February 28, 2017

Batterie Dell PC764

Depuis l'introduction du Raspberry Pi plusieurs autres ordinateurs monocartes bon marché ont été introduits sur le marché. Pour 60 dollars le Cubieboard, qui a été annoncé en septembre, intègre un processeur ARM cadencé à 1 GHz et 4 Go de RAM. Il tourne sous Android ainsi que sous Ubuntu et Linux. Dans le même temps, l'UG802 est apparu, au prix de 89 dollars. Ce mini PC fonctionne sous Android 4.0 (également appelé Ice Cream Sandwich) par défaut. Il est équipé d'un processeur ARM dual-core cadencé à 1,6 GHz, de 1 Go de RAM, 4 Go de stockage, de ports USB, d'un connecteur HDMI et d'un slot microSD. Un autre modèle est sorti le mois dernier, l'A13-OLinuXino, vendu 57 dollars, avec un processeur ARM cadencé à 1 GHz, un processeur graphique 3D Mali400, et 512 Mo de RAM.

Pendant ce temps, les développeurs continuent de trouver des applications intéressantes pour le Raspberry Pi. Ainsi, des chercheurs de l'Université de Southampton ont crée un mini-HPC en Lego avec des unités Raspberry Pi et ont également conçu un serveur Minecraft. Les ultrabooks, ces ordinateurs portables ultra-fins et légers devaient révolutionner le marché. Pourtant, vendus à des prix élevés, confrontés à la concurrence des smartphones et des tablettes, ils peinent à se vendre.L'année 2012 devait être celle des ordinateurs ultra-portables, dont les analystes prévoyaient des ventes atteignant les 22 millions de pièces. Cependant, selon le dernier rapport IHS iSuppli Compute Platforms Topical, publié le 1er octobre, ces estimations n'étaient pas réalistes et ont été revues à la baisse : on prévoit désormais que seuls 10,3 millions d'ultrabooks seront vendus d'ici la fin de l'année."Jusqu'ici, le secteur n'a pas su créer auprès des jeunes consommateurs l'engouement nécessaire pour faire de l'ultrabook un objet grand public. Cela pose vraiment problème lorsque l'on est confronté au grand buzz créé par les tablettes et les smartphones. Ajoutez à cela des prix prohibitifs, et les ventes d'ultrabooks ne pourront atteindront les objectifs initiaux en 2012", explique Craig Stice, auteur du rapport.

Les difficultés liées au mauvais marketing et aux prix trop élevés sont surmontables - surtout que les ventes d'ultrabooks tirent tout de même le marché vers le haut -, mais pour répondre à la concurrence, le seul moyen reste l'amélioration des fonctionnalités les plus recherchées par les consommateurs.Dans ce domaine, le rapport reste optimiste et note qu'Intel, dont les composants et les spécifications définissent le terme même d'ultrabook, a présenté de nombreuses nouveautés pour ses futurs modèles : technologies tactiles, reconnaissance vocale, capteurs de mouvement et GPS, des technologies à l'origine du succès des tablettes.Les fabricants, notamment Acer, HP et Dell, ont par ailleurs bon espoir pour leurs ultrabooks hybrides, à écran détachables ou rotatifs, disposant d'écrans tactiles ou capables de se transformer en tablettes pour offrir aux utilisateurs le meilleur des deux technologies. L'Acer Aspire S7 peut par exemple, s'ouvrir à 180° et dispose d'un écran tactile optimisé pour fonctionner sous le futur Windows 8. De son côté, le Dell XPS Duo 12 possède une charnière, qui permet à l'écran d'effecteur une rotation sur lui même pour devenir une tablette. Confrontés à la baisse de ses ventes de PC et de serveurs HP a vu son chiffre d'affaire global reculer de 10% et ses bénéfices de 32%. Les analystes ne semblent pas inquiets et s'attendent même à un rebond dans les prochains trimestres.

Les difficultés du marché des PC et de serveurs impactent sérieusement l'activité de HP. Pour le compte du second trimestre de son exercice fiscal 2012-2013, le fabricant américain publie un résultat net de 1,1 milliard de dollars, en baisse de 32% par rapport à la même période l'an passé. Quant au chiffre d'affaires de l'entreprise, il s'est replié de 10% pour atteindre 27,6 milliards de dollars.Toutes les activités du groupe, sans exception, ont accompagné la baisse de ses facturations dans différentes proportions. C'est particulièrement vrai pour la division PC dont les ventes en valeur ont subi une baisse de 20% (-18% pour les desktops et -24% pour les portables) qui reflète la mauvaise santé du marché mondial des PC. Dans le détail, son chiffre d'affaires dans le monde professionnel s'est replié de 14% contre 29% dans le grand public.La division Enterprise Group (serveur, stockage, réseaux...) accuse de son côté un recul de 10% de son chiffre d'affaires, plombée notamment par ses ventes de serveurs (-12%) et de systèmes de stockage (-13%) que la hausse de 1% des ventes de produits réseaux ne suffit pas à compenser.

Comparativement moins impactée, la division Logiciels a vu son activité reculer de 3% en valeur. En cause, la baisse des ventes de licences (-23%) et de services (-5%) dont l'impact négatif a toutefois été adouci par la croissance des revenus de l'activité support.Dernière entité dédiée aux produits chez HP, la division Impression est celle qui s'en sort le mieux avec un chiffre d'affaires en décroissance de seulement 1% sur le trimestre. HP ne communique pas sur la variation de ses ventes de consommables mais il y a fort à parier que ce sont elles qui permettent à la division de rester stable puisque ses ventes de systèmes d'impression ont globalement baissé de 11% (-5% dans le monde professionnel, -13% dans le grand public). Enfin, la division Services accuse un recul d'activité de 8% tandis que celui de la branche Services Financiers atteint 9%.

En dépit de ces mauvais résultats, les bénéfices dégagés par HP sont supérieurs à ceux auxquelles s'attendait le marché. L'entreprise a en effet publié un bénéfice par action de 0,87 $ quand les analystes tablaient sur 0,81$. Dans un communiqué de presse, Meg Whitman, la CEO de HP s'est déclarée « encouragée » par les résultats du fabricant qu'elle a attribué à des performances meilleures que prévues des divisions impression et serveurs ainsi qu'à une politique de réduction de coûts. Lors de ce trimestre, HP est parvenu à faire baisser ses coûts et ses dépenses de 8%. Les marchés financiers ont plutôt bien réagi à ces résultats en prévoyant un rebond pour les prochains trimestres. Les prochains Celeron et Pentium d'Intel seront basés sur l'architecture Silvermont déjà utilisée dans les puces Bay Trail pour tablettes.L'architecture Silvermont de la dernière puce Intel Atom pour tablettes, connue sous le nom de code Bay Trail, sera réutilisée dans les processeurs Celeron et Pentium d'entrée de gamme pour animer des PC portables, des ordinateurs de bureau et des tout-en-un d'entrée de gamme, a expliqué le fondeur de Santa Clara.

De type basse consommation, la puce Bay Trail d'Intel équipe déjà des smartphones, des tablettes et des netbooks. En complément de cette dernière, Intel lancera une version pour les PC nomades baptisée Bay Trail-M et une autre pour les ordinateurs de bureau appelée Bay Trail-D sous les marques Celeron et Pentium, a expliqué Kathy Gill, une porte-parole de la firme.Les processeurs Pentium et Celeron sont aujourd'hui utilisés dans les PC d'entrée de gamme et cette évolution représente un changement architectural radical pour ces marques. Cela indique également qu'Intel accorde une plus grande confiance à son architecture Atom pour animer des PC d'entrée de gamme. La puce Bay Trail est basée sur l'architecture Silvermont, qu'Intel prétend être jusqu'à trois fois plus rapide et cinq fois plus économe en énergie que les anciens noyaux Atom.

Silvermont va maintenant pouvoir animer d'autres produits Intel Inside comme des PC d'entrée de gamme, des tablettes, des smartphones et des serveurs de faible puissance. Le fondeur compte utiliser Silvermont dans ses prochaines puces pour smartphones, connues sous le nom de code Merrifield, qui sont attendues début d'année prochaine. Intel a déjà annoncé qu'il utiliserait Bay Trail dans les PC, mais n'a pas encore annoncé de marque commerciale pour ses nouvelles puces.« En raison des progrès et de la flexibilité de la ... microarchitecture Silvermont, nous pouvons personnaliser les jeux de fonctionnalités de Bay Trail et développer des variantes sur cette base pour équiper une nouvelle gamme de produits informatiques à des prix très variés », a déclaré Mme Gill. Intel devrait livrer plus de détails sur sa puce Bay Trail à l'occasion du salon Computex à Taipei la semaine prochaine. La société pourrait ainsi montrer des tablettes équipées de cette puce associée à Windows ou Android. Les PC et les tablettes animés par Bay Trail devraient être disponibles un peu plus tard dans l'année.

Les peu couteuses puces Pentium et Celeron étaient jusqu'à présent basées sur la même architecture que celle utilisée dans les véloces processeurs Core mais avec moins de fonctionnalités. Les derniers CPU Pentium et Celeron sont basés sur l'architecture Intel Ivy Bridge.À Computex, Intel va également annoncer de nouvelles puces Core basées sur la microarchitecture Haswell, mais il reste à voir si certains Pentium ou Celeron reposeront sur ce design. « Nous avons des produits Celeron et Pentium aujourd'hui basé sur notre microarchitecture Ivy Bridge, mais nous ne sommes pas encore prêts à divulguer des détails supplémentaires sur la technologie Haswell » a déclaré Mme Gill.Intel a dévoilé son premier processeur Pentium cadencé à 66MHz en 1993, et la première puce Celeron à 300 MHz en 1998. Depuis lors, les PC équipés de ces puces se sont bien vendus, et Pentium reste une marque facile à identifier pour les acheteurs même si aujourd'hui l'équivalent est à chercher du coté des modèles Core i3, i5 et i7. Les puces Pentium sont désormais en concurrence avec des puces bas de gamme d'AMD tels que les A4, A6, Sempron et Athlon. « L'objectif est d'offrir à nos clients la plus large sélection de facteurs de forme, de caractéristiques et de modèles avec uen gamme de prix cohérente », a déclaré Mme Gill. Alors que Google fait les gros titres avec ses lunettes connectées, Recon Instruments vient de dévoiler sa technologie portable sous forme de lunettes de soleil, lors de la conférence Google I/O à San Francisco. Les solaires Recon Jet HUD (heads up display - affichage tête haute) intègrent les dernières technologies pour surveiller ses propres performances sportives, tout en écoutant de la musique et en regardant des vidéos.

Elles intègrent un processeur bicoeur, les connectivités WiFi et Bluetooth, une puce GPS, ainsi que le système ANT+, adapté au sport. Ces lunettes abritent aussi de nombreux capteurs, comme un accéléromètre, un gyroscope, un altimètre, un magnétomètre, un thermomètre, mais aussi une caméra HD. Même si les clients du fabricant Recon sont habituellement des amateurs de sports alpins, la gamme Jet HUD vise un public de coureurs, cyclistes, entre autres sportifs.Ces solaires sont un petit peu plus encombrantes que les lunettes de sport traditionnelles et pèsent 60 grammes, elles sont ainsi plus lourdes que les Google Glass. Mais le magazine spécialisé Wired trouve que le poids des lunettes est bien réparti, avec la batterie à gauche et le système électronique et l'affichage à droite, et que son port est confortable.

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Batterie Dell 7FJ92

Certains s'attendent à ce que la recharge par induction (sans fil pour les équipes marketing) s'impose à l'avenir dans les appareils électroniques de grande consommation, mais elle n'arrive pas à prendre aussi rapidement que l'espèreraient ses partisans. Les principales entraves : Une charge toujours très lente et deux normes se disputent le marché : la norme Power Matters Alliance (PMA) "Power 2.0" (soutenue par Google et Starbucks entre autres) et la IQ plus répandue et soutenue par Wireless Power Consortium (140 membres dont Intel, Samsung et Nokia). Signalons par ailleurs que - pour une question de royalties - les produits Apple ne sont pas compatibles avec ces deux normes.Le fabricant a toutefois pensé aux consommateurs attachés aux produits Apple qui veulent tout de même profiter de cette technologie. ConvenientPower propose donc des étuis d'iPhone, approuvés par la firme à la pomme, permettant la recharge sans fil et compatibles avec la norme QI. Des chiffres du cabinet IMS Research montrent que 5 millions d'appareils déjà compatibles avec cette technologie seront vendus cette année, mais les prévisions de l'entreprise avancent 100 millions d'appareils vendus d'ici fin 2015. Les Autoroutes Paris Rhin Rhône (APRR) proposent de suivre en direct sur son mobile l'état du trafic sur son réseau à l'aide de 45 webcams réparties sur les autoroutes APRR et AREA.

