilité est une épine dans le pied de MS Un objectif qui ne sera cependant pas atteint, comme le confirme Yusuf Medhi — vice-président de la division Windows et appareils — à nos confrères de ZDNet :

"Windows 10 est un des plus beaux démarrages de l'histoire, avec 350 millions d'appareils actifs, et une satisfaction record des clients. Nous sommes satisfaits de notre progression, mais, en raison de la focalisation sur le business du mobile, il nous faudra plus de temps pour atteindre le chiffre de 1 milliard d'appareils actifs." Traduction : nous sommes réellement à la peine sur la mobilité, un marché dominé par Google et Apple, et nous ne récoltons que quelques miettes. On rappelle en effet que Microsoft a très largement perdu du terrain depuis 1 an, passant de 2,5 % de parts de marché au premier trimestre 2015, à 0,7 % au premier trimestre 2016 et 4,1 % en France. Et, très honnêtement, on voit difficilement comment la tendance pourrait s'inverser. Le moniteur Acer H277HU embarque une dalle IPS de 27 pouces affichant une définition Quad HD de 2 560 x 1 440 px. Il se démarque de la concurrence par son design et surtout par la présence d'un port USB Type C qui permet d'y connecter un ordinateur portable à l'aide d'un seul câble. Attention, nous avons testé la référence exacte Acer H277HUsmipuz. Le fabricant commercialise aussi deux autres moniteurs partageant le même design et portant quasiment la même référence : l'Acer H277HUsmidpx qui troque l'USB-C et les ports USB 3.0 pour une entrée DVI et audio, et l'Acer H277Hsmidx, à moins de 300 €, qui est en Full HD. Notre Acer H277HUsmipuz est vendu environ 500 €.

Le design est soigné avec un cadre d'écran très fin et même une bordure inférieure relativement discrète. Cette dernière est en plastique avec un rendu de type aluminium brossé plutôt réussi. Enfin, le revêtement de la dalle est mat ; un bon point ! Le réglage du pied se limite à l'inclinaison entre -5° et +15°. Il est impossible de régler la hauteur, de jouer sur la rotation ou encore de passer le moniteur en mode portrait. On note ici la finesse extrême de l'écran. L'arrière est en plastique blanc brillant, une matière sensible aux traces de doigt. Sur notre exemplaire de test, le pied est doré, mais ce n'est pas le cas de la version commerciale où le pied est argenté. Toute la connectique est regroupée à l'arrière. Elle se compose d'une entrée HDMI, d'une entrée DisplayPort, de deux ports USB 3.0 et donc d'un port USB Type-C (voir encadré qui fait sa particularité. L'alimentation est externe. Attention, cet écran existe aussi en version DVI, sans USB type C et sans hub USB 3.0. Le moniteur embarque aussi deux enceintes de 3 W dont le rendu est anecdotique.

L'accès à l'OSD se fait via les cinq boutons présents sous la tranche de l'écran, le sixième étant réservé à la mise sous tension. Comme d'habitude, cette disposition n'est pas des plus agréable et les erreurs de manipulation sont fréquentes. L'OSD est quant à lui plutôt clair et permet de jouer avec pas mal de réglages (Gamma, température, overdrive, luminosité, contraste).Nous avons mesuré la consommation à 20,3 W sur notre mire de test avec un blanc calibré à 150 cd/m². La consommation relative est ainsi de 100 W/m², identique à celle de la moyenne des moniteurs testés au laboratoire.Sorti du carton, le moniteur Acer H277HU offre une image de qualité. Les couleurs sont fidèles, avec un Delta E — différence entre la couleur demandée et la couleur affichée — de seulement 2,9. La courbe de gamma est pour sa part relativement stable (moyenne à 2,3) et la température des couleurs,

Par défaut, la luminosité de 380 cd/m² est trop élevée. Nous ajustons alors la luminosité à 14 pour obtenir un blanc proche des 150 cd/m². La température est toujours placée sur chaud. Avec ces réglages, le rendu n'est pas forcément meilleur. La fidélité des couleurs est un peu moins bonne (Delta E à 3,7), le gamma n'est pas plus stable et la moyenne tombe à 2,1 alors que la température est désormais trop froide (5 670 K). Le passage à la température "claire" ne change pas la donne avec une moyenne à 7 880 K, un Delta E à 3,4 et un gamma à 2,1.La calibration est salvatrice sur ce modèle. L'application d'un profil ICC permet de stabiliser les courbes de température et de gamma avec des valeurs parfaites (respectivement 6 500 K et 2,2). De son côté, le rendu colorimétrique est tout simplement parfait (Delta E à 1,5). Ce profil colorimétrique est disponible sur Focus Numérique. Équipé d'une dalle IPS, le moniteur Acer H277HU ne fait pas de miracle en termes de contraste. Nous avons mesuré ce dernier à 1 010:1 ; ce n'est donc pas ce qui se fait de mieux parmi les dalles IPS que nous avons testées, dont les meilleures représentantes dépassent les 1 300:1. L'avantage de la dalle IPS reste ses angles de vision très larges qui réduisent les variations de luminosité lorsque l'utilisateur n'est pas en face de l'écran. Ce moniteur reste très loin des meilleurs moniteurs VA — le Eizo Fortis FG2421 ou le BenQ BL2410PT — dont le contraste dépasse 3 000:1.

L'écart moyen d'homogénéité est de seulement 5 % sur l'ensemble de la dalle. Nous n'avons pas constaté de fuite de lumière ni de clouding.Comme la majorité des moniteurs modernes, l'écran AOC n'utilise plus la modulation de largeur d'impulsion (PWM ou Pulse Width Modulation) pour gérer les leds du système de rétroéclairage. Cela permet de réduire la luminosité sans risquer un effet de scintillement qui provoquerait une fatigue des yeux et des maux de tête aux personnes les plus sensibles. Cette fonctionnalité est dénommée « Flicker Free » afin de signifier l'absence de scintillement. Le moniteur Acer H277HU permet de régler l'overdrive. Lorsqu'il est désactivé, on constate un effet de ghosting et une augmentation du temps de rémanence. L'activation de l'overdrive sur le mode normal permet d'améliorer le temps de rémanence, toujours en limitant l'effet de reverse ghosting. En revanche, le passage de l'overdrive au plus haut niveau entraine un effet de reverse ghosting gênant. Nous avons ainsi mesuré le temps de rémanence à 10 ms avec l'overdrive en "normal" ; une valeur assez bonne pour une dalle IPS, mais elle ne peut rivaliser avec les dalles TN qui descendent à 5 ms. Au final, l'écran Acer est assez polyvalent et il conviendra aussi bien pour la bureautique que pour le visionnage de vidéos ou encore le jeu, et ce d'autant plus que le retard à l'affichage est de seulement 9,5 ms. Il n'y a donc aucun décalage perceptible entre l'action effectuée à la souris ou la manette et sa répercussion à l'écran. Le G551JM appartient à la série ROG qu'Asus destine aux joueurs. Contrairement au modèle 17,3 pouces qui s'adresse aux plus exigeants, ce modèle de 15,6 pouces privilégie la polyvalence aux performances brutes. On trouve donc à l'intérieur un processeur i7, un SSHD et une carte graphique Nvidia GeForce de dernière génération.

Le châssis du G551JM est assez sobre. Il emprunte discrètement le code couleur noir et rouge de la série ROG. L'ensemble du châssis est donc noir, avec un capot en aluminium, un repose-poignet en plastique mat et une base en plastique granuleux, tandis que la couleur rouge est réservée au logo ROG, au cerclage du châssis et aux grilles de ventilation. L'ensemble est correctement assemblé. L'encombrement le situe dans la moyenne supérieure de ce genre de machine (383 x 255 x 28 mm pour un poids de 2,7 kg).Le clavier est du même — très bon — niveau que celui du N550JK. On retrouve des touches bien espacées, de bonne taille et qui offrent un contact agréable. Il dispose de tous les raccourcis que l'on attend et d'un pavé numérique. Le touchpad de bonne taille permet une manipulation aisée du pointeur, qui réagit vivement. Il offre tous les raccourcis propres à Windows 8.La connectique se compose de trois ports USB 3.0, un port Ethernet, un HDMI, un mini-DisplayPort, un lecteur de carte et un graveur de DVD. La connectivité sans fil n'a pas été oubliée, avec le Bluetooth et le Wi-Fi. Ce dernier offre un signal relativement stable, à -48 dBm entre 5 et 10 mètres et qui tombe à -53 dBm à 20 mètres.

Avec sa configuration relativement puissante, on aurait pu s'attendre à ce que le G551JM chauffe beaucoup. Heureusement il n'en est rien. En plein stress-test, la machine n'a pas dépassé les 56,3°C ; un résultat honorable pour une configuration gamer. Le niveau de bruit est également très bon, avec un maximum de 42 dB enregistré par notre sonomètre.La dalle IPS Full HD offre une luminosité maximale de 314 cd/m² et un taux de contraste de 947:1. Des valeurs qui permettent à cet écran de rester exploitable dans les environnements les plus lumineux, en particulier grâce au revêtement mat efficace qui le recouvre.La colorimétrie est pour sa part assez bonne. Le deltaE s'établit à 5,2, une valeur honorable même si elle est un peu plus haute que celle des meilleurs laptops (qui atteignent les 3). La température des couleurs se situe à 7901 K ; les images affichées tirent donc légèrement sur le bleu, sans que cela ne devienne gênant. La courbe de gamma affiche certainement la moins bonne mesure et traduit des blancs brûlés et des gris foncés perdus dans le noir.

