January 31, 2017

Batterie Sony VAIO VGN-NR

Pourtant, ce partenariat a probablement incité d’autres grands groupes, français, comme Renault, SNCF et hier Alstom, à signer à leur tour des partenariats de recherche avec Inria. C’est peut-être aussi un peu grâce à lui que l’excellence française en matière numérique (et non plus seulement en mathématiques) commence à être reconnue. À l’heure de son renouvellement, il est peut-être bon de s’en souvenir.
La start-up israélienne StoreDot, basée à Tel Aviv, a présenté lors de la conférence Think Next de Microsoft un prototype de batterie de smartphone capable d'être complètement rechargée en seulement 30 secondes. Née du département de nanotechnologie de l'université de Tel Aviv, StoreDot travaille sur des nanoplots, des semi-conducteurs biologiques à base de peptides. L'une des applications de cette technologie est la réduction du temps de recharge des batteries.
Dans notre société hypermédiatisée, le pouvoir de l’image est prépondérant. Une belle image peut faire basculer la décision en faveur d’un projet et en condamner un autre, pourtant tout aussi valable. "Encore faut-il que cette image corresponde à la réalité. Avec nos logiciels, nous ne cherchons pas à faire du beau mais à faire du vrai", explique Jacques Delacour, le fondateur et président d’Optis, éditeur toulonnais spécialisé dans la simulation optique. "Quand nous créons des images de synthèse, nous nous engageons sur le rendu réel des matériaux choisis dans les conditions d’éclairage fixées. Dans la réalité, on verra la scène telle qu’à l’écran. C’est ce qui fait notre succès."

Ces simulations très proches de la réalité proviennent de près de trois décennies de recherches, initiées par Jacques Delacour. Elles s’articulent autour d’un postulat simple : la lumière, c’est de l’énergie et non une simple propagation géométrique de rayons. Pour produire une simulation réaliste, il faut donc prendre en compte la physique, à la fois pour la lumière et pour les surfaces des objets qu’elle éclaire.
Jacques Delacour a commencé par développer des algorithmes dédiés à la simulation de rayonnements par des méthodes de Monte-Carlo [ndlr : le calcul d’une valeur numérique à l’aide de techniques probabilistes]. Mais il s’est rapidement focalisé sur l’étude de l’énergie lumineuse dans les systèmes optiques. En termes de rayonnement et de spectre, et en intégrant le comportement des surfaces qui renvoient cette énergie. Pour cela, il s’est appuyé sur la fonction de distribution de la réflectance bidirectionnelle (BRDF), qui décrit l’apparence d’un matériau par son interaction avec la lumière en chacun des points de sa surface. Une notion d’énergie que les autres éditeurs de simulation n’utilisent pas afin de simplifier les calculs.
Cette interaction de la lumière avec la matière a poussé les ingénieurs d’Optis à s’intéresser à la modélisation géométrique des objets, donc à la CAO, puis à la création d’images de synthèse pour valider les résultats de simulation. C’est ainsi que le logiciel Speos a été lancé sur le marché en 1994.

PRÉDICTION PAR TRANCHES D’ÂGE
L’étude de l’énergie de la lumière a également permis de développer un modèle de la vision humaine. Optis a repris les abaques d’Yves Le Grand qui prédisent, en fonction de la quantité d’énergie dans un spectre, ce que l’œil humain va voir et selon quel degré de sensibilité, et y a ajouté une couche de perception visuelle qui donne la luminance spectrale de l’image. "L’œil est sensible à cette grandeur. En fonction du spectre du pixel dans l’image et de son niveau d’énergie, ainsi que de l’âge du spectateur, vous avez des éblouissements qui modifient la perception d’un objet, explique Jacques Delacour. Dans l’automobile, par exemple, cela sert à prédire, par tranches d’âge, la visibilité et la lisibilité de l’information lumineuse en fonction de sa typographie, de sa couleur et de son niveau d’éclairement ou à déterminer la gêne créée par un reflet."

Des technologies qui, depuis 2005, sont au cÅ“ur de programmes de R&D de l’entreprise en partenariat avec plusieurs pôles de compétitivité. Ainsi, Marvest, mené avec Mer Paca, est un simulateur de conduite multisectoriel hyperréaliste qui évalue les réactions de l’utilisateur face à un éblouissement ou à des conditions météorologiques changeantes. Le second, Virtu’Art, soutenu par le pôle Pégase, EADS et Eurocopter, traite - à partir de la maquette numérique­ - un rendu visuel ultraréaliste en temps réel dans un système immersif de réalité virtuelle. Ces projets ont fait sortir la simulation en temps réel hyperréaliste du laboratoire et ont conduit Optis à développer une plate-forme industrielle fondée sur la technologie d’animation de la start-up SimplySim, acquise en 2011.
Cette orientation a boosté le développement de l’entreprise, passée de 40 à 120 personnes en cinq ans, essentiellement des ingénieurs de R&D. L’industrie automobile représente aujourd’hui plus de la moitié de ses ventes. Tous les acteurs du secteur utilisent les logiciels d’Optis pour définir les phares, les feux et les tableaux de bord de leurs véhicules. Tandis que les constructeurs de voitures haut de gamme s’en servent pour valider la qualité perçue, notamment au niveau des jeux d’ouvrants sur la carrosserie, qui varie suivant le coloris de peinture retenu.

DU RÉALISTE AU RÉEL
Dans ce domaine, Optis a fait l’acquisition fin 2013 de l’éditeur britannique Icona Solutions et de son logiciel Aesthetica. Celui-ci est spécialisé dans la visualisation 3D de l’impact des tolérances de fabrication sur la qualité perçue des assemblages du produit final. Il est utilisé par les plus grands constructeurs automobiles (Nissan, GM Opel, Fiat, Chrysler, Porsche ou Bentley) pour vérifier, par exemple, les jeux d’ouvrants de leurs véhicules, facteur déterminant dans la décision d’achat d’une automobile. Grâce à son intégration dans l’offre d’Optis, la maîtrise du comportement physique de la lumière et des matériaux aboutit non pas à des images réalistes, mais à des images réelles de modèles 3D bougeant en temps réel dans des environnements complexes.
Le secteur de l’électronique est aussi très demandeur. Ces logiciels permettent une meilleure gestion de l’énergie des rétroéclairages des écrans plats, ou facilitent le passage aux LED. Du côté de l’industrie, l’US Air Force l’utilise pour valider les lunettes anti-éblouissement de ses pilotes par des lasers parasites. Le CEA, quant à lui, les exploite pour définir ce que verra le système de contrôle optique du phénomène de fusion au cÅ“ur d’Iter. "Ces applications vont sortir des bureaux d’études pour aller vers les utilisateurs finaux. Grâce à des configurateurs, elles permettront de valider visuellement avec les clients les choix qu’ils auront faits parmi les multiples options qui leur sont proposées. Qu’il s’agisse d’aéronefs, de voitures ou de salles de commandes", prédit Jacques Delacour.
A peine une semaine que Benoit Hamon est en poste à la tête du ministère de l’Education, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, que le maintien de Geneviève Fioraso au gouvernement en tant que Secrétaire d’Etat à la recherche se confirme. Un mouvement de 7 000 universitaires et chercheurs s'est formé pour signer une tribune contre sa reconduite.

Après deux ans à la tête du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Geneviève Fioraso a laissé sa place à Benoit Hamon dans le cadre d'un portefeuille élargi ; conséquence du remaniement ministériel. D’après les rumeurs, et comme l'a laissé entrevoir son successeur pendant la passation de pouvoir, mercredi dernier, l’ancienne ministre devrait être reconduite en tant que Secrétaire d’Etat dédiée à la recherche.
L'agende de recherche et développement pour la défense américaine finance un concours robotique dont le but est d'améliorer au maximum les performances des robots utilisés en milieu difficile. Le MIT s'y prépare en améliorant le robot Atlas pour le rendre plus rapide et plus autonome.

Le MIT, l'Institut de Technologie du Massachusetts, fait partie des équipes sélectionnées pour l'épreuve finale du Darpa Robotics Challenge (DRC), une compétition robotique internationale sponsorisée par le département de la Défense américain qui vise à développer des robots capables d'effectuer différentes tâches complexes, allant de la traversée d'un terrain accidenté à la manipulation de valves, l'ouverture de portes et même la conduite automobile. A la clé, 2 millions de dollars pour le gagnant. [...]
Deux étudiants de la faculté américaine de Princeton ont inventé un logiciel à commande vocale, explique le site Wired. Le système a été conçu à partir de codes open source, librement accessibles et modifiables sur Internet. Comme Siri, l’assistant vocal conçu par Apple pour son système d’exploitation iOS, le logiciel baptisé Jasper est perpétuellement connecté au web. Mais il n’est pas intégré à un smartphone ou à une tablette. Jasper a été développé sur une unité indépendante, qui fonctionne grâce à un micro, un haut-parleur et un micro-ordinateur à très bas coût, le Raspberry Pi.http://www.batterie-tech.com/batterie-ordinateur-portable-lenovo.html

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Akku BOSCH GDS 14.4V LIN

Eine eher ungewöhnliche Änderung ist bei der Kamera geplant. Statt des 16-Megapixel-Modells des aktuellen Galaxy-Topmodells wird das Nachfolgemodell eine 12-Megapixel-Kamera erhalten. Zusammen mit einer lichtempfindlichen Linse mit einer Anfangsblendenöffnung von f/1.7 sollen auch in dunkler Umgebung noch gute Bilder entstehen.Bezüglich der Kamera gibt es dann eine der wenigen auffälligen Änderungen am Gehäuse. Die Kameralinse ragt jetzt nicht mehr aus dem Gehäuse, sondern ist plan integriert. Außerdem steckt das Galaxy S7 nun in einem Gehäuse nach IP67-Standard, ist also vor eindringendem Wasser und Schmutz geschützt. Aller Voraussicht nach wird das Galaxy S7 mit der aktuellen Android-Version erscheinen.Von einer 3D-Touch-Funktion und einem Retina-Scanner ist im aktuellen Bericht nicht mehr die Rede. Zuvor gab es einen Bericht des Wall Street Journals, dass das Galaxy S7 einen Retina-Scanner besitzt, um den Nutzer mit einem Scan des Auges zu identifizieren. Einen Iris-Scanner verwendet Microsoft etwa im Lumia 950 XL, um das Smartphone zu entsperren.

Die 3D-Touch-Funktion erlaubt es dem Touchscreen, unterschiedlich starken Druck festzustellen. Die Technik setzt etwa Apple in den aktuellen iPhone-Modellen ein. Derzeit ist nicht klar, ob diese Funktionen im Galaxy S7 enthalten sein werden oder doch nicht eingebaut werden.Offizielle Informationen zum Galaxy S7 gibt es von Samsung bislang nicht. Der aktuelle Bericht geht davon aus, dass das Galaxy S7 Anfang März 2016 auf den Markt kommt.Das iPhone 6S ist erst seit September 2015 auf dem Markt und schon gibt es Gerüchte zum Nachfolger iPhone 7. Die Plus-Version soll bis zu 256 GByte Speicher und einen Akku mit 3.100 mAh bekommen.
Das iPhone 7 Plus soll einem Bericht zufolge mit einem deutlich größeren Flash-Speicher ausgerüstet sein als sein Vorgänger. Bislang ist sowohl beim iPhone als auch beim iPad bei 128 GByte Flash-Speicher Schluss. Das iPhone 7 soll hingegen laut Macrumors, das sich auf die chinesischsprachige Website Mydrivers beruft, mit maximal 256 GByte erhältlich sein.

Das bedeutet aber gleichzeitig, dass Nutzer auch hier mit einem drosselnden Prozessor und einer Kamera leben müssen, die weniger gute Bilder liefert als andere Topmodelle. Das Samsung Galaxy S6 oder das LG G4 scheint uns hier die bessere Wahl zu sein.Googles erstes selbst gebautes Tablet hat es in sich: Im Inneren steckt Tophardware mit einem der aktuell leistungsfähigsten SoCs, die Verarbeitung ist hervorragend, das Display sehr gut. Meckern können wir im Test nur über den Preis der guten Tastatur.
Das Ende September 2015 vorgestellte neue Google-Tablet Pixel C trägt den Namen der bisherigen Top-Chromebooks des US-Herstellers - und das nicht ohne Grund: Bereits auf den ersten Blick sind die Designparallelen zwischen den Geräten sichtbar, vom Metallgehäuse mit klaren Kanten bis zur vierfarbigen LED-Leiste auf der Rückseite.

Das Pixel C ist das erste Google-Tablet, das nicht von einem bekannten anderen Hersteller in Auftragsfertigung gebaut wurde. Weder Samsung noch Asus sind also für die Einzelheiten zuständig, sondern Google selbst. Dass das zu einem guten Endergebnis führt, zeigt das Pixel C im Test schnell. Ein paar Kleinigkeiten stören uns aber dennoch - besonders der Preis der optionalen Tastatur.Das Pixel C wirkt bereits beim ersten Anfassen sehr hochwertig: Das Gehäuse ist aus dunkelgrauem mattem Aluminium, die Kanten sind nur leicht abgerundet. Dadurch sind sie noch gut sichtbar, das Tablet liegt aber dennoch gut in der Hand, auch über längere Zeiträume. Für ein 10,2-Zoll-Gerät ist das Pixel C recht kompakt - mit 242 x 179 mm ist es aber etwas größer als das aktuelle iPad Air. Zudem ist es mit 7 mm geringfügig dicker, was allerdings immer noch als dünn gelten dürfte. Das Gewicht liegt bei 521 Gramm, knapp über 70 Gramm mehr als das iPad Air.

Bei kurzen Lasten hingegen zeigen der Snapdragon 810 und die drei GByte LPDDR4-Arbeitsspeicher im Xperia Z5 Premium die übliche hohe Leistung: Im Geekbench 3 erzielen wir 1.313 (Singlethread) und 4.327 (Multithread) Punkte. Im 3DMark Ice Storm Unlimited erreicht das Sony Xperia Z5 Premium einen Overall-Score von 23.408 Punkten. Neben dem Google Nexus 6P, in dem Heatsinks verbaut sind und sogar Wärmeleitpaste eingesetzt wird, zählt es somit zu den schnellsten Smartphones mit Snapdragon 810 - solange der Prozessor nur kurz auf Höchstlast läuft.Sobald wir das SoC über einen Zeitraum von mehreren Minuten stark belasten - beispielsweise mit einem grafisch aufwendigen Spiel -, sinken die Leistungswerte auch beim Xperia Z5 Premium. Im Geekbench 3 erreicht das Smartphone dann nur noch einen Single-Wert von 857 Punkten. Das ist allerdings besser als manch andere Smartphones mit dem Snapdragon 810, die stellenweise über 50 Prozent an Leistung verlieren.

Von der übrigen Ausstattung ist das Xperia Z5 Premium ein Topgerät: Neben Quad-Band-GSM, UMTS und LTE unterstützt es WLAN nach 802.11ac, Bluetooth läuft in der Version 4.1. Ein GPS-Empfänger und ein NFC-Chip sind eingebaut. Der eingebaute Flash-Speicher ist 32 GByte groß - angesichts der Möglichkeit, Videos in 4K aufzeichnen zu können, ist das nicht viel. Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten ist eingebaut. Auch das Design des Smartphone gefällt uns gut: Der Rahmen ist aus Metall, die Ecken sind leicht abgesetzt, was dem Gerät ein robustes Aussehen gibt. Gewöhnungsbedürftig dürfte die in der silbernen und goldenen Farbvariante spiegelnde glasbeschichtete Rückseite sein. Diese lässt sich tatsächlich als vollwertiger Spiegel verwenden - allerdings nicht nur freiwillig, zum Schminken etwa, sondern auch unfreiwillig als Blendspiegel, wenn die Sonne scheint. Fingerabdrücke finden sich stets zahlreiche auf der glänzenden Rückseite. Wie bei Sony üblich ist das Smartphone nach IP65 und IP68 vor Wasser und eindringendem Staub geschützt.

Problem bei Sonys bisherigen Topsmartphones war immer die Kamera: Mit Auflösungen von bis zu 20 Megapixeln und einem speziellen Linsensystem ausgestattet, schafften es die Sony-Kameras von der Bildqualität her bisher nicht, Smartphones anderer Tophersteller auszustechen. Dabei hat uns die Kamera-Software durchweg gefallen, auch Extrafunktionen wie der merklich verlustfreiere Digital-Zoom.Bei den neuen Xperia-Z5-Smartphones - also auch beim von uns getesteten Premium-Modell - verwendet Sony eine 23-Megapixel-Kamera, die ein Objektiv mit sechs Linsen hat. Leider finden wir auch hier die Bildqualität verglichen mit anderen guten Smartphone-Kameras wie der des LG G4 oder der der Galaxy-S6-Geräte nicht überzeugend: Die Kamera des Xperia Z5 Premium zeigt bereits bei Tageslichtaufnahmen wieder starke Kompressionsartefakte, bei näherer Vergrößerung werden Details stark zermatscht dargestellt. Sofort erkennen wir wieder den Aquarell-Effekt, den wir auch bei den Vorgängern sehen konnten.

Dass auch das Xperia Z5 Premium wieder eine solch bescheidene Bildqualität hat, ist schade; die Farben stimmen, auch die Belichtung ist gut, die Kamera-App gefällt uns. Auch der Autofokus ist, wie von Sony versprochen, sehr schnell. Im Dunkeln aufgenommene Bilder zeigen ebenfalls eine gute Belichtung, hier finden wir die sichtbaren Artefakte auch verschmerzbar - andere Topsmartphones zeigen in schwierigen Lichtsituationen vergleichbares Rauschen.Der Videomodus mit 4K-Funktion hat jetzt einen verbesserten Bildstabilisator, der tatsächlich auch sehr starke Horizontal- und Vertikalbewegungen ausgleicht. Selbst wenn wir das Smartphone stark hin und her bewegen, sehen wir davon im fertigen Videoclip nur ein leichtes Wackeln. Leichte Bewegungen werden komplett herausgefiltert. Der Stabilisator arbeitet allerdings nur auf zwei Achsen: Drehbewegungen kann er nicht ausgleichen.

Positiv finden wir zudem, dass das Xperia Z5 Premium bei 4K-Aufnahmen nicht heiß wird und dementsprechend die Aufnahme nicht wegen Überhitzung abbricht. Nach zehn Minuten und einer gleichbleibenden Temperatur von 35 Grad Celsius am Hotspot auf der Rückseite des Smartphones haben wir es aufgegeben, auf einen Abbruch zu warten.Trotz der guten Videofunktionen empfinden wir aber auch die Kamera des Xperia Z5 Premium letztlich als etwas enttäuschend. Dass gerade Sony als erfahrener Kamerahersteller es wieder nicht geschafft hat, eine bessere Bildqualität zu realisieren, können wir mittlerweile nur noch schwer nachvollziehen.Ausgeliefert wird das Xperia Z5 Premium noch mit Android in der Version 5.1.1 - die neue Version Marshmallow wird als Update nachgeliefert. Wie gewohnt stattet Sony auch sein neues Smartphone mit der eigenen Benutzeroberfläche aus, die sich im Design nicht sonderlich von den vorigen Geräten unterscheidet. So gibt es auch beim Xperia Z5 Premium wieder eine Reihe von Mini-Anwendungen, die über der aktuell genutzten App verwendet werden können - etwa einen Taschenrechner oder einen kleinen Browser.

Der Akku des Xperia Z5 Premium hat eine Nennladung von 3.430 mAh, der nach Quick Charge 2.0 schnellladefähig ist und laut Sony zwei Tage lang bei durchschnittlicher Nutzung durchhalten soll. Einen 1080p-Film können wir knapp 5,5 Stunden lang anschauen - eher ein durchschnittlicher Wert. Über einen Tag kommen wir mit dem Xperia Z5 Premium ohne Probleme.Waren wir vor dem Test skeptisch, weil Sony das Xperia Z5 Premium als "4K-Smartphone" bezeichnet, so fragen wir uns nach dem Test erst recht, weshalb wir das Gerät kaufen sollten. Das 4K in der Beschreibung bringt uns im Alltag nichts - wir halten es für eine Marketing-Hülse. Sony sagt in der Beschreibung des Smartphones einerseits, dass Inhalte nur hochskaliert würden; andererseits spricht der Hersteller im Kleingedruckten von der 4K-Aufnahme und -Wiedergabe von Videos - was zumindest dafür spricht, dass selbst aufgenommenes Videomaterial in 4K abgespielt wird.http://www.akkus-laptop.com/apple.html

Screenshots zeigen stets die native Auflösung der Benutzeroberfläche an: 1.920 x 1.080 Pixel. Letztlich sind uns all diese Faktoren schlicht zu undurchsichtig, als dass wir reinen Gewissens das Xperia Z5 Premium als 4K-Smartphone bezeichnen würden.Von der Hardware ist das Xperia Z5 ansonsten ein gutes Gerät - bei der Kamera schafft es Sony aber wieder nicht, seine Expertise auf diesem Gebiet auch in ein Smartphone zu übertragen. Die Bildqualität ist für ein Gerät dieser Preisklasse nicht gut genug. Sehr gut gefällt uns aber der neue Bildstabilisator, der auch starkes Wackeln ausgleicht.Bei einem Preis von 730 Euro bleibt für uns die Frage, weshalb ein Interessent an einem Sony-Topsmartphone nicht schlicht zum normalen Xperia Z5 greifen sollte, ohne überzeugende Antwort. Letzteres ist aktuell mit 530 Euro ganze 200 Euro günstiger und hat bis auf das Display die gleiche technische Ausstattung.

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January 30, 2017

Akku HP 504610-001

Als Prozessor kommt ein Helio X10 von Mediatek mit acht Kernen und einer Taktrate von 2 GHz zum Einsatz, der zusammen mit den 3 GByte Arbeitsspeicher für eine flüssige Bedienung des Systems sorgen dürfte. Der eingebaute Flash-Speicher ist 32 GByte groß, ein Steckplatz für Micro-SD-Karten bis zu einer Größe von 64 GByte ist eingebaut.Das Sfera unterstützt LTE, der eingebaute Akku hat eine Nennladung von 3.000 mAh. Wie lange er insbesondere bei der Nutzung der Kamera durchhält, verrät Yezz nicht. Das Sfera wird mit Android 6.0 ausgeliefert.Das Sfera von Yezz ist dank seiner 360-Grad-Kamera ein innovatives Smartphone: Die Möglichkeit, Rundumbilder und vor allem -videos aufzunehmen, bietet kein anderes Smartphone. Dass das Gerät dafür etwas größer ist, können wir verschmerzen.

Schade finden wir allerdings, dass die Videoauflösung so niedrig ist. Gerade wenn die aufgenommenen Filme mit einem Cardboard-Betrachter angeschaut werden, dürfte sich dies zusammen mit der geringen Auflösung des Smartphone-Displays rächen: Besonders scharfe Bilder dürfen Käufer zumindest auf dem Sfera selbst nicht erwarten.Berücksichtigt man allerdings, dass das Smartphone beim geplanten Erscheinungstermin im April 2016 nur 350 Euro kosten soll, lässt sich über diesen Nachteil möglicherweise hinwegsehen. Einen preiswerteren Weg, um an Panoramabilder und -videos zu kommen und gleichzeitig noch ein vollwertiges Smartphone zu erhalten, gibt es aktuell nicht.Huawei hat ein 10-Zoll-Tablet mit einer für den Preis sehr guten Ausstattung vorgestellt. In der Premium-Variante wird es mit LTE-Technik und Stylus ausgeliefert und hat mehr Speicher.
Huawei wird zwei Varianten des Mediapad M2 10.0 auf den Markt bringen. Den Start macht Ende Januar 2016 die sehr gut ausgestattete Premium-Ausführung, zu einem späteren Zeitpunkt folgt die reguläre Variante mit weniger hochwertiger Hardware.