Pour profiter de ces webcams en direct sur son téléphone portable, il faut se connecter sur le site mobile de la société d'autoroutes (m.aprr.fr). Ces webcams permettent de visualiser à la fois l'état du trafic et les conditions météo sur les différentes zones géographiques du réseau.Actuellement, 14 webcams sont disposées en ÃŽle-de-France Est, neuf autres en Rhône-Alpes, neuf également dans le Grand Est, six sur l'autoroute du soleil (A6), cinq sur le Grand Lyon et deux en Centre-Auvergne.Depuis juillet 2012, le site d'APRR est accessible aux clients depuis leur smartphone avec la mention "Attention, ne pas utiliser votre téléphone au volant !". Aastra a commandé une étude () au cabinet Frost & Sullivan sur les communications unifiées au sein des PME. Ces entreprises restent encore attentistes , mais comptent investir avec l'aide de leurs partenaires intégrateurs.

L'Envy TouchSmart Ultrabook 4 offre un choix de ports varié, dont un port Ethernet 10/100 intelligemment conçu, qui se déploie quand on branche le câble, mais reste enfiché dans la coque quand l'Ultrabook est fermé. Le portable d'HP comporte également 2 ports USB 2.0, un port USB 3.0, un port HDMI, plus un slot pour carte mémoire SDHC. Enfin, il offre le Wi-Fi 802.11 b/g/n, le Bluetooth et la connectivité Wireless Dispay d'Intel ou WiDi, qui permet de transférer des données sans fil depuis le portable vers un téléviseur.HP livre une installation un peu chargée de Windows 8, puisque le système d'exploitation de Microsoft est accompagné de Norton Internet Security, de Microsoft Office, des applications Kindle, Netflix, iHeart Radio, Fresh Paint, en versions gratuites ou de démonstration. Sans compter YouCam de CyberLink pour la Webcam HD, plus divers utilitaires HP pour la sauvegarde, et autres.

Comme le fait remarquer PC World, le problème principal de l'Ultrabook Envy TouchSmart 4 est son poids. Mais encore une fois, HP n'est pas le seul dans ce cas. Parmi les nombreux ultrabooks, même plus anciens, et donc sans systèmes tactiles, testés par le journal, beaucoup pèsent plus de 2 kilos. Si le poids n'est pas rédhibitoire, alors l'Envy TouchSmart Ultrabook 4 offre de bonnes qualités, il est agréable à l'usage et permet de profiter des fonctionnalités tactiles de Windows 8 à un prix raisonnable. La seconde tablette de Microsoft, Surface Pro, sera mise en vente en France à partir du vendredi 17 mai. Présentée comme une alternative à un véritable PC nomade, elle est équipé de Windows 8 Pro et repose sur une puce x86 - fournie par Intel - et non pas sur un design ARM comme pour la tablette Surface lancée en octobre dernier.

Malgré son format tablette, Surface Pro peut presque être considéré comme un PC portable avec ses ports USB 3.0, HDMI, microSDXC et son poids d'un kilogramme. Dotée d'un écran de 10,6 pouces multipoints (supportant une résolution 1920 x 1080 pixels), elle est animée par un processeur Intel Core-i5 cadencé à 1,7 GHz épaulé par 4 Go de RAM. Les interfaces sans fil sont bien sûr de la partie avec le Bluetooth 4.0 et le WiFi 802.11 a/b/g/n. Cette ardoise dispose en outre d'un stylet pour davantage de précision dans l'écriture manuelle ou le dessin numérique, et peut se greffer à deux types de claviers, l'ultra-fin et résistant Touch Cover (119&euro et le plus classique Type Cover (129&euro . Asustek Computer a tiré un autre coup de semonce dans la guerre des prix qui oppose les principaux constructeurs asiatiques avec un tarif de départ fixé à 129 $ HT pour la Memo Pad HD7. Cette ardoise, qui pèse 302 grammes, dispose d'un écran de 7 pouces (1280 x 800 pixels), d'une caméra frontale de 1,2 mégapixel et d'une autre arrière de 5 mégapixels. Elle est animée par un processeur ARM Cortex-A7 quad-core, a annoncé la firme un peu avant l'ouverture du salon Computex 2013 à Taïwan.

Elle sera disponible dans les marchés émergents au prix de 129 $ HT avec 8 Go de stockage, mais ailleurs, le modèle d'entrée de gamme sera équipé de 16 Go de flash et coûtera 149 $. « Je m'en sers tous les jours », a déclaré le président d'Asus, Jonney Shih, lors d'une conférence de presse.Les constructeurs de tablettes ont baissé les prix des modèles Android en utilisant des écrans plus petits. Plus tôt cette année, Acer a présenté l'Iconia A1 à 169 $ HT, tandis que Hewlett-Packard a lancé la Slate 7 à 149 $ HT. Les très populaires Google Nexus 7 (fabriquée par Asus) et Amazon Kindle Fire HD (8 pouces) sont proposées à 199 $ HT. Asus a également présenté la Transformer Pad Infinity, une tablette Android dotée d'un écran 10 pouces, qui embarque une tripotée de nouvelles technologies pour se démarquer dans un marché déjà fort encombré. Livrée avec Android 4.2.2, elle est animée par une puce quatre coeurs Nvidia Tegra 4, qui repose sur un design ARM Cortex-A15 épaulé par 72 noyaux graphiques. C'est la deuxième tablette basée sur la puce Tegra 4, après la Slatebook X2 de HP.

Le Transformer Pad Infinity dispose d'une résolution de 2560 x 1600 pixels, soit un peu plus que les 2048 x 1536 pixels de l'écran de l'iPad 4 d'Apple. C'est en fait la même résolution que la Google Nexus 10. La connexion USB 3.0 de la Transformer permet également de distinguer la tablette de ses principales concurrentes, aujourd'hui encore équipés de port micro-USB 2.0. Un choix toutefois fort pratique pour utiliser un chargeur standard. La tablette d'Asus dispose en outre d'une caméra arrière de 5 mégapixels et d'une frontale de 1,2 mégapixel. Un dock clavier est disponible en option avec une batterie intégrée qui transforme presque la tablette en PC portable et lui apporte une autonomie d'environ 12 heures. Le prix de la tablette n'était pas immédiatement disponible. En sortant de l'orthodoxie Windows, AMD veut élargir son activité de puces à la demande et gagner des parts sur le marché des ChromeBook et des tablettes animées par Android .

Après des années passées à concevoir des puces x86 exclusivement compatibles avec le système d'exploitation Windows, et accessoirement Linux, AMD commence à concevoir des puces pour tablettes et machines desktop capables aussi de faire tourner les systèmes Android et Chrome OS de Google. « Cette ouverture sur d'autres OS est devenue possible depuis que AMD conçoit des puces basées sur l'architecture x86 et sur l'architecture ARM, qui permet de faire tourner plusieurs systèmes d'exploitation », a déclaré lors du salon Computex de Taïwan (4-8 juin) Lisa Su, la vice-présidente senior et directrice générale des entités opérationnelles d'AMD au niveau mondial. « AMD veut étendre son activité de puces sur mesure. À ce titre, les systèmes Android et Chrome OS apportent plus de flexibilité en terme de conception et d'intégration pour les puces de tierces parties », a-t-elle ajoutée. « Nous sommes très attachés à Windows 8, et nous pensons que c'est un excellent système d'exploitation, mais nous constatons qu'il y a aussi des opportunités autour d'Android et de Chrome OS », a encore déclaré la vice-présidente senior d'AMD.

Jusqu'ici, AMD a toujours déclaré son peu d'intérêt pour Androïd, affirmant qu'il continuerait exclusivement à concevoir des puces pour le système Windows de Microsoft. Mais aujourd'hui, le fondeur veut adapter ses puces pour les fabricants qui souhaitent vendre des ordinateurs portables ou des tablettes tournant sous Android ou sous Chrome OS. « Android et Chrome sont surtout destinés à équiper des facteurs de forme - tablettes et hybrides - d'entrée de gamme », a précisé Lisa Su. Celle-ci n'a pas dit à quel moment on trouverait des tablettes Android avec des puces AMD sur le marché. Mais le fondeur travaille avec des développeurs sur des applications Android capables de tourner sur des puces AMD. Des initiatives ont déjà été prises pour faire tourner Android sur des tablettes et des PC intégrant des puces AMD. Le fondeur lui-même propose l'émulateur BlueStacks qui exécute des applications Android sur des PC sous Windows. Les puces ARM, Intel et MIPS sont déjà compatibles avec Android, même si le code natif Android reste majoritairement écrit pour les processeurs ARM. Windows 8 a eu peu de succès sur tablettes, et le support d'Android pourrait permettre à AMD d'élargir son marché.

Rares sont les tablettes sous Windows intégrant les précédents processeurs Z-01 et Z-60 pour tablettes d'AMD, et elles n'ont pas eu beaucoup de succès. Mais avec ses dernières puces A4 et A6 de la série Temash annoncées le mois dernier, le designer de puces espère prendre un nouveau départ sur le marché des tablettes. Celles-ci consomment à peine 3,9 watts et permettent à la batterie de tenir jusqu'à huit heures en navigation web. Les premiers terminaux intégrant des puces Temash sont attendus pour le second semestre de cette année. Pendant la conférence de presse du Computex, AMD a montré un prototype de tablette fabriquée par Quanta.Les puces Temash sont des puces 64 bits. Elles ont été conçues avec Windows 8, l'objectif étant d'offrir aux tablettes une performance équivalente à celle d'un PC. C'est un peu le contrepied de ce qu'a fait Intel avec ses puces pour tablettes Bay Trail, qui misent davantage sur la durée de vie de la batterie. La série Temash inclut le support de DirectX 11, ce qui améliore les applications de jeu sous Windows. Les processeurs Bay Trail équiperont des tablettes sous Windows 8.1 et Android. Prix attendus de ces machines : moins de 199 dollars HT. Commercialisé en début d'année, le Raspberry Pi, un mini-ordinateur de 25 $ sous Linux à base de processeur ARM, dispose désormais de sa propre plate-forme de vente ligne. L'ouverture du magasin a été annoncée sur le site du Raspberry Pi. «Aujourd'hui, avec nos amis d'IndieCity et de Velocix, nous lançons la boutique Pi pour que les développeurs de tous âges puisse facilement partager leurs jeux, applications, outils et tutoriels avec le reste de la communauté », a indiqué la Fondation Raspberry Pi.

« La boutique Pi, nous l'espérons, deviendra un guichet unique pour tout ce dont ont besoin vos Raspberry Pi », a précisé la fondation. « C'est aussi un moyen d'expérimentation plus facile pour les débutants, qui trouveront tout ce dont ils ont besoin dans un seul lieu, gratuitement. »23 applications gratuites feront partie du catalogue initial du magasin, dont LibreOffice, Asterisk, Freeciv, OpenTTD, et Iridium Rising. Les fabricants du Raspberry Pi ont commencé à prendre les commandes en mars et ont immédiatement vendu la première série du produit. Ce mini-ordinateur se compose essentiellement d'une carte mère équipée d'un processeur ARM cadencé à 700 MHz. Il est conçu pour exécuter du traitement de texte, des applications vidéo et propose un accès à Internet. Il comprend des connexions pour l'entrée / sortie de données, le support d'affichage et les fonctions réseau.Pour 25 dollars, l'unité de base inclut 250 Mo de RAM, un port micro USB, le support Blu-ray, un port HDMI, deux emplacements vidéo et audio USB et RCA. Le support Ethernet peut être ajouté pour 10 $ de plus. Les versions de Linux supportées par ce terminal incluent Fedora, Debian et ArchLinux.

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Asus a7 Battery

In a lawsuit [PDF] filed against Williams in July, 2016, the school alleges that it asked Williams to return his work laptop, which was supposed to have the password saved. But when Williams did so in May that year, the complaint says, the computer was returned wiped, with a new operating system, and damaged to the point it could no longer be used.ACE claimed that its students could not access their Google-hosted ACE email accounts or their online coursework.The school appealed to Google, but Google at the time refused to help because the ACE administrator account had been linked to William's personal email address."By setting up the administrator account under a non-ACE work email address, Mr Williams violated ACE's standard protocol with respect to administrator accounts," the school's complaint states. "ACE was unaware that Mr Williams' administrator account was not linked to his work address until after his employment ended."According to the school's court filing, Williams, through his attorney, said he would help the school reinstate its Google administrator account, provided the school paid $200,000 to settle his dispute over the termination of his employment.

That amount is less than half the estimated $500,000 in harm the school says it has suffered due to its inability to access its Google account, according to a letter from William's attorney in Illinois, Calvita J Frederick.Frederick's letter claims that another employee set up the Google account and made Williams an administrator, but not the controlling administrator. It says the school locked itself out of the admin account through too many failed password attempts.Williams, in a counter-suit [PDF] filed last month, claims his termination followed from a pattern of unlawful discrimination by the school in the wake of a change in management.In a phone interview with The Register, Frederick said she filed a federal lawsuit in Illinois against the school, which has yet to respond. "We would hope that the [school's] action in Indianapolis would be viewed as retaliation, which we believe it was, and that judgement would be vacated and we would prevail in the discrimination claim."Pointing to the complaint she filed with the court in Illinois, Frederick said Williams wrote a letter [PDF] to a supervisor complaining about the poor race relations at the school and, as a result of that letter, he was told he had to relocate to Indianapolis. "That's how the whole thing started," she said. "His working remotely has always been a condition of his employment."