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Laptop Battery for Dell precision m90

For these reasons, I don’t expect 2013 to be a good year for the conventional big-box PC. Instead I anticipate we’ll see more and more touchscreen all-in-ones that work sensibly with Windows 8. For businesses and budget-conscious consumers we already have compact systems such as the Intel NUC and the Apple Mac mini, and I wouldn’t be surprised to see more designs along those lines appearing in the new year.I don’t think Windows 8’s fully ambiguous "Is it a laptop? Is it a tablet?” approach will take off in the way Microsoft hopes. It simply doesn’t appear currently possible to come up with a hybrid design that’s compact and light enough to work really satisfactorily in tablet mode – and I’m not aware of any developments in the pipeline for 2013 that will change that. I expect the popular compromise will be conventional Ultrabooks with touchscreens.The exception might be Microsoft’s Surface Pro, which has generated enough interest and anticipation to be a minor hit, but price could well be a stumbling block: the 128GB version will reportedly cost $999 in the US, which probably means £799 or more over here. That feels like a lot to pay for such a device that looks and feels so much like a £400 tablet.

Surface In terms of what’s inside, again, the big news is Haswell, expected to arrive in the second quarter of 2013. In the absence of a breakthrough in battery cell technology (which doesn’t appear to be on the horizon), Intel’s new energy-efficient design is our best bet for improved battery life. Note though that Intel’s headline-grabbing claim of a "20x reduction in power consumption” applies only when the system is sitting idle. In practice I expect to see something closer to a 20% improvement.For those who don’t need the full power of an Ultrabook, Atom-based laptops are coming back too – and in 2013 they’ll be much more usable than the netbooks of yore, with decent screens and much snappier performance, partly thanks to the improved responsiveness of Windows 8 itself. I had the opportunity to play with a pre-production Atom-based system at IDF 2012 and was impressed.You don’t need psychic powers to see the Retina display filtering down into the MacBook Air rangeWhat of Apple? You don’t need psychic powers to see the Retina display filtering down into the MacBook Air range, but these panels still appear to be pretty expensive: right now the 13in 2.5GHz MacBook Pro with Retina display costs a whopping £450 more than the one without. That also covers an SSD and an extra 4GB of RAM, but it’s a strong suggestion that – alas – we won’t see a Retina screen on a sub-£1,000 MacBook Air in the next 12 months.

I also doubt we’ll see touchscreens on MacBooks in 2013. Apple has surprised us before with dramatic changes of direction, but so far with OS X devices it’s consistently preferred to build gestures and swipes into the touchpad rather than the screen. If I’m right about touchscreens becoming de rigueur in the Windows world, this will represent a major divergence: it will no longer possible to buy a MacBook and a copy of Parallels and truly get the best of both worlds.On the flip-side, I expect Retina-like screens will start to come to Windows 8 laptops. We’ve already seen several Android tablets appear with high-density panels, and the new Windows 8 app framework is designed to scale to arbitrarily high resolutions. Things on the desktop might not be so smooth, though: third-party application support for high-DPI screen modes is distinctly hit and miss. It might be worth sitting out the first generation of "Retina” Ultrabooks to allow for bugs to be ironed out.I don’t personally think Windows RT tablets will catch on. The platform is too dependent on an app store that’s too empty – and, so far as we can make out, growing very slowly. Maybe in time the Windows Store will mature into a credible rival to Android and iOS; but for the foreseeable future I think x86 hybrids, which aren’t wholly reliant on tablet apps for their usefulness, will be a lot more successful than "true” RT tablets.

What of the established players? As with Apple’s laptops, I think the iPad Mini must gain a Retina screen at some point – but again I won’t be surprised if it happens later rather than sooner, or comes in at a premium price. Bigger changes are hard to envisage: on paper it might seem to make sense to extend the screen to match the iPhone 5 and better accommodate widescreen video, but I’m not sure the result would be ergonomically sound. It’s been hinted that the next edition of OS X might include Siri and Apple Maps, so perhaps the focus in 2013 will be on yet-greater integration between mobile and desktop devices.On the Google side of things, Android 5 (codenamed Key Lime Pie) is expected to arrive in May, but as yet the feature list is shrouded in mystery – and it’s a depressingly safe bet that few older tablets will ever receive an upgrade. So if you want to get your hands on the latest and greatest version of Android, your best bet might be to wait, or to buy an official Nexus tablet.I scoffed when I first laid eyes on the Samsung Galaxy Note with its 5.5in screen, but I’m seeing more and more of them about – and regular smartphone screens have been getting bigger too (witness the iPhone 5, or the Galaxy S III with its 4.8in display). That’s probably because today’s big phones are powerful enough to serve as realistic alternatives to a tablet, and I expect the market for oversized handsets will grow in 2013. Screen densities will probably keep creeping up too, as in the tablet market.

Naturally the focus of these moves will be Android (as Apple chooses to offer only a very narrow and stable range of phones); but I suspect it won’t be all positive news for the platform in 2013, as the problem of malware in the Play Store grows bigger and more conspicuous. Although Google is working on the problem, the necessary technical and educational measures will take time, potentially making 2013 something of an annus horribilis for Android.For Apple users, we can assume an iPhone 5S will pop up in the autumn, presumably with a few whizzy new software features, but as with the iPad, there’s no great pressure on Apple to mess with the formula, especially so soon after a major update. Activity will probably be focused more be in the accessory market, as audio and video accessories are updated for the Lightning connector.The unknown quantity is Windows Phone 8. Microsoft’s new mobile OS hasn’t taken the high street by storm, but it’s received praise for features including its parental controls and the Data Sense tool that lets you monitor the data usage of apps. With HTC, Nokia and Samsung all invested in the platform, I wouldn’t write it off. It’s just a shame it doesn’t use the main Windows 8 Store: porting apps for the Windows Phone Store is easy enough, but the platform-agonistic appeal of iOS and Android is lost.For those still using Windows Phone 7, Nokia has started rolling out an upgrade to version 7.8, which brings much of the Windows Phone 8 UI to older phones, but since 7.8 won’t run Windows Phone 8 apps it doesn't have a long-term future.

It’s perhaps the most often-repeated advice in computing: "back up your data!” Yet many of us simply don’t do it, or don’t do it as often as we should. That’s understandable: duplicating and archiving your data feels like a chore – and, most of the time, a pointless one at that. But as the saying goes, there are only two types of computer user: those who’ve lost data due to a system crash, and those who will. In these days of iPads and smartphones you can also lose important data by literally losing it – or having it stolen. If you haven’t kept a backup, your photos, messages, contacts and more may be gone for good.Backing up your data will probably never be fun. But with the right tools and processes it can be largely automatic – which means there’s no excuse for not protecting your data. Sadly, there’s no single backup system that can protect all your devices in one go. But in this feature we’ll show you how to keep each of the devices in your home backed up with little or no effort, so that when a data disaster does strike you’ll be prepared.For most of us, the Windows PC remains the main repository for documents and media, so if you only keep one thing backed up, it ought to be this. Probably the most fuss-free approach is to invest in a continuous cloud backup service.

Backing up to the cloud has several advantages over using your own physical media. Because your backup destination is physically remote, there’s no clutter in your home – no stacks of external hard disks or boxes full of DVDs. Your data is safe from physical hazards, such as burglary or fire, and so long as the backup service uses strong encryption and data protection practices your personal information will be more secure too, as thieves will be unable to read it. Best of all, you never need to worry about running out of space. Many services provide unlimited space at quite reasonable prices.You can expect backing up a 100GB media folder to take more than three weeks of solid uploadingYou can expect backing up a 100GB media folder to take more than three weeks of solid uploadingThere are downsides to cloud backup, however. Clearly, you need a reliable internet connection: without one, you’re unprotected. The need for connectivity may also be a showstopper for laptop users who rarely connect to the internet, though we suspect those are a dying breed.Even if you do have a constant connection, your first backup may take a very long time to complete. Domestic broadband rarely offers more than 1Mbit/sec upstream, so you can expect backing up a 100GB media folder to take more than three weeks of solid uploading – tying up your connection and leaving you only partly protected in the meantime.

Lenovo was the first manufacturer to really nail the Windows 8 hybrid, and the Yoga 2 Pro sees it take the winning formula and refine it even further. With two new 11.6in and 13.3in models joining the ranks, Lenovo has retained the double-jointed hinge, streamlined the design and packed in Intel Haswell CPUs for good measure. The big news, though, is that the 13.3in model has also crammed in the small matter of 4.32 million extra pixels – it now has a high-DPI, 3,200 x 1,800 touchscreen.The beauty of the original Yoga was always its simplicity. Where other designs give away clues to their hybrid abilities with clearly unusual-looking screen bezels or telltale release catches, it’s impossible to recognise the Yoga’s split personality at a mere glance.The Yoga 2 Pro is no exception to this rule: from without, it’s just as you’d expect an Ultrabook to look; that is, gorgeous. There’s the same hardback-book-inspired design as the previous model, with dark, silvery metal lapping across the lid and base, and very slightly overhanging the edges. Gone is the predominantly square, somewhat frumpy profile of the original, however: the Yoga 2 now looks far more curved and streamlined, with its base tapering delicately up towards its front edge.

  1. http://oowerusern.blogas.lt/
  2. http://www.blogstuff.co.uk/folgenden/
  3. http://www.birdwatch.co.uk/blogs/blogShow.asp?blog=566
  4. http://www.nichtraucher-blogs.de/blogs/akkusmarkt/

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Laptop Battery for Dell vostro v131d

"Computer-induced lesions are typically found on only one leg because the optical drives of laptops are located on the left side,” the researchers said. "The computer placed on a lap may completely or partially occlude the ventilation-fan exhaust.”The main case studied in the research involved a 12-year-old boy who used his computer in such a way for a few hours a day over several months.Only ten cases have been published since the condition was first attributed to laptops in 2004. "The popularity of laptop computers will likely increase this diagnosis in the future," the study researchers warned.sors (slightly updated versions of the original Skylake hardware) before unleashing a new Air on the world. And given that the Air is one of the few laptops in the Apple line-up which doesn't have a Retina display – and is all the poorer for it – a little patience may reward with something very, very special indeed.

