April 24, 2017

Batterie Acer Aspire 5741G

La gestion de la chaleur est le gros point faible de cet ordinateur. Lors de notre stress-test, la machine a atteint un maximum de 67,3°C au niveau des extractions d'air arrière, et 50,7°C sur une partie du clavier. Ces températures élevées sont dues à un système de refroidissement sous-dimensionné et à la compacité du châssis. Autre point négatif : le bruit des ventilateurs qui peut atteindre 53 dB(A). Il est possible de régler la ventilation sur 3 modes, mais le plus silencieux bride les performances de la machine. Le niveau intermédiaire fait souffler les ventilateurs par intermittence, tandis que le dernier les fait tourner à plein régime sans interruption, ce qui devient vite insupportable.L'Aorus s'équipe d'une dalle QHD+ (3200 x 1800 px) mate. Sa luminosité maximale s'établit à 419 cd/m², pour un excellent taux de contraste de 1536:1. Une utilisation en environnement très lumineux est donc tout à fait possible. Asus G751tempcou(1) Asus G751gamma Asus G751DeltaE(2)

La colorimétrie suit la même tendance, avec un DeltaE — écart entre les couleurs idéales et les couleurs mesurées — à 4, ce qui est correct, même si les meilleures machines descendent sous la barre des 3. La température des couleurs s'établit à 6855 K, très près des 6500 K attendus. La courbe de gamma frôle la perfection, avec une ligne presque horizontale à 2,2 et donc des niveaux de gris très bien respectés.Malgré ces bons résultats, on ne peut s'empêcher de se demander pourquoi le constructeur a choisi une telle définition, surtout pour une dalle de 14 pouces. Elle n'est absolument pas exploitable en utilisation simple, et encore moins en jeu, où les performances sont bridées par une telle définition.La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-4860HQ, 16 Go de mémoire, un chipset Nvidia GeForce GTX 870M et deux SSD en RAID 0 d'une capacité totale de 461 Go. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les Aorus X3, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.

La configuration de cet Aorus est la plus performante de notre comparatif, avec un indice de 151. Il se place donc devant le MSI GT72 (14 ou l'Asus N751 (146). Ces résultats sont dus à la présence d'un processeur fonctionnant à des fréquences plus élevées que celles des modèles concurrents et grâce à la présence du RAID 0 de SSD.En pratique, le démarrage ne demande que 6 secondes, et l'extinction 8 s. Tous les programmes se lancent instantanément, les tâches les plus lourdes sont exécutées en un minimum de temps (notre test Lightroom en 265 s, soit 60 s de moins que ses concurrents). On peut donc l'utiliser pour tout type de tâche sans jamais avoir peur de manquer de ressources.L'Aorus X3 Plus est équipé d'une puce graphique d'ancienne génération, la Nvidia GeForce GTX 870M. Cette carte ne dépasse que de peu les performances d'une Nvidia GTX 860M et se trouve largement distancée par sa remplaçante, la GTX 970M.

Les résultats en jeux sont de premier ordre... en Full HD (définition utilisée lors de nos tests). Sachez tout de même que nos tests n'ont jamais dépassé 10 i/s dans la définition native de l'écran, qui s'avère donc inutilisable en jeu.La carte fait tourner des titres comme Tomb Raider, Bioshock Infinite ou Battlefield 4 à plus de 40 i/s en Full HD avec tous les détails au maximum. Dans des titres plus gourmands, comme Crysis 3 ou Hitman Absolution, on tombe à une moyenne de 25 i/s avec les mêmes paramètres graphiques ; il faut alors réduire certains réglages pour vivre une expérience satisfaisante.Le châssis de 13,9 pouces est assez compact (330 x 263,5 x 22,9 mm) et se glisse donc assez facilement dans un sac, d'autant plus que son poids (1,8 kg) reste très acceptable pour une machine gamer. Malheureusement l'autonomie se limite à 2h45 dans notre test (visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², rétroéclairage du clavier éteint, casque branché . Malgré la petite taille du châssis, le constructeur a réussi à y intégrer une connectique assez complète : deux ports USB 3.0, un port USB 2.0, un HDMI, un mini-DisplayPort, un RJ45, une entrée jack micro, une sortie casque (compatible SPDIF) et un lecteur de carte SD.

La sortie casque est de bonne qualité. Elle offre une spatialisation très correcte et très peu de distorsion. Son seul défaut vient de son léger manque de puissance, mais rien de rédhibitoire. Les haut-parleurs sont, comme de coutume sur les ordinateurs portables, assez décevants. La courbe de réponse en fréquence est repliée sur les médiums, ce qui se traduit à l'écoute par un son reproduisant correctement les voix, mais qui laisse aux abonnés absents les basses et les aigus. Toshiba présente ses nouveautés en matière d'ordinateurs portables. Toutes ses séries ou presque sont mises à jour, avec l'intégration de nouveaux processeurs et de nouvelles cartes graphiques. Nous commençons ce tour d'horizon par la série C, qui constitue l'offre du constructeur en matière d'ordinateurs portables entrée de gamme. Ces deux déclinaisons embarquent un écran de 15,6 pouces avec une définition de 1 366 x 768. Le Satellite C55C intègre un processeur Intel (jusqu'à l'Intel Core i5-500U), tandis que le C55D-C est équipé en processeur AMD (A8-7410). Ils sont accompagnés par un maximum de 16 Go de mémoire vive et un disque dur mécanique d'une capacité allant jusqu'à 2 To ou d'un SSD de 256 Go (exclusivement pour les modèles Intel).