"Rather than support Williams in his position of IT Systems Administrator, Defendants intentionally discriminated against Williams by refusing to allow Williams to participate in work-related training; paying Williams less than his co-workers, subjecting Williams to unwarranted scrutiny, refusing to promote Williams to management – all the while requiring him to perform the job of manager – holding secret meetings so as to hide the promotion of others from Williams, making it uncomfortable, humiliating and almost impossible for Williams to do the job he was assigned to do," Williams' complaint says.It further alleges that Williams' objections to unfair treatment brought retaliation, like the requirement that he track all his duties and time in 15 minute increments, something only one other employee, another African American, was required to do.Williams, according to court documents, resides in Illinois due to a joint parenting agreement and had for years been allowed to work remotely under his contract with ACE. The school's actions against him, his complaint suggests, are retaliatory.In September, the Marion County Superior Court judge hearing the school's case in Indiana issued a default judgement of almost $250,000 after Williams did not appear in court, according to the Indianapolis Star.

Frederick said she could not immediately confirm the details of the judgement in Indiana. ACE's attorneys were not immediately available to address the issue.Williams' complaint claims he cannot afford to represent himself in Indiana and has been unable to obtain legal representation there.In an emailed statement, Melissa Markovsky, senior director of communications and marketing for ACE, said the school has a policy of not commenting on pending legal issues."As this case is moving through the court system, we are not able to discuss the lawsuit at this time," she said. "What we can affirm is that we have taken steps to ensure that our information technology policies are more effectively implemented moving forward in order to mitigate a future circumstance similar to this incident."Belgian data governance business Collibra has today announced the closure of its Series C round, almost tripling its venture capital funding.Collibra was founded in 2008, but as a European company did not follow the typical Valley model of growth and was, according to CEO and co-founder Felix Van de Maele, already cash-flow positive/profitable before its Series B funding round led by Index Ventures.

Van de Maele told The Register that, at the time of its Series B, the company jumped at the opportunity to go into growth mode. Van de Maele added that the business "didn't expect to raise [this Series C round], but got a lot of inbound interest from investors" and decided to pursue the opportunity to "build a category defining company".Leading the unexpected $50m round of funding — which has taken total venture investment in the company to over $75m — was the exclusive billionaires' investment advisory group, Iconiq Capital, which Collibra has provided with a board seat to be occupied by general partner Matt Jacobson.Iconiq Capital, which counts Mark Zuckerberg, Lakshmi Mittal and Jack Dorsey among its muchos-moneyed members, describes itself as "a global multi-family office and merchant bank for a group of influential families".Also joining the board, as an observer, is general partner at Battery, Dharmesh Thakker. Battery had participated in the round alongside return backers Dawn Capital, Index Ventures and Newion Investments.Van de Maele told The Register that Collibra would be spending the $50m "accelerating" the business's investment in growth, which he added has seen it grow from "about 70 to 200 people in the last year" and triple its revenue in the same time to "between 10 and 100 million".

Collibra is seeing "a lot of use-cases for data governance", according to Van de Maele, "across a lot of verticals" and not just its bread-and-butter territory of compliance within the financial industries.Growth will remain on the cards for now, the CEO said, stating that while there was "a plan to profitability based on this round, there always is"."So that's what we're executing against," he continued, and while there may be more funding rounds in the future, "there's no plans" for such rounds at the moment.Of Iconiq's involvement, Van de Maele said he was "really impressed as to what they've done" with other partners, and noted that the venture fund had "a huge amount of capital that they can put to work."Jacobson's board seat was "not at all" something Collibra regretted. Van de Maele said he was "excited to have Matt Jacobson join us as a board member, as well as Dharmesh as an observer" due to his previous experience in funding Cloudera and MongoDB. ®Mint 18.1 builds on the same Ubuntu LTS release base as Mint 18.0, the result being a smooth upgrade path for 18.0 users and the relative stability of Ubuntu's latest LTS effort, 16.04.In keeping with Ubuntu's LTS releases, Mint isn't stuck chasing Ubuntu updates. Rather the project can pursue its own efforts like the homegrown Cinnamon and MATE desktops, and the new X-Apps set of default applications.

This process worked quite well throughout the Mint 17.x release cycle, but with Mint 18 we were starting to see some of the downsides. Mint 18.1 is a nice enough update for the Mint-specific parts of the stack, but it definitely lags a bit in other areas.The most obvious lag is in the kernel, which is 4.4 out of the box, though 4.8 is available through the Mint repos. It's unclear to me whether Mint 18.1 fully supports kernel 4.8. It's available in the repos, and I've successfully updated one install on a Lenovo x240, but n=1 evidence is not the best support for running off to update your kernel.Frankly, I would have to assume that since Mint 18.1 ships with 4.4, you should probably stick with 4.4. If you feel out of date, maybe install Debian 8 in a virtual machine and marvel at the fact that it still uses 3.16. Of course, if you don't have newish hardware – particularly Skylake or Kaby Lake-based machines – the older kernel might not matter to you.Provided the older kernel doesn't bother you, or you're OK attempting a kernel update, Mint 18.1 does a nice job of continuing to refine the Linux Mint experience for both its primary desktops – Cinnamon and MATE.On the Cinnamon side you'll get Cinnamon 3.2, which is notable for some nice new UI features, including support for vertical panels and sound effects, along with your displaying notifications and some new menu animations. Cinnamon also dispenses with a visual element called box pointers. Essential menus that load from a button or other menu no longer visually "point" back to the menu. This makes more sophisticated themes possible since developers don't have to overcome the pointer visual cue if they want to completely relocate a menu.

The vertical panels support is also welcome for anyone working on a cramped laptop screen, since they're typically more unused space horizontally than vertically.Cinnamon 3.2 also has a completely rewritten screensaver and, my personal favourite, the ability to run apps with optirun if Bumblebee is installed. That is, if you have dual graphics cards and Bumblebee installed you can set the default to the less powerful card, but then right-click an item in the menu and launch it with the more powerful card, for example GIMP, a video editor, or graphics-intensive game.While Cinnamon is the flashier of Linux Mint's two desktops, MATE is every bit as good in my experience and with Linux Mint 18.1 MATE has been updated to MATE 1.16. Most of what's new in MATE 1.16 is under the hood, particularly the fact that MATE has nearly finished the transition to GTK+ 3 components, which goes a long way to improving some of the lingering little UI problems of previous releases.

The GTK+ 3 support also means third-party themes should be easier to build, though in the meantime it may break some of your old favourites so proceed with caution if you use a custom theme.There are also a number of changes in this release that apply to both desktops, including updates to Linux Mint's X-apps set of default applications that have been customised and integrated into both desktops. Xed, the default text editor – better known as "Text Editor" within Mint – gains a new search-as-you-type feature that now opens at the bottom of the windows and is comparable to the search features in Firefox. Xed also now supports dark themes, like the Mint Y theme.Mint's Update Manager has been updated as well with a new column that shows the origin of a package. Out of the box that means primarily Mint's repos along with Ubuntu's for things that pull directly from upstream. Any third-party repos you add will show up as such here as well.

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Lenovo ThinkPad X300 Battery

Nikulin has not been charged with anything directly related to the DNC hack, which US intel agencies have said was part of a Russian political influence campaign. Even if he's not a (publicly named, at least) suspect he remains a person of interest in the case. US authorities have filed separate charges against him that remain under seal.Russia has responded to the American extradition request against Nikulin by asking the Czechs to ship him back home to face an $2,000 bank hacking charge dating back to 2009."He was never formally accused at that time. I think the reason is that he was recruited [by the Russian security services]," said Ondrej Kundra, political editor with the Czech weekly magazine Respekt, told The Guardian.Russia reportedly offers hacking suspects immunity from prosecution in exchange for their assistance.Adam Kopecky, Nikulin's Czech lawyer, told The Guardian that his client – who denies all charges – was being treated as a political pawn. "He is unhappy about being detained for a long time in a foreign country and about the accusations against him. He wants to return to Russia – but as a free man," Kopecky said.

Prague's chief prosecutor is expected to make a determination on the twin extradition requests by early February, a spokeswoman for the city's municipal court said. ®The proposed settlement [PDF] covers an eleven-year period from 2000 to 2011 when prosecutors claim a huge section of the laptop market, including Hitachi, Sony, NEC, Samsung, Sanyo and Toshiba, all agreed to overcharge consumers for new batteries. The same was true for batteries for power tools and camcorders.The class action lawsuit alleges that the companies collectively agreed to limit their output to keep wholesale costs up and then control prices charged to consumers to rake in bigger profits. An estimated 16 million people were affected.The case has been going on for four years and has put the value of price-fixing damages at just under $1bn (roughly $60 per person). The settlement that was agreed to in December and filed this week would, however, bring the total available for refund to just $65m after Sony settled for $19.5m, LG for $39m and NEC is offering $2.5m.According to the settlement, Hitachi's offer is slightly more than estimated damages of $3.2m, and NEC's $2.5m is more than double its estimated damages of $1m. It is hoped the shortfall will be made up by pressuring the remaining companies – Panasonic, Samsung, Sanyo and Toshiba – to settle.

As ever, the real winners will be the lawyers, who have spent four years litigating the case. During that time, more than eight million documents have been provided and read through, 25 depositions of just Hitachi and NEC people have been taken, and a long list of hearings and meetings have been billed to reach the settlement. The settlement itself is filing number 1,672 in the case.When the case is finally settled, people who bought stand-alone laptop batteries from any of those companies will receive emails informing them of their win. Assuming, of course, they are still using the same email from over a decade ago and assuming they can prove the purchase. A victory for the common man! ®The new recall is an extension of an earlier announcement in June, which covered more than 40,000 batteries. The US Consumer Product Safety Division advisory states that the batteries in question were manufacturered by Panasonic in China. One battery has already overheated and caused around $1,000 of damage."The batteries are compatible with HP, Compaq, HP ProBook, HP ENVY, Compaq Presario, and HP Pavilion notebook computers. HP has expanded the number of recalled batteries, which were shipped with notebook computers sold between March 2013 and October 2016," it states.

"The battery bar code is printed on the back of the battery. 'HP Notebook Battery' and the model number are printed on the battery. The batteries included in this expanded recall have bar codes starting with: 6BZLU, 6CGFK, 6CGFQ, 6CZMB, 6DEMA, 6DEMH, 6DGAL and 6EBVA."The Canadian recall notice states that, in all, HP sold 5,700 batteries in Canada, 142,900 in the US, and 8,500 in Mexico. It reports nine cases of the batteries overheating or catching fire in Canada and the US, and no reported cases in Mexico."Customers should cease use of affected batteries immediately," HP warned."Customers may continue to use their notebook computer without the battery installed, by connecting the notebook to external power. HP's primary concern is for the safety of our customers. HP is proactively notifying customers, and will provide a replacement battery for each verified, eligible battery, at no cost."For IT admins who don't want to spend the entire day checking each corporate laptop, HP has released software that can automatically check for dodgy power packs – although you'll need .net Framework 4.5 and HP CASL Framework to run it. ®

Comment When Martin Fink resigned from his positions at HPE in August 2016, the announcement said: "Martin Fink, our chief technology officer and head of Hewlett-Packard Labs, will be retiring from HPE at the end of the year, after more than 30 years with the company." He was retiring, we were told, but he was just 51.In Fink's time running HP Labs, and then Hewlett-Packard Labs after the HP-HPE split, he helped HP embrace Linux, launched its Helion public cloud service and spearheaded The Machine development and associated Memristor memory technology. The Helion cloud has been discontinued. The Memristor development is much-delayed and The Machine prototype supports Optane (3D XPoint) DIMMs while HPE has a ReRAM development effort with Western Digital, which actually inherited it when it bought SanDisk, with whom HPE set up the deal, in 2016.The Machine project was reviewed publicly at the end of last year and its memory-driven computing ideas will find a home in the roadmaps for HPE's servers but likely will not result in an actual Machine product.

Fink's retirement announcement also said: "We will move Hewlett-Packard Labs into the Enterprise Group under Antonio Neri. This move will also help align our R&D work on The Machine with the business – particularly how we integrate key components like photonics and Memristor into existing product lines – by bringing together our innovation roadmap with our business roadmap." Pre-split HP Labs was run by Fink and covered all of the HP product areas, from printers to PCs to networking to servers and so forth. Post-split the printers-to-PCs HP had its HP Labs run by Shane Wall while HPE had Hewlett-Packard Labs run by Martin Fink, and that no longer had printer and PC/laptop/tablet-related activities. Fink, along with Enterprise Group GM Antonio Neri and other execs, reported directly to CEO Meg Whitman.The Helion cloud was canned in October 2015. The Memristor development has consumed years of time and money and not resulted in licensable IP or revenue-earning product. By cutting a deal with SanDisk over ReRAM it seemed to many that HPE was signalling that Memristor tech development was being pushed on to the back-burner. The Machine was a huge research project that, so far, has not resulted in usable technology and the fruits of which will now be spread across HPE's server product set as it progresses towards memory-driven computing.