Beide Modelle werden über einen 10,1 Zoll großen IPS-Touchscreen mit einer Auflösung von 1.920 x 1.200 Pixel bedient und sollen damit klare Schrift und gut erkennbare Inhalte bieten. In beiden steckt Huaweis Octa-Core-Prozessor Kirin 930, dessen Kerne nach dem Big-Little-Prinzip arbeiten. Die vier Kerne teilen sich die anfallende Arbeit: Die vier stärkeren agieren mit einer Taktrate von 2 GHz und übernehmen die rechenintensiveren Aufgaben, die schwächeren mit einer Taktrate von 1,5 GHz erledigen einfachere Dinge.Identisch ist auch die Kamerabestückung, die in Tablets so noch nicht üblich ist. Auf der Rückseite ist eine 13-Megapixel-Kamera mit Autofokus, Bildstabilisator und Blitzlicht enthalten. Kameras mit einer solchen Auflösung sind bislang eher Smartphones vorbehalten. Auf der Displayseite ist eine 5-Megapixel-Kamera untergebracht. Die Tablets stecken in einem 240 x 173 x 7,35 mm großen Unibody-Gehäuse aus Aluminium, das 490 Gramm wiegt.

Eine Besonderheit sind die vier eingebauten Lautsprecher: In jeder Ecke des Tablets ist ein Lautsprecher verbaut. Dabei spielen die oberen Lautsprecher die Höhen ab und die unteren Lautsprecher übernehmen die Basswiedergabe. Damit soll ein satter Klang erreicht werden, und es soll mehr Spielraum bei der Regulierung der Lautstärke geben. Zudem wurde Harman Kardons Clari-Fi-Algorithmus implementiert, damit komprimierte Musik besser klingt.Das Tablet verfügt außerdem über einen Fingerabdrucksensor, mit dem das Gerät entsperrt werden kann. Außerdem lassen sich einige Funktionen darüber auslösen, um ihn so zur Steuerung zu verwenden. Beide Modelle sind mit Dual-Band-WLAN ausgestattet, aber wohl ohne ac-Unterstützung, jedenfalls gibt das technische Datenblatt darauf keinen Hinweis. Aller Voraussicht nach wird auch Bluetooth geboten, das wird im Datenblatt aber nicht erwähnt.

Der eingebaute Lithium-Polymer-Akku mit 6.600 mAh soll 12 Stunden lang das Streamen von Filmen erlauben. Wie hoch die Displaybeleuchtung dabei geregelt sein darf, ist nicht bekannt. Die Standard-Ausführung des Mediapad 2 10.0 wird mit 2 GByte Arbeitsspeicher sowie 16 GByte Flash-Speicher angeboten und ist generell nur ohne LTE-Funktion zu haben. Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten mit bis zu 128 GByte ist ebenso wie im Premium-Modell enthalten.Die Premium-Variante ist mit 3 GByte Arbeitsspeicher und 64 GByte Flash-Speicher deutlich besser ausgestattet und hat neben einem LTE-Modul noch einen Stylus. Mit diesem soll die Bedienung des Tablets vereinfacht werden, so lassen sich damit etwa bequem Screenshots anfertigen, indem der gewünschte Bereich mit einem Kreis markiert wird. Aber auch bei Arbeiten, die hohe Präzision erfordern, kann der Stylus eine Hilfe sein.

Ende Januar 2016 will Huawei das Mediapad M2 10.0 in der Premium-Ausführung für 500 Euro auf den Markt bringen. Das normale Mediapad M2 10.0 ohne LTE-Funktion, ohne Stylus und mit deutlich weniger internem Speicher erscheint erst später für 350 Euro.Ein Safe mit WLAN. Schuhe, die per App zugemacht werden. Schalter, die nach Druck auf einen Smartphone-Button einen anderen Schalter betätigen. Willkommen im Jahr 2016.
Da hat man es eilig und muss schnell aus dem Haus, und dann das: Die App zum Schließen der Schuhe verlangt ein Update, der Trinkflaschen-Akku muss aufgeladen werden und der Navigations-Hut passt nicht zum Mantel.

Na gut, noch kennt das glücklicherweise niemand. Aber das wird sich möglicherweise bald ändern. Denn diese Dinge existieren bereits. Der GPS-Zylinderhut ist zwar nur ein Projekt von Studenten der Cornell University. Der App-gesteuerte Smart-Schuh von Zhor Tech und die Wasserflasche mit Bildschirm von LifeFuels jedoch werden gerade auf der Elektronikmesse CES in Las Vegas gezeigt. Irgendwann soll irgendjemand sie kaufen.Das inoffizielle Motto der CES lautet nicht erst seit diesem Jahr: Alle Gegenstände müssen smart werden. Wobei smart in diesem Kontext heißt: Sie brauchen Internetzugang, einen Haufen Sensoren oder im besten Fall beides. Was nicht bei drei auf dem Baum ist, wird vernetzt. Das ist das Internet der Dinge, im Branchenjargon kurz IoT für Internet of Things. Ganzjährig zu beobachten ist das Phänomen auch auf Crowdfunding-Plattformen wie Indiegogo und Kickstarter.

Mit smart im Sinne von klug hat das nichts zu tun, im Gegenteil. Zwei Fragen nämlich drängen sich selbst dem technophilen Beobachter immer wieder auf: Wozu soll das gut sein? Und was wird erfahrungsgemäß schiefgehen?Warum etwa sollte jemand seine Schuhe mit dem Smartphone zumachen oder ein Live-Kamerabild aus seinem Kühlschrank aufs iPad streamen wollen? Warum sollte man auf seinem Smartphone einen Button drücken, der einen Schalter auslöst, der dann einen anderen Schalter betätigt? Und wie sicher ist wohl ein batteriebetriebener Safe mit WLAN und Bluetooth, der sich per iPhone-App und Touch ID öffnen lässt?Wenn es nach Sean DuBravac geht, dem Chefökonom des CES-Veranstalters CTA, erleben wir gerade erst den Anfang des IoT. Als das erste iPhone vor neun Jahren auf den Markt kam, habe ein Beschleunigungssensor noch sieben Dollar gekostet, jetzt seien es weniger als 50 Cent, sagte er zu Beginn der Messe. Deshalb könnten nun immer mehr Geräte kostengünstig mit Sensoren ausgestattet und vernetzt werden. "Noch leben wir fast komplett in einer analogen Welt", sagte DuBravac. Die Menschen seien zwar von digitalen Geräten umgeben, aber den gesamten Alltag hätten diese noch nicht durchdrungen.

Dieses "noch" war als Versprechen gemeint, ist nach derzeitigem Stand aber eher eine Drohung. Denn das IoT hat ein Imageproblem, und zwar zu Recht. Das liegt an der mangelnden Kompatibilität vieler Geräte, weil die Hersteller sich nicht auf gemeinsame Standards einigen können oder wollen. Es liegt an gehackten Barbie-Puppen, Schusswaffen und Kloschüsseln, weil viele Unternehmen, die jetzt anfangen, smarte Dinge auf den Markt zu bringen, das Thema Sicherheit für nachrangig halten. Vor allem aber liegt es an den unzähligen unausgegorenen bis schwachsinnigen Versuchen, beliebige Gegenstände mit dem Internet zu verbinden, nur weil es möglich ist.

Diese Zeilen sind nicht als Kreuzzug gegen Vernetzung und Sensoren zu verstehen. Der Autor ist immer noch begeistert und beeindruckt davon, wie das Internet, wie Software, Prozessoren und Sensoren in wenigen Jahren die weltweite Kommunikation und den Zugang zu Informationen verändert haben. Aber in gewisser Weise ist er auch Traditionalist: Wenn jemand ein Problem erkennt und eine technische Lösung dafür entwickelt, ist das großartig. Wenn jemand eine technische Lösung entwickelt und anschließend ein passendes Problem herbeifantasiert, das niemand hat - und im schlimmsten Fall nebenbei ein neues erschafft, das er nicht löst -, dann ist das Bockmist.

Welcher Mensch mit Verstand sollte sich also den smarten Schuh von Zhor Tech oder den WLAN-Safe der Firma First Alert kaufen? Oder anders gefragt: Wie stellt sich die erweiterte Technikbranche auf Messen wie der CES ihre Zielgruppe vor? Nun ja, man kann Idiot nicht ohne I-o-T buchstabieren.Huaweis neues Mate 8 hat ein großes Display, einen schnellen Fingerabdrucksensor, eine sehr gute Kamera und einen besseren Prozessor. Beim ersten Kurztest merken wir aber, dass es auf uns weniger Eindruck macht als der Vorgänger Ascend Mate 7.
Huawei hat auf der CES (Consumer Electronics Show) 2016 den globalen Marktstart des neuen großen Android-Smartphones Mate 8 angekündigt - für 600 Euro soll das Gerät noch im Januar 2016 auch nach Deutschland kommen. Das Mate 8 ist der offizielle Nachfolger des Ascend Mate 7. Wie Huaweis Überraschungsgerät der Ifa 2014 hat auch das neue Modell einen 6-Zoll-Bildschirm.http://www.powerakkus.com/samsung.html

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Asus A43E Battery

How could I forget? The OnHub has six tri-colour LED arrays, which provide at-a-glance status updates by displaying different colours and/or pulsing at different rates.When it comes to audio gear, consumers are faced with a clear choice: convenience or sound quality. The Devialet Phantom aims to end this compromise by offering both. Hi-fi systems provide great sound but are tricky and complicated to set up, while wireless speakers enable us to use phones, tablets and laptops to play the music we love. The only catch? They rarely have the presence or clarity of a traditional hi-fi system.This is where the dramatically named Devialet Phantom enters the scene. Designed to wirelessly liberate our digital files with exquisite hi-fi sound, the Phantom uses a range of strangely named patents to promise a revolutionary experience.

If any company is up to the challenge, it’s Devialet. Since 2007, the French firm has gained a reputation for producing breathtaking hi-fi gear and making it extremely compact. Devialet’s Expert system packs all the components of traditional hi-fi, including a preamplifier, amplifier, DAC and streamer, into a single metallic unit.The Phantom goes one better by adding a impressive speaker array to the mix, and uses a Wi-Fi- or Bluetooth AptX-compatible connection to stream your files. Rated with an output of 750W and a maximum volume of 105dB, it’s easy to see why Devialet thinks its "Implosive Sound Center” is a game changer.

From the name alone, it’s clear that the Devialet is unique, and as soon as you take it out of its box – adorned with tattooed, cigarette-smoking figures in moody poses – it becomes obvious that the Phantom is as much about lifestyle as sound quality.The Phantom is a remarkable piece of engineering, and for the staggering price of £1,400 it needs to be. Its styling will divide opinion – to me, at least, its clean white lines are striking and set it apart from the silver, black and grey monotony of traditional music systems. Others may think it looks like an entry-level MacBook or an item of bathroom furniture, but it’s a matter of personal taste.With its round body and curved edges, the Phantom looks more like a creature of the deep than a music player, and its silver highlights ooze with class. An intricate pattern on the tweeter looks more like something you’d find in a church or cathedral and really sets the Phantom apart from the competition.

Inside, the Phantom is just as novel, and Devialet has attached a number of ridiculous names to some truly forward-thinking technology. First, the Phantom is able to achieve a warm sound thanks to ADH amplification. By using a Class A amplifier for signal amplification and supercharging it with a series of Class D amplifiers to send the correct voltage to the speakers, Devialet believes it’s device captures the warm feel of analog sound but with the power of digital.Elsewhere, the Phantom uses Speaker Active Matching (SAM) technology to reproduce music more accurately. Calculated using a mathematical model of the Phantom’s speakers, SAM uses a dual-core processor to determine the best way to drive the unit’s speakers. It’s another advantage of Devialet’s decision to produce an all-in-one unit, and it also means the Phantom knows its limits, so it won’t damage its drivers.

The final piece of technology hidden in the Phantom is the comically named Heart Bass Implosion. This is one of the most noticeable and interesting aspects of the unit. Most conventional systems use a vented speaker system to produce their lower-end sounds, but that results in a large, cumbersome unit. Instead, Devialet’s engineers have harnessed the same potential in a minuscule space, and used extreme pressure to give the Phantom an awesome power-to-weight ratio.Interestingly, Devialet has assembled its creation without wires, enabling the Phantom to be even smaller and more compact. The French company says the Phantom is simply made up of ten carefully crafted modules.

Devialet provides easy instructions for connecting to the device over AptX Bluetooth or Wi-Fi, and setting up your smartphone, tablet or computer is simple as finding and pairing it with the speaker. There is one important catch, however. Devialet reminds users to enter the accessibility settings or sound settings – depending on the device – and to make sure the wireless streaming output is set to mono. Why? Because, believe it or not, the £1,390 Devialet Phantom can’t pump out stereo sound. While this would seem to be a ridiculous omission, stereo sound is at odds with Devialet’s aim to produce the same sound experience regardless of where you are in the room. Even so, the lack of stereo on a £1,400 device is another aspect of the Phantom that’s will divide opinion.

For those who insist on listening to both channels, Devialet offers a special broadcasting box, called the Dialogue, which uses dual-band Wi-Fi (abgn 2.4GHz and 5GHz) to enable wealthier users to connect up to 24 Phantoms in sync. Users can assign each unit a channel for true stereo sound, or get creative with a variety of combinations.Devialet produces a free app called SPARK for this. SPARK looks the part and also allows users to stream music from any connected device, but it does seem defunct in a world where Spotify and Apple Music exist.For those who don’t want to connect wirelessly, the Phantom offers few alternatives. Behind a cable cover at the back of its bulbous body, the Phantom hides a Toslink optical audio connection and Ethernet port – and that’s it. Devialet added AptX Bluetooth connectivity to the Phantom after feedback from users, and says the technology is present in every unit bought since mid-June but will be turned on in an upcoming update.

The unit Devialet sent us was a prototype that didn’t yet have Bluetooth enabled, so we had to use the Toslink port to connect to a NuForce A2DP Bluetooth module, ut Devialet assured us that the connection quality between the two is comparable.While the optical audio and Ethernet ports are useful, the blank space where you’d expect a range of connectors to be is a reminder that this product is intended customers who already prefer the ease of wireless streaming.Cast your mind, if you will, back to the mid-2000s: PC gaming was very much an activity relegated to the basement-dwelling sort, who shunned outdoor activities in favour of CRT screen glow and a packet of Wotsits. It was an age when high-end computers were built to look like something out of Blade Runner or The Matrix – everything was green and blue lights, perspex cases and brightly-coloured plastics.Thankfully, in 2015, we’ve put those years behind us and Chillblast’s Helix 2 is as sure a sign as any that a gaming machine doesn’t need to look garish to be taken seriously. Behind its sleek and minimalist design, you’ll find a gaming laptop most other manufacturers would cram into a shell nearly twice as thick.

While the Helix 2 is incredibly thin for a gaming laptop at 22mm (27mm including the rubber feet), it’s still a large laptop by any definition. It doesn’t help that it also weighs a meaty 2.66kg, but its minimalist design at least helps it look less of a Open it up and you’ll be left in no doubt about the purpose of this machine. It has a huge, 17in Full HD screen that feels far larger than it should, thanks to a broad black surround. At the screen’s base sits a chunky power switch begging to be pressed, which delivers a satisfying click, a flash of blue LEDs under the chiclet keyboard and a roar of fans as it boots up. It’s the PC gaming equivalent of pushing "Start” in a Bentley Phantom.http://www.batteries-pc.com/lenovo.html

To help soften the impact of the Helix 2’s massive 419 x 287mm footprint, Chillblast has made it incredibly thin. With the screen up, its body is only 13mm thick (18mm including the rubber feet) with a 9mm thick lid. Compared with the Dell Alienware 17 R2’s 37mm width, it’s positively slinky.Inside the Helix 2’s svelte frame beats the heart of a 2.6GHz Intel Core i7-4720HQ CPU with 16GB of RAM and an Nvidia GeForce GTX 970M with 3GB of GDDR5 video RAM. When you don’t need the 970M to do heavy lifting, the Helix 2 also features Intel’s HD Graphics 4600 GPU, which is more than capable of running less-demanding games.In terms of storage, the Helix 2 has a 120GB mSATA SSD, which keeps Windows ticking over nicely, and a 1TB hybrid drive for mass storage. If that’s not enough, there are four USB 3 ports, as well as an SD card slot to connect your external storage.

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January 29, 2017

Akku Fujitsu FPCBP175

Das Herzstück eines jeden Smartphones und Tablets stellt dass SoC (System-on-a-Chip, zu Deutsch: Ein-Chip-System) dar, das alle programmierbaren Funktionen eines elektronischen Systems auf einem Chip unterbringt. » Mehr erfahren
Teslas Powerwall gibt es in der 10-kWh-Version für 3.500 US-Dollar, eine Variante mit 7 kWh wird für 3.000 US-Dollar angeboten. Bei bisher verfügbaren Batteriespeichern mit vergleichbarer Leistung war der Anschaffungspreis zur Markteinführung der Powerwall etwa dreimal so hoch. Wer will, kann bis zu neun Powerwalls nebeneinander installieren und so auf eine Kapazität von 90 kWh kommen. Die Gehäuse messen etwa 130 x 86 x 18 cm. Die Akkus liefern 350 bis 450 Volt bei nominal 5 Ampere und 8,5 Ampere als Spitzenausgangsleistung.

Leica hat mit der X-U eine wasserdichte Kompaktkamera vorgestellt, die ohne Zusatzgehäuse bis in eine Wassertiefe von 15 Metern mitgenommen werden kann. Ein Blitz befindet sich bereits am Objektiv, das aber diesmal kein Zoom ist.
Mit der Leica X-U hat das Unternehmen aus Wetzlar erstmals eine Outdoor-Kamera vorgestellt, die ohne Zusatzgehäuse zum Tauchen mitgenommen werden kann. Die X-U ist bis 15 Meter wasserdicht und mit der Festbrennweite "Summilux 1:1,7/23 mm ASPH" ausgerüstet, deren Blickwinkel einem 35-mm-Kleinbildobjektiv entspricht. Die Kamera ist mit einem APS-C-Sensor in CMOS-Technik ausgerüstet und kann Fotos mit bis zu 16,2 Megapixeln aufnehmen. Gefilmt wird mit 1.920 x 1.080p und 30 Bildern pro Sekunde.

Die neue Leica kann Makros ab einem Abstand von 20 Zentimetern machen. Der Deckel und die Drehknöpfe bestehen aus Aluminium. Blende und Verschlusszeit lassen sich mit den Drehknöpfen direkt verändern, ohne dass der Nutzer ins Menü abtauchen muss. Der Blitz wurde oberhalb des Objektivs eingebaut. Mit einer speziellen Unterwassertaste werden Weißabgleich und Verzerrungskorrektur an die Bedingungen unter Wasser angepasst.Audi baut ein Elektro-SUV namens Q6 E-Tron. Das Fahrzeug soll 2018 auf den Markt kommen und wird in Brüssel gefertigt. Seinen Elektro-Stadtgeländewagen will Audi gegen Teslas X positionieren, den es schon zu kaufen gibt.
Kommt der Audi Q6 E-Tron zu spät auf den Markt? Der Elektro-SUV, der gegen den bereits erhältlichen Tesla X positioniert wird, soll erst 2018 erscheinen. Der Q6 E-Tron soll mit einer Akkuladung allerdings 500 km weit fahren, beim X sind es nur etwa 400 km.

Der Audi Q6 E-Tron soll einem Bericht des Handelsblatts zufolge im belgischen Brüssel gebaut werden. Bisher wird dort der Audi A1 gebaut, der künftig in Spanien bei Seat gefertigt wird. Die Produktion des Q3 hingegen soll von Spanien nach Ungarn verlagert werden.Die Studie eines elektrischen Geländewagens stellte Audi bereits im September auf der IAA 2015 in Frankfurt vor. Nun wurde grünes Licht für die Produktion gegeben. Nach Handelsblatt-Informationen sollen die Akkus von Samsung und LG Chem geliefert werden. LG Chem baut für mehrere 100 Millionen Euro dazu eine Fabrik in der Nähe von Breslau.Das SUV, das auf der IAA gezeigt wurde, heißt Audi E-Tron Quattro Concept und besitzt bewegliche Aerodynamikelemente an der Front, den Flanken und am Heck sowie einen wie bei der Formel 1 aerodynamisch optimierten Unterboden. Der cw-Wert liegt bei 0,25. Wie viele dieser Merkmale in die Serie fließen werden, ist noch nicht abzusehen.

Die auf der IAA gezeigte Studie basiert auf dem modularen Längsbaukasten der zweiten Generation und ist etwas größer als der Audi Q5 und kleiner als der Q7. Der Lithium-Ionen-Akku ist zwischen den Achsen unter der Fahrgastzelle untergebracht. Ob der Q6 E-Tron wie die Studie auch drei Elektromotoren besitzt - eine an der Vorderachse, zwei an der Hinterachse - ist nicht bekannt.Das E-Dock hat ausgedient. Die robusten Dockstations von Dell werden ein letztes Mal mit Skylake unterstützt. Die Zukunft liegt in USB-C-Alternate-Mode-Boxen mit Thunderbolt oder Displayport. Das hat einige Vorteile, aber auch Nachteile und ist nicht gerade billig.
Mit seiner neuen Latitude-Serie hat Dell seine letzte Serie vorgestellt, die noch mit einem Dockingport auf der Bodenseite ausgestattet ist. Diese robusten, breiten, aber auch proprietären Anschlüsse haben ausgedient. Erste Geräte ohne den Anschluss gibt es beispielsweise schon. Das neue, auf Intels Core M basierte Latitude 13 7000 hat beispielsweise nur noch USB-C für Docks.

Der alte E-Dock-Mechanismus, der über Jahre unverändert blieb, würde mit so einem Gerät nicht mehr funktionieren. Es braucht im Boden eine gewisse Tiefe, die das Latitude 13 nicht mehr hat. Das Notebook ist die professionelle Version des von uns getesteten XPS 13 mit ein paar Unterschieden. So ist die Bodenplatte etwa mit Kreuzschlitzschrauben befestigt, was die Wartung erleichtert. Der Akku ist zwar prinzipiell kein Bauteil mehr, das der Kunde austauschen kann, allerdings gilt dieser als Field Replaceable. Sprich: Ein Dell-Techniker kommt vorbei und tauscht den Akku aus, damit das Gerät im Zweifelsfall nicht ausfällt. Und das mit Serviceoptionen, die drei bis fünf Jahre abdecken. Das ist bei der Latitude-Serie allerdings auch üblich.

Zudem hat das Notebook keinen Netzteilanschluss mehr, sondern wird per USB-C aufgeladen. Der typische Dell-Netzteilanschluss im Geschäftskundensegment fehlt dem Latitude 13 7000. Als Prozessor kommt in dem lüfterlosen Gerät ein Core M3, M5 oder M7 zum Einsatz statt eines Core i wie beim XPS 13. Außerdem gibt es eine LTE-Option, eine Tastaturbeleuchtung und im Gehäuse ist sogar ein Smartcard-Reader eingebaut.Doch alles andere geht tatsächlich nur noch über ein USB-C-Dock. Davon bietet Dell zwei verschiedene an, die jeweils mit externem und bekanntem Dell-Netzteil ausgeliefert werden: das flache Dell-Dock WD15 und das erstaunlich voluminöse Thunderbolt-Dock.

Das WD15 genannte Dock setzt dabei auf USB-C sowie im Alternate Mode auf den Lanes auf Displayport. In der Box wird dann in Richtung HDMI, analogem VGA oder auch direkt per Displayport und Mini-Displayport das Videosignal ausgegeben. Über den USB-Teil des USB-C-Anschlusses wird USB 3.0, USB 2.0, Audio und Gigabit-Ethernet über die Box geleitet. Für die Energieversorgung kann ein 130- oder 180-Watt-Netzteil genutzt werden. Dabei wird nicht nur das Notebook versorgt, sondern auch Peripherie am Dock.Beim Thunderbolt-Dock geht es sogar bis 240 Watt, was möglicherweise die enorme Größe erklärt. Auf Nachfrage konnte uns Dell nicht sagen, warum das Dock ein Volumen hat, das so manchem Mini-PC im Geschäftskundenumfeld entspricht. Dafür gibt es aber auch viele Anschlüsse, die per Alternate Mode und USB bereitgestellt werden. Das Thunderbolt-Dock unterstützt laut Dell auch einen Displayport-Alternate-Mode per USB-C, so dass ein eingedocktes Notebook nicht zwingend Thunderbolt bieten muss. Zwei 4K-Displays mit 60 Hz lassen sich allerdings nur dann anbinden, wenn das Dock per Thunderbolt im Alternate Mode aktiv ist. So lassen sich maximal 5.120 x 2.880 Pixel anbinden. Das wäre eher etwas für High-End-Arbeitsplätze.