La partie graphique est confiée soit à des chipsets intégrés Intel Graphics HD 5500, soit à une carte Nvidia GeForce 930M ; pour les modèles avec un APU AMD, on retrouve des cartes graphiques dédiées AMD Radeon Série AMD Radeon R5 M330. Concernant le châssis, où le plastique abonde, les mensurations et le poids sont les suivants : 380 x 259,9 x 23,5 mm pour 2,2 kg. La connectique peut varier d'un modèle à l'autre, en se composant soit de deux ports USB 2.0 et d'un port USB 3.0, soit, inversement, d'un seul port USB 2.0 et de deux ports USB 3.0. Les trois modèles sont pourvu d'un lecteur/graveur DVD, d'un port Ethernet, d'un port HDMI et d'un lecteur de carte SD. La connectivité sans fil est présente avec le support du Wi-Fi ac standard et du Bluetooth. La partie audio est confiée à SkullCandy pour les haut-parleurs et le port combo casque/écouteurs. Les modèles seront disponibles en trois coloris : noir, argent et blanc. Les configurations matérielles (processeur, stockage, mémoire et solutions graphiques) sont les mêmes que pour les modèles 15,6 pouces comme leurs dénominations. 70 La connectique se différencie des 15,6 pouces : le nombre de ports USB passe à deux USB 2.0 et deux USB 3.0. Le choix du lecteur optique évolue, puisque le L70 pourra intégrer un lecteur Blu-ray en lieu et place du lecteur DVD. Pour le reste, les caractéristiques sont les mêmes que sur les L50. Les mensurations de ces modèles sont de : 413 x 268 x 33,7 mm pour un poids de 2,7 kg. Ils existeront en deux teintes : noir ou blanc.

Comme on le comprend à la lecture de ces données, si les choix en matière de configuration sont nombreux, leur dénominateur commun est une orientation vers un usage basique ou du multimédia simple. Plutôt connu pour ses batteries portables, Anker commercialise aussi plusieurs enceintes nomades, dont la Sport XL, la plus imposante de la série Soundcore. Le constructeur nous promet une enceinte ultra-robuste, résistante à l'eau et qui offrirait un son puissant, tout cela pendant près de 15 heures d'autonomie. L'occasion de ressortir notre chrono et notre plus beau maillot de bain pour ce test. Avec ses vis apparentes et son style un peu baroudeur, l'Anker Soundcore Sport XL arbore les mêmes codes que les enceintes du constructeur Braven. Cette enceinte bien construite présente une grille en métal sur la face avant, quand le reste est en plastique caoutchouteux et robuste. Elle est d'ailleurs certifiée IP67, et donc résistante à la poussière et à un plongeon sous l'eau jusqu'à 1 mètre de profondeur pendant 30 minutes. La connectique se compose d'un port USB pour la recharge d'un appareil mobile, un port micro-USB pour la recharge de l'enceinte et un mini-jack 3,65 mm pour l'utiliser en filaire. Le Bluetooth (version 4.1) permet d'appairer l'enceinte à un appareil mobile en sans-fil jusqu'à 20 m. Un microphone est également intégré, ce qui permet de se servir de la Soundcore Sport XL comme d'un kit mains libres. Si aucune application n'est présente pour contrôler l'enceinte, il est toujours possible de le faire via les touches du smartphone, mais aussi via les touches physiques de l'enceinte (On / Off, réglage du volume, passage d'un morceau à l'autre, mode lecture / pause ou encore appairage Bluetooth, indiqué par un voyant bleu). Juste à côté, 3 leds indiquent la charge de la batterie (cf. photo ci-dessous).

Nous avons mesuré l'autonomie de cette enceinte à environ 7 heures à volume maximal.Côté accessoire, Anker a fait le minimum en ne fournissant qu'un simple câble USB vers micro-USB et une dragonne ; aucune housse ni câble jack. L'Anker Soundcore Sport XL profite d'un rendu stéréo grâce à deux transducteurs de 8 watts chacun. Le tout est couplé à deux radiateurs passifs, l'un en face avant, l'autre à l'arrière. rep-anker-souncore-sport-xl-filaire-g-bt-droite-900.jpgRéponse en fréquence de la Soundcore Sport XL en filaire (à gauche) et en Bluetooth (à droite) Comme on peut le voir sur les courbes ci-dessus, la courbe de réponse est relativement linéaire de 150 Hz à 10 kHz. Concernant le bas du spectre, il faut approcher l'enceinte d'un mur pour qu'elle puisse émettre un semblant de graves. Ces dernières sonnent d'ailleurs vraiment trop cartons quand on pousse le volume. Pour ce qui est du reste du spectre, les voix sont plutôt bien retransmises, fidèles et intelligibles. La scène est plutôt bien détaillée et claire.

Posted by: akkusmarkt at 02:27 AM | No Comments | Add Comment
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