We feel Fink, at the age of 51, was persuaded to leave or pushed out so that Hewlett-Packard Labs costs could be better controlled, and Neri could be given overall control of it inside his Enterprise Group.So Fink, facing a shrunken Labs structure and, we think, a demoting transfer into Neri's Enterprise Group, "retired". Just over four months later, he has un-retired, and taken up the CTO role at Western Digital.We think Hewlett-Packard Labs will slowly shrink in size and influence and focus less on blue-sky developments and more on things that have a foreseeable ROI. Neri's Enterprise Group will pay for Hewlett-Packard Labs and will surely want a return on this money, although calculating its ROI must be an exercise in creativity.This could result in an exodus of talent from Hewlett-Packard Labs as researchers and scientists there see career options becoming limited. El Reg thinks the days are long gone when a server manufacturer can invent and productise a memory technology, if they ever existed in the first place after IBM and magnetic core memory. There are three main reasons we see for this.

One is that the market for such technology – chips of some sort – is made up of server manufacturers, and server maker A isn't likely to license memory technology from competing server maker B, not when alternatives from independent fabs are available. Secondly, the in-house demand for such chips is not likely to be high enough to create enough volume to make the fab cost affordable.The technology and process development difficulties are so complex that specialised and experienced chip foundry partners are needed yet the main ones are focussed on cross-server OEM markets and not single-vendor products. Even though HPE partnered with SK Hynix to develop Memristor chips, the likelihood of other server manufacturers buying Memristor chips from SK Hynix was vanishingly low, particularly once Intel and Micron launched 3D Xpoint memory.So the memory technology development focus has shifted to the DRAM and flash fab operators. By selling their product to many server vendors they get the volume they need to drive down per-chip costs.Their job is to do a better job of productising their next-gen memory technology better, meaning faster and with a road to affordability, than their competitors.

There are too many candidate technologies offering their own claimed combination of DRAM-class speed, non-volatility, density, density roadmap, and affordability, and there will have to be a cull in the ranks of:Eight candidates to fill the DRAM-NAND gap is far too many. Fink has a fight on his hands to convince server vendors and others that Western Digital's storage memory candidate tech, ReRAM, is the one to choose. We think we can say HPE is on board the ReRAM train. If WD can sign up another major OEM then that would be a great honking signal that ReRAM's day has arrived.The elephant in this storage-class memory room is Intel and Micron's 3D XPoint. We look forward very, very much to Western Digital's positioning and comparison data for its ReRAM versus 3D XPoint. XPoint has to be demolished by ReRAM or sidestepped. It is going to be fascinating to see what happens and how Western Digital takes on the challenge. ®Shortly after the American College of Education (ACE) in Indiana fired IT administrator Triano Williams in April, 2016, it found that it no longer had any employees with admin access to the Google email service used by the school.

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Akku Toshiba Qosmio X505

Die Arme, die von Elektromotoren bewegt werden, bilden den Antrieb der Quelle: Sie bewegen den Rand des Schirms und ahmen so die pumpende Fortbewegung der Qualle nach. Als Energiespeicher dient ein Nickel-Metallhydrid-Akku. Das alles hat sein Gewicht: Cyro bringt rund 77 Kilogramm auf die Waage.Cyro ist eine größere Ausführung des etwa handgroßen Quallenroboters Robojelly, den das Virginia Tech im vergangenen Jahr vorgestellt hat. "Ein größeres Gefährt ermöglicht mehr Nutzlast und ein breites Einsatzspektrum", erklärt Teammitglied Alex Villanueva.Quallen sind ein attraktives Vorbild, da sie sich auf sehr energiesparende Art und Weise fortbewegen. Außerdem bieten sie ein großes Repertoire an Formen, Farben und Größen, aus dem die Robotiker schöpfen können.Das Ziel des Projekts ist, autonome Roboter zu entwickeln, die wochen- oder monatelang im Wasser im Einsatz sein können. Sie sollen dabei militärische Aufklärung betreiben, die Umwelt überwachen, Daten über das Leben im Meer sammeln oder den Ozeanboden kartieren. An dem Projekt, das von der US-Marine finanziert wird, waren neben dem Virginia Tech noch das Providence College, die Universität von Kalifornien in Los Angeles, die Universität von Texas in Dallas sowie die Stanford-Universität beteiligt.

Fraunhofer-Forscher haben eine Akkutechnik entwickelt, die günstigere und leistungsfähigere Stromspeicher ermöglichen soll. Davon sollen unter anderem Elektroautos profitieren. Lithium-Schwefel-Akkus sind leistungsfähiger und günstiger als die herkömmlichen Lithium-Ionen-Akkus. Bisher haben sie jedoch nur eine geringe Lebensdauer. Der Einsatz neuer Materialien soll das ändern.Wissenschaftler vom Fraunhofer-Institut für Werkstoff- und Strahltechnik (IWS) haben andere Materialien für Anode und Kathode verwendet: Die Anode haben sie aus einer Silizium-Kohlenstoff-Verbindung hergestellt, die sich weniger verformt als eine herkömmliche aus metallischem Lithium. Verformt sich die Anode, vermischt sich das Material mit dem flüssigen Elektrolyt und die Flüssigkeit zersetzt sich - der Akku trocknet aus. "Im Extremfall 'wächst' die Anode bis zur Kathode und sorgt mit einem Kurzschluss für den vollständigen Zusammenbruch der Batterie", erklärt Holger Althues vom Fraunhofer IWS. Die Kathode eines Schwefel-Lithium-Akkus besteht aus Schwefel. Da das Element in großen Mengen vorhanden ist, ist es günstig - anders als der seltene Kobalt, aus dem die Kathode eines Lithium-Ionen-Akkus zu großen Teilen besteht. Der Nachteil ist jedoch, dass der Schwefel mit dem Elektrolyt reagiert, wodurch der Akku an Kapazität verliert.

Doch auch dafür haben die Dresdner eine Lösung gefunden: Poröser Kohlenstoff verlangsamt den Prozess. "Wir haben die Poren der Kohlenstoffe exakt angepasst, damit sich der Schwefel dort einlagern kann und sich langsamer mit dem Elektrolyt verbindet", erzählt Althues. Die Forscher haben ein entsprechendes Herstellungsverfahren entwickelt.Der am Fraunhofer IWS entwickelte Lithium-Schwefel-Akku sei schon deutlich haltbarer als bisherige Akkus mit dieser Technik: Ihre Lithium-Schwefel-Knopfzellen hätten 1.400 Ladezyklen durchgehalten."Bisher kam man bei Tests kaum über 200 Zyklen hinaus", sagt Althues.Lithium-Schwefel-Akkus könnten unter anderem die Elektromobilität vorantrieben. Hohe Kosten und eine begrenzte Reichweite gelten als Gründe für fehlende Akzeptanz. Lithium-Schwefel-Akkus sind nicht nur günstiger als die derzeit in Elektroautos verbauten Lithium-Ionen-Akku. Sie sind auch leistungsfähiger: Lithium-Ionen-Akkus haben derzeit eine Energiedichte von höchstens 250 Wh/kg. Bei Lithium-Schwefel-Akkus soll eine Energiedichte von 600 Wh/kg möglich sein. "Mittelfristig realistisch sind eher Zahlen um 500 Wh/kg. Das heißt, man kann bei identischem Batteriegewicht doppelt so weit fahren", erklärt Althues.

Die Micoach X-Cell ist ein kleines Gerät zur Selbstvermessung von Sportlern, das die Daten von seinen Sensoren per Bluetooth zum iPhone, iPod Touch oder iPad beziehungsweise einem Android-Gerät funkt, die dort von einer App ausgewertet werden.Das Gerät ist etwa 4 cm breit und 7 cm lang und wird entweder an die Kleidung gesteckt oder mit einem Brustgurt befestigt. Es ist laut den Dokumenten für Sportarten wie Fußball, Tennis und Football geeignet. Die X-Cell ist mit einem Akku ausgerüstet und misst sieben Stunden lang Daten wie Herzschlag und die Beschleunigung und Richtungsänderungen des Trägers. Die Bedienungsanleitung (PDF) des Geräts ist bei der FCC ebenfalls veröffentlicht worden.Das mitgeführte Smartphone erhält diese Daten per Bluetooth 4.0 Low Energy, die von einer App ausgewertet werden. Wann das Gerät auf den Markt kommt und was es kosten wird, ist aus den Zulassungsdokumenten nicht erkennbar.Die US-Zulassungsbehörde muss jedes funkende Gerät prüfen, bevor es in den Handel gebracht werden kann. Durch die Dokumente, die von den Herstellern eingereicht werden müssen, kommt deshalb schon vor dem offiziellen Verkaufsstart und im Fall von Adidas' Micoach X-Cell auch noch vor der Ankündigung so einiges ans Licht.

Die Micoach X-Cell ist ein kleines Gerät zur Selbstvermessung von Sportlern, das die Daten von seinen Sensoren per Bluetooth zum iPhone, iPod Touch oder iPad beziehungsweise einem Android-Gerät funkt, die dort von einer App ausgewertet werden.Das Gerät ist etwa 4 cm breit und 7 cm lang und wird entweder an die Kleidung gesteckt oder mit einem Brustgurt befestigt. Es ist laut den Dokumenten für Sportarten wie Fußball, Tennis und Football geeignet. Die X-Cell ist mit einem Akku ausgerüstet und misst sieben Stunden lang Daten wie Herzschlag und die Beschleunigung und Richtungsänderungen des Trägers. Die Bedienungsanleitung (PDF) des Geräts ist bei der FCC ebenfalls veröffentlicht worden.Das mitgeführte Smartphone erhält diese Daten per Bluetooth 4.0 Low Energy, die von einer App ausgewertet werden. Wann das Gerät auf den Markt kommt und was es kosten wird, ist aus den Zulassungsdokumenten nicht erkennbar.

Im Inneren des Ascend Mate arbeitet wie schon im Ascend G615 ein K3V2-Quad-Core-Prozessor. Der K3V2 stammt von der Huawei-Tochter Hisilicon. Die vier auf ARMs Cortex-A9-Architektur basierenden Kerne takten mit bis zu 1,5 GHz. Im Vergleich zu anderen Prozessoren ist der von Huawei entwickelte K3V2 deutlich schwächer. So schafft das Huawei-Smartphone im Geekbench nur 1.707 Punkte, das HTC One mit dem Qualcomm APQ8064T mit 2.650 Punkten fast 1.000 Punkte mehr. Auch das Galaxy Note 2, in dem der Exynos 4412-SoC von Samsung arbeitet, erreichte mit durchschnittlich 1.989 Punkten einen höheren Wert.Als GPU dient im K3V2 eine Vivante GC4000, die laut Huawei 16 Kerne besitzt. Auch sie ist schwächer als die GPU in vergleichbaren Smartphones. Im Icestorm-Benchmark von Futuremarks 3DMark erreicht das Ascend Mate 3.126 Punkte. Das Xperia Z von Sony erreicht hier 10.058 Punkte, auch das HTC One erreicht einen ähnlichen Wert. Den Gl-Grafikbenchmark konnten wir trotz zahlreicher Versuche nicht durchführen, unser Testgerät stürzte immer ab. Im Octane-Benchmark kommt das Smartphone auf eine Punktzahl von 1.296 Zählern.

Bei höherer Systemlast wird das Smartphone an der Oberseite schnell warm. Unter Volllast stieg die Temperatur der Rückseite auf 45° C. Selbst bei Alltagsanwendungen wurde das Smartphone fast 40° C warm. Im Winter kann das Ascend Mate dadurch als Taschenwärmer verwendet werden. Im Sommer sind diese Temperaturen allerdings nicht sehr angenehm.Der Arbeitsspeicher ist 2 GByte groß, der interne Speicher 8 GByte. Dem Nutzer stehen davon rund 4,68 GByte tatsächlich zur Verfügung. Das Gerät hat einen Steckplatz für eine Micro-SD-Karte. Der Einschub für diese ist wie der für die Micro-SIM am Gehäuserand zu finden.Trotz der Abmessungen von 163,5 x 85,7 mm lässt sich das Smartphone noch gut in einer Hand halten. Durch die leicht gewölbte Rückseite aus angerautem Polycarbonat fällt die Dicke von 9,9 mm kaum auf. Vergleichbare Geräte wie das Galaxy Note 2 und das Galaxy Mega von Samsung sind mit 9,4 mm und 8 mm kaum dünner. Kleinere Smartphones, beispielsweise das iPhone 5, wirken im Vergleich zum Ascend Mate wie Winzlinge.