Ein zweites Display am Smartphone kann im Alltag eine Bereicherung sein. Dazu muss es aber sinnvoll integriert werden. LG ist das mit dem V10 nicht so ganz gelungen. Dabei macht das gelungene Oberklasse-Smartphone an vielen anderen Stellen alles richtig.
Das Auffällige am V10 von LG ist das zweite schmale Display, das sich oberhalb des normalen Bildschirms befindet. Es ignoriert den Lagesensor, dreht sich also nicht mit, wenn das Smartphone gedreht wird. Idealerweise wird es im Hochkantbetrieb verwendet. Zur Not kann es aber auch im Querformat verwendet werden, sofern der Anwender weiß, auf welche Bereiche er tippen muss.

Das Zweitdisplay hat eine Bilddiagonale von 2,1 Zoll bei einer Auflösung von 160 x 1.040 Pixeln. Es ist in der Standardkonfiguration immer angeschaltet, auch wenn das Hauptdisplay abgeschaltet ist. Allerdings ist es immer etwas abgedunkelt, so dass es bei heller Umgebung nicht sonderlich gut erkennbar ist. Je nach Zustand des Hauptdisplays stehen andere Funktionen bereit. Bei abgeschaltetem Hauptdisplay gibt es deutlich weniger Möglichkeiten. So ist etwa der direkte Zugriff auf Apps oder Kontakte bei deaktiviertem Hauptdisplay nicht möglich. Damit wird der eigentliche Sinn des Zweitdisplays ad absurdum geführt.http://www.powerakkus.com/lenovo.html

Bei abgeschaltetem Display zeigt das Zweitdisplay in der Hauptebene auf der linken Seite Icons für Benachrichtigungen und den Status des Musikplayers an. Neue Benachrichtigungen erscheinen nur wenige Sekunden lang, danach bleibt nur ein Icon übrig, das anzeigt, dass etwas passiert ist. Wer nicht gerade in dem Moment auf das Zweitdisplay schaut, wenn eine neue Benachrichtigung eingeht, muss das Hauptdisplay bemühen, um die Botschaft lesen zu können. Nachträglich lässt sich der Inhalt nicht auf dem Zweitdisplay anzeigen. Es ist schade, dass LG hier die Möglichkeiten des Zweitdisplays nicht ausschöpft. Je nach Option wird außerdem im rechten Bereich des Zweitdisplays entweder ein selbst gewählter Text oder es werden verschiedene Statusinformationen angezeigt. Zu den Statusinformationen gehören ein Wetter-Icon, das Datum und die Uhrzeit. Weitere Optionen stehen für den Zweitbildschirm bei abgeschaltetem Hauptdisplay nicht zur Verfügung.

Mehr Einstellungen und allgemein mehr Möglichkeiten bietet das Zweitdisplay, wenn das Hauptdisplay eingeschaltet ist. Dann können über das Zweitdisplay die letzten fünf Apps, fünf Lieblings-Apps und fünf oft benötigte Kontakte aufgerufen werden. Ein Klick auf eine App startet diese, bei Kontakten kann der Nutzer festlegen, ob er anrufen oder eine SMS schreiben möchte.Zudem steht auch hier die Grundbedienung für die Musikplayer-App zur Verfügung, der Nutzer kann sich auf anstehende Termine hinweisen lassen und es kann ein selbst geschriebener Text eingeblendet werden - analog zum Verhalten des Displays, wenn der Hauptbildschirm ausgeschaltet ist. Zwischen den jeweiligen Bereichen wird mit einem seitlichen Fingerwisch gewechselt, es gibt also bei aktiviertem Hauptdisplay bis zu sechs Zweitbildschirmseiten, deren Reihenfolge der Nutzer festlegen kann. Bei abgeschaltetem Hauptdisplay sind es maximal drei Seiten, deren Reihenfolge nicht verändert werden kann.

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Asus M50Vm Battery

Full HD is so old hat these days that the Z4 Tablet’s next upgrade shouldn’t come as a shock. Where the Z2 Tablet had a 1080p screen, the new model has a high-DPI panel with a resolution of 2,560 x 1,600, delivering a pixel density of 299ppi.I’m still not convinced of the need for such high resolutions on small screens, especially since they can have an impact on power usage and performance, but I can’t criticise the quality of the Z4 Tablet’s display.It uses IPS technology, so viewing angles are exceptional, and first impressions are of a bright and colourful image that’s bristling with detail. The figures stack up impressively well, too. Testing with a colorimeter reveals a maximum brightness of 464cd/m2, a contrast ratio of 963:1 and good colour accuracy, with only a slight purple tinge to blues blotting the Xperia Z4 Tablet’s copybook.

It’s accompanied by a pair of front-facing speakers that are laudably clear. Although a little down on low-end body compared with the iPad Air 2, their position – embedded in the screen surround and forward-facing – means you’re less likely to obscure them with your hands.With so many pixels to work with, you’d expect the internals to have been beefed up too, and so it has proved. Sony has opted for one of Qualcomm’s top-end Snapdragon 810 SoCs, featuring an Adreno 430 GPU, and accompanied by 3GB of RAM and 32GB of eMMC storage.The former is an 64-bit octa-core part, and as with all such processors we’ve seen so far, it comprises a pair of quad-core CPUs. The more powerful of these (based on the ARM Cortex-A57) runs at 2GHz and deals with demanding tasks, while the less powerful 1.5GHz Cortex-A53 part deals with day-to-day jobs, thus saving power and – hopefully – battery life.

In terms of the way this tablet feels to use, the Xperia Tablet Z4 is peerless. It feels ultra-responsive, doesn’t slow down while multitasking, and plays demanding games extremely smoothly. And benchmark figures back this up, with the Z4 Tablet delivering a result of 37fps in the GFXBench T-Rex HD test at native resolution, and Geekbench scores of 1,261 and 4,226 in the single- and multi-core tests respectively. The Z4 Tablet can't quite match the Nexus 9 or iPad Air 2 for raw performance, as you can see from the table below, but it isn't far behind, and for multitasking it's a whisker ahead.Crucially, and perhaps more importantly, battery life is superb. I set a 720p movie to loop using the stock video player, and with the screen set to a standard brightness of 120cd/m2 the Sony Xperia Z4 Tablet lasted 12hrs 40mins on a single charge.

That’s some way short of the Z2 Tablet’s astonishing 14hrs 38mins, but given the more demanding nature of the screen and internal hardware, I think Sony has done a great job. What’s more, by using Sony’s smart backlight control, it’s possible to eke out even more life from the Z4 Tablet’s 6,000mAh battery.Sony’s Android launcher continues to be one of the least intrusive around, and that continues on the Z4. This time it incorporates Android 5.0.2, and adds a number of handy features of its own.The best of the lot has to be the Chrome OS-like shortcut bar that appears in the bottom-left corner of the screen whenever the keyboard is connected. Just like Chrome OS, this toolbar adds shortcuts that launch key apps – Chrome, Gmail, Google Now, Drive, YouTube and Calendar – and even includes a Start menu in the bottom-left corner of the screen.The Start menu provides access to recently used apps via a vertically scrolling list, allows you to add and edit the shortcut menu to its right, and also hosts shortcut buttons for Sony’s pop-up apps, which comprise a calculator, screen grabber, countdown timer and browser. These may be subtle additions, but they make an awful lot of sense for keyboard users.

Sony Xperia Z4 Tablet: Rear of tablet
One area where the Xperia Z4 Tablet really stands out, though, is connectivity. It comes with 802.11ac Wi-Fi as standard, with support for MIMO, Bluetooth 4.1, NFC and MHL output for wired connection to a monitor, plus that all-important microSD slot for expanding on the Z4’s 32GB storage and an infrared transmitter. There's also a 4G version of the tablet for those who can't be bothered with the faff of tethering.For pictures and video, there’s an 8.1-megapixel rear-facing camera and 5.1-megapixel front-facing unit. Image quality from the rear camera isn’t brilliant – noise and compression artefacts spoil shots taken even in good light – but it’s just about good enough that you won’t feel too disappointed if you don’t have your phone to hand when you need to take a quick snap.The front-facing camera isn’t bad, either, but here the limited keyboard hinge adjustability causes problems: with the tablet slotted into its keyboard dock, you have to lean back to get your whole face into shot, or drop your seat to a comically low level.

With the inclusion of the Bluetooth keyboard, it seems that Sony is positioning the Xperia Z4 Tablet as a business and productivity device. It’s certainly light enough to take on the best Ultrabooks at their own game, and theoretically there are apps and services available that could help it do so.However, the reality is that the hardware – in particular the keyboard – fails to convince. It’s plasticky, cheap-feeling and far too cramped for fast typing. The wobbly hinge mount and lack of vertical adjustment provide even more cause for complaint.That wouldn’t be a problem had Sony made the Xperia Z4 Tablet available on its own at a lower price, because alone it represents a formidable competitor to the iPad Air 2, especially for those who favour Android over iOS. As it is, though, you can’t buy one without the other, a restriction that ensures the price pushes up to a rather hefty £500.

The aim of the partnership is to take a step towards computers that can work on the exascale level – that’s the ability for a system to perform a billion billion calculations every second, or one exaflop. The current fastest systems in the world can perform between ten and 33 million billion calculations per second, or 10 to 33 petaflops."Put into context, if exascale computing is the equivalent of an automobile reaching 1,000mph, today’s fastest systems are running within a range between ten and 33 miles per hour,” IBM said in a statement.The collaboration is planned to initially run for 18 months, and is predicted to end up with computers at speeds of more than 100 petaflops. That marks a sizeable leap from today’s fastest systems and a big step towards exascale computing.

Looking forward to getting a 100-petaflop system in your iPhone? You might be waiting for some time. IBM and GENCI say the focus of the collaboration is on complex scientific applications for the new ultra-fast systems, which will use computing technology from IBM’s OpenPOWER ecosystem.GENCI is owned by a mixture of bodies, including the French state, the Commissariat à l’énergie atomique and the French National Centre for Scientific Research. Access to the OpenPOWER ecosystem will allow GENCI to tap into a wide network of high-performance computing innovations based on IBM’s POWER processor technology. As an example, IBM says this will include the connection of Nvidia GPUs accelerators to POWER processors through high-speed Nvidia NVLink interconnects.IBM seems confident that this partnership with a leading French computer agency will end up in the next stage of evolution for supercomputers: "We fully expect our collaborative efforts will produce innovations capable of moving the supercomputing industry that much closer to exascale," said Michel Teyssedre, CTO of IBM France.http://www.batteries-pc.com/hp.html

If we do reach an exascale level of computing, the repercussions could extend much further than faster phones and laptops. One exaflop is thought to be the processing speed of the human brain at neural level, which means exascale computers could help power simulations of the human brain, such as through the Human Brain Project. The ThinkPad X1 Carbon means business. Offering enterprise-grade features that Apple’s "Pro”-branded laptops lack, and a defiantly business-first design, this is a laptop designed to relish life in and out of the office.The first coup is connectivity. With an integrated 4G adapter included in every model across the range, this is one business portable which won't leave you scouting for a Wi-Fi hotspot or faffing with smartphone tethering.Then there’s the fingerprint reader, now tucked to the right of the keyboard rather than on the palm rest as on previous Carbons.

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January 26, 2017

Batterie HP COMPAQ NX9020

Lyle Jansma est photographe. Un jour, alors qu'il travaillait en tant que bénévole au musée du patrimoine aérien de Belligham, dans l'état de Washington, il a rencontré un homme en chaise roulante qui souhaitait voir l'intérieur du P-51 Mustang "Val-Halla" qu'abrite le musée. Mais dans son état, ce n'était tout simplement pas possible. Cette rencontre [...]
John Carmack, le créateur du mythique jeu vidéo Doom, est-il l'un des pères "légitimes" de la technologie de réalité virtuelle développée par Oculus VR ? Le studio Zenimax, employeur de John Carmack (car propriétaire du studio Id Software) en doute. Il prétend détenir des technologies-clés liées au casque de réalité virtuelle, Oculus Rift.
Carmack les aurait imaginées alors qu'il était encore salarié de Zenimax. Selon le studio, le développeur aurait partagé la propriété intellectuelle de ses créations avec Oculus avant même son embauche par la start-up technologique. Le créateur de Doom aurait collaboré de façon non officielle avec l'équipe d'Oculus VR dès l'année 2012.

Après le Yota Phone et son système de double écran, un professeur du Human Media Lab de l'Université du Queen's au Canada planche sur un modèle de smartphone à triple écran. Déniché par Business Insider, l'appareil du futur dispose donc de trois écrans clipsables et entièrement modulables.
Un smartphone qui pourrait se transformer en clin d'oeil en une tablette ou même un mini-PC ? C'est ce qu'a imaginé le professeur Roel Vertegaal du Human Media Lab de l'Université du Queen's (Canada). Le chercheur a présenté son prototype de smartphone pliable baptisé PaperFold. La trouvaille dévoilée par Business Insider, se présente comme un smartphone équipé de trois écrans e-ink, monochromes et à basse consommation. Modulables, les écrans peuvent se clipser pour ne former qu'un très grand smartphone mais l'utilisateur, s'il le souhaite, peut également n'accrocher que deux écrans et utiliser l'appareil comme un mini-PC.
Avec l'apparition d'initiatives comme code.org pour motiver les gens à l'apprentissage de la programmation informatique, comment ne pas fêter l'anniversaire du BASIC ? Ce langage, dont l'héritage est toujours présent après 50 ans d'existence, a indéniablement contribué au développement et à la popularisation de l'informatique au fil des ans.

Le langage de programmation BASIC, dont le nom est un acronyme pour "Beginner's All-purpose Symbolic Instruction Code", ce qui donne en français "code d'instruction symbolique à tout faire pour débutant", a été créé le 1er mai 1964 par John G. Kemeny and Thomas E. Kurtz à l'université de Darmouth, aux Etats-Unis. A l'époque, les ordinateurs n'étaient ni "mini" ni "micro", et remplissaient des pièces entières, qu'il fallait réfrigérer pour compenser la chaleur qu'ils généraient. [...]
Difficile de contrôler des appareils à distance d'un simple geste, car la main n'a aucune sensation de toucher et peine donc à contrôler parfaitement ses déplacements. Pour pallier ce problème, une start-up anglaise, Ultrahaptics, développe un système basé sur les ultrasons qui permet à son utilisateur de sentir à main nue des objets virtuels.
Vous jouez au jeu vidéo de guérilla urbaine Grand Theft Auto 5, pistolet au poing. Vous venez de braquer une bijouterie et la police débarque sur les lieux du crime. Vous êtes caché(e) en embuscade et là vous êtes touché d'une balle en pleine poitrine. Les forces de l'ordre vous avaient repéré(e). D'ici quelques années, vous ne vous contenterez plus d'entendre la balle siffler. Vous pourrez aussi la sentir impacter votre torse, grâce à des ultrasons.
La start-up Ultrahaptics développe une technologie nouvelle qui permet, grâce à ces ondes sonores de faire vibrer un point particulier de l'espace. Comme l'explique la vidéo ci-dessous, si la peau entre en contact avec ce point précis, elle peut sentir la présence d'un objet virtuel.

SENTIR DIFFÉRENTES TEMPÉRATURES
Cette technologie pourrait permettre à ses utilisateurs d'interagir avec des objets virtuels dans un jeu vidéo, ou de taper sur un clavier, virtuel lui aussi, en ayant une sensation de contact avec les touches de l'appareil. Les premières applications développées à partir de cette invention devraient être sur le marché d'ici deux ans.
Aujourd'hui, le système créé par Ultrahaptics en est encore à la phase expérimentale. Les chercheurs, qui ont commencé leurs recherches à l'université de Bristol avant de fonder l'entreprise, travaillent sur les sensations provoquées par les ultrasons sur la peau. Certaines parties de la main, le bout des doigts par exemple, sont plus réactives que d'autres, comme le centre de la paume. Aujourd'hui, la machine permet à ses utilisateurs de sentir des objets virtuels d'une taille minimale de deux centimètres carrés.
L'équipe qui a conçu le projet veut développer le champ des sensations ressenties grâce aux ultrasons : ils pensent un jour être capables de faire sentir aux utilisateurs de leur machine différentes températures, mais aussi différentes matières.
Les voitures autopilotées de Google continuent d'acquérir de nouvelles capacités à mesure que le temps passe. Dernière innovation en date : elle peuvent désormais naviguer en ville, intégrant dans leurs algorithmes les déplacements de tous types d'usagers.
Des piétons distraits aux véhicules sortant d'allées dissimulées en passant par les cyclistes se faufilant entre les voitures ou les camions garés en double file, il n'est pas toujours simple de conduire en ville, même pour un automobiliste aguerri. Et pourtant, ces éléments qui peuvent sembler aléatoires et chaotiques à un être humain sont relativement prévisibles pour un ordinateur, qui peut traquer les déplacements de tous les objets qu'il détecte en temps réel. [...]

La star de la coupe du monde de football 2014 n'est pas Fuelco, le tatou à trois bandes, mascotte de la compétition. Celui qui retient toutes les attentions s'appelle Brazucam, une version customisée du ballon officiel du championnat créé par Adidas. Cet objet high tech est connecté et équipé de 6 caméras, capables de filmer un matche au coeur de l'action. Il effectue avant le début du championnat un voyage autour du monde, à la rencontre des différentes équipes qui participent.
Il tournoie et vole de pied en pied sur les pelouses des stades. Brazucam, une version customisée du ballon officiel de la coupe du monde de football 2014 qui démarrera le 12 juillet au Brésil, a été équipée par Adidas de six caméras haute définition, grâce auxquelles il peut filmer ses aventures à 360°.
"Bonjour, je m'appelle Brazuca, […] et j'ai six yeux". L'équipe de communication d'Adidas, sponsor officiel de la compétition, s'est amusée à donner une personnalité à son "ballon star" dans la vidéo ci-dessous.

Avant le début de la compétition, Brazucam effectue un voyage autour du monde. Depuis son départ le 7 avril, il a parcouru 12 966 kilomètres (à l'heure où cet article était publié . Il raconte ses pérégrinations sur son blog et sur son compte twitter @Brazuca, qui compte déjà près de 126 800 followers. Ci-dessous, sa visite en Espagne, où il a rencontré l'équipe de football nationale.
La division Interactive 3D Technologies de Microsoft développe un clavier d'ordinateur en apparence classique, mais doté de fonctionnalités innovantes. En plus de pianoter sur les touches, grâce à un capteur de mouvements, on peut utiliser effleurer la surface du clavier pour naviguer dans une interface en 3D : zoomer, faire défiler une page, passer d'une application à une autre… Présentation de cette innovation en vidéo.
Non, Foxconn n'est pas un simple sous-traitant des géants de l'électronique comme Apple. Le groupe taïwanais (aussi connu sous le nom "Hon Hai Precision Industry") mise sur la R&D pour diversifier ses activités, et réduiire sa dépendance à la marque à la pomme. Il possède un portefeuille de 64 000 brevets validés, et près du double en attente de certification. Illustration : Foxconn était en 2012 le huitième déposant en brevets aux Etats-Unis, devant General Electric.

GOOGLE PUISE DANS LES TECHNOS DÉVELOPPÉES PAR FOXCONN
Un riche portefeuille de brevets que la compagnie taïwanaise a l'intention de valoriser. En août 2013, Google avait déjà acheté des brevets portant sur la réalité virtuelle. Re-belote en ce mois d'avril 2014, selon le Wall Street Journal. De nombreux brevets portant sur des technologies de communication auraient été acquis par Google pour un montant non précisé.
Les deux compagnies sont habituées à ce type d'échange gagnant / gagnant : Foxconn devrait prochainement créer une ligne de production équipée de robots mis au point par Google.
Dans le cadre d'un festival organisé par Lockheed Martin, la start-up KMel Robotics a développé des drones hexarotors capables de jouer un spectacle musical aussi pointu que le poème symphonique "Ainsi parlait Zarathoustra" de Strauss ou l'hymne national américain.
La start-up américaine KMel Robotics, spécialisée dans les drones civils, a été créée en 2011 par deux étudiants diplômés de l'Université de Pennsylvanie. Pour se faire connaître et démontrer leurs compétences techniques, ils avaient déjà réalisé des vidéos de drones "dansant", et avaient même participé à une pub pour la marque automobile Lexus. Poursuivant sur leur lancée, ils viennent de mettre au point un court spectacle musical joué intégralement par leurs drones hexarotors.
En annonçant le 23 avril avoir vendu, au premier trimestre 2014, un nombre d'iPhone supérieur aux estimations les plus optimistes, Apple a gagné du temps. Mais la société n'a pour autant pas répondu à la principale question que se pose Wall Street : va-t-elle ou même peut-elle encore lancer un nouveau produit phare?http://www.batterie-tech.com/batterie-ordinateur-portable-toshiba.html

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Akku BOSCH 3360

Direkt beim Auspacken fällt uns das Gewicht des Gigaset ME auf: Mit 168 Gramm ist es nicht leicht, was sicherlich am Metallrahmen und der Glasrückseite liegt. Zum Vergleich: Das größere Huawei Mate S wiegt 10 Gramm weniger. Dennoch liegt das Gigaset ME gut in der Hand, das Gewicht trägt sogar etwas zum Gefühl der Hochwertigkeit bei - wie auch beim ZTE Nubia Z9.Die Front des Gigaset ME ist eher unspektakulär und ähnelt der eines iPhones der 6er-Serie. Auf der Rückseite finden sich markante Metallstreifen unter dem Glas, die eine Verlängerung der Kunststoffeinsätze der Antennen im Metallrahmen darstellen. Das sieht ungewöhnlich aus und mag nicht jedem gefallen - einen Wiedererkennungswert hat das Smartphone dadurch auf jeden Fall.Insgesamt ist die Verarbeitung sehr gut: Die kratzfesten Glasflächen gehen leicht abgerundet in den Metallrahmen über, wir konnten kein Knarzen oder auffällige Spaltmaße feststellen. Einen Kritikpunkt haben wir allerdings: Die Rückseite des Gigaset ME ist wie die des Oneplus X so glattpoliert, dass das Smartphone auf fast jeder Oberfläche sehr leicht gleitet.

Dadurch fällt das Gerät oft von Tischen, Sofas oder anderen Ablageflächen, von denen man annimmt, dass es sich um eine gerade Fläche handelt. Denn selbst geringstes Gefälle reicht aus, um das Smartphone rutschen zu lassen. Hinterhältigerweise geschieht dies bei sehr geringer Schräglage mitunter erst nach Minuten. Wir haben während unseres Tests irgendwann nicht mehr mitgezählt, wie oft das Gigaset ME irgendwo runtergeplumpst ist - zugutehalten muss man dem Gerät, dass es dabei nicht kaputtging.Das IPS-Display des Smartphones ist 5 Zoll groß und löst mit 1.920 x 1.080 Pixeln auf - auch das teurere Pro-Modell hat keine höhere Auflösung. Beim Gigaset ME ergibt das eine Pixeldichte von 443 ppi, was für eine scharfe Darstellung sorgt. Das Display ist blickwinkelstabil und hat angenehm neutrale Farben. Insgesamt macht der Bildschirm einen guten Eindruck auf uns.

Insgesamt betrachtet lässt sich mit Gigasets Benutzeroberfläche durchaus arbeiten, besonders auffällige oder positiv hervorstechende Merkmale hat sie allerdings nicht. Wer gerne alternative Launcher verwendet, den wird es beim Gigaset ME wie uns stören, dass in unregelmäßigen Abständen wieder das ursprüngliche UI eingeblendet wird, obwohl der alternative Launcher als Standard eingestellt wurde.Der Akku des Gigaset ME hat eine Nennladung von 3.000 mAh. In unserem Test hat das Smartphone bei alltäglicher Nutzung eine gute Akkulaufzeit: Problemlos kommen wir über anderthalb Tage mit einer Ladung aus. Dabei rufen wir E-Mails ab, schicken Kurznachrichten, surfen, schauen Videos und spielen ein wenig.Geladen wird das Smartphone über einen USB-Typ-C-Stecker, der verdrehsicher ist. Das Gigaset ME unterstützt Schnellladen, bereits nach wenigen Minuten füllt sich die Ladeanzeige merklich. Laut Gigaset bringen zehn Minuten Ladezeit 16 Prozent Akku - ein Wert, den wir bestätigen können.