If you have to buy something right now, then you have two options: Buy the excellent MacBook, or grab a 13-inch MacBook Pro. Both of which are on Alphr's Best Laptops of 2016 line-up, which you can check out by clicking here.The 13in MacBook Air isn’t the tour-de-force it once was. While Apple has lavished the MacBook Pro with a slew of upgrades, and endowed the dainty new 12.5in MacBook with a Force Touch trackpad and Retina display, the Air hasn’t been so lucky.In fact the only major upgrades in this year's edition are Intel’s latest Broadwell processor technology and an upgraded SSD. In every other respect, it's the same old laptop with an identical chassis and 1,440 x 900 resolution TN display. Apple 13-inch MacBook Air (early 2015) review: Broadwell and SSD performance

Last year’s 1.4GHz Haswell CPU has been replaced by the 1.6GHz Intel Core i5-5250U, and along with it comes a new integrated GPU, the HD Graphics 6000, and as ever it's possible to upgrade to a 2.2GHz Core i7 for a £130 premium.As I’ve found on other laptops, performance increases aren’t necessarily the order of the day here: Broadwell’s move to a 14nm process simply means the new CPUs generate a little less heat.Apple’s decision to bring the supercharged SSD over from the 13-inch MacBook Pro is far more exciting. The previous PCI-Express SSDs weren’t exactly slow, easily outstripping the mSATA drives found in most Windows laptops, but Apple has upped the internal PCI-Express interface from two to four lanes for 2015, doubling the available bandwidth.The result is one very fast SSD. Where the previous generation achieved sequential read and write speeds of 664MB/sec and 542MB/sec, the new model stormed past with 1,145MB/sec and 979MB/sec.

Apple 13-inch MacBook Air (early 2015) review: general performance and battery life Taken as a whole, however, there isn’t a huge impact to the changes. The MacBook Air sailed to a respectable score of 0.7 in the old PC Pro Real World Benchmarks – exactly the same result as last year’s model. In the new benchmark suite, it scored 36 overall, a result which puts it slap bang in-between the 13in MacBook Pro, which scored 56, and the MacBook, which managed a modest overall result of 20.Subjectively, the MacBook Air remains a spritely performer. The capable CPU and SSD make for scorching application load times, not to mention a general feeling of snappy responsiveness. Meanwhile, the low screen resolution does at least have one benefit: despite the humble GPU, OS X feels slick and smooth, and there are fewer of the slight judders you occasionally get on the Retina-class MacBook Pro models.Battery life was always a strong point, and here the 2015 MacBook Air outstrips its predecessor by a huge six hours. In our light-use test, with the screen brightness calibrated to 75cd/m2, the MacBook Air kept trucking for 16hrs 46mins, which is around the same time the 13in Macbook Pro achieved. In a video rundown test, with Wi-Fi off and the screen set at a brighter 120cd/m2, the 13in MacBook Air played a 720p movie on loop for 11hrs 51mins.

Around the edges of the chassis, there are two USB 3 ports, an SD card reader, a 3.5mm headset jack and a Thunderbolt 2 port for both ultra-fast connectivity and monitor output via mini-DisplayPort. Wireless connectivity is ample, too, with dual-band, 2x2 stream 802.11ac and Bluetooth 4 connections.Thunderbolt 2 provides a generous 20Gbits/sec of bandwidth to connected devices, and since it now also supports the DisplayPort 1.2 standard, the MacBook Air is capable of driving a 4K display at 60Hz as well as supporting the daisy-chaining of multiple displays. That’s a welcome bonus in itself, but with an increasing amount of high-end professional hardware adopting the Thunderbolt standard, its presence on the MacBook Air remains a significant plus over Windows devices.Apple hasn’t skimped on the basics, either. The 720p FaceTime camera isn’t especially crisp, and there is the tell-tale fizz of sensor noise, but the combination of natural colour reproduction and ample detail are good enough for video chats. The inbuilt speakers remain a cut above many laptops, too, with plenty of volume and enough clarity that you don’t need to always reach for a pair of headphones.

Apple 13-inch MacBook Air (early 2015) review: connectivity and display If there's one area where the MacBook really shows its age, though, it's the 13.3in, 1,440 x 900 display. With Full HD fast becoming a de-facto standard on most mid-range Windows machines, and high-DPI displays standard fare on high-end devices, the MacBook Air’s display has never been in more dire need of a Retina upgrade.At first glance, however – and as long as there isn’t a Retina-screened MacBook Pro in the vicinity – it looks reasonably competent. Brightness peaks at a decent 313cd/m2, and contrast hits an acceptable 786:1. Apple has colour calibrated the display to the best of its abilities, too, so onscreen colours look as bold and bright as the elderly TN panel technology will allow.Those with more exacting demands will find plenty to criticise. Sharpness is severely lacking compared to Full HD and high-DPI displays, and poor vertical viewing angles cause colour and contrast shifts as you move the screen back and forth. Nor can Apple’s factory calibration remedy the panel’s limited range of colours. The TN panel is only capable of reproducing 60% of the sRGB colour gamut, so it can't dredge up the deepest reds, blues and greens. As if to prove the point, the MacBook Air’s display achieved an average Delta E of 3.7 and a hugely wayward maximum of 13.9.

There’s no doubt the MacBook Air remains a handsome laptop, but with the chassis remaining millimetre-identical over the past few years, there’s the nagging feeling that it’s beginning to look, well, ordinary.The slim, 1.33kg all-metal chassis still strikes a fine line between prettiness and toughness, but the thick silver bezels circling the display are beginning to look clunky. In truth, the new MacBook has well and truly stolen its thin-and-light thunder, and the competition has had plenty of time to catch up – the MacBook Air is well overdue a makeover. Despite our criticisms, it is tough to actively dislike the MacBook Air. The backlit keyboard and buttonless touchpad remain as able a pairing as ever, even if the absence of Force Touch is a disappointment.Indeed, the keyboard remains a pleasure to type on, with good-sized keys that provide a reassuring notch of feedback, and the buttonless touchpad is only bettered by the newer Force Touch-equipped models. The only enduring gripe I can report is that the Air’s sharp leading edge does occasionally dig into the wrists, but this may not prove a problem if your hands are smaller, or typing style is different to mine.

Ultimately, the Air is usurped by its own family members: flanked by both the MacBook and the 13in MacBook Pro in Apple’s line-up, the MacBook Air finds itself second-best on portability, weight, power and battery life.If you’re buying a MacBook now, then you really have no excuse not to spend the extra on either of those two devices – and whatever your opinion on the MacBook’s design, it’s tough to argue that the £999 13in MacBook Pro with Retina Display isn’t the better buy. Even if you haven’t got your heart set on OS X, the ever-multiplying legions of affordable Windows Ultrabooks leave the MacBook Air struggling to keep up. Take the Asus Zenbook UX303LA, for instance: this Windows Ultrabook now marries a similar, all-metal design with a Core i7 Broadwell CPU and Full HD display for a mere £700. There’s no Thunderbolt; no super-fast SSD – but I suspect most people won’t care.For all its good points – and several still remain – the 13in MacBook Air feels like a diminished force, and Apple’s reticence to update it with Force Touch or a much-needed Retina display says a lot about its future in the MacBook family. Say your goodbyes, for the 13in Apple MacBook Air looks to be ready for retirement.With the January sales looming, you might be wondering whether it's time to grab a bargain, or whether you should hold out a little longer and see what technologies the new year brings. I've been closely watching the industry in 2012, and keeping track of announcements for the coming year - and below you’ll find my predictions of what’s going to happen in various areas of technology in 2013.

Desktop sales have been in decline for some years, and it’s hard to imagine Windows 8, with its emphasis on touch interfaces and full-screen applications, will turn that around. Intel’s forthcoming Haswell CPU architecture is mobile-focused too: the big emphasis is on extending battery life, which won’t exactly give desktops a new lease of life.In fact, Haswell will probably reduce the benefits of the desktop format over laptops. The new architecture brings significantly increased graphics power over its predecessor, making discrete cards progressively less necessary. It’s also reported that Haswell chips will be surface-mounted rather than socketed – a logical consequence of the new design that binds the chip and motherboard together more tightly than ever before. That’s another upgradeability advantage of desktops over laptops that will be lost.

  1. http://blogsinn.com/?w=akkusmarkt
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  4. http://akkusmarkt.allmyblog.com/

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April 20, 2017

Laptop Akku HP EliteBook 2530p

Für 600 Euro bringt HTC das Desire HD im Oktober 2010 in den deutschen Handel. Unter anderem O2 und Vodafone wollen das Desire HD ab Oktober 2010 anbieten.Zu HTC Locations wurden weitere Details bekannt. Die Kartensoftware bietet eine Funktion, das Kartenmaterial auf der Speicherkarte abzulegen, so dass es unterwegs nicht via Mobilfunk geladen werden muss. Damit kann die Kartensoftware auch im Ausland verwendet werden, ohne dass hohe Roaminggebühren anfallen.Auf dem Desire Z läuft Android 2.2 mit einer aktualisierten Version der Bedienoberfläche HTC Sense. Darüber sollen sich etwa Inhalte besser mit anderen teilen lassen. Mittels Fastboot soll das Mobiltelefon im Fall eines Resets besonders schnell einsatzfähig sein, genauer ging HTC nicht auf diese Funktion ein.Über HTCSense.com kann der Nutzer vom PC aus auf Informationen des Mobiltelefons zugreifen, wie etwa auf Kontakte, Textnachrichten oder Anruflisten. So kann per Desktop das Telefon zum Klingeln gebracht werden oder er kann sich die Position des eigenen Mobiltelefons auf einer Karte anzeigen lassen. Bei einem Verlust des Smartphones kann dieses aus der Ferne blockiert werden, bei Bedarf können darüber auch alle Daten auf dem Gerät gelöscht werden, damit sie nicht in falsche Hände gelangen.