Auch in den meisten Hosentaschen findet das Gerät - wenn auch nicht immer komfortabel - Platz. Mit einem Gewicht von 198 Gramm ist das Ascend Mate zwar deutlich schwerer als andere Smartphones wie das HTC One mit 143 Gramm oder das Nexus 4 mit 138 Gramm. 7-Zoll-Tablets wie das Asus Fonepad mit 318 Gramm oder Nexus 7 mit 332 Gramm wiegen aber deutlich mehr. Allgemein wirkt das Smartphone durch die verwendeten Materialien sehr stabil. Es ist verwindungssteif und auch leichter Druck am Gehäuse macht ihm kaum etwas aus.Für die Verbindung ins Netzwerk steht ein HSPA+-Modul zur Verfügung. Außerdem kann sich das Ascend Mate über WLAN nach 802.11 a/b/g/n verbinden und deckt damit auch die 5-GHz-Frequenz ab. Bluetooth 4.0+EDR, GPS und NFC sind ebenfalls verbaut. Das Huawei-Smartphone ist außerdem DLNA-zertifiziert. Dadurch können Inhalte wie Bilder und Videos an ebenfalls zertifizierte Geräte - wie zum Beispiel Fernseher - gestreamt werden.Der Akku wird über die Micro-B-USB-Buchse geladen. Bis die volle Nennladung von 4.050 mAh erreicht war, dauerte es mit dem beigelegten Ladegerät nur 2 Stunden. Bei durchschnittlicher Nutzung - telefonieren, ein paar Youtube-Videos ansehen, E-Mails austauschen, auf den sozialen Netzwerken surfen, ein bisschen spielen - hielt der Akku bei voller Bildschirmhelligkeit zwei Tage durch. Für ein Smartphone ist das ein sehr guter Wert. Bei niedriger Bildschirmhelligkeit ist sogar noch mehr rauszuholen - bis zu 2,5 Tage hielt das Ascend Mate durch, ohne geladen zu werden.

Bei der ununterbrochenen Wiedergabe eines 1.080p-Videos bei maximaler Helligkeit war der Akku nach 8,5 Stunden leer. Zum Vergleich: Das Nexus 4 von Google hat bei einem 720p-Video nur 4 Stunden durchgehalten. Im Antutu-Battery-Benchmark wurde nach 2,5 Stunden ein Akkustand von 14 Prozent erreicht. Anders als der Akku konnte uns die Kamera nicht ganz überzeugen.Auf der Rückseite des Smartphones ist eine 8-Megapixel-Kamera mit Autofokus und einem LED-Licht verbaut. In den Standardeinstellungen nimmt die Kamera durchschnittliche Bilder auf, die schon bei nicht mehr ganz idealen Lichtbedingungen rauschen. Artefakte sind auf den Bildern kaum zu finden. In 1.080p nimmt die Rückkamera Videos auf, die Qualität ist dabei in Ordnung. Einzig der Autofokus reagiert ein wenig träge. Die 1-Megapixel-Frontkamera nimmt Videos in 720p auf - für Videotelefonie reicht sie aus.

Huawei hat in die Kamera-App einige Effekte eingebaut, mit denen die Bilder wärmer oder aber kälter wirken. Ganz klassisch gibt es auch noch die Möglichkeit, Schwarz-Weiß- oder Sepia-Aufnahmen zu fertigen. Einige Spaßeffekte, bei denen das Gesicht verzerrt wird, sind auch zu finden. Diese funktionieren allerdings nur bei Aufnahmen von einer einzigen Person.Das Huawei-Smartphone ist mit dem Mehrkanal-Tonsystem Dolby Digital Plus ausgestattet. Das ursprünglich für den Einsatz beim HD-Fernsehen und den DVD-Nachfolger konzipierte Tonsystem soll für einen klareren und natürlich klingenden Sound sorgen. Die Mehrkanalkomponente fällt beim Ascend Mate weg, da es nur eine Stereo-Klinken-Buchse besitzt.In der Praxis ist tatsächlich eine leichte Verbesserung im Vergleich zu anderen Smartphones zu hören. Insgesamt klingt es wesentlich klarer und detailreicher. Viel interessanter ist die Möglichkeit, in den Softwareeinstellungen den Equalizer an verschiedene Musikstile anzupassen. Den Equalizer manuell zu konfigurieren, ist leider nicht möglich.Der Klang des internen Lautsprechers ist trotz Dolby Digital Plus etwas dünn, Bässe sind so gut wie nicht vorhanden. Liegt das Smartphone auf einem Tisch, wird der Ton ein wenig dumpf. Immerhin: Stimmen sind deutlich zu verstehen und klingen natürlich.

Das Ascend Mate wird mit der Android-Version 4.1.2 alias Jelly Bean ausgeliefert. Darüber installiert Huawei seine eigene Benutzeroberfläche Emotion UI, die in der Version 1.5 läuft. Für das Ascend Mate sind noch einige Funktionen hinzugekommen, die das Arbeiten mit dem Gerät erleichtern sollen.Damit auf dem großen Smartphone auch mit einer Hand komfortabel Texte getippt werden können, hat Huawei eine optionale Tastatur hinzugefügt, die nur rund zwei Drittel der Bildschirmbreite nutzt. Um sowohl Rechts- als auch Linkshändern die Bedienung zu erleichtern, lässt sich die Tastatur verschieben. Eine solche Tastatur ist nicht nur beim Tippen von Texten verfügbar, sondern auch beim Wählen von Telefonnummern.Ein schon länger bekannter Fehler der Huawei-Tastatur wurde leider immer noch nicht behoben: Im Standardbrowser muss der Nutzer bei jeder Eingabe die Tastatur neu auf das deutsche Layout umstellen. Andere Apps merken sich hingegen die Einstellungen.Huawei hat in der Emotion UI die App-Übersicht weggelassen. Neue Apps werden auf der jeweils letzten Seite hinzugefügt. Dieses Konzept erinnert an Apples mobiles Betriebssystem iOS. Das Aussehen des Emotion UI kann leicht und schnell angepasst werden. Insgesamt stehen 16 verschiedene Designs zur Auswahl, die nochmals vom Nutzer angepasst werden können.

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Akku SONY VGP-BPS26A

Das Iconia A1-810 hat einen 7,9 Zoll großen IPS-Touchscreen mit einer Auflösung von 1.024 x 768 Pixeln. Im Tablet steckt Mediateks Quad-Core-Prozessor MT8125 mit vier Cortex-A9-Kernen und einer Taktrate von 1,2 GHz, es gibt 1 GByte Hauptspeicher und 16 GByte Flashspeicher. Weitere Daten lassen sich auf einer bis zu 32 GByte großen Micro-SD-Karte ablegen, die in den passenden Schacht passt. Auf der Gehäuserückseite befindet sich eine 5-Megapixel-Kamera und vorne gibt es für Videotelefonate eine 0,3-Megapixel-Kamera. Zu den unterstützten WLAN-Standards liegen derzeit keine Angaben vor. Das Tablet unterstützt Bluetooth 4.0 und hat kein Mobilfunkmodem. Es ist derzeit nicht bekannt, ob das Acer-Tablet auch in einer Variante mit Mobilfunkmodem auf den Markt kommen wird, um auch unterwegs bequem das Internet nutzen zu können.

Das Tablet hat einen GPS-Empfänger, einen Micro-HDMI-Anschluss, aber keinen NFC-Chip. Wenn das Tablet im Juni 2013 auf den Markt kommt, soll es mit der derzeit aktuellen Version Android 4.2 alias Jelly Bean erscheinen. Bis dahin könnte Google aber bereits eine neue Android-Version vorgestellt haben, so dass die Version dann schon wieder veraltet wäre.Bei Maßen von 208,7 x 145,7 x 10,5 mm wiegt das Tablet 460 Gramm und wäre damit rund 150 Gramm schwerer als Apples iPad Mini und etwa 120 Gramm schwerer als das Galaxy Note 8.0 von Samsung. Bei abgeschaltetem WLAN soll das Tablet mit einer Akkuladung bis 7 Stunden Videos am Stück abspielen können. Bei eingeschaltetem WLAN verringert sich der Wert auf 5 Stunden. Im Bereitschaftsmodus muss der 3.250-mAh-Akku nach etwa zwei Wochen wieder aufgeladen werden.

Wegen schwerer finanzieller Probleme entlässt der US-Hybridauto-Hersteller Fisker drei Viertel seiner Angestellten. Nach dem Scheitern von Verkaufsverhandlungen steht das Unternehmen möglicherweise kurz vor der Insolvenz. Der US-Hybridauto-Hersteller Fisker Automotive steckt offensichtlich tief in der Krise: Das Unternehmen hat rund drei Viertel seiner Angestellten entlassen. Von den etwa 200 Angestellten blieben nur etwa 50, sagte ein ehemaliger Angestellter, der immer noch Verbindungen zum Unternehmen hat, der New York Times. In einer Stellungnahme begründete Fisker die Entlassungen mit finanziellen Problemen. Es wird bereits spekuliert, dass Fisker in Kürze Insolvenz anmelden wird: Das Unternehmen soll laut dem Wall Street Journal bereits eine Anwaltskanzlei mit der Vorbereitung einer möglichen Insolvenzeinreichung beauftragt haben. Gründer Henrik Fisker hatte das Unternehmen wegen Meinungsverschiedenheiten über die Geschäftsstrategie Mitte März verlassen.

Fisker Automotive hat den Fisker Karma entwickelt, eine viertürige Sportlimousine mit Plugin-Hybridantrieb. Das rund 100.000 US-Dollar teure Auto fand jedoch nur wenig Absatz. Zudem hatte Fisker mehrfach Probleme mit dem Akku: Im März 2012 fiel bei einem Test der Zeitschrift Consumer Reports der Akku aus, worauf Fisker die Akkus bei schon ausgelieferten Autos austauschte. Nach der Insolvenz von Akkuhersteller A123 Ende 2012 musste die Produktion des Karmas eingestellt werden.Im vergangenen Jahr fingen mehrere Karmas Feuer. Die Brandursache war aber mutmaßlich nicht der Akku. Zu allem Überfluss zerstörte der Wirbelsturm Sandy im Oktober vergangenen Jahres 320 Karmas, die für die Auslieferung bereitstanden. Insgesamt hat Fisker nicht einmal 2.000 der Hybridautos verkauft.Ein zweites Modell, der Fisker Atlantic, das Fisker im April 2012 vorstellte, ist nie in Produktion gegangen. Deswegen und wegen der schlechten Verkaufszahlen des Karmas fror die US-Regierung einen bereits zugesagten Kredit an Fisker ein. Zudem muss Fisker am 22. April einen Teil eines 193-Millionen-US-Dollar-Kredits an die US-Regierung zurückzahlen. Unklar ist, wie viel Geld Fisker in zwei Wochen an die US-Regierung überweisen muss.

Es sieht düster aus für das in Anaheim im US-Bundesstaat Kalifornien ansässige Unternehmen: Im Februar wurde bekannt, dass der chinesische Autoproduzent Geely, der 2010 Volvo gekauft hat, Interesse an Fisker habe. Geely hatte 200 bis 300 Millionen US-Dollar für Fisker geboten. Die Verhandlungen mit Geely sowie mit weiteren Interessenten seien jedoch gescheitert, berichtet die New York Times.Funkstrecke von ungefähr 50 Metern zum Smartphone oder Tablet überbrücken kann. Sie wird auch in einer Motorsportversion mit speziellen Befestigungen angeboten. Die neue Rollei Actioncam 5S Wifi kann ihr Bildmaterial über WLAN an Android- und iOS-Geräte übermitteln. Die entsprechenden Apps stellt Rollei kostenlos zur Verfügung.Über das abnehmbare LC-Display kann die Aufnahme kontrolliert werden. Allerdings ist das Display mit 3,6 cm (1,4 Zoll) recht klein und bietet mit 360 x 240 Pixeln nur eine niedrige Auflösung. Dazu kommt eine kabellose Funkfernbedienung mit 10 Metern Reichweite. Ein eingebauter Laserpointer dient zur Orientierung und Ausrichtung der Actioncam.