Gigasets Einstieg in den Smartphone-Markt beeindruckt uns nicht. Grundsätzlich gefallen uns das Design und die Verarbeitung des Smartphones gut, auch die Kamera macht anständige Bilder. Dass der Snapdragon-Prozessor weniger stark drosselt als bei Modellen anderer Hersteller, ist zu begrüßen. Wir haben in unserem Test allerdings zahlreiche Kritikpunkte gefunden, die - angesichts des Preises und der verfügbaren Konkurrenzgeräte - für uns gegen eine Kaufempfehlung sprechen. Am meisten stört uns die mitunter schlechte Qualität des unter dem Displayglas versteckten Lautsprechers, der trotz Oberflächenschallübertragung nur dann ein genügend lautes Signal ausgibt, wenn wir das Smartphone in einer spezifischen Position halten.

Der Fingerabdrucksensor ist aufgrund seiner langsamen Erkennung für uns im Grunde nicht nutzbar: Teilweise vergehen gut zwei Sekunden, bis das Gigaset unseren Finger erkennt und das Smartphone entsperrt. Ebenfalls im Alltag für uns sehr unpraktisch ist die sehr rutschige Rückseite des Smartphones. Ohne eine Hülle fällt das Gigaset ME ständig herunter.Bei einem Preis von aktuell 470 Euro plus Versandkosten bietet uns das Gigaset ME verglichen mit Konkurrenzgeräten keinen Kaufanreiz. Das Samsung Galaxy S6 mit 32 GByte Speicher kostet zurzeit 450 Euro und hat dafür eine bessere Kamera, ein sehr gutes Display, einen schnellen Fingerabdrucksensor sowie einen leistungsstarken Prozessor vorzuweisen - ohne die Nachteile des Gigaset-Smartphones. Wer auf eine Speicherkarte nicht verzichten will, findet im LG G4 für aktuell 430 Euro sogar ein noch günstigeres Alternativgerät.

Betrachtet der Nutzer das Frontglas des Gigaset ME, wird ihm irgendwann ein Detail auffallen: An der Stelle, wo sich normalerweise die Öffnung des Telefonlautsprechers befindet, befindet sich lediglich ein Gigaset-Schriftzug. Tatsächlich hat das ME weder auf der Rückseite noch auf der Vorderseite Öffnungen im Gehäuse. Dadurch soll das Gerät besser vor Staub und Flüssigkeiten geschützt sein, eine explizite Zertifizierung hat es jedoch nicht.Die Audioausgabe bei Telefonaten erfolgt Gigaset zufolge durch eine Kombination aus Lautsprecher und Oberflächenübertragung des Schalls. Diese Technik hat unter anderem Kyocera bei seinem Smartphone Torque verwendet: Töne werden in Vibrationen umgewandelt und über den Schädelknochen weitergeleitet. Zusammen mit speziellen Filtern sollen Anrufer mit dem Gigaset ME besser zu verstehen sein als bei herkömmlichen Smartphones.

In der Praxis funktioniert das mit unserem Testgerät nicht immer: Halten wir das Smartphone nicht an einer bestimmten Stelle ans Ohr, hören wir von unserem Gesprächspartner nur noch ein leises Flüstern. Treffen wir den "Sweet Spot", sind die Klangqualität und die Lautstärke gut - nach ein paar Tagen hatten wir den Dreh raus. Wir müssen das Gigaset ME jedoch deutlich genauer an eine bestimmte Stelle am Ohr halten als Smartphones mit herkömmlichen Lautsprecheröffnungen.Ebenfalls auffällig waren Verbindungsprobleme, die wir beim Gigaset ME öfter beobachteten als mit anderen Testgeräten. So kam es während unseres Tests mehrfach vor, dass das Smartphone schlicht keine Telefonate aufbauen konnte - trotz angezeigten Netzes. Auch erhielten wir mit dem Gerät andauernd Cell-Broadcast-Nachrichten, die wir nicht in den Einstellungen abschalten können.In der oberen Hälfte der Rückseite befindet sich ein Fingerabdrucksensor. Gut gefällt uns, dass er - wie auch die Kamera - eben mit dem Gehäuse eingebaut ist. Über den Sensor können Nutzer das Gigaset ME entsperren und weitere Aktionen ausführen, wie etwa die Frontkamera auslösen.

Wir haben die Entsperrfunktion des Fingerabdrucksensors schnell wieder abgestellt, da sie uns schlicht zu langsam war. Verglichen mit den Sensoren des neuen Nexus-Smartphones, des neuen iPhone 6S oder auch des Huawei Mate S braucht der im Gigaset ME einfach viel zu lange, um das Gerät freizugeben. In der Zeit haben wir schneller eine PIN eingegeben.Die Hauptkamera, die oberhalb des Fingerabdrucksensors liegt, hat eine Auflösung von 16 Megapixeln und einen Dual-LED-Blitz. Links neben der Kamera befindet sich der Sensor für den Phasenvergleichsautofokus, der für ein schnelles Scharfstellen sorgt. Gleichzeitig ist hier auch der Pulsmesser untergebracht, der wie beim Galaxy S5 mit Auflicht arbeitet. Die Frontkamera des Gigaset ME hat 8 Megapixel.

Die Bildqualität der Hauptkamera ist bei Tageslicht gut: Aufgenommene Fotos haben eine gute Schärfe und angenehme Farben. Bei stärkerer Vergrößerung werden erste Artefakte sichtbar; andere 16-Megapixel-Kameras, wie die der Galaxy-S6-Modelle von Samsung, sind hier besser. In dunkleren Umgebungen zeigen die mit dem Gigaset ME gemachten Bilder kaum Artefakte, wirken dafür aber bereits bei geringer Vergrößerung etwas unscharf.Als Prozessor kommt im Gigaset ME Qualcomms Snapdragon 810 zum Einsatz, ein Octa-Core-Prozessor mit vier leistungsstarken und vier weniger starken Kernen. Die Taktrate beträgt 1,8 GHz. Der DDR4-Arbeitsspeicher ist 3 GByte groß, der eingebaute Flashspeicher 32 GByte - andere Speichervarianten gibt es nicht. Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten ist eingebaut, er befindet sich im kombinierten Dual-SIM-Speicherkarten-Slot: Nutzer können wählen, ob sie zwei SIM-Karten oder eine SIM- und eine Micro-SD-Karte nutzen möchten.

Der Snapdragon 810 drosselt seine Leistung auch im Gigaset ME nach wenigen Minuten herunter. Allerdings ist der Leistungsverlust hier nicht so stark wie in anderen Smartphones mit Qualcomms aktuellem SoC: Im Geekbench-Benchmark erreicht das Gerät bei kaltem Prozessor einen Single-Wert von 1.032 Punkten, der im warmen Zustand auf 739 Zähler sinkt. Andere Smartphones verlieren hier durchaus die Hälfte der Leistungsfähigkeit. Der Preis für die geringere Drosselung ist, dass das Gehäuse bereits nach kurzer Zeit merklich heiß wird.Die restliche Hardware des Gigaset ME lässt im Grunde nichts zu wünschen übrig: Das Smartphone beherrscht neben Quad-Band-GSM und UMTS auch Cat4-LTE. WLAN beherrscht das Gerät nach 802.11ac, Bluetooth läuft in der Version 4.1. Ein GPS-Empfänger mit Glonass- und Beidou-Unterstützung ist eingebaut.http://www.akkus-laptop.com/hp.html

Ausgeliefert wird das Gigaset ME mit Android 5.1.1, auf dem der Hersteller seine eigene Benutzeroberfläche namens Gigaset UI installiert hat. Diese sieht auf den ersten Blick wie ein herkömmliches Android aus, auffällig ist aber das Orange des Gigaset-Schriftzugs als Akzentfarbe in allen Menüs.Auf der Benutzeroberfläche gibt es keine App-Übersicht, stattdessen werden wie bei iOS alle Apps auf dem Startbildschirm abgelegt. Mit Ordnern lässt sich hier Übersicht schaffen, wenngleich wir die Ordnersymbole nicht besonders hübsch finden. Störend finden wir zudem, dass es keine Übersicht über den monatlichen Datenverkehr gibt. Gigaset hat einige Apps vorinstalliert, unter anderem ein Tool, um Kontakte auf DECT-Telefone zu übertragen, eine Gesundheits-App und eine Kontroll-App für Gigasets Smart-Home-Geräte. Wer mit diesen Anwendungen nichts anfangen kann, kann sie einfach deinstallieren.

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January 25, 2017

Akku Acer TravelMate 2410

Anfang Dezember 2015 stellte Ford ein Softwareupdate für seine Sync-Technik vor, mit dem sich Apples Sprachassistent für Autofahrer nutzen lässt. Das Update stehe für rund fünf Millionen Fahrzeuge weltweit zur Verfügung, teilte das Unternehmen mit. Es ist für Autos bis zum Modelljahr 2011 verfügbar, sofern das jeweilige Fahrzeug mit Ford Sync 2.0 ausgerüstet ist. Wer nicht genau weiß, was man mit dem riesigen iPad Pro anfängt, kann mit der App Duet Display das Tablet zum sekundären Bildschirm für Rechner mit OS X und Windows machen. Ohne Kabelverbindung geht das jedoch nicht.
Das iPad Pro mit seiner 12,9 Zoll großen Bildschirmdiagonalen eignet sich hervorragend als sekundäres Display für Notebooks und Desktops, dachte sich Entwickler Rahul Dewan und passte seine App Duet Display für das große Apple-Tablet an. Zudem soll die Performance für ältere iPads erhöht und der Strombedarf gesenkt worden sein.

Duet Display besteht aus zwei Apps - eine für Windows beziehungsweise OS X und die andere für iOS. Duet installiert einen weiteren Bildschirmtreiber auf den Desktop-Betriebssystemen. Die Geräte werden per Ligtning-Kabel miteinander verbunden, wobei zwischen Frameraten von 30 und 60 Bildern pro Sekunde gewählt werden kann. Letztere zehrt etwas stärker am Akku. Die Bildwiederholfrequenz ist für die Wiedergabe von Videos auf dem Sekundärbildschirm ausreichend hoch.Auf dem iPad Pro kann der Nutzer zudem die Split-Screen-Ansicht nutzen, um nur einen Teil des Desktop-Bildschirms auf dem Tablet zu sehen. Die App gibt auch Touch-Events an den Host-Rechner zurück, so dass sich das Tablet auch für die Steuerung der Anwendungen nutzen lässt.

Die neue Version von Duet Display unterstützt weiterhin iPhones und iPads mit iOS 7.0 und neuer sowie alle Macs mit 10.9 (Mavericks) und neuer.Das neue Mitglied der Arduino.cc-Familie gehört zu den leistungsfähigeren Exemplaren und integriert erstmals Funktechnik auf einem Originalboard. Zur Einführung veranstaltet Microsoft einen Wettbewerb.
Der neue Arduino beziehungsweise Genuino erscheint unter dem Namen MKR1000. Er basiert auf dem ATSAMW25-Mikrocontroller von Atmel. Dessen Herz ist ein ARM-Cortex-M0+-Prozessor (Atmel SAMD21), getaktet mit bis zu 48 Mhz. Der Flashspeicher ist 256 Kbyte groß, das RAM 32 Kbyte. Außerdem enthält er eine Cryptoeinheit. Ein ähnlicher Mikrocontroller kommt auf dem Arduino Zero zum Einsatz.

Der WLAN-Part des Mikrocontrollers sendet und empfängt nach IEEE 802.11 b/g/n im 2,4 Ghz-Band. Eine Antenne ist in der Platine integriert.Als GPIO stehen 8 digitale Ein- und Ausgänge zur Verfügung, 4 davon unterstützen PWM. 7 analoge Eingänge bieten eine Auflösung von 8 bis 12 Bit, ein analoger Ausgang kann mit 10-bittiger Genauigkeit angesteuert werden. Die Platine erfordert eine 5-Volt-Stromversorgung, das kann per USB-Schnittstelle geschehen. Alternativ steht auch ein Anschluss für 3,7V-LiPo-Akkus zur Verfügung, der Akku kann über den MKR1000 auch wieder aufgeladen werden. Der Akku muss allerdings eine Kapazität von mindesten 700 mAh aufweisen. Die GPIO-Pins selbst vertragen aufgrund des verwendeten Mikrocontrollers nur 3,3 Volt.

Zu den Abmaßen der Platine gibt es noch keine Hinweise, der spartanischen Produktillustration zufolge dürften sie in der Größenordnung des Raspberry Pi Zero liegen.Ab wann und zu welchem Preis der Arduino MKR1000 verfügbar ist, wurde noch nicht bekanntgeben. Der Preis des technisch ähnlichen Arduino Zero beträgt rund 43 Euro ohne Mehrwertsteuer.Bei der Arduino Maker Challenge, einer Kooperation von Arduino.cc und Microsoft, erhalten 1.000 Finalteilnehmer jeweils einen MKR1000. Die Gewinner sollen am 22. Januar 2016 bekanntgegeben werden. Voraussetzung ist die Einreichung einer Projektidee unter Verwendung eines Arduino Uno oder MKR1000 zusammen mit Windows.Windows 10 Mobile für 140 Euro: Microsofts neues Lumia 550 kostet wenig und ist technisch durchaus aktuell. Einzig die Ausstattung des Smartphones fällt - dem Preis entsprechend - dünn aus.
Microsoft hat den Verkaufsstart des Lumia 550 bekanntgegeben: Das neue Smartphone ist ab dem 12. Dezember 2015 verfügbar und kostet 140 Euro. Wie die Topmodelle Lumia 950 und Lumia 950 XL nutzt das kleinere Gerät Windows 10 Mobile als Betriebssystem. Die Ausstattung, Leistung und Technik des Lumia 550 sind dem günstigen Preis entsprechend Einsteiger- bis Mittelklasse.

Das Lumia 550 misst 136 x 69 x 10 mm und wiegt 142 Gramm. Das 4,7 Zoll große Display löst mit 1.280 x 720 Bildpunkten auf, was einer Pixeldichte von 313 ppi entspricht. Obgleich Microsoft bedingt durch den Preis auf IPS- statt OLED-Technik setzt, ist die "Blick" genannte Funktion integriert. Bei der Hardware hat sich Microsoft für einen Snapdragon 210 entschieden, ein System-on-a-Chip von Qualcomm. Darin stecken vier Cortex-A7-Kerne mit bis zu 1,1 GHz und eine Adreno 304 genannte Grafikeinheit. Für den Alltag ist das genug Leistung, aufwendige Spiele dürften ruckeln. Der Arbeitsspeicher fasst 1 GByte, die integrierte eMMC 8 GByte - einen Teil davon belegen aber das Betriebssystem und die Apps. Daher ist ein Micro-SD-Kartenslot verbaut.

Der Akku weist 2.100 mAh (rund 7,8 Wattstunden) auf und ist auswechselbar. Das Lumia 550 erfordert eine Nano-SIM-Card, es unterstützt Bluetooth 4.1 Low Energy, b/g/n-WLAN und LTE Cat4 (150 MBit/s). Die Hauptkamera mit Autofokus und LED-Licht löst mit 5 Megapixeln auf, die Blende von f/2.4 ist Standard. Die Frontkamera schafft 2 Megapixel und 480p-Videos bei einer f/2.8-Blende.Filme encodiert das Lumia 550 in H.264 bei 30 fps, H.265-Material wird in Hardware decodiert. Das dürfte für Streaming wichtig werden.

Für rund 200 Euro verkauft Aldi-Nord zum ersten Mal ein Medion-Smartphone mit LTE: das Life X5004. Wir haben es vor Verkaufsstart getestet - und keine Mängel gefunden, die für diesen Preis nicht zu verschmerzen wären.
Ab dem 10. Dezember 2015 verkauft Aldi-Nord das Medion Life X5004 in seinen Supermärkten für einen Preis von 200 Euro - 50 Euro weniger als der aktuelle Preis in Medions Onlineshop. Das Smartphone ist mit Full-HD-Display, LTE-Unterstützung, 13-Megapixel-Kamera und Dual-SIM-Schacht auf dem Papier gut ausgestattet. Aber schlägt es sich auch im Alltag gut? Golem.de hat das Smartphone getestet und festgestellt: Trotz einiger kleiner Macken macht das Life X5004 auch in der Praxis einen guten Eindruck - besonders angesichts des niedrigen Preises. Das mit Gorilla-Glas geschützte Display des Medion-Smartphones ist 5 Zoll groß und löst mit 1.920 x 1.080 Pixeln auf. Das ergibt eine Pixeldichte von 440 ppi, was zu einer äußerst scharfen Darstellung auch feiner Details führt. Das Display ist zudem äußerst blickwinkelstabil: Egal, von welcher Seite aus wir es betrachten, einen Helligkeitsverlust oder eine Veränderung der natürlichen Farben können wir nicht feststellen. Gerade auch vor dem Hintergrund des Preises ist der Bildschirm des Life X5004 äußerst gut gelungen.

Vom Design her ist das Life X5004 eher schlicht: Ein matter Metallrahmen fasst eine Vorder- und Rückseite aus Glas ein, der untere Bereich der Front ist mit einem silberfarbenen Balken und dem Medion-Schriftzug abgehoben. Das wirkt etwas billig, ohne das silberne Element, in komplettem Schwarz, hätte uns das Smartphone besser gefallen. Auch das auf der Rückseite auffällig in silberner Schrift aufgebrachte CE-Logo samt Hinweis, dass das Smartphone nicht in den Hausmüll geworfen werden soll, finden wir nicht schön.Die Verarbeitung hingegen ist gut: Das Smartphone ist verwindungssteif, hat keine auffälligen Spaltmaße und macht einen stabilen Eindruck. Mit 123 Gramm ist das Life X5004 sehr leicht - für unseren Geschmack etwas zu leicht: Etwas mehr Gewicht würde das Smartphone hochwertiger wirken lassen. Einen echten Kritikpunkt an der Verarbeitung haben wir dann doch gefunden: Das angeschaltete Display scheint durch die Kopfhörerbuchse durch. Auswirkungen auf die Leistung des Smartphones hat dies allerdings nicht.

Das Life X5004 hat auf der Rückseite eine 13-Megapixel-Kamera, unter der ein einzelnes LED-Fotolicht eingebaut ist. Auf Extras wie einen Doppelblitz oder einen schnellen Autofokus hat Medion verzichtet, was angesichts des Preises in Ordnung ist. Die Qualität der Tageslichtaufnahmen ist gut, wenn auch nicht überragend: Solange man nicht stärker vergrößert, sind die Schärfe und das Rauschverhalten in Ordnung, der Weißabgleich stimmt. Zoomen wir stärker in die Bilder hinein, sehen wir verrauschte Details und Artefakte - bei einem 200-Euro-Smartphone finden wir dies allerdings noch akzeptabel. Deutlich teurere Smartphones machen natürlich qualitativ bessere Bilder.http://www.powerakkus.com/asus.html

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ASUS U30JC-1A Battery

However, even the doctor's signature could soon be a thing of the past, although making prescription authentication printable is not as simple as it sounds. A prescription is not a sales receipt of a transaction already complete, but more like a coupon that will be exchanged for something with real monetary value.Some prescriptions can be for substances that are very expensive indeed, and also subject to strict controls over usage, due to the harm they can cause when used without a prescription or in excessive dosages. So prescriptions can't be printed with an everyday device, and the print-outs can't use everyday paper either, as making a photocopy would be tantamount to printing currency.

The Solution allows plain paper to be used to print documents with anti-fraud featuresHP offers a system specifically addressing this problem called the Prescription Printing Security Solution, which works in tandem with the company's PCL5 multi-function and LaserJet printers, such as the Enterprise P3015 or Pro 400 M401dne. The latter is particularly suited to prescription printing, with very low running costs, a universal print driver, and quieter running than its competition.The Solution allows plain paper to be used to print documents with anti-fraud features.The server-based application enables these features to be added before documents are routed to the printer. For example, a copy-evident pantograph reveals a special pattern if the document has been copied or scanned. A variable data watermark prints unique user-defined patterns across the back of a document. Another option is MicroPrint, where secondary authentication only becomes visible when magnified.

It is possible to use pre-printed security stock. However, this is usually expensive and the stock of this paper will need to be protected from theft and misuse. The paper has to be stored in a secure room, and the printers will require lockable trays, plus a software security system that only allows authorised users to print from that paper tray.In contrast, HP's Prescription Printing Security Solution uses regular plain paper, so there's no need to protect the storage of the paper stock. All the "special sauce” is provided by the network software. The prescription is sent to a designated printer with a print queue configured for secure printing, but routed via the HP software, which adds the selected security features to the document.The document can then be retrieved from the printer by the user who printed it with their security details, like any other document. The controls over who can print which prescriptions, and the tally of what they have prescribed, are provided at the network level, making the entire workflow much more secure.

The printers and MFPs in this range use up to 50% less energy and produce 50% less supplies wasteAlongside security, like every human activity these days the doctor's office must consider the environment, and HP's OfficeJet Pro X printers are particularly well placed in this respect. The printers and MFPs in this range use up to 50% less energy and produce 50% less supplies waste, starting with automatic two-sided printing to save paper.In fact, Officejet Pro X series printers have been shown to consume over 60% less energy than some colour laser printers from competitor companies, thanks to HP's PageWide technology, which requires no heated fuser element to print. There is up to 50% less cartridge and packing material by weight compared to competitors, thanks to high-capacity supplies offering up to 9,200 pages per cartridge. Active nozzle health sensing and stabilised paper transport means dependable quality and fewer jams for reduced reprinting requirements.

Even without a sophisticated system like HP's Prescription Printing Security Solution, it's clear that the development of printing has had a significant impact on medical practice. From slow and noisy impact printers to sophisticated, cheap and fast contemporary devices like HP's Officejet Pro X576dw and LaserJet Pro 400 M401dne, the removal of handwriting from the doctor's workflow has drastically reduced the opportunities for mistakes in the transfer of medical histories and drug dosage.The following HP printers have certification for use with Egton Medical Information Systems (EMIS). The EMIS patient record system is used by more than half of GP practices in the UK:Medical practice, like any activity that relies on large amounts of data, has traditionally involved lots of paper. This is perhaps the origin of the generally held belief that doctors have illegible handwriting. When so many handwritten notes were being produced, it's no wonder their legibility became an important issue. It's also no wonder that the arrival of network and personal printing has had a major positive impact.

Doctors hand out pieces of paper when providing referrals to a specialist, and they hand out lots of pieces of paper when writing prescriptions. But research has shown that around 32% of handwritten prescriptions require clarification by the pharmacist, which will entail a phone call that takes time and is very inefficient.A pharmacist may even misread the prescription, causing a potentially harmful medication error. Even if signing a prescription is still necessary to validate it, printing out the details of the drugs prescribed, and other referral information, has significantly improved legibility and thereby the quality of care.The first desktop office printers used impact technology, where pins shot out to transfer ink from ribbons like a traditional typewriter. This kind of printer was slow and made a lot of noise, but even these devices empowered the doctor's surgery, allowing legible referrals and prescriptions to be printed on the spot.


It was onwards and upwards after that, as printer speed and quality improved with the advent of inkjet and laser technology. The laser printer has traditionally been the mainstay of medical and business printing, partly due to the resilience of its printing. But inkjets have developed too, and this technology now offers similar, or even better resistance to smudging and water damage, as well as competitive cost and speed.A good example of how inkjets have progressed is the HP Officejet X rangeA good example of how inkjets have progressed is the HP Officejet X range. At the departmental networked enterprise end of the scale, these are the fastest business printers on the market, with some of the lowest printing costs around too. But the same technology is also available in standalone or small workgroup devices such as the HP Officejet Pro X576dw, which also offers multi-function scanning facilities that will be very beneficial in a doctor's surgery.

