April 21, 2017

Batterie SONY VGP-BPS22

La connectique enfin, à savoir l'entrée analogique en mini-jack et le port micro-USB pour le recharge, se situe à l'arrière et est dissimulée sous un cache en caoutchouc — splashproof exige. La XB2 n'est certes pas immersible, mais n'est pas non plus une mauviette : certifiée IPX5, elle est donc protégée contre les jets d'eau de toutes directions à la lance (buse de 6,3 mm, distance 2,5 m à 3 m, débit 12,5 l/min ±5 %). Notons malgré tout l'absence d'un port USB pour la recharge d'appareils mobiles (smartphone, tablette, baladeur, etc.). En parlant de recharge, l'autonomie annoncée à 12 heures tient bien ses promesses (12 h 27 min mesurées). Sur la tranche, enfin, on découvre un discret "ADD" qui permet de coupler deux XB2 pour profiter d'une véritable stéréophonie, ou tout simplement d'une plus grande puissance. Les leds L/R à son chevet indiquent si l'enceinte est assignée au canal droit ou gauche — après, vous faites bien ce que vous voulez.

La XB2 est certes catégorisée enceinte portable, cependant elle pourrait quasiment être considérée comme une ultra-portable. Et au vu de ce petit gabarit, doudou dis-donc, qu'est-ce qu'elle envoie ! Il ne s'agit pas de s'arracher les tympans en l'écoutant à niveau maximal, mais plutôt de bénéficier d'un volume d'écoute moyen à fort avec un taux de distorsion relativement faible : puisque la XB2 a de la réserve, elle peut sans aucun problème sonoriser une pièce de volume moyen, surtout en Bluetooth. Réponse fréquentielle de la SRS-XB2 : analogique en noir, Bluetooth en bleu, Bluetooth + Extra Bass en vertComme une personne agréable à vivre, la XB2 est une enceinte agréable à écouter. Sans Extra Bass, elle se concentre plutôt sur la partie haute du spectre et offre un niveau de détails tout à fait correct. Les voix sont sur le devant de la scène, et les aigus, légèrement chimiques, ne sont toutefois jamais agressifs. Lorsque l'on se place bien dans l'axe, les haut-parleurs délivrent une performance relativement équilibrée à partir de 400 Hz. Cependant, dès que l'oreille se décentre, la réponse se resserre autour des médiums et devient plus nasale. Dommage, étant donné que les enceintes nomades — contrairement à leurs copines du monitoring — ne sont pas vraiment faites pour être religieusement écoutées depuis un sweet-spot.

Difficile de nier le succès de Windows 10 du côté de l'informatique grand public (PC fixe et PC portable), le système d'exploitation étant désormais installé sur plus de 350 millions de machines. Un chiffre cependant à nuancer, les méthodes de Microsoft pour pousser les utilisateurs à passer Windows 10 étant assez agressives, voire très intrusives. Rappelons d'ailleurs que la migration depuis Windows 7 et 8.1 est toujours gratuite, et ce jusqu'au 28 juillet à minuit. Il est donc logique que W10 connaisse un taux d'adoption record, d'autant plus que l'OS est globalement très réussi. Bref, sur le papier, tout était réuni pour que Microsoft atteigne le milliard d'appareils l'utilisant d'ici un peu plus de 2 ans. La mobilité est une épine dans le pied de MS Un objectif qui ne sera cependant pas atteint, comme le confirme Yusuf Medhi — vice-président de la division Windows et appareils — à nos confrères de ZDNet :

"Windows 10 est un des plus beaux démarrages de l'histoire, avec 350 millions d'appareils actifs, et une satisfaction record des clients. Nous sommes satisfaits de notre progression, mais, en raison de la focalisation sur le business du mobile, il nous faudra plus de temps pour atteindre le chiffre de 1 milliard d'appareils actifs." Traduction : nous sommes réellement à la peine sur la mobilité, un marché dominé par Google et Apple, et nous ne récoltons que quelques miettes. On rappelle en effet que Microsoft a très largement perdu du terrain depuis 1 an, passant de 2,5 % de parts de marché au premier trimestre 2015, à 0,7 % au premier trimestre 2016 et 4,1 % en France. Et, très honnêtement, on voit difficilement comment la tendance pourrait s'inverser. Le moniteur Acer H277HU embarque une dalle IPS de 27 pouces affichant une définition Quad HD de 2 560 x 1 440 px. Il se démarque de la concurrence par son design et surtout par la présence d'un port USB Type C qui permet d'y connecter un ordinateur portable à l'aide d'un seul câble. Attention, nous avons testé la référence exacte Acer H277HUsmipuz. Le fabricant commercialise aussi deux autres moniteurs partageant le même design et portant quasiment la même référence : l'Acer H277HUsmidpx qui troque l'USB-C et les ports USB 3.0 pour une entrée DVI et audio, et l'Acer H277Hsmidx, à moins de 300 €, qui est en Full HD. Notre Acer H277HUsmipuz est vendu environ 500 €.