Das Objektiv deckt einen Blickwinkel von 175 Grad ab. Die Rollei nimmt Videos in Full-HD-Auflösung (1080p) in H.264 auf und kann auch mit bis zu 60 Bildern pro Sekunde bei 1080i arbeiten. Dazu kommt eine Zeitrafferfunktion, die mit einstellbaren Zeitintervallen von 0,5 bis 30 Sekunden arbeitet.Das Schutzgehäuse der Rollei 5S Wifi ist nach Herstellerangaben wasserfest bis zu einer Tiefe von 60 Metern. Ohne Akku und Schutzgehäuse wiegt die Kamera 80 Gramm.Gespeichert wird auf MicroSD-Speicherkarten mit bis zu 64 GByte. Neben HDMI sind ein USB-Anschluss sowie ein analoger AV-Ausgang und ein externer Mikrofoneingang vorhanden. Nach Herstellerangaben ermöglicht der Akku eine Aufnahmedauer von bis zu 2,5 Stunden.Die Rollei 5S Wifi Outdoor mit diversen Halterungen und Motorbike Edition (für die Lenker-, Rahmen- und Scheibenmontage) soll ab Anfang Juni 2013 für rund 350 Euro in den Handel kommen.Alter Name, neues Auto: Der US-Autohersteller Detroit Electric hat den Elektrosportwagen SP:01 vorgestellt. Das Unternehmen baute schon in der ersten Hälfte des 20. Jahrhunderts Elektroautos und wurde neu gegründet. Der Tesla Roadster bekommt einen Nachfolger: Das US-Unternehmen Detroit Electric hat einen Sportwagen mit Elektroantrieb vorgestellt. Wie der Tesla Roadster basiert auch dieses Auto auf einem Lotus.

Der Detroit Electric SP:01 ist ein zweisitziger Sportwagen. Das Auto ist knapp 3,9 Meter lang, 1,75 Meter breit und knapp 1,12 Meter hoch bei einem Gewicht von 1.070 Kilogramm. Als Basis dient der Exige des englischen Sportwagenherstellers Lotus. Der E-Sportwagen soll im August auf den Markt kommen. Der Preis für die Standardausstattung liegt bei 135.000 US-Dollar.Angetrieben wird der SP:01 von einem 150 kW starken Elektromotor. Dieser beschleunigt den SP:01 in 3,7 Sekunden von 0 auf 100 Kilometer pro Stunde. Die Höchstgeschwindigkeit liegt bei knapp 250 Kilometern pro Stunde. Damit sei der SP:01 "das schnellste rein elektrische Serienauto der Welt", erklärt der Hersteller. Ungewöhnlich für ein Elektroauto: Der SP:01 hat eine manuelle Vier-Gang-Schaltung.Als Energiespeicher dient ein 37-kWh-Lithium-Polymer-Akku, der eine Reichweite von etwa 290 Kilometern ermöglichen soll. Über die Energierückgewinnung beim Bremsen kann die Reichweite noch etwas verlängert werden. Der Akku kann an der normalen Haushaltssteckdose geladen werden - an einem in Europa üblichen 240-Volt-Anschluss dauert das knapp elf Stunden.

Detroit Electric bietet aber auch die Schnellladeeinrichtung 360 Powerback an. Damit soll der Akku in etwa knapp 4,5 Stunden geladen sein. 360 Powerback ermöglicht es auch, Strom aus dem Akku in den Haushalt einzuspeisen. Gesteuert wird das über das Smartphone Application Managed Infotainment System (Sami).Sami ist eine Art smartphonegestützte Fernsteuerung für das Auto: Darüber lässt sich auch die Musik im Auto starten oder die Innenbeleuchtung regeln. Außerdem kann der Fahrer über Sami feststellen, wo sich das Auto gerade befindet sowie Klimaanlage oder Heizung aktivieren - an kalten Tagen sicher eine praktische Funktion. Schließlich können über Sami der Ladestand des Akkus und die verbleibende Reichweite abgefragt werden.Das Auto ist neu, der Name hat jedoch Tradition: Detroit Electric wurde bereits 1907 gegründet und war bis 1939 aktiv. In dieser Zeit baute das Unternehmen 13.000 Elektroautos. Unter anderem besaß der bekannte Erfinder Thomas Alva Edison ein Model 46. Der Zeichner Walt Disney ließ Dorette Duck, Donald Ducks Großmutter, mit einem Detroit Electric durch Entenhausen kurven.

2008 übernahm Albert Lam die Marke Detroit Electric. Lam, der zuvor Chef bei Lotus war, will unter diesem Namen wieder Elektroautos in den USA bauen. Der Sportwagen, von dem das Unternehmen 999 Stück plant, ist das erste Modell, das das neue Detroit Electric auf den Markt bringt. Zwei weitere sind für Ende kommenden Jahres angekündigt.Das Ascend Mate von Huawei ist ab dieser Woche bei einer großen Elektromarktkette zu haben. Dort kostet das Android-Smartphone mit dem 6,1 Zoll großen Touchscreen 480 Euro. Andere Händler werden es wohl im Laufe des Monats anbieten, so dass es drei Monate früher als geplant auf den Markt kommt. Ab dem 5. April 2013 soll das Ascend Mate von Huawei in den Filialen der Elektromarktkette Media Markt verfügbar sein. Im Onlineshop von Media Markt kann das Riesensmartphone bereits bestellt werden und kostet dort 480 Euro. Andere große Onlinehändler haben das Huawei-Smartphone noch nicht gelistet. Verschiedene Händler geben eine Lieferung innerhalb der kommenden drei Wochen an. Damit dürfte das Ascend Mate wohl schon im April 2013 allgemein verfügbar sein und würde damit drei Monate früher als geplant auf den Markt kommen.

Als Huawei das Ascend Mate auf der CES Anfang 2013 in Las Vegas vorgestellt hatte, war von einem Deutschlandstart im Juli 2013 ausgegangen worden. Einen Listenpreis für das Gerät hat der Hersteller bislang nicht veröffentlicht. Aber bei vielen Händlern kann das Gerät für 480 Euro vorbestellt werden, so dass dies auch der Listenpreis sein könnte. Seit Mitte März 2013 kann das Smartphone beim Onlinekaufhaus Amazon für 500 Euro vorbestellt werden.Das Ascend Mate hat eine Displaygröße von 6,1 Zoll und fällt damit größer aus als das Galaxy Note 2 von Samsung. Der chinesische Hersteller hat dem Gerät zudem eine Reihe von Zusatzfunktionen gegeben, die auch dazu dienen, den großen Bildschirm besser bedienen zu können.Das Display hat eine Auflösung von 1.280 x 720 Pixeln, was bei einer Displaygröße von 6,1 Zoll einer Pixeldichte von 240 ppi entspricht. Der Bildschirm des Galaxy Note 2 ist bei gleicher Auflösung 5,5 Zoll groß. Das Display des Mate wird durch Gorilla-Glas vor Kratzern geschützt und der Touchscreen soll sich auch mit herkömmlichen Handschuhen bedienen lassen. Auf der Rückseite des Smartphones ist eine Kamera mit 8 Megapixeln und Autofokus eingebaut, auf der Vorderseite befindet sich eine 1-Megapixel-Kamera für Videotelefonie.

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Akku Acer Travelmate 6594E

Der Startbildschirm erscheint, dann ein zweiter: "Bitte entnehmen Sie das Galaxy Note 4, um die Installation abzuschließen" - kein Scherz. Mit aktiver WLAN-Verbindung ist die in Zusammenarbeit mit Oculus entwickelte Software schnell aufgespielt, seit dem Auspacken sind keine 15 Minuten vergangen. Kein Vergleich zum Rift Dev Kit 2, bei dem die Einrichtung je nach Spiel schon mal eine Stunde dauern kann.Ich schiebe das Smartphone wieder ein, stecke zusätzlich die getönte Schutzklappe an und ziehe mir das Gear VR über. Es fühlt sich dank der beiden dick gepolsterten Haltegurte und der geringen Tiefe leicht an, dabei wiegt es mit 555 Gramm deutlich mehr als das ausladende Rift Dev Kit 2. Auf kleinen Köpfen, etwa denen von Kindern, wackelt das Gear VR dafür ziemlich - schade, dass die Halterung nicht enger eingestellt werden kann. Ich finde die Gurte besser als beim Rift Dev Kit 2, mehreren Kollegen behagt das steife System weniger.

Nun bin ich gespannt: Bei welchen Teilaspekten schlägt sich das Gear VR samt Galaxy Note 4 besser als das Rift Dev Kit 2 oder gar das Crescent Bay? Liefert der Snapdragon 805 genügend Leistung für das hochauflösende Display, wie arbeitet er mit Oculus' Head Tracker zusammen und wie tief ist die Immersion?Ja, Immersion ist ein Wort, das ich gerne verwende. Es umschreibt, wie sehr ich in die virtuelle Realität eintauche, die echte Welt vergessen kann. Das macht den Reiz von Oculus Rift, Gear VR und Co. aus: Orte bereisen und Dinge erleben, die es sonst nicht gibt. Anders als bei einem normalen Spiel oder Film bin ich, wenn's wirklich funktioniert, dank 3D-Optik und Head Tracking jedoch wirklich mittendrin statt nur vornedran.

Ist das Gear VR einmal aufgesetzt, erscheint der Begrüßungsbildschirm und ich nutze zum ersten Mal das Touchpad rechts am Gestell. Es reagiert sensibel, ist fast schon ein bisschen zu feinfühlig. Die Touchbedienung klappt intuitiv, per Antippen bestätige ich meine Auswahl. Der Knopf oberhalb des Touchpads dient als Zurück-Taste, ich finde ihn jedoch nie auf Anhieb, was mich nervt.Drücke ich lange darauf, öffnet sich das Optionsmenü. Hier ändere ich die Displayhelligkeit, sehe die verbleibende Akkukapazität und schalte die Kamera des Galaxy Note 4 ein. Die filmt dann meine Umgebung, so muss ich das Gear VR nicht absetzen.Zurück im Oculus Home genannten Hauptmenü justiere ich erst einmal die Schärfe-Ebene. Anders als beim Rift Dev Kit 2 muss ich dazu nicht seitlich am Head-mounted Display fummeln oder gar die Linsen wechseln, sondern drehe an einem Rädchen oben auf dem Gear VR.

Mir gefällt diese Lösung besser, da sie viel weniger wackelanfällig ist. Dafür bemerke ich anschließend zwei Dinge: Ein Fliegengitter-Effekt ist vorhanden, aber vergleichsweise gering. Display und Head Tracking sind langsamer als vom Rift Dev Kit 2 gewohnt, zudem fehlt Positional Tracking. Die Auflösung des OLED-Panels des Galaxy Note 4 liegt bei 2.560 x 1.440 Pixeln, also fast doppelt so viel wie die 1.920 x 1.080 Bildpunkte des Rift Dev Kit 2. Subjektiv und mit einigen Tagen Abstand behaupte ich, der Fliegengitter-Effekt sei beim Crescent Bay noch geringer, wenn auch weiterhin sichtbar.Durch die neuen Linsen des Gear VR fallen die chromatischen Aberrationen in Kombination mit meiner Brille weniger auf, rein von der Geschwindigkeit her scheint der Snapdragon 805 im Smartphone flott genug zu sein, um die Abbildungsfehler der Linsen herauszurechnen.Dafür stört ein wenig das Kantenflimmern, welches bei den UE-4Demos für das Crescent Bay durch extrem aufwendiges Supersampling begrenzt wurde. Das Aliasing ist übrigens auch auf die RGBG-Pentile-Matrix zurückzuführen, das Samsung-Panel zeigt weniger Subpixel als eine RGB-Matrix mit gleicher Auflösung. Post-Processing wie FXAA scheint Oculus nicht einzusetzen.

Zurück zum Hauptmenü: Mit Kopfbewegungen dirigiere ich einen Cursor auf Unterpunkte, wähle sie per Tippen an, und durch Wischen über das Touchpad scrolle ich beispielsweise die verfügbaren Filmtrailer durch. Das funktioniert wunderbar flüssig und wirkt gut durchdacht. Bei besonders schnellen Bewegungen kommt das Head Tracking im Gear VR allerdings nicht hinterher, auch die nur 60 statt 75 Hz Bildwiederholungsrate machen sich bemerkbar.Das finde ich weniger tragisch, die wenigsten Spiele (etwa Proton Pulse) des Gear VR erfordern hektische Kopfgymnastik. Viel störender für alle, die das Rift Dev Kit 2, das Crystal Cove oder das Crescent Bay kennen: Es gibt keine externe Kamera, ergo kein Positional Tracking. Sich nach vorne zu lehnen, gelingt ebenso wenig wie seitliche Bewegungen. Das ist aber zugegeben Jammern auf hohem Niveau, denn die meisten Apps sind darauf ausgelegt, zurückgelehnt zu schauen oder zu spielen.

Zu meinen absoluten Favoriten gehört Oculus Cinema: Die App simuliert ein Heimkino, einen großen Filmsaal, die Mondoberfläche oder eine Leinwand in absoluter Dunkelheit (Schwarz bedeutet bei OLED: aus). Ich stecke meine Gehörganghörer, neudeutsch In-Ears, ins Gear VR und lehne mich zurück - gleich startet der dritte Hobbit in 3D. Ich sitze im großen Filmsaal, vor mir eine gigantische Leinwand. Fast meine ich, leise Stimmen und Popcorn-Geraschel zu hören, dabei bin ich ganz alleine. Das Mittendrin-Gefühl ist grandios, da Oculus nicht nur auf die Grafikqualität der Sitzreihen Wert gelegt, sondern auch an kleine Details wie die Beleuchtung gedacht hat. Bei hellen Filmszenen erstrahlen die Reihen vor mir, in dunklen Passagen erkenne ich kaum den nächsten Sitz. Da der Akku des Gear VR grob vier Stunden durchhält, weiß ich schon jetzt, was ich auf dem nächsten Langstreckenflug mache.