This printer still utilises HP's PageWide system, where a full-width print head allows a page to be processed in a single pass. The first page can be printed in under ten seconds, whether colour or black only, after which pages can be delivered at up to 42 per minute. Although the recommended monthly usage is between 1,000 and 6,000 pages, the Officejet Pro X576dw can handle a duty cycle of up to 80,000 pages per month.They will also resist tampering and alteration, which will be important for prescriptionsThe pigmented inks HP uses are designed to be permanent. They are smear and water resistant, at the same level as laser printers, so can be used in documents that need to be secure from damage, since somebody's life could depend on the information. They will also resist tampering and alteration, which will be important for prescriptions.http://www.batteries-pc.com/dell.html

Being an inkjet, the Officejet Pro X576dw is still capable of extremely high quality colour graphics printing, and black text is comparable to a laser printer. It's also very reasonably priced compared to a laser printer, and much cheaper to run than most of them. With printers like this around, there's very little reason for a doctor to write anything by hand again, apart from when a signature is required for authentication purposes.However, even the doctor's signature could soon be a thing of the past, although making prescription authentication printable is not as simple as it sounds. A prescription is not a sales receipt of a transaction already complete, but more like a coupon that will be exchanged for something with real monetary value.

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January 24, 2017

Akku Acer Aspire 5742Z

Für viele dürfte die Amazon-Benutzeroberfläche eine Einschränkung sein. Wer keine Amazon-Dienste nutzt, wird die vielen Implementierungen als nervig empfinden. Beim Telekom-Tablet wurde dagegen nur wenig angepasst, vieles erinnert an das Stock-Android.Wer Telekom-Kunde ist und sowieso ein günstiges Tablet kaufen wollte, sollte beim Puls zugreifen. Für 50 Euro lohnt sich das Gerät auf jeden Fall. Für alle anderen ist das Amazon Kindle das bessere Gerät, vor allem für Nutzer von Amazon-Diensten. 60 Euro sind ein sehr guter Preis für das Gebotene, über die Schwächen sollte man sich aber im Klaren sein.

Der indisch-amerikanische Milliardär Manoj Bhargava hat mit Free Electric eine Art Fahrrad für den Privathaushalt vorgestellt, das mit einem großen Schwungrad ausgestattet Strom für Menschen in Entwicklungsländern erzeugen soll. Das Free Electric ist ein Stromgenerator, der mit Pedalen, einem Dynamo und einem großen Schwungrad ausgerüstet ist. Das Elektrorad ist nicht für ökologisch interessierte Geeks gedacht, sondern für Haushalte in Entwicklungsländern, die sonst über gar keine Stromquelle verfügten. Eine Stunde Treten soll nach Angaben des Multimilliardärs einen Haushalt mit ausreichend Energie für Licht und mobile Geräte wie Smartphones oder Tablets versorgen - einen ganzen Tag lang.Manoj Bhargava wolle in Indien im kommenden Jahr 10.000 Stück des Free Electric verteilen, berichtet National Geographic. Ein Akku speichert die elektrische Energie. Dessen Kapazität gab die Initiative noch nicht an. Für den Betrieb eines Fernsehers reiche es nicht, sagen Kritiker. Auch die Menschen in Entwicklungsländern wünschten sich den Anschluss an das normale Stromnetz, sagte ein Experte National Geographic.

Der größte Vorteil des Heimrads ist seine leichte Reparierbarkeit. Jeder handwerklich begabte Mensch kann es wieder instand setzen. Die ersten 50 Räder sollen in einem Pilotversuch in 15 bis 20 indischen Dörfern erprobt werden, bevor die Großserie startet. Nun zieht laut einem Bericht der Wirtschaftswoche BMW nach und will Stromspeicher für Privathaushalte und kleine Unternehmen anbieten, die den Strom von Solaranlagen zwischenspeichern können. Offiziell sind die Pläne noch nicht, doch die Wirtschaftswoche hat erfahren, dass die Angebote noch in diesem Jahr auf den Markt kommen sollten. Die Anlagen mit 22 kWh sind mit den gleichen Akkus ausgerüstet wie BMWs Elektroauto i3.

Mit diesem Akku soll der Hausbesitzer zum Beispiel sein Elektroauto aufladen, aber auch seinen Haushalt mit Strom versorgen können. Zu den Preisen gibt es noch keine Angaben. Accumotive, ein Tochterunternehmen von Daimler, hat ebenfalls Akkupakete für Hausbesitzer entwickelt. Für Privatanwender können bis zu acht Batteriemodule zu einem Energiespeicher mit 20 kWh kombiniert werden.Aus Aluminium ist die Tastatur Brydge Pro gefertigt, an der das iPad Pro mit Scharnieren befestigt wird. Die Gerätekombination sieht aus wie ein Notebook und erlaubt im Gegensatz zu Apples eigener Tastatur die Anpassung des Anstellwinkels.
Brydge Pro heißt eine riesige Zusatztastatur für das 12,9 Zoll große iPad Pro, die mit gummigepolsterten Scharnieren am Tablet befestigt wird. Der Öffnungswinkel kann beliebig bestimmt werden, was beim Smart Keyboard von Apple nicht möglich ist. Die Tasten sind mit einer Hintergrundbeleuchtung versehen, damit der Anwender auch bei schlechtem Licht arbeiten kann.

Die Verbindung zum Tablet wird per Bluetooth hergestellt. Deshalb musste ein separater Akku im Brydge Pro eingebaut werden, der per MicroUSB geladen wird. Bei normalem Betrieb soll eine Ladung für ungefähr drei Monate ausreichen.Neben den Standardtasten besitzt das Brydge Pro Zusatztasten für iOS-spezifische Funktionen wie die Suche und den Aufruf von Siri. Auch für die Lautstärkeregulierung und den Aufruf des Sperrbildschirms sind separate Tasten vorhanden.Mit einem Gewicht von 700 Gramm ist das Brydge Pro vergleichsweise schwer. Zusammen mit dem iPad Pro ergibt sich eine Kombination, die etwa 1,4 kg wiegt. Das Brydge Pro soll ab 4. Januar 2016 über die Website des Herstellers bestellbar sein. Einen Preis verriet der Hersteller bisher nicht. Ob auch eine Version mit deutscher Tastaturbelegung angeboten wird, ist nicht bekannt. Die Brydge-Modelle für das iPad Air gibt es auch mit deutscher Tastenbeschriftung.

Eher nebenbei hat Hardkernel eine abgespeckte Variante seiner aktuellen Odroid-Linie angekündigt. Er ist ebenso reduziert wie das neue Raspberry Pi Zero, allerdings größer, aber auch leistungsstärker.
Im Odroid-Forum hat der koreanische Hersteller Hardkernel die aktuelle Entwicklung des Odroid C0 bekanntgegeben und erste Entwürfe gezeigt. Es handelt sich um einen abgespeckten Odroid C1+. Die wesentlichen Hardwaredaten bleiben weitgehend identisch: Der Prozessor ist ein Amlogic S805, dessen vier Cortex-A5-Kerne sind mit 1,5 GHz getaktet. Er kann auf 1 GByte RAM zugreifen. Das Videosignal der integrierten Mali450-GPU wird wie auch Audio per HDMI ausgegeben. Für Massenspeicher stehen ein MicroSD-Einschub und Sockel für ein eMMC-Modul zur Verfügung. Die Stromversorgung kann entweder über einen Hohlstecker oder per LiPo-Akku erfolgen, der auch über das Board geladen werden kann.

Ansonsten ist auch bei diesem Bastelrechner eher auffällig, worauf alles verzichtet wurde: Der Gigabit-Ethernet-Port wurde aus Platzgründen entfernt. Auf den Micro-USB-Client-Port wurde zugunsten des Akkuanschlusses verzichtet. Weitere Peripherie kann zwar angeschlossen und genutzt werden, das erfordert aber vom Nutzer, zuvor den Lötkolben anzuwerfen. So sind zwar die Lötstellen für einen zweifachen USB-Host-Anschluss vorhanden, aber eben keine Buchse aufgelötet. Das gilt auch für den UART-Stecker, den IR-Empfänger sowie die GPIO-Leiste mit 40 Pins. Trotz der Reduktion ist die Platine mit 6,5 x 5,6 cm annähernd doppelt so groß wie das Raspberry Pi Zero (6 x 3 cm).Der Odroid C0 soll softwareseitig vollständig kompatibel zum Odroid C1 sein, für den es bisher offizielle Versionen von Android 4.4.2 und Ubuntu 14.04 gibt.

Überraschend ist der angekündigte Preis des Odroid C0, mit 25 US-Dollar ist er recht hoch. Die Auslieferung soll im Februar 2016 beginnen. Es soll auch ein zusätzliches Paket zu einem bisher nicht genannten Preis geben, das alle notwendigen Buchsen und Stecker zum Selbstauflöten enthält.Trotz zeitlicher Nähe scheint die Namensbenennung C0 eher Zufall und keine Reaktion auf das Raspberry Pi Zero zu sein. Das Forumsposting von Hardkernel erfolgte zwei Tage vor dessen Vorstellung.Das Lumia 950 XL nutzt als eines der ersten Smartphones einen Iris-Scanner, der auch in der Dunkelheit funktioniert. Die Fotos der Pureview-Kamera bei Schummerlicht gehören zu den besten, die wir bisher gesehen haben. Aktuell nervt Windows 10 Mobile aber noch mit diversen Aussetzern und Problemen.
Das Lumia 950 XL ist in zweierlei Hinsicht eine Premiere: Es ist das erste Lumia-Topmodell, das seit der Übernahme von Nokia als Microsoft-Smartphone vertrieben wird, und neben dem etwas kleineren Lumia 950 das erste mit Windows 10 Mobile. Im Test überzeugt es uns - insbesondere das Display, die Kamera und Windows Hello sind klare Alleinstellungsmerkmale. Obendrein nutzt das Smartphone einen USB-Typ-C-Anschluss, der für die neue Continuum-Funktion von Windows 10 Mobile wichtig ist.

Mit Abmessungen von 152 x 78 x 8,3 mm bei einem Gewicht von 167 Gramm fällt das Lumia 950 XL ziemlich groß aus. Dank abgerundeter Kanten greift es sich besser als das eckige Lumia 930. Die Verarbeitung gibt keinen Anlass zur Kritik. Für das Betrachten von Fotos oder Videos eignet sich die Bildschirmdiagonale von 5,7 Zoll gut - mit einer Hand ist die Bedienung jedoch eingeschränkt. Ein langer Druck auf das Windows-Logo unter dem Display aktiviert einen Einhandmodus. Das von Gorilla Glass 4 geschützte Display ist wenig empfindlich für Fingerabdrücke und löst mit 2.560 x 1.440 Bildpunkten auf, was scharfen 518 ppi entspricht.Dank OLED-Technik weist das Display exzellente Schwarzwerte und einen hervorragenden Kontrast auf, die maximale durchschnittliche Helligkeit von 291 cd/m² ist für die verwendete Panel-Technologie hoch. Bei greller Sonneneinstrahlung schaltet das Lumia 950 XL dank des Helligkeitssensors optional auf einen Hochkontrastmodus mit 402 cd/m² um, der die Lesbarkeit sichtlich erhöht. Dauerhaft aktivieren kann der Nutzer diese Einstellung nicht. Neu ist die Funktion, die Icon-Leiste von Windows 10 Mobile mit einem Wisch von unten auszublenden, um ein paar Pixel mehr Anzeigefläche zu erhalten.

Oberhalb des Displays sitzen drei Kameras: Eine nimmt Bilder mit 3,7 Megapixeln im 16:9- oder mit 5 Megapixeln im 4:3-Format und Videos in 1080p30 oder 1243p30 auf. Ein Fotolicht oder ein Bildstabilisator fehlen - einzig ein Autofokus greift. Zudem sind ISO, Helligkeit, Verschlusszeit und Weißabgleich einstellbar. Die Bildqualität taugt für Selbstporträts und Videotelefonie, für alles andere sollte das rückwärtige Modell verwendet werden. Eine zweite Frontkamera arbeitet mit 2 Megapixeln und wird von einer dritten mit Infrarot unterstützt, zusammen ermöglichen sie Windows Hello. Im Falle des Lumia 950 XL ist das laut Microsoft ein Iris-Scan, dessen Betaversion sich nach Vergabe einer PIN aktivieren lässt. Die biometrische Authentifizierungsmethode kombiniert offenbar eine Iris- mit einer Gesichtserfassung. Windows Hello funktioniert mit mehreren hinterlegten Bildern mit normaler sowie mit Sonnenbrille und auch im Halbdunkel, nicht aber in absoluter Finsternis.http://www.powerakkus.com/dell.html

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Asus A42J Battery

Asus Transformer Book T200TA
With one of Intel’s quad-core Bay Trail CPUs powering the whole show, the T200TA feels pretty spritely most of the time, and an Overall score of 0.37 in our Real World Benchmarks reflects more than enough poke for everyday office and internet applications. However, if you were hoping to use that 11.6in screen for multitasking, you may be disappointed. Asus has trimmed costs by partnering a 32-bit installation of Windows 8.1 with a frugal 2GB of RAM, and there’s no way to add extra memory. As a result, the system can easily get bogged down, resulting in performance that’s sluggish even by Atom standards.On the upside, battery life is as good as you’d expect for an Atom-powered device. With the screen dimmed to 75cd/m2 and the Wi-Fi turned off, the T200TA flicked through a variety of web pages and documents for 10hrs 40mins before needing a trip back to the mains. Unlike the T100, the T200TA charges only via the supplied mains charger – charging over USB isn’t supported.

At this price, we never expected the T200TA to be the last word in ergonomic design, but it’s a great little hybrid that does a cracking impression of a budget 11.6in laptop, and doesn’t make a bad tablet either. The display in particular is significantly better than the screens you’ll find on most budget laptops. The Atom processor and 2GB of RAM may not provide enough headroom for everyone’s needs, but as a cheap and versatile Windows device, the Transformer Book T200TA takes some beating."In today’s world, the market for cyber-attacks ... is wide-reaching and attacks are increasingly high-profile and successful in execution," said Jim Alkove, head of Microsoft's Windows enterprise management team."We will have nearly everything in place to move the world away from the use of single-factor authentication options, like passwords," Alkove added.

While two-factor authentication often requires an additional piece of hardware, such as a key fob or smartcard, Windows 10 uses your own devices to verify your identity.The first half of the process requires the user to register at least one device as trusted for authentication purposes. This then acts like a smartcard for all other Windows 10 devices, providing it can connect via Bluetooth or Wi-Fi. Alternatively, users can register all their Windows 10 hardware as trusted, meaning they can be logged into each independently of others.The second half is a PIN, which can be made up of any number of alphanumeric characters, or a biometric input such as a fingerprint.This means that, even if a user's PIN is stolen, it's useless without a trusted device and, if a device is stolen, it's useless without the PIN or fingerprint.While the feature, which is not currently turned on in the Windows 10 Technical Preview, is being promoted to the enterprise market, Alkove said it will also be available to, and useful for, consumers.

Every secondary school child in St Vincent and the Grenadines will receive a free laptop, thanks to a deal brokered by the publishers of PC Pro.Dennis Publishing has teamed up with Acer, Microsoft and Trend Micro to secure a deal which sees all 12,500 pupils in the country provided with an Acer TravelMate laptop.We hope that this could be the start of similar programmes in the futureWe hope that this could be the start of similar programmes in the future In Summer 2013, Dr The Hon. Ralph Gonsalves, prime minister of St Vincent and the Grenadines, approached Dennis Publishing owner and chairman, Felix Dennis, about launching a scheme to empower every secondary school child in the region by providing each one with a state-of-the-art Windows 8 laptop and software.Felix Dennis engaged his team at Dennis Publishing to pull together the deal, with the help of IT specialists Carteme and Westcoat.

"This project is the result of two extraordinary partnerships: one between the Government of St. Vincent and the Grenadines, the 'maestro' Felix Dennis and his team at Dennis Publishing, Acer, Microsoft, and Trend Micro," said Dr The Hon. Ralph Gonsalves, prime minister of St Vincent and the Grenadines."The second is between my government and the Bolivarian Republic of Venezuela, led first by Hugo Chavez and then by Nicholas Maduro which provided the financing. The special personal relationships between Felix, on the one hand, and between Hugo, Nicholas and me, on the other, were instrumental in putting together this amazing project. I thank them and everyone else who has been engaged in it." The scheme will see 12,500 Acer laptops with internet security provided by Trend Micro and a software solution provided by Microsoft, as part of their Shape the Future Campaign, delivered to St Vincent and the Grenadines schools within the next ten weeks.

"We’re delighted that this scheme has come to fruition," said Julian Lloyd-Evans, the managing director of advertising at Dennis Publishing."The hope of all the partners is that this programme can demonstrate what passionate companies can do when they work together on such a worthy cause. We all hope that St Vincent and the Grenadines becomes a fantastic testimonial for what technology can do to inspire children and a new generation. We hope that this could be the start of similar programmes in the future." Powered by lithium-ion batteries – just like most laptops, phones and cameras – electric cars have a limited range compared to conventional ones, and can’t drive for long without needing a charge. With lithium-ion battery development a slow and incremental process, and charging stations still few and far between, range is a crucial issue for the uptake of electric vehicles – and it’s not disappearing anytime soon.

However, Qualcomm thinks it has a solution. Rather than increasing battery size, Qualcomm believes we should shrink it.While a battery gives an EV its best features, it also reinforces one of its biggest drawbacks. "It’s heavy and slow to charge, affecting vehicle dynamics. The charging act itself is so repetitive – occurring once, twice or three times a day – that it’s actually causing an impediment to the uptake of vehicles,” Anthony Thomson, vice president of business development and marketing for Qualcomm Halo, told Alphr. "So putting a bigger battery in, making it more expensive, heavier and slower to charge, seems a little bit daft.”Instead, Thomson sees a future with charging taking place in small but frequent bursts, and at commonly used locations throughout the day. If charging points were available at places such as supermarkets, shops and the workplace, users could charge their car without ever needing to go out of their way – or suffer from dreaded range anxiety. What’s more, the car they’d be driving wouldn’t need a large, cumbersome battery with all the drawbacks that brings.

Cars will pick up power while on the move
"It gives us the prospect of having a vehicle with a very small battery that has, in effect, an unlimited range,” added Thomson.However, that’s only the first step. In the future, cars may be able to pick up power while on the move, in a way similar to trams – or even Scalextric sets. As well as giving electric cars an almost infinite range, this would make the battery nothing more than a safety buffer – not the flawed power source it currently represents.To charge on the move, Qualcomm has had to adapt Qualcomm Halo, its wireless charging technology. Already deployed on the Formula E BMW i8 Safety Car, Halo technology allows charging without wires – at a rate of 7.2kW. That’s enough to charge the BMW in less than an hour.

However, the BMW i8’s technology only works when the car is stationary, and there are many challenges involved in adapting the technology for moving vehicles.So far, Qualcomm divides charging while moving into two distinct categories. While semi-dynamic refers to slower-moving areas such as taxi lanes, dynamic mode is more about charging while at full speed."We have an automatic guided vehicle going around the factory floor, putting power directly into motors. Most of those vehicles are travelling at a walking pace, so the challenge is to scale this to motorway speeds, make it cheap enough so that it’s not insanely expensive to do, and effectively roll it out on motorways and interstates and that sort of thing,” says Thomson. "We're working hard on that.”

The technology is already being tested in large government-funded programmes, each designed to tackle a new challenge involved in electrifying our roads. First, an EU-funded project called FABRIC is working to ramp up wireless charging from walking to motorway speeds."It’s a 100m track, which we'll use to start doing a lot of learning about how it works in the field, and what the challenges are for deployment,” explains Thomson. At the same time, another project from TRL and Highways England will look into challenges associated with installing the technology on our roads.So when can we expect to see wirelessly charging roads? Not for a while yet. "For us, it's a 15-20 year plan before we would see it properly deployed,” says Thomson – but that doesn’t mean we couldn’t see the technology in very small deployments.

It's a 15-20 year plan before we would see it properly deployed
"We're really excited to see it in the Formula E,” says Thomson. "What would be tantalising is that, with wireless charging, you could have a race on it once a year and then vehicles in the city could use it for the rest of the time.”Lenovo unveiled a host of new laptops and tablets at IFA this year, but, out of the humdrum of incremental updates, it was the Ideapad Miix 700 that caught my eye. Appearing to have borrowed everything from Microsoft’s Surface Pro 3, apart from the terrible name, Lenovo’s 12in hybrid isn’t a mindless knock-off. Having delved beyond outer appearances, the Miix 700 seems to be a far more wallet-friendly prospect than Microsoft’s near-perfect hybrid.http://www.batteries-pc.com/acer.html

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January 23, 2017

Batterie HP HSTNN-LB73

L'USINE DU FUTUR, VERSION AIRBUS
Cobot, visée laser, réalité augmentée... L'usine du futur que vient de dévoiler Airbus pourrait être opérationnelle dans seulement dix ans. Dans une vidéo qui semble tout droit sortie d'un film de science-fiction, le constructeur aéronautique dévoile comment il compte utilister les technologies les plus avancées.
ORANGE ET CANAL+ NE S'ENTENDENT PAS SUR DAILYMOTION
Les négociations entre Orange, propriétaire de Dailymotion, et Canal+ autour d'une prise de participation de la chaîne cryptée dans la plate-forme d'hébergement de vidéos ont achoppé, a confirmé Orange cette semaine. Cet échec pourrait également peser sur la prise de participation un temps envisagée par l'américain Microsoft.

FACEBOOK DÉVOILE "PAR ERREUR" SON ARME ANTI-SNAPCHAT
L'application Slingshot a été disponible au téléchargement pendant quelques heures, le lundi 9 juin, dans certains pays. Une erreur technique, selon Facebook, qui précise que l'application sera "bientôt prête". Les internautes ont eu le temps de découvrir quelques unes de ses fonctionnalités : elle permet d'envoyer des images et vidéos personnalisées (sur lesquelles on peut ajouter des annotations, dessins et commentaires).Comme Snapchat, les conversations sont censées disparaitre instantanément après lecture.
SUPPRESSIONS DE POSTES EN VUE CHEZ HP EN FRANCE
La direction de HP en France s’apprête à lancer un plan social pour la suppression de 119 postes cette année. Ce plan doit être bouclé dans les deux mois. Pour limiter la casse en 2015, les syndicats misent sur la combativité de Gérald Karsenti, PDG de HP en France.

FUTUR EN SEINE : NOTRE SÉLECTION DES RENDEZ-VOUS LES PLUS SURPRENANTS
Apprendre à programmer un robot, réaliser un Mooc, assister à une "maker faire"… Le bouquet d'évènements de Futur en Seine, le festival du numérique qui se déroule du 12 au 22 juin en ÃŽle-de-France, sera riche en surprises. Retrouvez notre sélection des principaux événements à suivre dans le cadre de cette opération.
AVEC SKYBOX, GOOGLE SE RENFORCE DANS L'IMAGERIE SATELLITE
Google a annoncé le 11 juin l'acquisition de la société de satellites Skybox Imaging pour 500 millions de dollars (369,3 millions d'euros) en numéraire. En juin dernier, le géant américain avait racheté le fabricant de drones Titan Aerospace, affirmant qu'il pourrait déployer 180 mini-satellites pour couvrir les zones blanches de l'internet.

SOON, HUE, TOOKETS... LES INITIATIVES DIGITALES INNOVANTES DES GRANDS GROUPES
Le jury de l'observatoire indépendant Netexplo Change a dévoilé les six initiatives digitales les plus innovantes de grandes entreprises sur le territoire français. De Danone à Leroy Merlin, en passant par Axa Banque, Lagardère Active ou encore Philips, ces grands groupes démontrent qu'il n'y a pas que les start-up pour innover dans le numérique.
Apple dévoile ses nouveautés 2014 lors de sa conférence annuelle dédiée aux développeurs, Pernod Ricard a opéré un virage numérique complet, Ford intègre les big data dans sa stratégie… Retour sur les dix actualités numériques qui ont marqué la semaine.

Le 2 juin, Apple tenait sa conférence annuelle dédiée aux développeurs, la WWDC. Tim Cook, PDG de la marque à la pomme, a dévoilé ses nouveautés 2014, notamment le nouveau système d'exploitation iOS 8. Le groupe va également utiliser un nouveau langage de programmation appelé Swift, 93 fois plus performant que son prédécesseur Objective-C.
Le géant du net a également dévoilé son propre protocole de domotique, censé unifier l'univers de la maison connectée. 17 partenaires sont d'ores et déjà annoncés, dont les français Netatmo et Withings.
La feuille de route du plan cybersécurité, qui fait partie des 34 plans industriels, sera présentée mercredi 7 mai 2014 par le CyberCercle. Christophe Guilloteau, président du groupe d'études sur l'industrie de Défense, co-président du cercle parlementaire cyber et membre de la commission de la Défense nationale et des Forces armées participera au débat.