HTC Sense enthält außerdem eine Anbindung an den E-Book-Shop Kobo. Mit HTC Locations erhält das Mobiltelefon eine Online-Kartenapplikation, die auch im Ausland verwendet werden kann, ohne dass Roaminggebühren anfallen. Nähere Details dazu nannte HTC nicht. Das Smartphone wird gleich mit dem Flash Player 10.1 ausgeliefert, so dass sich Flash-Inhalte auf dem Gerät nutzen lassen. Zudem beherrscht das Desire Z DLNA (Digital Living Network Alliance), um sich mit entsprechenden Geräten austauschen zu können.6,5 Stunden Sprechzeit verspricht HTC mit einer Akkuladung im UMTS-Betrieb. Im GSM-Einsatz verlängert sich die Sprechzeit auf fast 10 Stunden. Im Bereitschaftsmodus muss der Akku nach rund 18 Tagen wieder aufgeladen werden.Im Oktober 2010 soll das Desire Z von HTC in Deutschland für 550 Euro auf den Markt kommen. Unter anderem Vodafone will das Desire Z in Deutschland anbieten, O2 will es vorerst nicht ins Sortiment nehmen.

Zu HTC Locations wurden weitere Details bekannt. Die Kartensoftware bietet eine Funktion, das Kartenmaterial auf der Speicherkarte abzulegen, so dass es unterwegs nicht via Mobilfunk geladen werden muss. Damit kann die Kartensoftware auch im Ausland verwendet werden, ohne dass hohe Roaminggebühren anfallen.Daimler baut das nächste Elektroauto in Kleinserie: Im Herbst sollen in Rastatt die ersten elektrisch betriebenen Autos der A-Klasse vom Band laufen. Audi will sich am Münchner Pilotprojekt für Elektromobilität beteiligen. Auf der Internationalen Automobilausstellung (IAA) 2009 in Frankfurt hat Daimler mehrere Elektroautos auf der Basis der B-Klasse vorgestellt, darunter auch den rein elektrisch betriebenen E-Cell. In Kürze will der Automobilhersteller einen E-Cell auf Basis der A-Klasse bauen.

Von der Karosserie her ist der E-Cell mit der A-Klasse identisch. Entsprechend bietet auch das Elektroauto Platz für fünf Personen. Lediglich im Antrieb unterscheiden sich die Versionen: Der E-Cell wird von einem Elektromotor angetrieben, der eine Dauerleistung von 50 kW (68 PS) und eine Spitzenleistung von 70 kW (95 PS) hat. Der Motor beschleunigt das Auto von 0 auf 60 km/h in 5,5 Sekunden. Die Höchstgeschwindigkeit liegt bei 150 km/h.Als Stromspeicher dienen zwei flüssiggekühlte Lithium-Ionen-Akkus mit einer Speicherkapazität von 36 kWh. Wie im E-Cell auf Basis der B-Klasse werden auch in der elektrischen A-Klasse die Akkus der Stromspeicher im Boden unter dem Fahrgastraum eingebaut. Mit einer Akkuladung soll das Auto 200 km weit fahren können. Die Akkus können an der heimischen 230-Volt-Steckdose oder an einer Ladestationen mit 400 Volt geladen werden. Nach acht Stunden an der Steckdose hat der Akku genug Energie für 100 km gespeichert. An der Ladestation ist das nach drei Stunden der Fall. Wie lange es jeweils dauert, den Akku ganz voll zu laden, sagt Daimler nicht.

Die Akkus kommen aus den USA, vom Elektroautohersteller Tesla Motors, der auch schon den Akku für den Elektro-Smart liefert. 2009 hatte Daimler einen Anteil von 10 Prozent an Tesla übernommen.Daimler will den A-Klasse-E-Cell zunächst in Kleinserie bauen. Geplant sind 500 Stück, die ab Herbst im Werk im badischen Rastatt produziert werden. Die Autos sollen dann an ausgewählte Kunden in verschiedenen europäischen Ländern vermietet werden. Ein vergleichbares Konzept verfolgen die Stuttgarter mit dem auf der B-Klasse basierenden Brennstoffzellenauto F-Cell.Unterdessen hat Konkurrent Audi bekanntgegeben, sich an dem Münchner Elektroauto-Pilotprojekt eflott zu beteiligen. München ist eine der acht von der Bundesregierung 2009 ausgewählten Modellregionen für Elektromobilität.Audi will für das Projekt bis Mitte kommenden Jahres 20 der Hybridautos vom Typ A1 E-Tron zur Verfügung stellen. Der A1 E-Tron ist als Stadtfahrzeug konzipiert. Es hat einen Elektromotor mit einer Spitzenleistung von 75 kW (102 PS). Der A1 E-Tron kann 50 km weit rein elektrisch fahren - das reicht für die meisten innerstädtischen Fahrten. Dann springt ein Verbrennungsmotor als sogenannter Range Extender an und erzeugt elektrischen Strom für den Motor. Dadurch erhöht sich die Reichweite um 200 km.

Ergänzend zum X3 Touch and Type hat Nokia mit dem C3 ein weiteres S40-Handy aus der Touch-and-Type-Reihe vorgestellt. Der Neuling besitzt neben einem Touchscreen eine Zahlentastatur, so dass Eingaben darüber vorgenommen werden können. Die technischen Daten des Neulings ähneln stark dem X3 Touch and Type, das Nokia im August 2010 vorgestellt hatte und das im dritten Quartal für 170 Euro auf den Markt kommen soll. Im Unterschied dazu kostet das C3 Touch and Type aber 190 Euro und soll erst im vierten Quartal 2010 zu haben sein. Der Neuling ist mit Maßen von 111 x 47,5 x 11 mm größer, breiter und dicker als das X3 Touch and Type. Auch wiegt das C3 Touch and Type mit 100 Gramm etwas mehr als das X3-Modell. Identisch ist der Touchscreen mit einer Bilddiagonalen von 2,4 Zoll, der bei einer Auflösung von 320 x 240 Pixeln bis zu 262.144 Farben anzeigt. Die Handytastatur unterhalb des Displays unterstützt T9, um die Eingabe zu vereinfachen.Wer sich an die T9-Eingabe gewöhnt hat, kann damit meist schneller schreiben als über eine Bildschirmtastatur. Vor allem eine Einhandbedienung ist über eine Bildschirmtastatur nur sehr schwer möglich. Damit peilt Nokia vor allem die Zielgruppe an, die bisher ein Mobiltelefon mit Zifferntastatur verwendet hat, aber nicht länger auf den Komfort einer Touchscreenbedienung verzichten will.

Für Foto- und Videoaufnahmen steht eine 5-Megapixel-Kamera mit Blitzlicht zur Verfügung. Der interne Speicher des C3 Touch and Type ist 30 MByte groß und auf einer bis zu 32 GByte großen Micro-SD-Card lassen sich weitere Daten ablegen. Wie auch beim X3-Modell hat Nokia bei dem Neuling auf einen GPS-Empfänger verzichtet. Das S40-Mobiltelefon ist mit einem Musikplayer sowie einem UKW-Radio ausgestattet. Zudem gibt es Facebook- und Twitter-Anwendungen, einen Browser, einen E-Mail-Client sowie Ovi Store, um darüber weitere Applikationen zu installieren.Das HSPA-Mobiltelefon beherrscht neben UMTS auch alle vier GSM-Netze sowie EDGE und GPRS. Zudem unterstützt das Mobiltelefon WLAN nach 802.11 b/g/n. Zudem wird Bluetooth 2.1 unterstützt und es gibt eine 3,5-mm-Klinkenbuchse am Gerät, die auch für die Ausgabe des Handybilds auf einen Fernseher genutzt werden kann.

Im UMTS-Betrieb hält der Akku ein rund 3,5-stündiges Telefonat durch, im GSM-Betrieb verlängert sich die Sprechzeit auf 5,5 Stunden. Im Bereitschaftsmodus muss der Akku im 100 Gramm wiegenden Mobiltelefon nach rund 18 Tagen wieder an die Steckdose.Nikon hat kurz vor der Photokina 2010 eine neue Mittelklasse-DSLR angekündigt, mit der die D90 abgelöst wird. Die D7000 arbeitet mit einem CMOS-Sensor im DX-Format mit 16,2 Megapixeln Auflösung. Sie nimmt Videos in Full-HD auf und besitzt zwei Speicherkartenslots. Der CMOS-Sensor kann auf Empfindlichkeiten zwischen ISO 100 und 25.600 eingestellt werden und erlaubt Serienbildaufnahmen mit bis zu 6 Fotos pro Sekunde. Der Glaspentaprismensucher erreicht eine Bildfeldabdeckung von rund 100 Prozent. Die Belichtungszeiten der Nikon-Kamera reichen bis 1/8.000 Sekunde, wobei der Verschluss auf rund 150.000 Auslösungen ausgelegt ist, bevor er instand gesetzt werden muss. Gegen Staub und Feuchtigkeit ist das Kameragehäuse abgedichtet und oben und am hinteren Bereich mit Abdeckungen aus einer Magnesiumlegierung gegen Stöße armiert.

Das Autofokussystem der D7000 arbeitet mit 39 Messfeldern, wovon neun als Kreuzsensoren ausgelegt sind. Nikon setzt in der D7000 ein neues System ein, das einen RGB-Sensor mit 2.016 Pixeln nutzt. Über das 3 Zoll (7,62 cm) große Display mit 921.000 Bildpunkten (Subpixel) wird die Aufnahme kontrolliert. Die Live-View-Funktion besitzt zwei Kontrasterkennungs-AF-Betriebsarten: Die Gesichtserkennung soll bis zu 35 Personen innerhalb von rund 0,08 Sekunden erkennen und die Belichtung und Schärfe darauf abstimmen. Außerdem ist eine Motivverfolgung für Scharfstellung beweglicher Motive vorhanden.Die Videos werden im MPEG4-Format mit AVC/H.264-Komprimierung mit 1.920 x 1.080 Pixeln und mit 24 Bildern pro Sekunde samt Monoton aufgenommen. Wahlweise sind auch 1.280 x 720 Pixel mit 30 Bildern pro Sekunde möglich. Über einen Mikrofoneingang kann Stereoton aufgezeichnet werden. Der Autofokus ist auch beim Filmen nutzbar.