Umso nerviger, dass nicht allen Apps diese Aufmerksamkeit gewidmet wurde: Oculus 360 Video etwa zeigt häufig niedrig aufgelöstes Material, ich habe keine Kontrolle über den Schnitt und die schwenkende Kamera. Dabei lautet einer der Grundsätze für virtuelle Realität: Entziehe dem Nutzer nie die Kontrolle über die Blickrichtung! Immerhin werden Schwarzblenden verwendet, das macht den Wechsel zu einer anderen Szene erträglicher. Besonders nervig: Ich kann die Videos nur pausieren oder neu starten, nicht aber an eine bestimmte Stelle springen oder spulen.Bedeutend cooler finde ich Unity-Demos wie BluVR, eine Art gerenderte Doku über verschiedene Lebensräume und die dort heimischen Tiere. Die Kamera fährt äußerst gemächlich geradeaus und stoppt häufig - viel besser als bei Oculus 360 Video, allerdings sind die Animationen schwach. Generell basieren die meisten Inhalte auf der Unity-Engine, viel mehr als Demos gibt es aber nicht. Umfangreichere Spiele wie Oculus' stark an Zelda erinnernde Herobound sind die Ausnahme. Ob ich meinen kleinen Goblin aber aus der Iso-Perspektive mit Gamepad steuere und die Kamera per Maus oder mittels Head Tracking bewege, nun ja - nach zehn Minuten ist es egal.

In dieser Zeit heizt sich das Galaxy Note 4 außerdem stark auf und die Linsen beschlagen, was bei Oculus 360 Cinema nicht passiert.Derzeit ist das Gear VR nur über den US-Shop von Samsung erhältlich und kostet dort 200 US-Dollar zuzüglich Versand. Das Bluetooth-Gamepad EI-GP20 gibt es für 50 US-Dollar Aufpreis, einzeln bietet es Samsung im deutschen Shop für 80 Euro an. Der Straßenpreis des für Gear VR zwingend notwendigen Galaxy Note 4 liegt bei deutlich über 600 Euro.Nach früheren Erfahrungen mit der Durovis Dive war ich skeptisch, dass ein Galaxy Note 4 in einem Gestell mit Head Tracking eine gute Idee sei. Schon beim ersten Ausprobieren zusammen mit John Carmack wich die Skepsis deutlich, und nach einer Woche mit dem Gear VR finde ich es schlicht toll.Ein feiner auflösenderes Display als das OLED-Panel des Galaxy Note 4 mit 2.560 x 1.440 Pixeln gibt es derzeit in kaum einem anderen Gerät, einzig das LG G3 bietet eine höhere (Sub)Pixeldichte. Klar sehe ich den Fliegengitter-Effekt weiterhin, chromatische Aberration treten ebenso auf wie Aliasing und auch die 60 Hz sind nicht ideal - dennoch sehr beeindruckend.

Die Bedienung per Head Tracking, Touchpad und Zurücktaste klappt meist intuitiv, das Optionsmenü bietet zusätzlich schlaue Apps wie eine Kamera-Durchsicht. Technik und Software überzeugen, das App-Angebot hingegen ist mit Mühe ausreichend und durchschnittlich.Oculus 360 Video ist zu niedrig aufgelöst und entreißt mir die Kontrolle über die Kamera, die meisten Spiele sind nicht mehr als Demos und nutzen zudem die Möglichkeiten des Gear VR nicht aus. Am besten ist Oculus Cinema: Im virtuellen 3D-Kino den neuen Hobbit schauen? Grandios!In den nächsten Monaten muss das Angebot wachsen, ich erhoffe mir beispielsweise erste Spiele auf Basis der Unreal Engine 4. Die Roadmap sieht eine Unterstützung des Gear VR mit dem nächsten Major Update vor.Aktuell sehe ich in dem VR-Gestell mehr ein Spielzeug für diejenigen, die ohnehin ein Galaxy Note 4 besitzen. Und da gehöre ich leider nicht dazu, sorry, geliebtes umschnallbares Heimkino!

Klein, leicht und 220 Euro günstig: Das X205TA ist ein klassisches Netbook, wie es sie heute kaum noch gibt. Zwar drosselt Asus die Geschwindigkeit, dafür ist die Akkulaufzeit dank extrem niedriger Leistungsaufnahme äußerst lang.
Erinnert sich noch jemand an den ersten Eee-PC? Vor gut sieben Jahren veröffentlichte Asus ein winziges 7-Zoll-Notebook für gerade einmal 300 Euro, einige Monate später die 9-Zoll-Version zum gleichen Preis. Die verhalf Intels Atom-Serie zu einer solchen Marktdominanz, dass der Hersteller sie erst 2013 grundlegend überarbeitete. Heute spricht von Netbooks kaum noch jemand, Tablets haben ihnen längst den Rang abgelaufen. Das möchte Asus mit dem Eeebook X205TA wieder ändern.

Mit dem arg klobigen Design der frühen Netbooks hat Asus' abgerundetes, sauber verarbeitetes 11,6-Zoll-Gerät wenig gemein: Es mit 17,5 mm nur halb so dick wie beispielsweise der 36 mm hohe Eee-PC 901, zudem wiegt es nur 961 statt 1.112 Gramm. Bei den Anschlüssen hat sich weniger getan: Anstelle von VGA gibt's einen Micro-HDMI-Anschluss für Bildschirme mit bis zu 1.920 x 1.080 Pixeln, statt drei sind nur zwei USB-2.0-Ports vorhanden. Der SD-Karten-Leser schrumpft zum Micro-SD-Kartenleser, der kombinierte Kopfhörer-Mikrofon-Anschluss mit mäßiger Ton- und Sprachqualität ist heute leider üblich. Die kleinen Stereo-Lautsprecher klingen auch nicht viel besser: Sie verschlucken Höhen, zeigen keine Tiefen, sondern überpräsente Mitten - und sonderlich laut sind sie auch nicht. Statt Ethernet wie früher gibt es beim X205TA heute Dual-Band-n-WLAN und Bluetooth.

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Akku HP LJ487UT-ABA

Wegen der Überhitzung werde es den Galaxy-S5-Nachfolger nur mit Prozessoren aus dem Hause Samsung geben, heißt es weiter in den beiden Berichten. Es soll sich dabei um einen besonders leistungsfähigen Exynos-Chip handeln. Die Ursache für die Überhitzung ist nicht bekannt, und weder Samsung noch Qualcomm wollten die Berichte kommentieren. In der Vergangenheit hatte Samsung manche Smartphones mit unterschiedlichen Prozessorkonfigurationen angeboten.Derzeit wird erwartet, dass Samsung das Galaxy S6 Anfang März 2015 auf dem Mobile World Congress in Barcelona vorstellen wird. Der Nachfolger des Galaxy S5 wurde noch nicht offiziell angekündigt, aber in den letzten Tagen gab es bereits einige Details.Das Galaxy S6 soll einen verbesserten Fingerabdrucksensor erhalten, der so arbeitet, dass der Finger nur draufgelegt werden muss. Damit würde er so funktionieren wie in Huaweis Ascend Mate 6 und in Apples iPhones mit entsprechendem Sensor. Bisher war es bei den Galaxy-Modellen erforderlich, den Finger vergleichsweise mühsam über den Fingerabdrucksensor zu ziehen.

Samsung soll derzeit zwischen zwei Gehäusedesigns für das Galaxy S6 schwanken. Bisher zeichneten sich die Galaxy-S-Topmodelle durch einen wechselbaren Akku aus. Allerdings konnte das Smartphone dadurch nicht sehr dünn gebaut werden. Möglicherweise ändert sich das mit dem Galaxy S6: Auf der CES 2015 in Las Vegas hatte der Hersteller eine Variante mit einem Unibody-Gehäuse aus Metall gezeigt. In was für einem Gehäuse der Nachfolger des Galaxy S5 stecken wird, ist noch nicht bekannt.Außerdem soll Samsung die Touchwiz-Oberfläche komplett überarbeitet und optimiert haben. Bei der Nutzung des Geräts soll es deutlich weniger Ruckler und Hänger geben, wie sie trotz schneller Prozessoren immer wieder auf Samsung-Geräten auftraten. Es soll sich insgesamt flüssiger bedienen lassen.Zu den weiteren technischen Spezifikationen bezüglich Displaygröße und -auflösung gibt es noch keine sicheren Informationen. Möglicherweise wird die Auflösung bei annähernd gleicher Displaygröße erhöht. Es wird auch erwartet, dass die eingebaute Kamera weiter verbessert wird.

Als sicher gilt, dass das Galaxy S6 weiterhin einen Micro-SD-Kartensteckplatz haben wird. Zudem sollen eine Schnellladetechnik für den Akku, ein UV-Sensor und ein verbessertes Mikrofon geplant sein. Handys lassen sich per Kabel oder Induktion aufladen - und auch mit Taschenlampenlicht, wie Forscher von Microsoft jetzt demonstriert haben. Zunächst wird das Gerät im Raum lokalisiert und ein starker Scheinwerfer darauf gerichtet. Eine Solarzelle sorgt dann für einen vollen Akku.
Autocharge heißt die Methode, die Microsoft-Forscher entwickelt haben, um Smartphones ohne Kabel oder Ladeschale im Zimmer wieder aufzuladen. Dabei wird mit starkem Licht eine Solarzelle auf dem Smartphone oder Tablet beleuchtet. Die Energieübertragung per Licht ist nicht neu. Doch damit eine kleine Solarzelle genügend Licht bekommt, um den Akku in absehbarer Zeit zu laden, reicht es nicht, sie unter die Zimmerlampe zu legen. Vielmehr muss ein stark gebündelter Lichtstrahl zielgenau auf die Oberfläche gebracht werden.

Microsofts Forscher haben daher eine Lampe an einer Raumdecke befestigt und mit einer Kamera kombiniert, die das Smartphone sucht, das zu Ladezwecken offen herumliegen muss. Findet die Kameraelektronik dank Mustererkennung das Telefon oder Tablet, richtet sie einen Lichtstrahl auf das Gerät aus. Microsoft hat dazu den Leuchtkopf einer starken Taschenlampe des Typs Ultrafire CREE XM-L T6 verwendet. Als Kamera wurde eine Microsoft Kinect umgebaut, und die Solarzelle ist im Versuch nicht im Smartphone eingebaut, sondern liegt daneben. Insofern musste hier die Solarzelle erkannt werden, damit sie bestrahlt werden kann.Das mag ein schöner Versuchsaufbau sein, doch in der Praxis dürfte sich die Autocharge-Methode zumindest im Haushalt kaum durchsetzen. Das Licht ist viel zu auffällig und störend. Außerdem dürfte ein gewisses Unbehagen entstehen, wenn der Raum ständig kameraüberwacht wird, nur um einen Gegenstand mit den Umrissen eines Smartphones zu finden. Eher geeignet erscheint eine Lichtquelle, deren Spektrum der Mensch nicht sehen kann - zum Beispiel im Infrarotbereich. Die Solarzelle müsste dann allerdings auch auf dieser Wellenlänge arbeiten können.

Microsofts Forscher haben in ihrer Forschungsarbeit Autocharge: Automatically Charge Smartphones Using a Light Beam (pdf) bereits angemerkt, dass ein ausreichend heller Lichtstrahl ein Smartphone etwa genauso schnell aufladen könnte wie eine Kabelverbindung. Dennoch ist fraglich, ob das Forschungsprojekt jemals das Labor verlassen wird: Seine Umsetzung ist zu aufwendig, während eine Steckdose überall zu finden ist. Nur ganz so bequem wie die Lichtlösung ist das Laden per Kabel oder Induktion nicht.Eine Spiegelreflexkamera mag noch so schöne Bilder machen: Ist sie zu groß und schwer, bleibt sie zu Hause und macht gar keine Fotos. Panasonic bietet daher mit der Lumix GF7 eine winzige Systemkamera an, die in die Jackentasche passt. Einige Abstriche gilt es dabei aber zu beachten. Panasonic hat mit der Lumix GF7 eine miniaturisierte Systemkamera vorgestellt, die ohne Sucher auskommt, dafür aber mit Micro-Four-Thirds-Objektiven betrieben werden kann. Die 106,5 x 64,6 x 33,3 mm große Kamera (Gehäuse) wiegt mit 266 Gramm samt Akku weniger als so manche vermeintliche Kompaktkamera. Dabei darf nicht vergessen werden, dass hier noch ein Objektiv fehlt. Eines der kleinsten dürfte das Panasonic Lumix G 20 mm f/1.7 II sein, das 100 Gramm wiegt und 26 mm lang ist. Ob sich die kleine Kamera aber gut halten lässt, kann nur ein Test zeigen.