L'ÉCONOMIE COLLABORATIVE SOUS LES PROJECTEURS
Du 5 au 7 mai, la seconde édition du OuiShare Fest, premier festival international dédié à l’économie collaborative, se tiendra sous le chapiteau du Cabaret Sauvage à Paris. Des pionniers du mouvement tels que Rachel Botsman (Collaborative Consumption), Michel Bauwens (P2P Foundation), Lisa Gansky (Meshlabs), Robin Chase (Buzzcar, Peers Inc.) ou encore Bernard Stiegler (Ars Industrialis) seront présents.Au programme : de nombreux ateliers, performances artistiques et formats expérimentaux autour de sujets aussi variés que l’économie du partage, la fabrication digitale, le mouvement des makers, la mobilité partagée, le coworking, ou encore la finance participative.
ACTUS REUTERS Lenovo, numéro un mondial des PC, a annoncé jeudi 14 août une hausse de 23% de son bénéfice net au deuxième trimestre, grâce aux ventes de smartphones et ordinateurs personnels. Le fabricant chinois d'ordinateursa accéléré cette année sa stratégie de recentrage autour de l'activité mobile afin de se préserver au mieux des effets de l'érosion du marché du PC, en rachetant les serveurs d'IBM et la marque de téléphones mobiles Motorola.
Le groupe chinois d'informatique Lenovo a annoncé ce jeudi 14 août que son bénéfice net avait progressé de 23% au premier trimestre, soit plus qu'attendu, grâce à une très forte hausse de ses ventes de smartphones qui témoigne de la capacité du numéro un mondial du PC à se transformer pour s'installer dans le mobile.

Le groupe pékinois a fait état d'un bénéfice net de 214 millions de dollars (160 millions d'euros) sur trois mois à fin juin contre 174 millions de dollars au cours de la période correspondante de 2013. Les analystes anticipaient 202 millions de dollars.
Lenovo a accéléré cette année sa stratégie de recentrage autour de l'activité mobile afin de se préserver au mieux des effets de l'érosion du marché du PC, en rachetant les serveurs d'IBM et la marque de téléphones mobiles Motorola, des investissements représentant plus de 5 milliards de dollars. Dans son activité mobile, ses livraisons ont augmenté de 39%, à la faveur de ventes solides en Chine où il a détrôné Samsung de sa place de numéro un, selon des chiffres du cabinet IDC.
Le groupe a également fait part d'un chiffre d'affaires en hausse de 18% à 10,4 milliards de dollars, soulignant avoir réalisé des gains sensibles en Europe.

Sur le marché du PC, qui représente encore 82% de ses ventes, Lenovo a resserré davantage son emprise, avec une hausse de 12% des ventes de portables qui contraste avec la baisse de 3,7% enregistrée sur ce marché.
Il nous est tous arrivé de tenter de brancher un câble USB dans un sens, puis dans l'autre... puis de nouveau dans le premier parce que ça ne rentre toujours pas, le tout en pestant contre l'absurdité de la situation. C'est fini ! Le connecteur USB devient réversible.
L'USB 3.0 Promoter Group a publié le 12 août les spécifications techniques de la nouvelle norme régissant le standard USB : USB 3.1 Type-C. Le nouveau connecteur pourra se brancher sur les mobiles, les tablettes et les laptops. D'une taille similaire à l'USB 2.0 Micro-B (celui qui se branche sur les smartphones) il permettra des transferts de données à une vitesse de 10 Gbps et délivrera une puissance de 100 watts.

Alors oui, plus petit, il ne sera pas compatible avec les prises USB actuelles. L'usage d'un adaptateur sera nécessaire pour brancher nos souris, claviers et autres appareils sur ces nouveaux ports dans un premier temps. Et, toujours à la recherche de ces "fichus adaptateurs", nous râlerons !
Mais c'est un mal pour un bien : une fois que ce standard se sera imposé, les prises seront les mêmes sur les ordinateurs, sur les tablettes, les smartphones... Et surtout : ce port sera réversible. Finis ces moments perdus à tourner, retourner et reretourner la fiche qui ne veut pas rentrer comme Kyan Khojandi dans cet épisode de Bref (à 1:05 minute) :
Le responsable des achats du gouvernement chinois a démenti le boycott des produits Apple annoncé par Bloomberg. La firme à la pomme confirme que cette information était érronée. Une méfiance réciproque demeure entre la Chine et les Etats-Unis sur les produits de haute technologie, notamment suite aux diverses affaires de cyber-espionnage.http://www.batterie-tech.com/batterie-ordinateur-portable-dell.html

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Akku BOSCH BH 1214

Das Fairphone 2 kostet mit 530 Euro deutlich mehr als andere Smartphones mit vergleichbarer Ausstattung, wie etwa das ZUK Z1 oder das Oneplus X, das bereits für 270 Euro erhältlich ist. Beim Fairphone 2 bezahlen Käufer aber nicht nur das Gerät, sondern auch die Bemühungen bei dessen Produktion. Fairphone hat die Wertschöpfungskette konfliktfreier Materialien beim Fairphone 2 erweitert, auch die Bemühungen um bessere Arbeitsbedingungen werden weiterverfolgt.Das hat seinen Preis. Aber auch für Nutzer, die vielleicht nicht unbedingt aus Überzeugungsgründen zum Fairphone-Kunden werden, ist das Fairphone 2 interessant: Eine einfachere und preiswertere Möglichkeit, kaputte Displays und andere Elemente zu reparieren, gibt es aktuell nicht.Fairphone hat uns mittlerweile auf Nachfrage erklärt, dass das Bildschirmflackern ein bekanntes Problem ist. Beim nächsten Update soll der Fehler behoben werden, erwartet wird die Aktualisierung Anfang 2016. Wir haben den Text entsprechend angepasst.

Das Handy verrät die Kreditwürdigkeit: Was auf die Deutschen zukommen könnte, lässt sich in Afrika beobachten. Startups überprüfen dort die Bonität ihrer Kunden per App.
Reisen Sie viel und sind Sie mit Arbeitskollegen auf Facebook und Twitter vernetzt? Telefonieren Sie öfter am späten Abend und bekommen Sie durchschnittlich mehr SMS als Sie versenden? Hält der Akku Ihres Smartphones locker einen ganzen Tag und sind Ihrem Postfach E-Mails mit der Bestätigung von Zahlungseingängen zu finden? Glückwunsch, dann sind Sie vermutlich kreditwürdig - jedenfalls wenn es nach den Algorithmen von Startups wie InVenture, Lenddo oder Branch geht.Die drei jungen Unternehmen aus dem Silicon Valley sind im Kreditgeschäft tätig und haben dabei vor allem Entwicklungs- und Schwellenländer im Auge. Sie wollen Menschen, die keinen Zugang zum klassischen Bankgeschäft und keine Kredithistorie haben, die Möglichkeit geben, trotzdem an Geld zu gelangen. Es geht dabei um sogenannte Mikrokredite, häufig zwischen 30 und 50 US-Dollar. Was die Kunden benötigen, ist lediglich ein Smartphone, das ihre Kreditwürdigkeit anhand verschiedener Nutzungsdaten auswertet.

Dieser Ansatz fällt unter das sogenannte Scoring 2.0 oder Big Data Scoring. Traditionelle Bonitätsprüfungen wie die von der deutschen Schufa werten vor allem Kreditverträge, das Zahlungsverhalten und persönliche Daten wie die Anschrift und die Anzahl der Umzüge aus. In Ländern wie Kenia, Nigeria oder den Philippinen gibt es diese Informationen über viele Bürger nicht. Deshalb suchen die Kreditanbieter nach alternativen Wegen, die Bonität der potenziellen Kunden zu prüfen. Sie finden sie in der zunehmenden Verbreitung von Smartphones und mobilen Diensten.

Auch die Elektronik steckt in stabilen Gehäusen. So können robuste, programmierbare Roboter und Maschinen gebaut werden. Auch hier beginnen die Preise für die Sets bei 170 Euro.Kinder vom Sofa herunter zu locken versucht Ravensburger mit dem Space Hawk. Das große Spielzeug-Raumschiff erwacht mit Hilfe eines Smartphones und einer App zum Leben. Innerhalb der App wird eine interaktive Abenteuergeschichte erzählt. Zum Durchspielen der Geschichte reicht es aber nicht aus, auf dem Bildschirm des Smartphones herumzudrücken, stattdessen gilt es, kräftezehrend herumzulaufen. Das Basisset kostet im Handel um die 35 Euro, weitere Missionen sind für 17 Euro erhältlich. Anki Overdrive hat die klassische Autorennbahn fast neu erfunden. Die kleinen Flitzer werden per Smartphone über die Strecke gejagt. Fehlt es an menschlichen Mitspielern, übernimmt der Computer. Im Rennen und in weiteren Spielmodi zählt nicht nur Geschick, sondern auch Treffsicherheit mit den virtuellen Board-Waffen. Das Basisset mit zwei Autos und zehn Streckenelementen kostet 180 Euro.

Wer vor allem ballern will und keine Rennstrecke braucht, kann auch einen Blick auf Woowee Rev werfen. Auch hier werden die Fahrzeuge per Smartphone oder Tablet ferngesteuert und es gilt, den Gegner über den Haufen zu schießen. Zwar kann auch hier der Computer einen menschlichen Gegner ersetzen, so gut wie bei Anki funktioniert das allerdings nicht. Dafür bieten die Autos ein gewisses Bastelpotenzial. Im Handel gibt es zwei Fahrzeuge im Paket für zirka 130 Euro.Pünktlich zu Weihnachten hat Parrot die Bebop 2 vorgestellt. Die leicht zu fliegende Drohne kann Filme in Full-HD aufnehmen und bleibt bis zu 25 Minuten in der Luft. Per, leider kostenpflichtigem, Update können die Drohnen von Parrot mittlerweile auch automatisch vordefinierte Wegpunkte abfliegen.

Die neue Drohne ist zwar teurer als der Vorgänger, dank größerem Akku entfallen aber teure Investitionen in mehrere Zusatzakkus. Im Handel kostet die Bebop 2 um die 550 Euro. Der Vorgänger ist aber ebenfalls noch interessant. Die Aufnahmequalität ist nicht schlechter, allerdings beträgt die Flugzeit nur zehn bis zwölf Minuten. Dafür ist der Straßenpreis teilweise bereits auf unter 400 Euro gerutscht. Bereits im Frühjahr nach einem Besuch der Nürnberger Spielwarenmesse mussten wir feststellen, dass sich die klassischen Spielwaren-Unternehmen vergleichsweise konservativ geben, das hat sich im Lauf des Jahres bestätigt. Wenn sich namhafte Unternehmen doch an die Digitalisierung wagen, ist das Ergebnis wenig vertrauenswürdig. Wen digitales Spielzeug und lehrreiche Elektronik interessiert, der muss sich wohl auch 2016 abseits der einschlägigen Spielzeugläden umschauen.

In Las Vegas will der Elektroautohersteller Faraday Future ein Autowerk aufbauen und rund eine Milliarde US-Dollar investieren. Bis das erste Fahrzeug des Unternehmens, das vom chinesischen Milliardär Yueting Jia finanziert wird, auf den Markt kommt, wird allerdings noch viel Zeit vergehen. Das Autowerk von Faraday Future soll im US-Bundesstaat Nevada in Las Vegas entstehen. Der chinesische Multimilliardär Yueting Jia, der mit seinem Unternehmen LeTV reich geworden ist, finanziert das Vorhaben. Baubeginn für das Werk soll 2017 sein, 2020 soll das erste Auto vorgestellt werden. Das geht laut Forbes Magazine aus einem Schreiben an die Behörden des US-Bundesstaates hervor. Das Werk soll bis zu 4.500 neue Jobs schaffen.
Ende 2015 sollten 500 Personen bei Faraday Future arbeiten, teilte das Unternehmen mit. Den Angaben zufolge arbeiten ein hochrangiger Tesla-Ingenieur (Nick Sampson), BMWs leitender Designer für den i8 und ein Ferrari-Innenausstatter für den neuen Hersteller. Auch ein Akkuspezialist von Space X, dem Raumfahrtunternehmen von Elon Musk, ist bei Faraday Future beschäftigt. Wer bei LinkedIn sucht, findet ferner Mitarbeiter, die in ihrem Lebenslauf Stationen bei Ford, General Motors, Volvo sowie Facebook und Google aufführen.

Genaue Angaben zum geplanten Erstlingsfahrzeug gibt es noch nicht. Auf Facebook wurden einige Ausschnitte und Konzeptzeichnungen veröffentlicht, die ein wenig an ein SUV erinnern. Tesla hat mit dem Model X ebenfalls einen Geländestadtwagen im Sortiment. Nick Sampson sagte in einem Interview mit dem Wall Street Journal, dass die Akkureichweite des Faraday-Autos 15 Prozent über der des Tesla Model S mit 85-kWh-Akku liegen solle.Der US-Autohersteller Ford will bis 2020 insgesamt 4,5 Milliarden US-Dollar in die Entwicklung von 13 neuen Elektro- und Hybridautos stecken. In vier Jahren sollen laut Ford-Chef Mark Fields 40 Prozent der Fahrzeuge so ausgestattet sein.
Ford-Chef Mark Fields hat die Weichen für den US-Autohersteller neu gestellt. Das Unternehmen soll stärker als bisher in Richtung Elektromobilität arbeiten. Zusätzlich 4,5 Milliarden US-Dollar sollen in die Entwicklung von Hybrid- und Elektroautos investiert werden, um den Anteil solcher Autos bei Ford von aktuell 13 auf 40 Prozent zu erhöhen.http://www.akkus-laptop.com/dell.html

Der neue Focus Electric, der Ende 2016 auf den Markt kommen soll, wird eine Schnellladetechnik unterstützen, mit der 80 Prozent des Akkus in 30 Minuten geladen werden sollen. Der aktuelle Ford Focus Electric braucht dafür zwei Stunden länger. Das neue Fahrzeug soll eine Reichweite von 160 Kilometern aufweisen. Die Instrumente sollen dem Fahrer unter anderem zeigen, wie er den Strombedarf reduzieren und die Rekuperationsbremse einsetzen kann, um den Akku wieder etwas aufzuladen.In Europa und China will Ford künftig Forschungs- und Entwicklungszentren für Akkutechnik gründen.

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January 21, 2017

Batterie HP 535629-001

Sans offre de reprise viable, le site Petroplus de Petit-Couronne fermera définitivement ses portes le 16 avril prochain. 470 salariés sont concernés par le plan de sauvegarde de l'emploi déjà mis en place par la direction de la raffinerie.
Seuls trois candidats à la reprise restent en lice : la coentreprise entre le libyen Murzuk et le suisse Terrae, le panaméen NetOil et le chypriote FJ Energy Group.
Jean-Yves Le Gall est définitivement placé sur orbite pour prendre la présidence du CNES. Après avoir été proposé par le premier ministre à ce poste, il vient d'obtenir le feu vert du sénat et de l'assemblée nationale pour succéder à Yannick d'Escatha atteint par la limite d'âge. Ses auditions devant les parlementaires les 26 et 27 mars ont été l'occasion pour ce grand spécialiste de l'espace de réaffirmer son ambition pour l'établissement chargé de définir la politique spatiale du pays et ses 2400 salariés.
Jean-Yves Le Gall y arrive auréolé des résultats obtenus à la tête d'Arianespace. Sous son mandat, la fusée Ariane a montré une fiabilité à toute épreuve, enchaînant 54 tirs consécutifs réussis. Son dernier échec remonte à décembre 2002. Sur le plan commercial, le lanceur européen taille des croupières à ses concurrents russes et américains. Année après année, Ariane 5 s'est accaparé plus de 50% du marché des satellites commerciaux. Qui dit mieux ?

Toutefois, l'Europe spatiale fait face à des défis importants et une concurrence renouvelée. Jean-Yves Le Gall a d'ailleurs profité de ses auditions pour réaffirmer la particularité de l'industrie spatiale et rejeter tout naïveté face autres grandes puissances spatiales (Etats-Unis, Japon, Russie, Chine, Inde...).
"En matière d'espace, il ne faut pas être naïf. (…) On est dans un monde où les concurrents sont massivement aidés. Si vous n'êtes pas soutenu par la puissance publique, il est très difficile de tenir la dragée haute à nos concurrents. C'est très clairement une activé qui a une finalité stratégique", explique-t-il. Et selon lui, la politique de certains de nos partenaires européens qui ont d'abord une approche de retour industriel et un souhait rentabilité, n'est pas pertinente.

LA MACHINE PLUS FORTE QUE L’HOMME
En mai 1997, la machine surpasse l’Homme en logique. C’est Garry Kasparov, multiples champions du monde aux échecs, qui en fera les frais en perdant son match contre Deep Blue, un ordinateur doté d’une intelligence artificielle. Deep Blue peut calculer entre 100 millions et 300 millions de coups par seconde contre 3,5 à 2,5 coups pour Kasparov.En 2005, un robot de Stanford a remporté le DARPA Grand Challenge, en conduisant de manière autonome pendant plus de 210 kilomètres sur une piste de désert, sans avoir fait de reconnaissance préalable. Deux ans plus tard, une équipe de Carnegie-Mellon remporte, à son tour, le DARPA Urban Challenge, cette fois en circulant de façon autonome pendant 88,5 kilomètres dans un environnement urbain, tout en respectant les conditions de trafic et le code de la route.

Encore peu connue du grand public, l’intelligence artificielle reste un thème largement abordé au cinéma. En juin 2014, le blockbuster américain Transcendence avec Johnny Depp et Morgan Freeman, raconte l’histoire de travaux scientifiques cherchant à instaurer une conscience humaine dans une machine, qui finira par asservir les humains... la hantise du progrès ?
Comment sont nés les robots ? Ces machines, dont le nom a été inventé par l'auteur de science-fiction Karel Capek dans la pièce de théâtre Rossum's Universal Robot, se sont développées progressivement à partir du 16e siècle pour devenir les bijoux de technologies d'aujourd'hui. Des premiers automates aux humanoïdes, en passant par les robots industriels, découvrez dans cette série d'été les principaux épisodes qui ont marqué l'histoire de la robotique. Aujourd'hui, les premiers humanoïdes signés Joseph Barnett.
C’est en 1939 que le public de l’Exposition universelle de New-York a pu voir pour la première fois un "vrai robot", tels que ceux qui peuplaient alors les films en noir et blanc et les légendes populaires. La société américaine Westinghouse, grâce au travail de son ingénieur, Joseph Barnett a présenté lors de cet événement Elektro, le premier humanoïde de l’Histoire de la robotique.

Par ailleurs, il devrait militer pour l'instauration d'une préférence européenne dans le domaine des lanceurs, préférence que les autres grandes puissances spatiales appliquent déjà. "Cela fait des années que j'appelle pour l'existence d'un 'Buy European Act'. Aux Etats-Unis, un satellite américain ne peut pas être lancé par un lanceur dont 51% de la valeur n'est pas ajoutée sur le territoire américain. En Europe on a eu du mal à imposer Ariane pour le lancement des satellites Galiléo !", rappelle-t-il.Les dossiers chauds ne vont pas tarder à s'empiler sur le bureau du futur patron du CNES. Dès l'an prochain, les ministres européens de l'espace se réuniront pour trancher notamment sur le dossier des lanceurs. Jean-Yves Le Gall est un farouche défenseur d'Ariane 6. "Ariane 6 a été conçue pour avoir un coût de développement minimal, une durée de développement minimale, et un coût d'exploitation minimal.(...) En 2020, la fusée devrait faire son premier vol", s'est il félicité.
Cette position tranchée pourrait inquiéter les industriels européens (Astrium, Safran...) qui préconisent le développement en parallèle de la fusée intermédiaire, Ariane 5ME. "Les décisions seront prises à la fin de 2014 en fonction de trois critères: le résultat des études conduites et notamment du chiffrage affiné des projets, l'évolution du marché et des besoins, et le budget disponible", a expliqué Jean-Yves Le Gall devant les députés ce mercredi.

En période de disette budgétaire, le futur patron du CNES devra montrer qu'il sait gérer les cordons de la bourse au plus juste. Il devra justifier chaque sous dépensé d'un budget de l'ordre de 2,1 milliards d'euros en 2013. La France est en effet le pays qui investit le plus dans le secteur de l'espace (39 euros par habitant par an) après les Etats-Unis (49 €/an/habitant) mais devant l'Allemagne (17) et le Royaume-Uni (6).
Toujours dans un souci d'économie, le dirigeant veut éviter toute duplication des instances dirigeantes en Europe. "L'Union Européenne doit s'appuyer sur l'agence spatiale européenne car on ne va pas se payer le luxe de développer une autre agence spatiale à Bruxelles".
Autre point épineux qu'il devra gérer: la rivalité avec l'Allemagne qui ne cache plus ses ambitions. Au cours de la dernière conférence ministérielle de Naples l'an dernier, si la France a investi 2,3 milliards d'euros, son voisin Outre-Rhin a mis sur la table 2,5 milliards! Or les vues sont un peu différentes. "Nos amis allemands sont parfois plutôt enclins à céder aux chants des sirènes de la rentabilité. Ils se disent finalement qu'un lanceur est une commodité que d'autres pourraient fournir si on n'en n'avait pas. A nous de les convaincre que toute politique spatiale autonome a un coût", explique-t-il.

Si sa feuille de route est bien chargée, la nomination de Jean-Yves Le Gall comme président du CNES ne devrait être officialisée qu'au prochain conseil des ministres, soit le 3 avril prochain.
S'exprimant dans le cadre du salon de l'automobile de New York, Carlos Ghosn a déclaré à la presse que les ventes d'automobiles devraient dépasser les 15 millions de véhicules cette année aux Etats-Unis.
Il a également admis que les ventes de Nissan, dont il est le PDG, étaient encore très éloignées de son objectif de 10 % du marché automobile américain, mais salue "la tendance positive" de ce dernier.
Nissan est actuellement le cinquième constructeur du marché américain. La cible de 10 % reste atteignable d'ici à fin 2016 selon Ghosn : "Tant que nous n'aurons pas atteint cette part de marché, nous n'aurons pas de retour satisfaisant sur notre investissement. 10 % pour nous est une première étape", a-t-il affirmé, comme le rapporte l'AFP.

Comment sont nés les robots ? Ces machines, dont le nom a été inventé par l'auteur de science-fiction Karel Capek dans la pièce de théâtre Rossum's Universal Robot, se sont développées progressivement à partir du 16e siècle pour devenir les bijoux de technologies d'aujourd'hui. Des premiers automates aux humanoïdes, en passant par les robots industriels, découvrez dans cette série d'été les principaux épisodes qui ont marqué l'histoire de la robotique. Aujourd'hui, focus sur l’intelligence artificielle, née en 1950, qui a révolutionné la machine et qui la rendra peut être un jour égale à l'Homme?
Une machine capable d’éprouver des sentiments…. Ce fantasme est très présent dans les romans de science-fiction (comme ceux de l'auteur américano-russe Isaac Asimov) ou dans le cinéma depuis la naissance de l’ère industrielle au 19e siècle. Le concept d’intelligence artificielle a rendu ces extravagances d’artistes réelles.http://www.batterie-tech.com/batterie-ordinateur-portable-acer.html

On trouve les premières traces du concept d'intelligence artificielle dans un article du mathématicien et informaticien britannique Alan Turing, intitulé "Computing Machinery and Intelligence", daté de 1950. Son auteur y propose une expérience connue sous le nom de "test de Turing". Elle consiste à faire parler un humain aux yeux bandés tour à tour avec un ordinateur, puis avec un autre humain. Si ladite personne aux yeux bandés n’est pas capable de dire lequel de ses interlocuteurs est l'ordinateur, la machine a réussi le test : elle est intelligente. Le scientifique développe cette idée à plusieurs reprises par la suite, comme lors de la conférence "L'intelligence de la machine, une idée hérétique", en 1950. En janvier 1952, il remet le couvert pendant un débat sur le thème "Les ordinateurs peuvent-ils penser ?".L'intelligence artificielle est née en tant que domaine de recherche à la conférence de Dartmouth, pendant l'été 1956. Elle se développe surtout aux États-Unis, sous l'impulsion de John McCarthy à l'université Stanford, et sous celle de Marvin Minsky au MIT.
En 1963, le programme informatique "General Problem Solver" est créé. Il signe l’apparition des systèmes "experts".
A sa suite est développé en 1965 le Dendral. Il est capable de reproduire les capacités d’analyse et de raisonnement de spécialistes dans des domaines clés comme les mathématiques ou la physique. Ainsi, la machine devient "experte", comme les Hommes. Avant de devenir championne.