Le design est soigné avec un cadre d'écran très fin et même une bordure inférieure relativement discrète. Cette dernière est en plastique avec un rendu de type aluminium brossé plutôt réussi. Enfin, le revêtement de la dalle est mat ; un bon point ! Le réglage du pied se limite à l'inclinaison entre -5° et +15°. Il est impossible de régler la hauteur, de jouer sur la rotation ou encore de passer le moniteur en mode portrait. On note ici la finesse extrême de l'écran. L'arrière est en plastique blanc brillant, une matière sensible aux traces de doigt. Sur notre exemplaire de test, le pied est doré, mais ce n'est pas le cas de la version commerciale où le pied est argenté. Toute la connectique est regroupée à l'arrière. Elle se compose d'une entrée HDMI, d'une entrée DisplayPort, de deux ports USB 3.0 et donc d'un port USB Type-C (voir encadré qui fait sa particularité. L'alimentation est externe. Attention, cet écran existe aussi en version DVI, sans USB type C et sans hub USB 3.0. Le moniteur embarque aussi deux enceintes de 3 W dont le rendu est anecdotique.

L'accès à l'OSD se fait via les cinq boutons présents sous la tranche de l'écran, le sixième étant réservé à la mise sous tension. Comme d'habitude, cette disposition n'est pas des plus agréable et les erreurs de manipulation sont fréquentes. L'OSD est quant à lui plutôt clair et permet de jouer avec pas mal de réglages (Gamma, température, overdrive, luminosité, contraste).Nous avons mesuré la consommation à 20,3 W sur notre mire de test avec un blanc calibré à 150 cd/m². La consommation relative est ainsi de 100 W/m², identique à celle de la moyenne des moniteurs testés au laboratoire.Sorti du carton, le moniteur Acer H277HU offre une image de qualité. Les couleurs sont fidèles, avec un Delta E — différence entre la couleur demandée et la couleur affichée — de seulement 2,9. La courbe de gamma est pour sa part relativement stable (moyenne à 2,3) et la température des couleurs,

Par défaut, la luminosité de 380 cd/m² est trop élevée. Nous ajustons alors la luminosité à 14 pour obtenir un blanc proche des 150 cd/m². La température est toujours placée sur chaud. Avec ces réglages, le rendu n'est pas forcément meilleur. La fidélité des couleurs est un peu moins bonne (Delta E à 3,7), le gamma n'est pas plus stable et la moyenne tombe à 2,1 alors que la température est désormais trop froide (5 670 K). Le passage à la température "claire" ne change pas la donne avec une moyenne à 7 880 K, un Delta E à 3,4 et un gamma à 2,1.La calibration est salvatrice sur ce modèle. L'application d'un profil ICC permet de stabiliser les courbes de température et de gamma avec des valeurs parfaites (respectivement 6 500 K et 2,2). De son côté, le rendu colorimétrique est tout simplement parfait (Delta E à 1,5). Ce profil colorimétrique est disponible sur Focus Numérique. Équipé d'une dalle IPS, le moniteur Acer H277HU ne fait pas de miracle en termes de contraste. Nous avons mesuré ce dernier à 1 010:1 ; ce n'est donc pas ce qui se fait de mieux parmi les dalles IPS que nous avons testées, dont les meilleures représentantes dépassent les 1 300:1. L'avantage de la dalle IPS reste ses angles de vision très larges qui réduisent les variations de luminosité lorsque l'utilisateur n'est pas en face de l'écran. Ce moniteur reste très loin des meilleurs moniteurs VA — le Eizo Fortis FG2421 ou le BenQ BL2410PT — dont le contraste dépasse 3 000:1.