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HTC allo scorso Mobile World Congress di Barcellona ha presentato ben 5 nuovi terminali: la gamma Android del produttore taiwanese si è arricchita con riedizioni di cellulari di successo, Incredible S, Desire S e Wildfire S, ma non ha toccato due degli smartphone di gamma alta come Desire Z e Desire HD. Considerando che i nuovi Incredible S e Desire S non introducono novità hardware rispetto a Z e HD, utilizzando la medesima piattaforma Qualcomm Snapdragon a 1GHz, i due terminali presentati a fine 2010 restano tra le armi di punta di HTC.Desire Z si indirizza verso il pubblico che ritiene fondamentale e irrinunciabile il supporto offerto dalla tastiera estesa QWERTY, mentre HTC Desire HD punta sulle dimensioni del display per attirare tutti quelli che fanno della fruizione di contenuti multimediali in mobilità una ragione di vita. Tra i primi terminali ad arrivare sul mercato italiano con un display da 4,3" HTC Desire HD è sicuramente uno smartphone che sa farsi notare. Sul mercato poi sono arrivate diverse altre proposte a così ampia diagonale, tra cui il fratello HTC HD7 che utilizza Microsoft Windows Phone come sistema operativo.In questa recensione andiamo ad analizzare le prestazioni di questo terminale, anche alla luce degli ultimi sviluppi del settore, con ben in mente la strada tracciata per l'immediato futuro da parte di HTC, l'ormai ininterrotta continuità tra il settore smartphone e tablet, le proposte che la concorrenza si accinge a commercializzare nei prossimi mesi.

Sono molte le novità presentate all'edizione del Mobile World Congress che si è appena chiusa a Barcellona. Fiera che ha fatto registrare numeri in crescita, dopo un paio d'anni in cui, anche a sensazione, la vivacità della kermesse catalana sembrava in calo, tanto che le voci si sono fatte insistenti sul possibile cambio di location per i prossimi anni. Staremo a vedere come andranno le cose dopo questa edizione, che ha visto più di 60.000 visitatori da 200 nazioni, con la presenza di ben 3.000 CEO.Edizione di spessore non solo per quanto riguarda i numeri, ma anche per la qualità dei prodotti. Ci si aspettava l'invasione dei tablet dopo le avvisaglie del CES di Las Vegas e così è stato. Non c'è produttore che non abbia messo in mostra qualcosa con display da 7 o più pollici, fosse anche semplicemente uno smartphone vitaminizzato nelle dimensioni del display. Gli smartphone non si sono lasciati però intimidire, sfoggiando capacità di tutto rispetto, in alcuni casi superiori a buona parte dei tablet. Abbiamo raccolto questa mattina nell'edizione speciale di TGtech tutte le principali novità viste a Barcellona, aggiungendo anche uno sguardo ai trend e agli importanti annunci avvenuti nell'imminenza della fiera.

Tra le caratteristiche che troviamo analizzando le specifiche tecniche è possibile notare come il sistema operativo su cui Wind Pad è sviluppato è una versione di Windows 7. MSI ha preferito così affidarsi al sistema operativo più diffuso al mondo per ricreare un ambiente familiare al normale utente PC. Non è un segreto il fatto che il sistema operativo di Microsoft, anche nella sua ultima versione, non sia particolarmente indicato ad un solo utilizzo touchscreen. Non è un caso infatti, che proprio Ballmer indicando la roadmap di Windows 8 oltre ad aver annunciato il supporto per architetture ARM, ha indicato come fondamentale la necessità di ricreare uno scenario che risultasse maggiormente adattabile a differenti modelli d'uso.

L'anno 2011 è iniziato da AMD con una serie di annunci che da tempo il mercato si attendeva. Ci riferiamo alla disponibilità delle prime soluzioni della famiglia Fusion, nome che identifica le architetture AMD che abbinano componenti CPU e GPU all'interno dello stesso blocco di silicio. Sono vari anni che AMD ha iniziato a discutere di questo tema, sin dalle prime conferenze stampa seguenti l'annuncio dell'acquisizione della canadese ATI. Rispetto ai piani originariamente previsti il debutto delle prime soluzioni Fusion è slittato in avanti sensibilmente, complice in questo la necessità di avere a disposizione una tecnologia produttiva sufficientemente sofisticata da accettare l'inclusione di due componenti come CPU e GPU senza ottenere quale risultato un chip di dimensioni mastodontiche.

Il primo frutto della strategia Fusion di AMD è quindi rivolto ai sistemi a più ridotte dimensioni, segmento di mercato che ha visto l'azienda americana impegnata marginalmente in quanto non in possesso di tecnologie ritenute sufficientemente interessanti per questo ambito di utilizzo. In occasione del CES di Las Vegas, a inizio Gennaio 2011, AMD ha presentato le prime soluzioni Fusion destinate all'utilizzo nella cosiddetta piattaforma Brazos: ci riferiamo alle APU note con i nomi in codice di Zacate e Ontario, architetture che si differenziano tra di loro per il TDP massimo pari rispettivamente a 18 Watt e a 9 Watt. La tabella seguente riassume le specifiche tecniche delle 4 versioni di APU che AMD rende disponibili ai propri partner.

Le soluzioni Zacate sono i modelli E-350 e E-240, rispettivamente dual e single core; entrambe sono basate su GPU Radeon HD 6310, soluzione che abbina due SIMD engine ciascuno con 40 stream processors con frequenza di clock di 500 MHz. Le proposte Ontario sono invece i modelli C-50 e C-30, anche in questo caso dual e single core; la GPU è quella Radeon HD 6250, architetturalmente identica a quella Radeon HD 6310 fatta eccezione per la frequenza di clock che scende a 280 MHz.Osservando le specifiche tecniche intuiamo in modo molto chiaro quali siano le potenzialità delle soluzioni AMD Zacate e Ontario: mettere a disposizione di sistemi di ridotte dimensioni, sia portatili come desktop, una potenza elaborativa di buon livello per la parte CPU che si abbini a valide funzionalità video grazie alla GPU DirectX 11 integrata. Le soluzioni Zacate sono indicativamente proposte per notebook e per sistemi desktop di ridotte dimensioni, mentre quelle Ontario sono ideali secondo AMD per l'utilizzo in sistemi netbook per via del valore di TDP molto contenuto nel complesso.

Le proposte Ontario, di conseguenza, si pongono sul mercato quale alternativa diretta alle CPU Intel della famiglia Atom, che notevole successo hanno riscontrato nel settore dei netbook più per una mancanza di alternative valide dal punto di vista del contenimento dei consumi.Entrando nel dettaglio delle specifiche tecniche di queste soluzioni Fusion segnaliamo come la componente GPU riprenda le caratteristiche architetturali delle schede video della famiglia ATI Radeon HD 5000 di fascia entry level. La vera novità riguarda la parte CPU, che vede il debutto di un'architettura completamente nuova indicata con il nome di Bobcat. A differenza del passato AMD non ha ripreso la propria architettura x86 sviluppata per sistemi desktop e server, contenendone il consumo così da poterla riadattare anche all'utilizzo mobile, ma ha seguito la strada di sviluppare una CPU che fosse sin dall'inizio pensata per contenere al massimo i consumi complessivi. L'approccio, benché con scelte tecniche differenti, riprende quello seguito da Intel per le CPU Atom, specificamente sviluppate per l'utilizzo in sistemi di più ridotte dimensioni ricercando il contenimento dei consumi quale obiettivo principale.

Quali sono gli elementi architetturali alla base di Bobcat? Il core è di tipo out of order, comune quindi alla maggior parte dei moderni processori x86 presenti sul mercato con l'unica significativa eccezione rappresentata dalle soluzioni Intel Atom. Questo approccio permette di ottenere migliori prestazioni velocistiche a scapito di un lieve incremento nei consumi complessivi, grazie alla possibilità del processore di riorganizzare le istruzioni da eseguire in modo tale che la loro esecuzione sia la più efficiente possibile in termini di prestazioni velocistiche. Pensiamo quindi alle soluzioni Bobcat come ad un ideale compromesso tra consumi e ridotte dimensioni delle soluzioni Intel Atom, abbinati alla potenza elaborativa di una cpu x86 di tipo out of order.Per minimizzare il livello di consumo complessivo di questi core AMD ha implementato varie tecnologie; segnaliamo quelle di clock gating e power gating, oltre a states di tipo low power ai quali il sistema può accedere per contenere al massimo il livello di consumo in idle. A completare le funzionalità una serie di innovazioni micro architetturali che riducono al minimo i trasferimenti di dati interni al chip, oltre a ridurre il numero di loro letture allo stretto indispensabile: l'approccio è quindi quello di fare in modo che quante più aree possibili del chip vengano mantenute in idle durante l'elaborazione, così da contenere al massimo i consumi.

Abbiamo ricevuto in prova uno dei primi netbook basati su piattaforma Brazos ad essere stato commercializzato nel mercato italiano. Si tratta del modello NB550D di Toshiba, soluzione che riprende le tradizionali specifiche di un netbook (display da 10 pollici con risoluzione di 1024x600 pixel) abbinando la APU AMD C-50.L'11 di Luglio del 2010 NVIDIA ha presentato sul mercato GeForce GTX 460, soluzione destinata alla fascia media del mercato e sviluppata sul chip video GF104, evoluzione di quella GPU GF100 che ha rappresentato il primo prodotto finale basato su architettura Fermi. Se i primi modelli dotati di GPU GF100, conosciuti sul mercato come GeForce GTX 480 e 470, non hanno convinto appieno, GF104 si è invece contraddistinta per un buon rapporto prestazioni/prezzo, andando inoltre ad ovviare a quella buona parte di problemi che i due modelli di fascia alta avevano evidenziato: consumi e temperature di funzionamento.Con lo sviluppo di GF104 NVIDIA ha apportato alcune modifiche architetturali alla GPU che hanno consentito di andare a ridurre in modo significativo i consumi; a conti fatti non è sbagliato dire che GF104 abbia rappresentato la prima declinazione realmente commerciale di Fermi. E con GeForce GTX 460 NVIDIA, a distanza di mesi, è tornata ad essere di nuovo concorrenziale sulla fascia media del mercato, altrimenti dominata dalla fortunata famiglia Radeon HD 5000 presentata da AMD tra il 2009 e il 2010.