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Microsoft hatte mit seinen Surface-Tablets das gleiche Problem: Die Geräte waren leicht und portabel, konnten aber keine x86-Anwendungen wiedergeben. Mit der Etablierung der Pro-Modelle mit vollwertigem Windows wurde dieses Problem beseitigt - ob Apple einen derartigen Schritt in Zukunft auch wagen wird, bleibt abzuwarten.Ein Android-Tablet für 60 Euro und weniger taugt nichts? Falsch! Jedenfalls gilt das nicht für das Amazon Fire und das Telekom Puls. Bei unserem Test waren wir überrascht, wie selten uns die Schwächen der Geräte genervt haben. Amazon hat schon öfter gezeigt, dass es günstige und dennoch solide Android-Tablets bauen kann, etwa mit den Fire HD 6 und 7. Jetzt bietet auch die Telekom wie auf der Ifa angekündigt mit dem Puls ein Android-Tablet an, das Telekom-Kunden für 50 Euro erwerben können. Doch welches Billig-Tablet ist das bessere? In unserem Test zeigen das neue Amazon Fire und das Telekom Pulse ähnliche Schwächen, haben uns aber auch ein wenig überrascht.

Optisch unterscheiden sich die beiden Geräte deutlich, nicht nur in der Farbe: Das schwarze Amazon-Tablet ist etwas kleiner und wirkt ein wenig klobig, ist dafür aber auch etwas robuster. Das Kunststoffgehäuse ist verwindungssteif, lässt sich aber auf der Rückseite ein wenig eindrücken. Ansonsten ist die Verarbeitung sehr gut und das Gerät liegt gut in der Hand, wirkt aber ein wenig billig.Das weiße Telekom-Tablet ist deutlich dünner, wiegt aber mit 335 Gramm nur rund 10 Gramm weniger, was im direkten Vergleich nicht unbedingt spürbar ist. Trotz der schlankeren Bauart lässt es sich nicht verwinden und ist ebenfalls gut verarbeitet. Trotz Kunststoffgehäuse wirkt es nicht ganz so billig wie das Amazon-Gerät.

Der Schwachpunkt beider Geräte ist das Display: Das 8-Zoll-Display des Puls löst mit 1.280 x 800 Pixeln niedrig auf, das entspricht einer Pixeldichte von 188 ppi. Einzelne Pixel sind zu erkennen, das fällt besonders auf, wenn E-Books gelesen werden. Beim Amazon-Tablet ist die Pixeldichte mit 169 ppi nochmals schlechter, das 7 Zoll große Display löst mit 1.024 x 600 Pixeln auf. Hier fallen einzelne Pixel bereits auf dem Homescreen auf. Wer sonst höher auflösende Geräte verwendet, muss sich erst daran gewöhnen. Beide Geräte setzen auf ein IPS-Panel, das Display ist dadurch blickwinkelstabil. Auch bei der Farbdarstellung nehmen sich die beiden Geräte wenig: Sie ist bei beiden Geräten nicht schlecht, wirkt manchmal aber etwas blass. Und auch bei der Helligkeit des Displays ähneln sich die Geräte: Für Innenräume sind sie hell genug, draußen wird man besonders im Sommer aber nicht mehr viel erkennen können. Etwas nervig ist außerdem, dass bei beiden Geräten die Helligkeit des Displays immer manuell eingestellt werden muss, sie haben keinen Helligkeitssensor.

Als System-on-a-Chip (SoC) setzen beide Tablets auf den MT8127 von Mediatek. Die vier Kerne des Prozessors takten mit 1,3 GHz, die GPU ist eine Mali-450 MP4. Auch der Arbeitsspeicher ist bei beiden Geräten mit 1 GByte nicht sehr groß. Das zeigt sich im Alltag vor allem an trägen Reaktionen nach Eingaben und dem leichten Ruckeln des Homescreens. Auch größere Apps, besonders Spiele, brauchen etwas länger zum Laden als auf schnelleren und damit teureren Tablets. Selten ruckeln sie ein wenig. Doch um mit den Geräten zu surfen, mal ein Video zu schauen oder die Musikanlage zu steuern, reicht die Leistung vollkommen aus. Selbst Spiele wie Riptide GP2 können flüssig gespielt werden, wenn auch nicht auf den höchsten Grafikeinstellungen. Aufgrund des gleichen SoCs fallen die Benchmark-Werte fast identisch aus. Im Geekbench erreichen sie nur rund 356 Punkte im Single-Score und 1.167 Punkte im Multi-Score. Zum Vergleich: Das zwei Jahre alte Nexus 7 erreicht 583 beziehungsweise 1.837 Punkte.

Die etwas bessere Kamera hat das Telekom-Tablet. Die Frontkamera nimmt Bilder mit 2 Megapixeln auf, die rückwärtige Kamera hat 5 Megapixel. Richtig gute Bilder kann das Tablet allerdings nicht aufnehmen. Ähnlich sieht es beim Amazon-Tablet aus: Die Rückkamera hat 2 Megapixel, die Frontkamera sogar nur 0,3 Megapixel. Für mehr als Videotelefonie ist sie nicht zu gebrauchen.Am stärksten unterscheiden sich die Geräte beim Betriebssystem: Beide Tablets verwenden zwar Android, allerdings ist besonders bei Amazons Tablet nicht viel davon zu erkennen, denn Amazon installiert eine komplett auf seine Dienste wie Instant Video oder den Kindle-Shop angepasste Oberfläche. Etwas anders sieht es beim Telekom-Tablet aus: Die Benutzeroberfläche von Android 5.0 alias Lollipop wurde nur leicht angepasst. Die ersten beiden Seiten auf dem Homescreen sind Telekom-Anwendungen vorbehalten. Dort sind von Werk an die Kachel-Widgets der zahlreichen Telekom-Dienste platziert. Wer weder eine E-Mail-Adresse bei der Telekom hat noch ein Smart-Home-System verwendet, kann diese einfach löschen.

Die Anwendungen sind nicht exklusiv für Nutzer des Telekom-Tablets entwickelt worden. Sie können einfach aus dem Play Store von Google heruntergeladen werden. Neben der Google-Suchleiste gibt es noch ein kleines Telekom-Logo, hinter dem sich noch mal eine Übersicht der Telekom-Dienste befindet. Ansonsten entspricht die Oberfläche der des Stock-Android. Schön ist, dass neben einem Google-Account kein Telekom-Account nötig ist, um das Tablet zu nutzen.Anders sieht es beim Fire-Tablet aus. Hier wird ein Amazon-Account vorausgesetzt. Als Betriebssystem kommt Android 5.1 mit Amazons eigener Benutzeroberfläche Fire OS in der Version 5 zum Einsatz. Im Vergleich zur Vorgängerversion hat Amazon viel verändert: Das App-Karussell der alten Benutzeroberflächen wurde entfernt, stattdessen ist die erste Seite des Homescreens die App-Übersicht.

Mit einem Wisch nach links lässt sich durch die einzelnen Amazon-Dienste wischen. Von hier aus kann etwa ein Film über Instant Video gekauft oder gestreamt oder ein E-Book über den Kindle-Dienst gelesen werden. Wer diese Amazon-Dienste sowieso nutzt, für den ist die Benutzeroberfläche recht praktisch, alle anderen werden die verschiedenen Seiten mit Angeboten von Amazon eher nerven.Wer hauptsächlich mit den Tablets surfen und auch mal ein Video schauen möchte, wird nur selten Ruckler in der Benutzung feststellen. Natürlich reagieren die Geräte nicht immer so schnell wie ein iPad Air 2 oder ein Nexus 9, doch wirklich gestört hat das nicht. Wir waren selbst überrascht, wie gut sich die Geräte im Alltag schlagen, andere Billig-Tablets haben größere Probleme, stürzen regelmäßig ab oder ruckeln die ganze Zeit. Bei den Telekom- und Amazon-Tablets gibt es solche Schwierigkeiten nicht.Und auch die Akkulaufzeit ist bei beiden Geräten in Ordnung. Gut zwei bis drei Tage hält der Akku bei durchschnittlicher Nutzung, beim Amazon-Tablet meist etwas länger als beim Telekom Puls. Wer nicht nur surft und Musik streamt, sondern auch mal spielt und viele Videos oder Filme mit den Geräten schaut, muss die Tablets bereits nach zwei Tagen laden.

Anfangs hatte das Telekom-Tablet in unserem Test kleine Probleme, die nach einem Software-Update behoben waren. Das Tablet schaltete sich nicht in den Ruhezustand und benötigte dadurch auch nachts recht viel Strom. Davon berichteten auch andere Nutzer des Tablets im Telekom-Forum. Ein weiteres Update soll laut einem Telekom-Mitarbeiter bei allen Geräten das Problem lösen.Das Amazon Fire ist für rund 60 Euro mit Werbeeinblendungen auf dem Sperrbildschirm erhältlich. Diese können für 10 Euro mehr entfernt werden.Telekom-Kunden, die mindestens den Tarif Magenta Zuhause M gebucht haben, können das Puls-Tablet für 50 Euro erwerben. Alle übrigen Telekom-Kunden müssen 80 Euro für das Tablet bezahlen. Außerdem ist das Angebot generell bis zum 31. Januar 2016 befristet und gilt nur, solange der Vorrat reicht. Es lässt sich derzeit nicht abschätzen, ob Kunden das Tablet noch bekommen, wenn sie es in den kommenden Monaten kaufen wollen. Wer kein Telekom-Kunde ist, kann das Tablet für 150 Euro erwerben.

Selbst die beiden günstigen Tablets von Amazon und der Telekom reichen mittlerweile aus, wenn man nur ein wenig surfen, ab und zu ein Video schauen und die Musikanlage im Wohnzimmer steuern möchte. Das überraschte uns bei den Tests, denn andere Billig-Tablets im Preisbereich um 60 Euro bereiten meistens Probleme.Die größte Schwäche der beiden Geräte ist das Display. Die niedrige Auflösung dürfte viele stören, ist aber in Anbetracht des Preises in Ordnung. Gut ist bei beiden Geräten die Verarbeitung, in dem Preisbereich ist das nicht unbedingt üblich. Die Kunststoffgehäuse wirken zwar etwas billig, sind aber verwindungssteif.Die Akkulaufzeit der Geräte ist ordentlich, zwei bis drei Tage halten die Tablets durch, bis sie wieder geladen werden müssen. Manche Telekom-Tablets haben aber noch Probleme mit dem Ruhezustand, weswegen sich der Akku auch bei Nichtbenutzung schneller leert. Ein Software-Update soll das Problem bald lösen.http://www.akkus-laptop.com/werkzeug-akkus.html

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January 20, 2017

Akku Toshiba PA3479U-1BRS

Der Startbildschirm des neuen TVOS 9.1, das auf iOS 9 basiert, ähnelt vom Prinzip her dem des vorigen Apple TV. Apple hat das Betriebssystem allerdings neu programmiert, was in einigen neuen Funktionen der Oberfläche resultiert. Das sind häufig nur Kleinigkeiten, die aber praktisch sind: So lassen sich jetzt beispielsweise Apps nicht mehr nur im unteren Bereich der Anwendungsübersicht durch langen Druck auf das Touchpad neu sortieren, sondern auch in den oberen fünf Slots. Hier können die am häufigsten verwendeten Apps untergebracht werden, auf die der Nutzer schnellen Zugriff wünscht. Bei manchen Anwendungen wie iTunes oder Netflix werden zudem Inhaltsvorschläge angezeigt, wenn die App in der oberen Leiste der Übersicht abgelegt ist.

Eine der wichtigsten Neuerungen des neuen Apple TV ist die Möglichkeit, aus dem App Store Anwendungen herunterzuladen. Einen vollen Zugriff auf alle iOS-Apps hat der Nutzer nicht, sondern - wie bei Android TV - nur auf Anwendungen, die auf das Apple TV zugeschnitten wurden. Neben Streaming- und Video-Apps gibt es auch eine Reihe an Spielen - die Hardwareausstattung des Gerätes deutet bereits an, dass Nutzer damit mehr machen können als Filme gucken.Und so finden sich bereits kurz nach dem Start des Apple TV zahlreiche Anwendungen für die Set-Top-Box im App Store - weitaus mehr, als es beispielsweise bei Android TV nach dem Start der Fall war. Darunter sind grafisch aufwendige Spiele genauso wie Video-Apps, Koch-Anwendungen oder Wetter-Apps. Das Apple TV verwendet übrigens App Thinning und App Slicing: Bei der Installation werden maximal 200 MByte heruntergeladen, die restlichen Daten werden nach Bedarf geladen. So belegt das Spiel Breakneck auf dem Apple TV 190 MByte, auf dem iPad Pro hingegen 559 MByte. Dafür ist allerdings eine Internetverbindung nötig.

Viele der Spiele sind eher im Casual-Bereich angesiedelt, allerdings sind auch einige gut gemachte darunter. Das während der Präsentation des neuen Apple TV gezeigte Beat Sports gehört dazu - hier muss der Nutzer im Rhythmus der Musik Bälle schlagen, indem er die Fernbedienung als Schläger benutzt. Diese hat eingebaute Bewegungssensoren, weshalb das Spielerlebnis schon sehr dem mit der Wii und Wii U ähnelt. Die Bewegungserkennung funktioniert zuverlässig, auch in anderen Spielen kann sie genutzt werden. Ansonsten lassen sich Games auch gut über das Touchpad steuern, ein Gamepad lässt sich ebenfalls anschließen. Auffällig ist, dass zahlreiche Spiele einige Euro kosten - für Beat Sports etwa müssen Käufer 10 Euro zahlen. Wenn ein Spiel gut gemacht ist, halten wir derartige Preise für durchaus berechtigt.

Allerdings ist es als Nutzer schwierig, einen Gesamtüberblick über die Apps zu erhalten: Unverständlicherweise gibt es keine Sortierung in Rubriken. So können wir uns nicht explizit Actionspiele, Rennspiele oder News-Apps anzeigen lassen, sondern sind auf die Vorstellung im Spotlight-Fenster sowie die Sortierung nach Top-Charts angewiesen. Natürlich lassen sich Apps auch suchen. Wer zum ersten Mal ein Apple TV erworben hat, dürfte allerdings Lust haben, einfach so durch die Rubriken zu stöbern und neue Anwendungen zu entdecken. Das ist mit der aktuellen Sortierung schwer.

Insgesamt betrachtet verfügt das Apple TV über die nötige Hardware, um auch anspruchsvolle Spiele und Anwendungen wiederzugeben - was es von der Konkurrenz von Amazon und Google unterscheidet. Die Hardwareleistung ist allerdings schwächer als beim Shield TV: Der Tegra X1 des Shield TV schlägt in unseren Tests den A8 problemlos. Dafür ist das neue Apple TV deutlich kleiner als die Konsole von Nvidia.Der Fokus des neuen Apple TV ist - auch seitens Apple - sehr auf Spiele ausgelegt. Darüber sollte aber nicht vergessen werden, dass es sich bei dem Gerät um eine Set-Top-Box für den Fernseher handelt, die das Kürzel "TV" im Namen trägt. Dementsprechend sollte das neue Apple TV dem Nutzer reichlich Zusatzoptionen bieten, die sich auf das Fernsehen beziehen - also eine gute Auswahl an Streaming- und Video-Apps sowie Mediatheken.

In diesem Punkt hinkt das Apple TV aber der Konkurrenz hinterher: Neben dem eigenen iTunes-Store mit Kauf- und Leihfilmen sowie -serien finden sich an Streaming-Abo-Anbietern aktuell nur Netflix und Watchever im App Store, an Mediatheken sind nur die des ZDF und die von Arte zu finden. Die Streamingabos von Sky Go, Sky Online, Maxdome oder Amazon Video sind mit dem Apple TV momentan nicht nutzbar - für Abonnenten dieser Dienste ist das Apple TV in dieser Hinsicht keine Hilfe bei der Erweiterung des Fernsehangebotes.Damit hat das Apple TV die gleichen Probleme wie die namhaften Set-Top-Boxen - die wie der Nexus Player, das Fire TV und der Fire TV Stick aber teilweise deutlich günstiger sind. Bei der Konkurrenz haben sich bestimmte Anbieter bisher noch nicht geregt, wenn es um die Bereitstellung der eigenen Apps geht. Es bleibt abzuwarten, ob Apple das bei seiner Set-Top-Box eher schafft.

Wie andere Anbieter auch hat Apple beim neuen Apple TV eine Sprachsteuerung integriert. Siri ist jedoch umfangreicher und besser ins System integriert als die Assistenten bei Android-TV-Geräten oder Amazons Set-Top-Boxen. So lassen sich Filme und Serien nicht nur in iTunes suchen, sondern auch in Netflix - und zwar zuverlässig, ohne dass sich der Nutzer Gedanken um eine korrekt gestellte Anweisung machen muss. Halten wir die Sprachsuchtaste gedrückt, können wir beispielsweise Anfragen wie "Zeige mir Actionfilme aus den 80ern" stellen. Die Ergebnisse zeigen iTunes- und Netflix-Inhalte gemeinsam an - möchten wir nur Netflix-Ergebnisse sehen, können wir dies einfach ansagen. Alternativ können wir nach der ersten Suche auch noch die Anweisung "Nur die auf Netflix" hinterherschieben.Siri für das Apple TV versteht zu einem gewissen Maße den Kontext des vom Nutzer Gesagten. Suchen wir etwa nach romantischen Komödien, können wir ebenfalls eine Nachfrage hinterherschieben, die die Resultate auf ein bestimmtes Jahrzehnt beschränkt. Auch die Suche nach Schauspielern und Regisseuren ist möglich.

Aktuell unterstützt die globale Sprachsuche nach Medieninhalten allerdings ausschließlich iTunes und Netflix - weder Watchever noch Youtube, Vevo oder die ZDF- und Arte-Mediathek werden durchsucht. Diese lassen sich auch nicht mit einem expliziten Kommando durchforsten: "Suche Taylor Swift auf Youtube" quittiert Siri mit einem "Ich kann leider nicht im Internet suchen". Antworten, die mit "Ich kann nicht" anfangen, hören wir für unseren Geschmack im Test ein wenig zu häufig. Insbesondere Nutzer, die Siri auf ihren iOS-Geräten verwenden, dürften überrascht sein, wie doof die Apple-TV-Siri stellenweise ist.http://www.powerakkus.com/acer.html

Auf die Frage nach dem letzten Spielergebnis von Hertha BSC sucht Siri erst nach dem Spielstand, meldet sich dann aber zurück, dass sie nichts finden könne. Ebenso ergeht es uns mit Fragen nach anderen Vereinen. Auf die Bitte, die aktuelle Bundesligatabelle zu zeigen, erklärt uns Siri, dass die Tabelle geladen werde - nur um sich ein paar Sekunden später zu entschuldigen, dass nichts gefunden werden könne. Die Anfragen werden stets korrekt erkannt, zum Teil auch umgesetzt. Nur das Ergebnis wird im aktuellen Zustand des Betriebssystems nicht angezeigt, was Apple schnell ändern sollte. Während der Wiedergabe von Filmen oder Serien können Nutzer ebenfalls mit der Spracheingabe arbeiten. Mit "Was hat er/sie gesagt" wird das Video um einige Sekunden zurückgespult. "Pause" oder "Reduziere laute Töne" versteht das Apple TV ebenso wie "Spule 5 Minuten vor". Die Frage nach dem Regisseur des Films wurde uns bei aktuelleren Streifen ebenfalls beantwortet, bei etwas exotischeren Filmen konnte Siri uns hierbei nicht helfen. Die Frage nach den beteiligten Schauspielern blieb stets ergebnislos.

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Acer TravelMate 4220 Battery

The Intel Core i3 and i5 models won't be available until later this year but we know that prices will start at £399 for the i3.What follows is Tim Danton's hands-on review, which he wrote when Acer first showed off the product at January's CES technology show in Las Vegas.I've lost track of how many times the PC industry has attempted to inveigle its way into the living room (Intel Viiv ring any bells?) but Acer's little plastic gem of a product - the Acer Revo One RL85 - might just have the right combination of low price, data protection and entertaining abilities to make an impact.I got my hands on an early sample at a pre-CES demonstration, and have to admit that I'm seriously tempted to invest in one when they land in the UK (probably February).

Part of its appeal is its appearance. It's small, about the height of a hardback book, and while it's unlikely to win any Design Icon of the Year awards it does at least look like it belongs in a living room. You can get it any colours you like, so long as those colours are black or white.It's whisper-quiet in operation (you have to lean your ear in close to hear the fans) and also has a party trick of a removable shell, giving you access to two SATA disk caddies. Add two disks into these and, hey presto, you have a NAS-style appliance with full backup capabalities - since it supports mirroring, you're even covered if one disk fails.Techies might also choose to use the Revo One as a streaming server for photos, music and videos: lump everything onto the hard drive, or drives, and you can stream to pretty much any device in the house.

Acer is also promising an optional remote control, complete with keyboard on the back, but you're probably better off using the free app, Acer Smart Control. This is available for iOS and Android, and allows you to either control the Revo One or to stream content onto your device.PRICE UPDATE 19 January: Acer has now confirmed the Revo will be sold with a Celeron processor, 4GB of RAM, 1TB hard disk and remote control for £249 inc VAT. A 2TB version will cost £279 inc VAT. It should be available imminently.There will also be a black version with a 2TB hard disk and Core i3 processor, due for launch "in the second half of Q1", but no estimated price as yet.Jon Honeyball joined me for the Acer tour, and had this to say about the Revo One:

"Now this is interesting: a cute small box but with a strong performance angle if you buy the higher-spec versions. And with an unusually flexible storage expansion too – the two internal HD slots have a RAID controller, so you can either span or mirror the drives to increase unified storage size or increase reliability and performance."Immediately, I started thinking about further items I would like in the range. Firstly, since the cover comes off, why not offer some funky coloured covers especially aimed at the teenage market? A bright lemon green, flouro orange, and I’m sure some would pay for a "Hello Kitty” logo’d version too "In terms of the form factor, consider that the guts of the Revo One is essentially a laptop motherboard. The mains power comes from an external inline adapter, and there is a DC input socket on the Revo One itself. Why not offer an identical unit that offers a battery pack, to give a UPS option? That’s certainly something I would consider. And why not engineer a third version of the case to take four hard disk cages along with a tiny RAID controller? Connect to the mother Revo One via one of the USB 3 ports, and you have an interesting external storage solution to expand your collection of music, videos and photos even further.

"It’s about time PC manufacturers showed the way with small-form factor devices. Especially when connected to a TV. This is a promising step, but Acer needs to demonstrate commitment to the product and to bring to market appropriately useful and funky add-ons."Any update to Microsoft’s vast and all-encompassing Office Suite is inevitably only going to be a minor one. It has been thus for years, and it will continue to be. So let’s get this of the way right now: Microsoft Office 2016, which Microsoft has released as a preview for business and developers, is not (so far) a massive update.And so it should be. If Microsoft had rested on its laurels after Office 1995, just think where we would be now: no ribbon interface, no Backstage view or OneDrive integration – and we’d still be plagued by Mr Clippy. Who says incremental improvements are a bad thing?

At least on one front the small additions made to Office 2016 should make a difference to the way your use the suite. At last, Microsoft has a toolbar search box, inherited the "Tell me what you want to do…” search box from the Office online applications, and in one fell swoop, it’s eliminated the one big problem we’ve always had with the Ribbon interface: the difficulty in finding features and functions you don’t commonly use in amongst the hundreds of tools the apps have accumulated over the years.Weirdly, the search box hasn’t yet found its way into all the apps. Outlook hasn't got it yet (we profoundly hope it does eventually), and nor has Access, but after a short while using it, you have to wonder why Microsoft didn't do this years ago. The ability to simply hit ALT-Q and type what you’re looking for – be it Sparklines in Excel, drop caps insertion in Word or animations in PowerPoint – is a revelation.