L'écart moyen d'homogénéité est de seulement 5 % sur l'ensemble de la dalle. Nous n'avons pas constaté de fuite de lumière ni de clouding.Comme la majorité des moniteurs modernes, l'écran AOC n'utilise plus la modulation de largeur d'impulsion (PWM ou Pulse Width Modulation) pour gérer les leds du système de rétroéclairage. Cela permet de réduire la luminosité sans risquer un effet de scintillement qui provoquerait une fatigue des yeux et des maux de tête aux personnes les plus sensibles. Cette fonctionnalité est dénommée « Flicker Free » afin de signifier l'absence de scintillement. Le moniteur Acer H277HU permet de régler l'overdrive. Lorsqu'il est désactivé, on constate un effet de ghosting et une augmentation du temps de rémanence. L'activation de l'overdrive sur le mode normal permet d'améliorer le temps de rémanence, toujours en limitant l'effet de reverse ghosting. En revanche, le passage de l'overdrive au plus haut niveau entraine un effet de reverse ghosting gênant. Nous avons ainsi mesuré le temps de rémanence à 10 ms avec l'overdrive en "normal" ; une valeur assez bonne pour une dalle IPS, mais elle ne peut rivaliser avec les dalles TN qui descendent à 5 ms. Au final, l'écran Acer est assez polyvalent et il conviendra aussi bien pour la bureautique que pour le visionnage de vidéos ou encore le jeu, et ce d'autant plus que le retard à l'affichage est de seulement 9,5 ms. Il n'y a donc aucun décalage perceptible entre l'action effectuée à la souris ou la manette et sa répercussion à l'écran. Le G551JM appartient à la série ROG qu'Asus destine aux joueurs. Contrairement au modèle 17,3 pouces qui s'adresse aux plus exigeants, ce modèle de 15,6 pouces privilégie la polyvalence aux performances brutes. On trouve donc à l'intérieur un processeur i7, un SSHD et une carte graphique Nvidia GeForce de dernière génération.

Le châssis du G551JM est assez sobre. Il emprunte discrètement le code couleur noir et rouge de la série ROG. L'ensemble du châssis est donc noir, avec un capot en aluminium, un repose-poignet en plastique mat et une base en plastique granuleux, tandis que la couleur rouge est réservée au logo ROG, au cerclage du châssis et aux grilles de ventilation. L'ensemble est correctement assemblé. L'encombrement le situe dans la moyenne supérieure de ce genre de machine (383 x 255 x 28 mm pour un poids de 2,7 kg).Le clavier est du même — très bon — niveau que celui du N550JK. On retrouve des touches bien espacées, de bonne taille et qui offrent un contact agréable. Il dispose de tous les raccourcis que l'on attend et d'un pavé numérique. Le touchpad de bonne taille permet une manipulation aisée du pointeur, qui réagit vivement. Il offre tous les raccourcis propres à Windows 8.La connectique se compose de trois ports USB 3.0, un port Ethernet, un HDMI, un mini-DisplayPort, un lecteur de carte et un graveur de DVD. La connectivité sans fil n'a pas été oubliée, avec le Bluetooth et le Wi-Fi. Ce dernier offre un signal relativement stable, à -48 dBm entre 5 et 10 mètres et qui tombe à -53 dBm à 20 mètres.

Avec sa configuration relativement puissante, on aurait pu s'attendre à ce que le G551JM chauffe beaucoup. Heureusement il n'en est rien. En plein stress-test, la machine n'a pas dépassé les 56,3°C ; un résultat honorable pour une configuration gamer. Le niveau de bruit est également très bon, avec un maximum de 42 dB enregistré par notre sonomètre.La dalle IPS Full HD offre une luminosité maximale de 314 cd/m² et un taux de contraste de 947:1. Des valeurs qui permettent à cet écran de rester exploitable dans les environnements les plus lumineux, en particulier grâce au revêtement mat efficace qui le recouvre.La colorimétrie est pour sa part assez bonne. Le deltaE s'établit à 5,2, une valeur honorable même si elle est un peu plus haute que celle des meilleurs laptops (qui atteignent les 3). La température des couleurs se situe à 7901 K ; les images affichées tirent donc légèrement sur le bleu, sans que cela ne devienne gênant. La courbe de gamma affiche certainement la moins bonne mesure et traduit des blancs brûlés et des gris foncés perdus dans le noir.

Posted by: akkusmarkt at 07:51 AM | No Comments | Add Comment
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