Sono passati circa 6 mesi ed ecco che un nuovo modello arriva sulla fascia media del mercato: GeForce GTX 560 Ti. Agli albori dell'industria delle GPU, NVIDIA aveva utilizzato il suffisso "Ti" per identificare alcuni modelli delle famiglie GeForce 3 e GeForce 4. Gli utenti con qualche anno in più o con maggiore esperienza possono così ricordare GeForce 4 Ti 4800, che si differenziava dalla proposta dedicata al mercato mainstream GeForce 4 MX 440.NVIDIA presenta così una scheda video che dovrebbe, almeno sulla carta, andare a competere con la scheda AMD Radeon HD 6950. Stiamo quindi parlando di una soluzione che fa del rapporto prezzo/prestazioni la propria caratteristica principale. Queste le specifiche tecniche di GeForce GTX 560 Ti a confronto con la soluzione GeForce GTX 460:

La tabella evidenzia chiaramente su quali parametri NVIDIA abbia concentrato i propri sforzi per lo sviluppo della nuova soluzione GeForce GTX 560 Ti: incremento delle frequenza di clock e aumento nel numero degli stream processors. Secondo le informazioni fornite da NVIDIA stessa, GeForce GTX 560 Ti è in grado di garantire una miglioramento del rapporto performance/watt del 21% rispetto a GTX 460, risultando nei test prestazionali una media del 33% più veloce del modello precedente. Dal punto di vista puramente tecnico la nuova nata di casa NVIDIA usa la stessa configurazione degli Streaming multiprocessor di GeForce GTX 460, con 48 cuda core, quattro dispatch unit e otto texture unit per SM. Quello che di nuovo è presente in GF114 è il numero di stream processors, passato dai precedenti 336 a 384.La stessa tipologia di innovazioni introdotte da NVIDIA nel passaggio da GF100 a GF110 è riproposta anche nella nuova architettura di fascia mainstream: da questo l'aumento delle frequenze di clock, con positive ripercussioni prestazionali, senza penalizzazioni sui consumi come avremo modo di confermare in seguito nell'articolo.

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April 19, 2017

Laptop Akku HP EliteBook 8440w

Wie angekündigt wird das N8 nun ganz knapp Ende September ausgeliefert, Vorbesteller erhalten es aber erst im Oktober 2010. In der entsprechenden Ankündigung verweist Nokia darauf, dass das N8 erst zu einem späteren Zeitpunkt regulär in den Handel kommt, ohne genauer darauf einzugehen. Somit ist derzeit nicht bekannt, wann das erste Symbian-3-Smartphone in den Läden ist.Details zum Nokia N8 liefern die Artikel "Nokia N8 mit Symbian 3, WLAN-n und 12-Megapixel-Kamera" und "Nokia N8 ohne Flash 10.1 und mit fest integriertem Akku" bei Golem.de.Auf Nachfrage von Golem.de erklärte Nokia, dass das N8 "in den kommenden Wochen" in den Handel kommen wird. Auf ein genaues Datum wollte sich der Hersteller nicht festlegen. Es kann also bis November oder sogar Dezember dauern, bis das Symbian-3-Smartphone in den Regalen stehen wird.

Nokia hat Golem.de gegenüber betont, dass das N8 noch im Oktober 2010 in den Handel kommen wird.Der kleine Laser-Projektor ShowWX wird nun auch in Deutschland, Österreich und der Schweiz vertrieben. Der Hersteller Microvision stellte das Gerät im Januar 2010 auf der Consumer Electronics Show (CES) vor. Der ShowWX braucht keine zusätzliche Optik und muss nicht scharfgestellt werden - seine Laseroptik zeichnet das Breitbild mit 848 x 480 Pixeln direkt an die Wand. Golem.de konnte sich bereits auf der CES 2010 einen ersten Eindruck von dem 122 Gramm wiegenden und 118 x 60 x 14 mm großen Gerät machen - in einem hellen Saal lieferte der ShowWX bei Bilddiagonalen bis 14 Zoll (35,56 cm) ein helles Bild und ab etwa 20 Zoll (50,8 cm) wurde das Bild schwer erkennbar. Damit ist der kleine Laser-Beamer aktuellen LED-basierten Pico-Projektoren überlegen. Bis zu 100 Zoll (2,5 Meter) soll er in abgedunkelten Räumen liefern können, wobei dann aber die Bildauflösung negativ auffallen dürfte. Höhere Auflösungen will Microvision bei künftigen Pico-Laser-Projektoren bieten können. Der dafür benötigte schnellere Spiegel für die Ausrichtung der Laser soll bereits in Entwicklung sein. Der Spiegel im aktuellen ShowWX bewegt sich 30 Millionen Mal in der Sekunde.

Das CF-U1 hat zwei Akkus. Sie können im Betrieb gewechselt werden, so dass ein Akku immer das Gerät versorgt, während der leere Akku gerade getauscht wird. Die Akkulaufzeit soll maximal 9 Stunden mit beiden Akkus betragen, das bezieht sich allerdings auf eine sehr geringe Helligkeit, die Panasonic nicht genau angibt. Beim Vorgänger bezog sich der Wert auf eine Helligkeit von 60 cd/qm.Panasonics CF-U1 soll bereits verfügbar sein und kostet etwa 2.500 Euro in der Basisausstattung. Da sich die Modellbezeichnung nicht geändert hat, muss beim Einkauf darauf geachtet werden, dass kein altes CF-U1 bestellt wird.Panasonic gibt drei Jahre Garantie, garantiert eine Ersatzteilverfügbarkeit von fünf Jahren und verspricht, ein beschädigtes Gerät innerhalb von 96 Stunden abzuholen, zu reparieren und beim Kunden wieder anzuliefern.

Im Rahmen der Concept-Serie von Mozilla Labs ist mit Seabird ein Handykonzept entstanden. Das Mobiltelefon zeigt, wo die Entwicklung von Mobiltelefonen in der Zukunft hingehen könnte. Neben einem Bluetooth-Dongle zur Bedienung gibt es Projektionstastaturen. Das Gehäuse des Konzeptgeräts ist im oberen Bereich dicker als im unteren, dadurch soll es besonders bequem in der Hand liegen. Das Mobiltelefon ist mit Projektoren ausgestattet, die zum Anzeigen des Displaybildes dienen. Mit der Projektionstastatur ist auch die Eingabe von Texten möglich. Seit einiger Zeit ist es um das Thema Projektionstastatur in Mobiltelefonen wieder ruhiger geworden, nachdem es einige Zeit stark debattiert worden war. Projektionstastaturen erlauben es vom Platz her, im Zehnfingersystem zu tippen, allerdings fehlt die Möglichkeit, die Tasten zu erfühlen. Ein Tippgefühl wie auf einer herkömmlichen Tastatur ist also ausgeschlossen. Das Seabird bietet zwei verschiedene Projektionstastaturen zur Auswahl. Befindet sich das Mobiltelefon auf einer Dockingstation, wird das Handybild auf die Wand projiziert. Direkt vor dem Mobiltelefon befindet sich dann die Projektionstastatur.

Die zweite Nutzungsmöglichkeit sieht vor, dass das Mobiltelefon auf dem Tisch liegt und links und rechts vom Gerät jeweils eine Tastaturhälfte projiziert wird. Vor dem Mobiltelefon wird eine Projektionsfläche zur Bedienung à la Touchpad erzeugt. Ansonsten besitzt das Mobiltelefon selbst keine Hardwaretasten, so dass Eingaben ansonsten über eine Bildschirmtastatur erfolgen. Als weitere Besonderheit bietet das Konzept ein abnehmbares Bluetooth-Dongle, das in der Gehäuserückseite integriert ist. Das Dongle kann als Bluetooth-Headset verwendet werden, dient aber auch zur Handybedienung. So kann der Nutzer mit dem Dongle Zoom-Funktionen durchführen oder den Bildausschnitt verschieben, ohne dass der Bildschirm berührt werden muss. Dabei berücksichtigt das Dongle, wo es sich in der Luft befindet und reagiert entsprechend darauf.Der Akku im Mobiltelefon soll sich drahtlos aufladen lassen. Nähere Details dazu liegen nicht vor. Palms WebOS-Geräte Pre, Pre Plus und Pixi Plus verwenden bereits eine drahtlose Ladefunktion mittels Induktionstechnik.

Da es sich beim Seabird um ein Konzept handelt, ist unklar, ob ein solches Handy jemals auf den Markt kommt.BMW wird auf der Automesse in Paris im kommenden Monat die Konzeptstudie eines Elektrorollers vorstellen. Das Fahrzeug wird es als Ein- und als Zweisitzer geben. Ob es bei einer Konzeptstudie bleibt oder ob der Roller später in die Serienfertigung geht, ist offen. BMW will auf der Automesse Mondial de l'Automobile einen elektrisch betriebenen Motorroller vorstellen. Zwei Varianten des Scooter E Concept sollen vorgeführt werden: Die eine Ausführung ist ein Einsitzer, auf der Sitzbank der anderen findet auch noch ein Beifahrer Platz. Angetrieben wird der Roller von einem Elektromotor in der Nabe des Hinterrades. Als Energiespeicher dient ein Lithium-Ionen-Akku, der unter der Verkleidung am Heck des Motorrollers sitzt. Dort ist auch ein Ladekabel untergebracht, mit dem der Roller an die heimische Steckdose angeschlossen werden kann.

Der Motorroller wird mit einem Smartphone bedient, das ins Armaturenbrett eingeklinkt wird. Das Smartphone dient als Zündschlüssel, Anzeige und zentrales Bedienelement, etwa als Navigationssystem. Über Bluetooth kann der Fahrer unterwegs auch Musik hören oder telefonieren - BMW bietet einen Helm an, der über die entsprechende Ausstattung verfügt.Technische Daten wie die Leistung des Motors, die Reichweite mit einer Akkuladung und die Ladedauer sowie die Höchstgeschwindigkeit hat BMW nicht genannt. Auch dazu, ob eine Serienproduktion geplant ist oder ob der Scooter E Concept, wie der Name nahelegt, eine Studie bleibt, machte das Münchner Unternehmen keine Angaben.Der Scooter E Concept wird unter der Marke Mini laufen. BMW hat bereits den Mini mit einem Elektroantrieb ausgestattet. Der Mini E nimmt unter anderem am Elektromobilitätsprojekt Mini E Berlin teil. Im vergangenen Jahr hatte BMW einen elektrisch betriebenen Motorroller gezeigt. Dazu hatten die Bayern einen überdachten Motorroller C1 mit einem Elektromotor ausgestattet. Der C1-E ist jedoch ein Einzelstück.