But it doesn’t stop there: Office 2016’s new search facility isn’t only about finding the features you want quickly, it’s also possible to access the functions of those tools directly from the results that appear below your query.Want to insert a quick table in Word? Type "table”into the box, select the Table option from the resulting dropdown and you’ll be able to access all the same functions that are available under the Ribbon bar button. Want to insert a quick bar chart? Select the cell range, type "chart” in the box, and select the chart you want straight from the dropdown.If Microsoft had left the 2016 update at the search box, we’d be happy. However, there are also plenty of other small changes, the first of which you’ll notice as soon as you fire up the applications for the first time: the apps are now more colourful than before, with the toolbars adopting the colour coding of their logos.Thus, Word now has a blue toolbar, Excel's is green, PowerPoint's is red and so on. It isn’t a hugely significant change, and the old colour schemes are still available for those who don’t get on with the brighter colours, but we quite like the new look.

Office 2016 review - backstage view
Elsewhere, there's also not much different, just yet. The Backstage view, a neologism introduced in Office 2013 has had a light lick of paint, with slightly different folder icons and a re-organisation that sees the Browse button always displayed at the top of the screen. It's slightly less confusing to the eye, but we’d have preferred to see more of a root-and-branch overhaul of this area, which has always seemed to be a bit of a hotch potch of ideas than a properly thought-out bit of user interface design.Outlook sees a handful of minor improvements, most notably to the insert attachment menu, which borrows some ideas from the Backstage view. Now, instead of launching straight into a Open dialog box, you get a list of recently opened files appear directly from the toolbar button; only when the Browse folder icon at the bottom of the list is clicked does the traditional Insert File dialog appear. Assuming you’ve been tinkering with the files you want to attach, this should make life easier.http://www.batteries-pc.com/apple.html

In Excel 2016, meanwhile, Power Query will be built-in instead of an Add-on, and minor changes have been made to improve keyboard accessibility for "high-value” features such as Pivot Tables and Slicers.There isn’t much else to note from a user interface point of view but, as you might have already inferred from the name, not all the changes are consumer orientated, with plenty of business-focussed improvements also on the cards.Word, Excel and PowerPoint now benefit from Microsoft’s Data Loss Protection scheme – a set of tools that IT administrators can use to help them detect and prevent employees leaking sensitive company data accidentally. On a similar theme, Visio now supports Microsoft’s Information Rights Management (IRM) tool, which can help companies control the way files are used once they’re sent elsewhere - by restricting copy and paste or printing, for example.Outlook gets a number of technical improvements, including the replacement of RPC-based email synchronisation with the more "internet friendly” MAPI-HTTP protocol, and foreground network calls. Outlook 2016 should receive email quicker and be more reliable on unreliable network connections (when you're working on 3G or 4G links, for example) as a result.

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January 19, 2017

Batterie Lenovo ThinkPad X61s

UN IMPACT FAIBLE MAIS RÉEL
On peut néanmoins explorer des pistes possibles. Nokia mobiles, dont l’acquisition a été finalisée en avril 2014, va perdre la moitié de ses effectifs, soit 12 500 emplois sur les 18 000 à supprimer au total. Or Nokia mobiles compte seulement 60 salariés en France. Ils s’occupent du support client et des relations avec les opérateurs télécoms et la distribution. Il n’y a ni centre de développement, ni usine. On voit mal Microsoft amputer l’effectif ici de moitié.
En revanche, la simplification de l’offre avec la sortie des téléphones basiques et du recentrage sur une seule plateforme logicielle, Windows Phone, diminue les besoins de personnel. D’autant qu’il y a probablement des doublons avec l’équipe en charge de Windows Phone chez Microsoft France. "On peut avoir quelqu’un qui s’occupe d’Orange chez Nokia et de quelqu’un qui fait la même chose chez Microsoft", cite en exemple Priscille Bellenger. Il risque d’y avoir un impact sur cette activité mais il serait faible.

Hors Nokia mobiles, 5 500 suppressions de poste concernent Microsoft dans le monde. Un chiffre comparable au plan social précédent de 5000 emplois lancé en 2009. "C’est beaucoup, estime la déléguée CFE-CGC. Cela veut dire que tout le monde risque d’être touché ou que certaines activités entières pourraient être arrêtées, pour être par exemple mutualisées au niveau européen ou externalisées. Il y a plein de schémas possibles."
Lors du plan social de 2009, Microsoft France a réussi à passer à travers les mailles du filet. Du moins officiellement. Les suppressions de postes concernaient surtout les services centraux et peu les gens sur le terrain. La situation pourrait être différente cette fois-ci. Mais si impact il y a, il serait amorti par la mobilité du personnel. "Chaque année, il y a 50 à 70 départs naturels, qui pourraient alors ne pas être remplacés pour éviter des départs forcés", note Priscille Bellenger.

En 2012, un plan social de 30 postes dans l’activité online (moteur de recherche Bing et publicité en ligne) a été évité en faisant jouer la carte du reclassement en interne et dans l’entité qui gère ce business au niveau européen.
Le marché informatique est en pleine mutation, et le géant du secteur, Microsoft, en fait les frais. Le groupe va licencier d'ici un an 18 000 salariés. Objectif ? Alléger l'organisation de l'entreprise pour lui redonner le dynamisme dont elle manque et mettre en Å“uvre le tournant stratégique pensé par le nouveau patron du groupe, Satya Nadella, résolument tournée vers le mobile et le cloud.

[Actualisé] Deux chercheurs ont découvert que l'USB, qui est universellement utilisé en informatique pour connecter des appareils et même transférer des données, présente une faille de sécurité grave, inhérente à son design. Ils sont parvenus à modifier le firmware (logiciel interne) d'un appareil pour lui faire exécuter du code malicieux intraçable. Deux autres experts en sécurité sont parvenus à recréer ce code malicieux et l'ont mis en ligne, à disposition de tous.
Les risques de sécurité liés aux transferts de fichiers via USB, et notamment par clés USB, sont connus depuis longtemps. Mais le danger posé par ces connexions est en réalité bien pire qu'on ne le pensait. Après plusieurs mois de recherche, deux experts travaillant pour le cabinet SR Labs ont découvert qu'il est possible de compromettre la technologie USB en elle-même de manière pratiquement indétectable. Sur le site américain Wired, Karsten Nohl et Jakob Lell expliquent qu'il est possible de reprogrammer le firmware des appareils USB pour y cacher du code malicieux. Une pratique contre laquelle il n'existe pas de parade.

Pour le démontrer, ils ont créé un malware baptisé BadUSB. Celui-ci est installé sur un appareil, qui, une fois connecté à un ordinateur par USB, peut en prendre le contrôle, modifier des fichiers de manière indétectable, rediriger son trafic Internet, etc. Cette faille de sécurité ne concerne pas seulement les clés USB mais n'importe quel objet utilisant une connexion de ce type : clavier, souris, imprimante, smartphone, et bien d'autres.
C'est parce que BadUSB n'est pas stocké sur la mémoire flash des appareils concernés (là où se trouvent par exemple les fichiers d'une clé USB) mais dans leur firmware qu'il est très difficile de le détecter, de l'effacer et même d'empêcher une attaque, à moins d'interdire complètement l'utilisation de connexions USB. C'est un problème dans la conception même de la norme USB qui est ici démontré. Faute d'une évolution de la technologie, il ne sera pas possible de colmater cette brèche. Les deux chercheurs présentent leurs travaux lors de la conférence Black Hat de Las Vegas, qui se déroule du 2 au 7 août.

[Actualisation 3/10/2014] : Deux autres experts en sécurité, Adam Caudill et Brandon Wilson, ont réussi à recréer BadUSB par reverse engineering à partir des informations fournies lors de la présentation de Karsten Nohl, le chercheur qui avait lancer l'alerte sur l'existence de cette faille en août dernier. Mais alors que Nohl et Lell n'avaient pas publié leur code car ils estimaient la faille de sécurité très difficile à réparer, Caudill et Wilson n'ont pas hésité à le mettre à disposition de tous sur le site GitHub. Leur raisonnement ? Cette publication forcera les fabricants à combler cette faille plus rapidement. Une logique difficilement justifiable quand on sait que c'est la norme USB elle-même qui va devoir évoluer afin de sécuriser le firmware mis en cause. Dans l'intervalle, chaque périphérique USB, et notamment les clés USB très utilisées pour échanger des informations, représente un risque de sécurité considérable que les entreprises comme les particuliers vont devoir prendre en compte... Sans pouvoir y faire grand chose, si ce n'est les interdire complètement.Steve Linford, directeur de l'organisation Spamhaus, la cible de cette attaque, a déclaré à la BBC que son organisation était visée depuis plus d'une semaine par des attaques d'une ampleur inédite.
Les pirates ont lancé une attaque par déni de service (DDoS), qui consiste à saturer un site internet en le soumettant à un trop grand nombre de requêtes provenant de multiples systèmes, de manière à le mettre dans l'incapacité d'identifier les utilisateurs légitimes du service et de traiter ce trafic.

"Au vu de l'amplitude signalée de cette attaque, qui a été estimée à 300 gigaoctets par seconde, nous pouvons confirmer qu'il s'agit de l'une des plus importantes opérations DDoS à ce jour", a indiqué dans un communiqué la société Kaspersky Lab.
"De plus graves perturbations pourraient survenir à plus grande échelle si l'attaque s'intensifie", poursuit ce spécialiste de la sécurité informatique.
Pour Paul Vlissidis, directeur technique de NCC, autre acteur de la sécurité informatique, il est d'autant plus difficile de contrer cette attaque qu'un grand nombre d'ordinateurs sont impliqués.
"Si quelques ordinateurs envoient de grandes quantités de données, il est facile de les filtrer. Quand des milliers et des milliers (de machines) participent littéralement c'est beaucoup, beaucoup plus difficile", a-t-il expliqué à Reuters.
Selon lui, les volumes de trafic en jeu dans cette attaque ont déclenché une réaction en chaîne sur l'ensemble d'internet.http://www.batterie-tech.com/batterie-ordinateur-portable-acer.html
Spamhaus est un groupe basé à Genève qui publie des "listes noires" d'adresses de spams dont se servent les messageries pour filtrer les courriels indésirables.
Le Cloud Computing est principalement américain aujourd’hui. Les leaders de ce marché naissant sont outre-Atlantique. Or c’est probablement l’avenir de l’informatique : consommation de ressources à l’usage, à distance. Les particuliers et les entreprises sont en train de migrer leurs données dans le cloud. Cette révolution de l’informatique se fera-t-elle au détriment des entreprises françaises ou européennes ? Pas si sûr : la France a des atouts qui lui permettront peut-être de faire naître des champions du Cloud Computing. Nicolas Aubé, président fondateur de Celeste, en liste cinq.

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Das ist besonders bei der Huawei Watch schade, da uns die schlichte, hochwertige Uhr ansonsten gut gefällt. Motorola hat hingegen leider auch bei der zweiten Moto 360 bestimmte Fehler wiederholt, die uns bereits beim ersten Modell gestört haben: Allen voran das unten abgeschnittene Display sowie die durch den Glasschliff verursachten Lichtbrechungen am Rand des Displayglases.Obwohl die Moto 360 in der günstigsten Variante immer noch 45 Euro günstiger als die Gear S2 ist, können wir Motorolas Smartwatch nicht empfehlen - aufgrund des schnell öden Betriebssystems gilt das auch für die Huawei Watch. Solange Google das Grundprinzip von Android Wear nicht überarbeitet, sehen wir Uhren wie die Gear S2 mit physischer Eingabe und hoffentlich noch weiter steigender App-Auswahl im direkten Vergleich vorne.Ein Kurzschluss im Hochvoltsystem: Kurz nach dem Start des Testbetriebs fielen zwei Fahrzeuge aus. Nach fast zwei Monaten der Fehlersuche und -behebung sind Berlins erste E-Busse mit Bombardiers Primove-Technik nun wieder im Einsatz. Berlins E-Busse fahren wieder: Auf der Webseite e-bus.berlin lassen sich die Umläufe der E-Busse wieder verfolgen - um 9 Uhr morgens konnten wir sogar vier Umläufe beobachten. Für den Normalbetrieb sind nur drei der Busse, die per Induktion aufgeladen werden, nötig.

Zwei von vier Bussen mit Bombardiers Akku- und Induktionstechnik Primove und einem E-Antrieb von Vossloh waren kurz nach dem Start des Praxistests im Laufe des September 2015 ausgefallen. Die anderen beiden wurden dann vorsorglich auch ausgesetzt. Fortan übernahmen bis zum heutigen 26. November Dieselbusse wieder den Betrieb der BVG-Linie 204. Den beteiligten Forschungspartnern ist es nun gelungen, die Solaris-Busse so weit zu modifizieren, dass der Fehler beseitigt werden konnte. die Busse keine Serienfahrzeuge sind. Es gibt zwar in Mannheim und Braunschweig ebenfalls Busse mit Bombardiers Induktions- und Akkusystem, doch in Berlin arbeiten die Solaris-Busse mit einem anderen Antrieb: Er ist von Vossloh statt von Bombardier. Welche Komponente genau für die Ausfälle verantwortlich war, gibt die BVG nicht an. Die aktuelle Position der Busse sowie der Ladezustand der jeweiligen 90-KwH-Akkus lassen sich aus der Live-Karte mit Google-Maps-Daten entnehmen, die ähnlich funktioniert wie die VBB-Live-Karte mit Openstreetmap-Daten.

Die Urbane 2nd Edition verfügt über ein Mobilfunkmodem, so dass mit der Uhr auch ohne Smartphone telefoniert werden kann. Die Uhr arbeitet mit Googles Betriebssystem Android Wear und unterstützt neben GSM und UMTS auch LTE. WLAN und Bluetooth 4.1 sowie ein GPS-Modul sind ebenfalls integriert worden. Die runde Uhr mit 1,38 Zoll großer Diagonale erreicht eine Auflösung von 480 x 480 Pixeln und misst im Durchmesser 44,5 mm. Die vielen Komponenten benötigen viel Strom, so dass LG einen Akku mit 570 mAh einbaut. Damit soll die Smartwatch, die in einem Edelstahlgehäuse steckt, etwas mehr als einen Tag durchhalten.Der Fehler soll so groß sein, dass er LG dazu bewog, die Uhr komplett aus dem Handel zu nehmen. Wer die Uhr schon gekauft hat, erhält sein Geld zurück. Ob die Uhr jemals in einer veränderten Fassung verkauft wird, weiß LG noch nicht. Es wäre die erste Android-Wear-Smartwatch gewesen, in der ein LTE-Modem verbaut ist. Zwar hatte LG schon eine LTE-Uhr im Angebot, auf der lief jedoch kein Android Wear.

Asus bringt sein neues Android-Smartphone Zenfone 2 Laser nach Deutschland: Das Smartphone kostet 230 Euro und kommt mit Mittelklasse-Hardware. Die Kamera hat 13 Megapixel und soll besonders schnell scharf stellen. Das neue Zenfone 2 Laser des taiwanischen Herstellers Asus kommt nach Deutschland und Österreich. Ab sofort soll das Android-Smartphone erhältlich sein, der Preis liegt bei 230 Euro. Dafür bekommen Käufer ein Gerät der Mittelklasse, das LTE unterstützt, mit Android 5.0 kommt und eine 13-Megapixel-Kamera hat. Das Display des Zenfone 2 Laser ist 5 Zoll groß, es löst mit 1.280 x 720 Pixeln auf. Geschützt wird der Bildschirm durch Gorilla Glass 4. Im Inneren des Smartphones arbeitet Qualcomms 64-Bit-Prozessor Snapdragon 410, ein typisches Mittelklasse-SoC mit vier A53-Kernen und einer Taktrate von 1,2 GHz.Der Arbeitsspeicher ist 2 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher hat eine Größe von 16 GByte. Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten bis maximal 128 GByte ist eingebaut. Das Zenfone 2 Laser unterstützt neben Quad-Band-GSM und UMTS auch LTE, WLAN beherrscht das Smartphone nach 802.11b/g/n. Bluetooth läuft in der Version 4.0, ein GPS-Empfänger und ein NFC-Chip sind eingebaut.

Die Kamera des Zenfone 2 Laser hat 13 Megapixel und einen Laser-Autofokus, der dem Smartphone den Namen gibt. Der Blitz besteht aus zwei verschiedenfarbigen LEDs und soll Hauttöne besser wiedergeben. Die Frontkamera hat 5 Megapixel.Ausgeliefert wird das Zenfone 2 Laser mit Android 5.0, auf dem Asus seine eigene Benutzeroberfläche Zen UI installiert. Der wechselbare Akku hat eine Nennladung von 2.400 mAh, Angaben zur Laufzeit macht der Hersteller nicht.Im Kaufpreis von 230 Euro ist eine einjährige Zusatzgarantie enthalten. Mit Zenprotect verspricht Asus, in diesem Zeitraum auch bei Eigenverschulden das Gerät kostenlos auszutauschen. Die Garantie erhalten allerdings nur Käufer, die das Smartphone zwischen dem 1. November und dem 31. Dezember 2015 kaufen.

Das teuerste und größte iPad hat ein Problem. Beim Laden stürzt das iPad Pro gelegentlich ab, so dass nur noch ein Neustart hilft, um mit dem Gerät weiterarbeiten zu können. Ob ein Software-Update künftig hilft, ist nicht abzusehen. Apples iPad Pro startet nach längerem Aufladen oft nicht mehr, sondern muss erst ausgeschaltet und dann komplett hochgefahren werden. Das berichten mehrere Anwender in Apples Supportforen. Dabei zeigt sich ein Muster: Wird das iPad Pro nur kurz geladen, passiert nichts. Steckt der Nutzer das teure Tablet hingegen längere Zeit an das Lightning-Kabel, um den erschöpften Akku wieder aufzuladen, tritt der Fehler auf und das Gerät reagiert nicht mehr. Das geschieht einigen Anwendern regelmäßig, wenn sie das Gerät nachts an den Strom hängen.Drückt der Anwender dann etwas länger auf Home- und Einschaltknopf, startet das Tablet neu: Das bekannte Apfellogo erscheint auf dem Bildschirm. Auf Dauer ist das allerdings keine Lösung. Ein großer Vorteil der mobilen Betriebssysteme gegenüber Desktops ist die schnelle Verfügbarkeit.

Offenbar sind sowohl die WLAN-Modelle als auch die LTE-Version betroffen. Apples Support rät dazu, das iPad Pro auf die Werkseinstellung zurückzusetzen und ein Backup über iTunes einzuspielen. Anwender berichten, dass dies nicht half. Betatester von iOS 9.2 haben teilweise eine Verbesserung bemerkt - ganz behoben wird der Fehler dadurch aber wohl nicht.Die bisherigen Apple TVs waren verglichen mit der aktuellen Set-Top-Box-Konkurrenz von Amazon und Google recht öde. Das sollen nun Spiele und eine Sprachsteuerung ändern. Nimmt man jedoch das "TV" im Namen ernst, muss Apple noch nachliefern.
Set-Top-Boxen für den Fernseher können - je nach Modell - eine Menge: Sie ermöglichen den Zugang zu verschiedenen Streamingdiensten und bieten über eigene Appstores Spiele und andere Apps an. Als Beispiele für die neue Generation an Zusatzunterhaltung für das heimische TV-Gerät dürften Amazons Fire TV beziehungsweise Fire Stick, Googles Nexus Player und insbesondere das neue Shield TV von Nvidia gelten. Apples bisherige Apple-TV-Boxen wirkten verglichen damit eher langweilig, was der Hersteller mit seinem neuen, vierten Modell ändern will.

Die bisher veröffentlichten Apple TVs boten Nutzern einige vorinstallierte Apps an - neben Zugängen zu iTunes etwa Youtube, Vevo und andere Unterhaltungs-Apps. Spiele gab es nicht, auch nicht die Möglichkeit, auf legalem Wege neue Apps zu installieren. Mit dem neuen Apple TV der vierten Generation hat Apple das Konzept seiner Set-Top-Box überarbeitet: Das Betriebssystem wurde gegen das auf iOS 9 basierende TVOS 9 ausgetauscht, was dem Nutzer unter anderem den Zugang zum App Store bietet.
Dadurch lassen sich Apps installieren. Die Auswahl ist bereits kurz nach dem Start des neuen Geräts groß. Außerdem hat Apple den Sprachassistenten Siri fest ins System integriert, was dem Nutzer eine weitreichende Sprachsteuerung ermöglicht. Im Test von Golem.de muss sich das neue Apple TV mit der Konkurrenz von Amazon, Google und Nvidia messen lassen - und zeigt dabei ein paar Schwächen, wenn es um das "TV" im Namen und die Sprachsteuerung geht.

Am Design hat Apple verglichen mit dem Vorgänger nichts geändert: Das vierte Apple TV ist ein kleiner, schwarzer Kasten, die Ecken sind abgerundet. Auch die Grundmaße sind mit 98,3 x 98,3 mm gleich geblieben, lediglich die Höhe ist von 22,1 auf 34,8 mm gestiegen. Die Anschlüsse befinden sich weiterhin auf der Rückseite: Unverändert sind der Strom- und HDMI-Anschluss sowie die Ethernet-Buchse, verändert hat Apple aber die USB-Schnittstelle für Wartungsarbeiten und die Micro-USB-Buchse gegen einen USB-Typ-C-Anschluss getauscht.Wer das neue Apple TV wie den Vorgänger über ein optisches Audiokabel an einen Audio-Receiver anschließen will, der wird keinen passenden Anschluss mehr finden: Apple hat ihn nicht mehr eingebaut. Wer dennoch Ton über eine Surround-Anlage hören möchte, muss das HDMI-Signal durchschleifen - Besitzer älterer Anlagen könnten hier Probleme bekommen.

Bei der Hardware hat Apple das neue Apple TV verglichen mit dem direkten Vorgänger stark aufgewertet. Im Inneren arbeitet jetzt ein A8-Chip mit zwei Kernen, der auch in den iPhones der 6er-Serie verwendet wird. Die Grafikeinheit ist eine PowerVR GX6450. Der Arbeitsspeicher ist 2 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher misst wahlweise 32 oder 64 GByte. Der interne Speicher ist damit erstmals von nennenswerter Größe, da das vierte Apple TV das erste ist, bei dem Nutzer offiziell Zugriff auf den App Store haben.Beim Auspacken des Geräts fällt sofort die neu gestaltete Fernbedienung auf. Sie ist nur unwesentlich länger als die des Apple TV 3, allerdings gut 8 mm breiter. Die Bedienungselemente unterscheiden sich merklich von denen des Vorgängers: Statt eines Vier-Wege-Steuerrings mit Taste in der Mitte hat die neue Fernbedienung ein Touchpad mit Klickfunktion. Darüber lässt sich das Apple TV je nach Anwendungsszenario entweder durch Wischgesten bedienen oder über Tipp-Eingaben in den vier Himmelsrichtungen - wie bei der alten Fernbedienung.http://www.akkus-laptop.com/samsung.html

Die Touch-Steuerung arbeitet ohne nennenswerte Latenz und ist nach kurzer Eingewöhnungszeit sehr genau. So lassen sich Filme beispielsweise sekundengenau spulen, was ein großer Vorteil gegenüber den Fernbedienungen der meisten aktuell erhältlichen Set-Top-Boxen ist. Diese haben meist Spultasten beziehungsweise nutzen das eingebaute Vier-Wege-Steuerkreuz. Damit lässt sich nicht so genau spulen.Die Fernbedienung des neuen Apple TV hat nicht nur zwei Zusatztasten, sondern fünf: Neben den bereits vom Vorgänger bekannten Menü- und Play-Tasten gibt es jetzt noch eine Startbildschirmtaste, eine Lautstärkewippe und die Siri-Taste für die Spracheingabe. Zur Orientierung ist diese leicht nach innen gewölbt, jedoch ist diese Wölbung so unscheinbar, dass wir uns hin und wieder doch verklicken, wenn wir nicht auf die Fernbedienung schauen.

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