Die Stiftung Warentest hat E-Book-Reader getestet. Die meisten Geräte schnitten im Test mit der Bewertung gut ab. Testsieger wurden die Geräte Bookeen und iRiver. Das Kindle DX konnte die Tester nicht überzeugen und bekam befriedigend. Die Berliner Stiftung Warentest hat für die Oktober-Ausgabe ihrer Zeitschrift Test E-Book-Reader unter die Lupe genommen. Zwei Drittel der Geräte bekamen von den Testern eine gute Note. Amazons Kindle DX schnitt hingegen nur mit befriedigend ab. 15 Lesegeräte haben sich die Berliner angeschaut, darunter den Digital Reader 800S des inzwischen insolventen niederländischen Herstellers iRex, den Wisereader N516 des chinesischen Herstellers Hanvon oder das Pocketbook 360° . Dabei war auch Apples Tablet iPad.Die Tester bewerteten unter anderem die Lesbarkeit in verschiedenen Beleuchtungssituationen sowie die Akkulaufzeit. Einige der Geräte wiesen nach Ansicht der Tester Schwächen bei direkter Sonneneinstrahlung oder im Dunkeln auf, darunter auch der Kindle DX. Das iPad war zwar im Dunkeln und bei mittlerer Beleuchtung sehr gut lesbar. In einer sehr hellen Umgebung hingegen spiegelte es stark und war damit kaum noch lesbar.

Schwächen zeigten einige Geräte bei der Akkuleistung: Obwohl die Bildschirme der E-Book-Reader, das sogenannte elektronische Papier, nur wenig Strom brauchen, waren die Akkulaufzeiten sehr unterschiedlich. Ein Gerät etwa machte schon nach wenige Stunden schlapp. Die Akkus der meisten Geräte hielten mehr als zwei Wochen durch. Wegen seines Flüssigkristallbildschirms war das iPad hier nicht konkurrenzfähig.Außerdem prüften die Tester, welche Dateiformate die Geräte darstellen können. Hier bemängelten sie "das Chaos um Dateiformate und Kopierschutz", das das Lesevergnügen schmälere. So solle der Käufer darauf achten, welchen Kopierschutz und welche Dateiformate der E-Book-Reader unterstützt. Keines der Geräte unterstützte beispielsweise alle Kopierschutzsysteme, und einige Hersteller, namentlich die von Amazon und Apple, setzten bei den digitalen Büchern ausschließlich auf proprietäre Formate.Die besten Geräte im Test waren das Cybook Opus von Bookeen und der iRiver Story, die für 222 Euro und 261 Euro zu haben sind. Das günstigste Gerät, das mit gut abgeschnitten hat, ist der PRS-300 Pocket Edition von Sony, der 172 Euro kostet. Sony war im Testfeld noch mit einem zweiten Gerät vertreten, dem PRS-600 Touch Edition.

Das Schlusslicht bildeten das Foxit eSlick und Ectaco Jetbook-Lite, die beide nur mit ausreichend bewertet wurden. Beim Foxit-Gerät bemängelten die Tester die schlechte Lesbarkeit in sehr heller oder dunkler Umgebung. Das Jetbook-Lite fiel wegen der Laufzeit durch: Sein Akku war bereits nach acht Stunden leer.Wer viel unterwegs ist, hat sich das bestimmt schon einmal gewünscht: einen Rucksack, der Akkus von Notebook, Smartphone und MP3-Player aufladen kann. Demnächst kommt mit dem Trek Support ein solcher Rucksack eventuell auf den Markt. Der Rucksack besitzt eine herausnehmbare Ladestation samt integriertem Akku. Wenn etwa das Notebook an die Ladestation angeschlossen wird, wird der Notebookakku beim Transport geladen. Bis zu drei Geräte lassen sich per USB-Anschluss zeitgleich mit der Rucksackladestation laden. Neben Platz für ein 15-Zoll-Notebook gibt es drei weitere Fächer zur Unterbringung etwa einer mobilen Spielekonsole, einer Kompaktkamera oder eines MP3-Players.

Die herausnehmbare Ladestation ist mit einem Netzkabel versehen. Einerseits lässt sich damit der integrierte Akku laden, der eine Laufzeit von sieben Stunden bieten soll. Nähere Angaben zum Akku liegen nicht vor. Andererseits lassen sich auch die Akkus der angeschlossenen Geräte auf diesem Weg laden. Der Nutzer kann also mehrere Geräte über eine Steckdose laden.Neben dem Hauptfach bietet der Rucksack zwei weitere Fächer für Kleinkram. An einem der beiden Tragegurte ist eine Tasche befestigt, um Mobiltelefon oder Musikplayer griffbereit am Rucksack zu haben. Zudem gibt es Stauraum für Kopfhörer. Eine der beiden Taschen hat eine Verbindung zur Ladestation, so dass sich der Akku vom MP3-Player oder Mobiltelefon laden lässt, ohne dass die Geräte tief im Rucksack vergraben sein müssen.

Der Hersteller Quirky bietet den Rucksack Trek Support derzeit zum Vorbestellen zu einem Preis von 130 US-Dollar an. Allerdings wird der Rucksack erst gefertigt, wenn mindestens 1.200 Exemplare vorbestellt wurden. Erst dann muss die Bestellung bezahlt werden. Wenn der Rucksack dann regulär verfügbar ist, steigt der Preis auf 150 US-Dollar. Wann der Rucksack auf den Markt kommt, ist noch nicht bekannt. Zunächst wird es ihn nur in den USA geben, ob er später auch in Deutschland angeboten wird, steht noch nicht fest.Pentax bringt ein neues Spitzenmodell im Semiprofisegment auf den Markt, das die K-7 ablösen soll. Die neue Spiegelreflexkamera K-5 verfügt über einen Sensor mit einer höheren Auflösung, eine verbesserte Videofunktion und eine deutlich höhere Lichtempfindlichkeit als der Vorgänger. Pentax stellt mit der K-5 eine digitale Spiegelreflexkamera (DSLR) vor. Die Kamera ist eine Weiterentwicklung der K-7 und soll diese als Spitzenmodell im oberen Semiprofisegment ablösen. Bei den Abmessungen unterscheiden sich die beiden Kameras nicht: Beide Gehäuse messen 130,5 x 96,5 x 72,5 mm und wiegen ohne Akku und Speicherkarte (SD und SDHC) 670 Gramm. Wie der Vorgänger ist auch die K-5 durch spezielle Dichtungen gegen Spritzwasser und Staub geschützt.

  1. http://support.viralsmods.com/blog/main/1997479/
  2. http://s15.zetaboards.com/davydenko/forum/3380562/
  3. http://akkusmarkt.bling.fr/
  4. http://akkusmarkt.freeblog.biz
  5. http://certamente1.diarynote.jp/

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Batteria per PC portatile Toshiba PABAS105

Il notebook Acer Aspire 5552G è un modello ormai disponibile sul mercato da alcuni mesi, appartenente a una tipologia di prodotto entry level che troppo spesso trascuriamo su queste pagine. Non si tratta certo di un prodotto dalle caratteristiche tecniche avanzate ma per alcuni utilizzi potrebbe rivelarsi un'interessante soluzione. Inoltre, il prezzo di listino di 699,00 Euro IVA compresa lo rende appetibile per chi ha un budget di acquisto limitato.Il target di riferimento di questa soluzione è l'utente consumer, che cerca una piattaforma dal costo non elevato in senso assoluto da utilizzare per impieghi di produttività personale oltre all'intrattenimento. L'utilizzo tipico di questo prodotto riguarda pertanto la fruizione e creazione di contenuti, la multimedialità e la produttività personale, il tutto fatto in mobilità o tra le mura di casa. Inoltre, l'hard disk da 500GB previsto da Acer offre buone possibilità di storage in locale per musica, video e documenti in generale.Immediatamente sotto la tastiera notiamo la presenza del logo Windows 7 accanto a quella AMD Vision, nella declinazione Ultimate. L'approccio Vision di AMD prevede 4 differenti tipologie di soluzioni:

Vision: è l'implementazione base, destinata ai notebook più economici ma in ogni caso in grado di riprodurre flussi video ad alta definizione senza problemi.
Vision Premium: un notebook Vision Premium è in grado di eseguire più applicazioni contemporaneamente mantenendo un buon tasso di risposta ai comandi, oltre a giochi di fascia mainstream. Varie funzionalità multimediali sono supportate, come la conversione di tracce audio, editing di immagini base, riproduzione di film ad alta definizione, utilizzo di webcam.
Vision Ultimate: oltre a quanto indicato nei due livelli precedenti un notebook Vision Premium permette di riprodurre flussi video Blu-ray 3D, ovviamente a condizione che il lettore sia installato, di eseguire editing di immagini e video oltre a permettere di eseguire giochi 3D.
Vision Black: al livello più alto, Vision Black, AMD fornisce GPU compatibile con le API DirectX 11, estendendo le potenzialità delle soluzioni Vision Ultimate con ancor più elevata potenza elaborativa.
Questo approccio, secondo quanto sviluppato da AMD, permette di riconoscere facilmente i vari notebook presenti sullo scaffale del rivenditore semplicemente facendo in modo che l'utente identifichi il proprio utilizzo abituale del sistema con uno dei 4 scenari della famiglia Vision. Mancano del resto, per precisa scelta del produttore, informazioni su quali siano i vari componenti integrati in termini di processore, scheda video e altre periferiche accessorie all'interno del piccolo sticker di AMD.

Le specifiche tecniche di questo notebook vedono l'abbinamento di un processore Phenom II N830 con architettura triple core con una scheda video discreta, modello ATI Mobility Radeon HD 5650. La CPU, con una frequenza di clock di 2,1 GHz, si pone di fatto a metà strada tra le soluzioni dual core e quelle quad core dal punto di vista prestazionale, risultando più interessante della prima tipologia di CPU nel momento in cui si utilizzano applicazioni multimediali e in generale programmi che sono fortemente multithreaded.La GPU ATI Mobility Radeon HD 5650 è proposta di fascia media, derivata dalla corrispondente scheda desktop Radeon HD 5670; l'architettura vede 400 stream processors con frequenza di clock di 550 MHz, abbinati a una dotazione di memoria video pari a 1 Gbyte con moduli DDR3 con frequenza di clock effettiva di 1.600 MHz, abbinati a bus da 128 bit di ampiezza. L'architettura prevede supporto alle API DirectX 11, al pari del resto di tutte le altre schede video Mobility Radeon HD della serie 5000. Segnaliamo come questa GPU abbia le stesse specifiche tecniche del modello Mobility Radeon HD 5750, con l'unica differenza rappresentata per quest'ultima dall'utilizzo di memoria GDDR5 e quindi da un raddoppio della bandwidth massima teorica.

I restanti elementi accessori sono standard per notebook di questo tipo. Lo schermo, da 15,6 pollici di diagonale, ha risoluzione massima di 1.366x768 pixel mentre il lettore ottico è un tradizionale DVD multistandard, alternativa ad un più costoso lettore Blu-ray che non sarebbe pienamente sfruttato vista la risoluzione massima dello schermo. Dimensioni e peso sono allineati allo standard, considerando il costo d'acquisto del notebook, mentre il peso di 3,6 Kg è non ridotto in assoluto ma anche in questo caso allineato al posizionamento di mercato.Windows Phone 7 è stato sicuramente uno dei temi più discussi nel corso dello scorso anno nel settore della telefonia mobile. Il sistema operativo di Microsoft venne annunciato nel corso del Mobile World Congress di Barcellona tenutosi nel mese di febbraio, e dopo aver fatto parlare di sé per mesi fece il suo esordio ufficiale nello scorso mese di ottobre. Il nuovo OS del colosso di Redmond è stato scelto in un primo momento per equipaggiare terminali di marchi importanti come LG, Samsung,HTC e Dell, e successivamente, come ormai noto, anche da Nokia, che ha posto la propria attenzione su questo neonato sistema operativo, decidendo di affidare ad esso il compito di risollevare le sorti dei propri dispositivi al top della gamma.

Il passaggio di consegne tra Windows Mobile e Windows Phone 7 ha letteralmente segnato l' inizio di una nuova era per quanto riguarda il concetto di sistema operativo mobile per la compagnia americana. I cambiamenti radicali apportati dal colosso di Redmond nei confronti della filosofia alla base del sistema operativo sono sotto l' occhio del pubblico fin dal primo istante in cui si impugna un terminale WP7 e ne costituiscono nel confronto con il passato, il metro di giudizio.Si tratta di un cambiamento di rotta non indifferente che porta dritto verso un utenza completamente diversa rispetto al predecessore Windows Mobile 6.5. A partire dall'esperienza di utilizzo, passando per il design dell'interfaccia, il marketing che lo circonda e la spiccata propensione per la multimedialità, Windows Phone 7 sembra essere rivolto, infatti, a un pubblico essenzialmente consumer, con espedienti pensati per facilitarne l'utilizzo e personalizzazioni limitate. Nonostante questo nuovo indirizzo, Microsoft non ha comunque dimenticato la parte business, verso cui il colosso di Redmond sembra avere sempre un occhio di riguardo; un esempio può essere dato dalla connettività ai servizi Exchange, come anche la presenza completa del supporto ai principali programmi della suite Office.

La discontinuità con il passato, così evidente sin da subito, dovrebbe costituire nelle intenzioni di Microsoft, il punto di forza del nuovo OS. Dopo un primo contatto con il sistema operativo, descritto nella recensione di Lg Optimus 7 qualche mese fa, abbiamo avuto la possibilità di provare per qualche settimana due dei terminali marchiati HTC che portano in dote proprio il sistema operativo mobile di Microsft. Le soluzioni in questione prendono il nome di HTC HD 7 e HTC Mozart e di seguito vi proponiamo le nostre considerazioni dopo il periodo di test.Il segmento dei tablet rappresenta il principale candidato a giocare il ruolo di protagonista nel 2011: l'ultima edizione del Mobile World Congress ha messo in evidenza una tendenza chiara e precisa. Tutti i principali produttori mondiali hanno infatti sfoggiato per l'occasione le proprie soluzioni tablet PC, sviluppate su diversi sistemi operativi e basate su differenti piattaforme hardware.Se il sistema operativo che sembra destinato a giocare un ruolo determinante sul mondo tablet, antagonista dell'iOS di Apple, è Android di Google, la piattaforma che sembra essere più apprezzata dai produttori è Tegra 2 di NVIDIA. La manifestazione tenutasi in terra catalana ha comunque mostrato una concorrenza piuttosto agguerrita, tale da rendere il segmento tablet sicuro e prossimo terreno di sfida per molte aziende.

Sono molte le previsioni che circolano al momento circa il mercato delle soluzioni tablet: tutte concordano su un tasso di crescita importante, già nel 2011, ma il prezzo giocherà molto. Apple ha commercializzato nel solo 2010 ben 15 milioni di unità iPad; si tratta di un fenomeno che ha conosciuto una crescita verticale, spinto fortemente dal fattore novità. Samsung è invece rimasta al palo distribuendo solamente 2 milioni di Galxy Tab.Ad occupare un ruolo fondamentale, dicevamo, potrebbe essere sicuramente il prezzo di commercializzazione cui si assesteranno le unità Tablet. Per avere un riferimento andiamo ad analizzare le unità netbook, fenomeno di mercato esploso diversi anni fa: tali dispositivi hanno raggiunto importanti volumi di vendita grazie soprattutto ad un costo estremamente competitivo.Nel 2010 i netbook hanno fatto segnare ancora piccoli margini di crescita, ma si sono ora stabilizzati sulla loro fetta di mercato. Si parla di un volume pari a 35 milioni di unità nel caso dei produttori più attivi in tale segmento, Acer su tutti. Il volano, nemmeno a dirlo, è proprio il costo per l'utente finale.

Nel caso delle soluzioni tablet l'asticella del prezzo va spostata più verso l'alto e, secondo le prime impressioni, dovrebbe assestarsi sulla soglia dei 500 euro iva inclusa. Un prezzo elevato che, secondo l'opinione di molti, potrebbe impedire una massiccia diffusione di un prodotto che, per quanto completo, è complementare ad un normale notebook.Ecco allora come si prospetta lo scenario che ci troveremo ad affrontare nei prossimi mesi.In attesa che i grandi nomi arrivino sul mercato con le proprie soluzioni, quindi, andiamo ad analizzare un dispositivo sviluppato da una azienda italiana, caratterizzato da un display con diagonale di 11,6" e di tipo capacitivo. Ergo Tabula, è il prodotto oggetto di questa recensione. A seguire la lista delle caratteristiche tecniche:La soluzione di Ergo è un dispositivo che rientra nella categoria di quelli che potremmo definire Atom-based: il processore sviluppato da Intel che ha consacrato la diffusione su larga scala dei sistemi notebook, sta quindi anche alla base del tablet di Ergo. Il processore, Intel Atom N450 opera alla frequenza di 1,66GHz è prodotto con processo a 45 nanometri ed identificato dal nome in codice Pineview.

Si tratta dell'evoluzione della soluzione Diamondville (Atom N270), anche se il livello prestazionale è rimasto pressochè invariato. La differenza principale tra le due classi di processori Atom riguarda l'integrazione del controller grafico all'interno di Pineview. Per la gestione dei flussi video in alta definizione, la soluzione di Ergo è dotata di un chip Broadcom Crystal HD, che consente di poter garantire una corretta riproduzione di tali contenuti.La nuova incarnazione di Deus Ex è ambientata nel 2027. Un futuro prossimo in cui il mondo non è stravolto, rispetto a quello di oggi, ma le novità scientifiche ci sono. E le mode sono notevolmente cambiate.La società appare maggiormente divisa e stratificata. Le differenze tra le classi si sono acuite, così come quelle tra i paesi sviluppati e quelli più poveri. Lo sviluppo degli edifici prosegue sempre più in verticale, le comunicazioni interne alle città avvengono ancora su strada e su ruota, ma è sempre più semplice spostarsi via aria. Le metropoli, nel 2027, sono maggiormente cupe, fumose e claustrofobiche. I tablet si sono definitivamente imposti come lo standard della comunicazione. Le persone si vestono seguendo un elegante stile, che ha manifesti richiami all’abbigliamento di epoca vittoriana.

In questo futuro prossimo, la principale innovazione scientifica riguarda le modifiche che si possono applicare al corpo umano, per migliorarne prestazioni, resistenza e resa. Si tratta di un complesso – e costosissimo – sistema di interventi psico-fisici, che le grandi multinazionali di settore mettono a disposizione di ciascun essere umano. Se se lo può permettere. E questo ‘gioco a fare Dio’, come inevitabile, ha scatenato le polemiche più accese: feroci e violenti dibattiti tra favorevoli e abolizionisti, infatti, si sono sviluppati in tutto il pianeta. Soprattutto, come prevedibile, negli Usa, dove il Presidente è sotto enorme pressione. Intendiamoci, il mondo del 2027 non è nel caos totale, ma la tensione è forte e palpabile.Insomma, i ragazzi di Eidos Monteral hanno preparato un setting solido e intrigante per il loro nuovo titolo, su cui sembrano puntare molto. E questo è davvero un buon segnale, visto che per creare un’esperienza memorabile, è necessario far muovere il giocatore in un contesto e in una vicenda profondi e interessanti.

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