Die Panasonic Lumix GF7 ist das Nachfolgemodell der GF6. Bei der neuen Kamera wurde noch einmal das Gewicht reduziert, sie ist 50 Gramm leichter. Sie ist mit einem Micro-Four-Thirds-Sensor mit 16 Megapixeln ausgerüstet, der zwischen ISO 100 und 25.600 arbeiten soll. Der Autofokus unterstützt eine Gesichts- und Augenerkennung, damit der Fokuspunkt automatisch korrekt platziert wird.Außerdem verfügt sie über eine Bildbearbeitung mit Filtern, Hautglättung und sogar eine Schärfefalle, bei der ein verbundenes Handy und dessen Beschleunigungssensoren verwendet werden können. Springt man mit dem verbundenen Handy auf, löst die Kamera mit aktivierter "Jump Snap"-Funktion aus. Das mag in Einzelfällen für die Zielgruppe der Kamera genauso wie der Selfie-Modus interessant sein. Die Kamera unterstützt aber auch die Gewohnheiten ganz normalen Fotografierens mit einer Vollautomatik und diversen Teilautomatiken. Auch ein rein manueller Belichtungsmodus und sogar eine manuelle Schärfeeinstellung mit Fokus-Peaking sind eingebaut.

Das Display mit einer Million Bildpunkten kann nach oben geklappt werden, so dass es als Kontrollmonitor für Selbstportraits genutzt werden kann. Ein zweiter Auslöser sorgt dafür, dass die Kamera auch in dieser Position leicht bedienbar ist. Das Display ist berührempfindlich, so dass darüber das Menü bedient und Schärfepunkte gesetzt werden können. Das klappt auch mit einer App über Smartphones und Tablets, mit denen sich die Kamera über WLAN verbinden lässt.Einen elektronischen Sucher gibt es hingegen nicht, was eine weitere Einschränkung bei schlechtem Licht oder langen Verschlusszeiten sein könnte, weil die Kamera bei ausgestrecktem Arm leicht verwackelt. Der elektronische Verschluss ermöglicht - und das ist eine weitere Neuerung gegenüber der GF6 - nun eine minimale Öffnungszeit von 1/16.000 Sekunde.

Der Autofokus soll auch noch in mangelndem Licht (EV -4) schnell scharfstellen können. Die Serienbildgeschwindigkeit gibt Panasonic mit 5,8 Bildern pro Sekunde an, wenn nur beim ersten scharfgestellt wird. Bei kontinuierlicher Scharfstellung sinkt die Frequenz auf ungefähr 4 Bilder pro Sekunde ab.Neben Fotos mit 16 Megapixeln kann die Lumix GF7 auch Videos in Full-HD mit einer Auflösung von 1920 x 1080 bei 50p filmen. Dabei kann wahlweise das Format AVCHD oder MP4 (MPEG-4 /H.264) verwendet werden.Die Panasonic Lumix DMC-GF7 soll ab Anfang März 2015 in den Farbstellungen Schwarz-Silber und Braun-Silber erhältlich sein. Ihr Preis steht noch nicht fest. Obwohl es nur ein Head-mounted Smartphone ist, bietet Samsungs Gear VR das bessere VR-Erlebnis als Oculus' Rift Dev Kit 2. Technische Schwachpunkte gibt es; auch bei den wenigen Apps stört, dass sich Entwickler Oculus nicht an die eigenen Regeln hält. Als ich vor rund anderthalb Jahren zum ersten Mal ein Smartphone als VR-Option ausprobiert und später getestet habe, war ich von der Idee überzeugt - nicht aber von der Umsetzung. Zu langsam die Sensoren, die Grafik simpel bis zweckmäßig. Samsungs Ankündigung, gemeinsam mit Oculus ein Head-mounted Smartphone zu entwickeln, begeisterte mich: Hier könnte es klappen, denn die richtige Hardware trifft auf die passende Software.

Mittlerweile ist das Gear VR genannte Gestell im Samsung-Shop erhältlich. Wer legt sich so ein Teil zu? Vor allem die Verrückten, die jedes Head-mounted Whatever ausprobieren möchten, dessen sie habhaft werden können. Zu denen gehöre ich - ich leihe mir also das Galaxy Note 4 von einem Kumpel.Im Shop muss ich beim Kauf des Gear VR bestätigen, dass ich verstanden habe, dass sich das Gestell an Entwickler und Early Adopter richtet und mir bewusst ist, dass ein Galaxy Note 4 vorausgesetzt wird. Eigentlich sollte ich mir die Produktwarnungen durchlesen, aber das Häkchen ist schon gesetzt. Einige Tage nach der Bestellung sind Gestell und Smartphone bei mir und ausgepackt. Die Einrichtung ist weitaus simpler als etwa bei einem Dev Kit des Oculus Rift: Kurz prüfen, ob die Firmware des Galaxy Note 4 auf dem aktuellen Stand ist, dann abschalten, die mitgelieferte Micro-SD-Karte mit vorinstallierten Multimedia-Inhalten einschieben und wieder anschalten.

Dann wird das Smartphone mit dem 5,7-Zoll-Display nach innen in das Gear VR geschoben, ein Micro-USB-Port stellt die Verbindung zwischen beiden her. Die Klickhalterung macht einen stabilen Eindruck, selbst bei heftigem Schütteln hält sie das Galaxy Note 4 fest an seinem Platz. Apropos Platz: Das Gear VR ist kabellos, ich kann es also überall hin mitnehmen.Ich als Brillenträger lasse meine Sehhilfe auf der Nase, gerade bei Diplopie oder einer Hornhautverkrümmung ist das wichtig. Der einstellbare Augenabstand (Interpupillary Distance, IPD) reicht von 55 bis 71 mm, das dargestellte Sichtfeld ist mit 96 Grad minimal beengter als beim Rift Dev Kit 2. Aus den Lautsprechern des Galaxy Note 4 schallt kurz nach dem Aufsetzen ein kurzes "Pling!", denn der Annäherungssensor hat erkannt, dass ich das Gear VR aufgesetzt habe.

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February 27, 2017

Akku Samsung N143 Plus

Das Smartphone wird LTE, UMTS und GSM unterstützen. Außerdem gibt es nicht nur reguläres Dual-Band-WLAN nach 802.11a/b/g/n, sondern auch das moderne 802.11ac sowie Bluetooth 4.0, einen NFC-Chip und einen GPS-Empfänger. Zunächst gibt es das Galaxy S4 nur mit einem Quad-Core-Prozessor, der mit 1,9 GHz läuft. Zu einem späteren Zeitpunkt wird es das Smartphone wohl auch mit Octa-Core-Prozessor geben, der dann eine Taktrate von 1,6 GHz haben wird.Im Galaxy S4 stecken 2 GByte Arbeitsspeicher und es gibt einen Steckplatz für Micro-SD-Karten, die bis zu 64 GByte groß sein dürfen. Neben den üblichen Sensoren hat das Smartphone zudem Temperatur- und Feuchtigkeitssensoren sowie einen Infrarotsender. Letzterer dient dazu, Unterhaltungselektronik zu bedienen.Das Galaxy S4 erscheint gleich mit vorinstalliertem Android 4.2.2 alias Jelly Bean, also mit der aktuellen Android-Version. Auf dieser läuft eine verbesserte Version von Samsungs Oberfläche.Das Gehäuse misst 136,6 x 69 x 7,9 mm und ist damit vergleichsweise dünn. Das Smartphone wiegt 130 Gramm. Zur Akkulaufzeit des Geräts hat der Hersteller noch keine Angaben gemacht. Bekannt ist nur, dass der austauschbare Akku 2.600 mAh hat. Das Galaxy S4 beherrscht den drahtlosen Ladestandard Qi Wireless, mit dem der Akku ohne Anstöpseln von Kabeln aufgeladen werden kann. Das Smartphone muss dazu nur auf eine passende Ladestation gelegt werden.

In der kommenden Woche bringt Samsung das Galaxy Note 8.0 auf den deutschen Markt. Das 8 Zoll große Stifttablet mit Android 4.1 ist wahlweise mit und ohne UMTS-Modem zu haben. Mit kostet es rund 100 Euro mehr als ohne. Noch im April 2013 bringt Samsung das Stifttablet Galaxy Note 8.0 auf den deutschen Markt. Der Hersteller liegt damit voll im Zeitplan. Für das 16-GByte-Modell mit UMTS-Modem gibt Samsung einen Listenpreis von 600 Euro an, es trägt die Produktbezeichnung GT-N5100. Das Modell ohne UMTS-Modem heißt GT-N5110 und der Listenpreis dafür liegt bei 500 Euro. Beide Preise unterbieten alle großen Onlinehändler für das Galaxy Note 8.0 bereits vor der Markteinführung. Das Tablet ohne UMTS-Modem kann bei vielen Händlern für 400 Euro bestellt werden, bei einigen ist es schon ab rund 375 Euro zu haben. Auch das UMTS-Modell ist pauschal für 100 Euro unter dem Listenpreis erhältlich. Bei den meisten großen Onlineshops kann es für 500 Euro vorbestellt werden; vereinzelt schon ab 460 Euro.

Ein fahrbarer Prototyp wurde bereits entwickelt und getestet. Innerhalb von drei Monaten kann die Produktion bei erfolgreicher Kickstarter-Finanzierung laut Angaben des Herstellers beginnen.Noch ist die Kickstarter-Finanzierungsrunde ganz am Anfang. 250.000 US-Dollar werden benötigt, die bis zum 17. Mai 2013 zugesagt werden müssen. Der Elektroroller Zeit Eco soll ab 1.700 US-Dollar erhältlich sein. Dazu kommen 100 US-Dollar für den internationalen Versand. Die Auslieferung soll ab November 2013 beginnen, wenn die Kampagne erfolgreich verläuft.Meist fährt nur eine Person in einem Auto. Für diese Fahrer hat das Jenaer Unternehmen IMA das richtige Auto entwickelt: Der Colibri ist ein Einsitzer mit Elektroantrieb. Auf den ersten Blick sieht der Colibri etwas gequetscht aus. Ein wenig wie der Smart - nur wo der in der Länge gestaucht ist, scheint der Colibri etwas schmal geraten. Der Grund: Das kleine Elektroauto aus Jena ist ein Einsitzer. Das Auto, das das Unternehmen Innovative Mobility Automobile (IMA) entwickelt hat, sei eine "Ergänzung zu anderen Mobilitätsbausteinen", erzählt Prokuristin Juliane Beyer auf der Hannover Messe (Halle 25, Stand K10) Golem.de. Gedacht sei das Auto auch weniger für Privat-, sondern für Geschäftskunden. IMA denkt dabei beispielsweise an Pflegedienste oder Essenslieferanten wie Pizzaservices. Aber auch Kommunen oder Carsharing-Anbieter gehören zu den potenziellen Käufern des Colibri.

Gerade mal 1,18 Meter ist das Elektroauto breit, 2,75 Meter lang und 1,30 Meter hoch. Immerhin: Im Kofferraum ist genug Platz für drei Getränkekästen oder eben auch für eine Reihe von Pizzaschachteln - das Volumen beträgt 180 Liter. Das Auto hat einen Skelettrahmen aus Aluminium, Magnesium und Stahl, über das eine Kunststoffkarosserie gelegt ist. 400 Kilogramm bringt es auf die Waage.Der Colibri wird von einem Elektromotor mit einer Spitzenleistung von 24 Kilowatt angetrieben. Das maximale Drehmoment beträgt 60 Newtonmeter. Der Hinterradantrieb beschleunigt das Auto in knapp 10 Sekunden von 0 auf 100 Kilometer pro Stunde. Die Höchstgeschwindigkeit ist bei 120 Kilometern pro Stunde abgeregelt.Als Stromspeicher dient ein Lithium-Eisenphosphat-Akku mit einer Kapazität von 6,5 Kilowattstunden, der eine Reichweite von 110 Kilometern ermöglicht. An einer Stromtankstelle ist der Akku laut IMA in 20 Minuten auf 80 Prozent seiner Kapazität geladen. An einer Haushaltssteckdose dauert es 2 Stunden, um ihn auf 90 Prozent aufzuladen. Er soll 2.000 Ladezyklen überstehen.

Neben handschriftlichen Eingaben und einer Schrifterkennung erkennt der S-Pen auch Gesten. (Bild: Andreas Sebayang/Golem.de) 7 / 22 Neben handschriftlichen Eingaben und einer Schrifterkennung erkennt der S-Pen auch Gesten. (Bild: Andreas Sebayang/Golem.de) Wie die anderen Note-Geräte von Samsung kann das Galaxy Note 8.0 entweder mit dem Finger oder mit einem Eingabestift bedient werden, den der Hersteller S-Pen nennt. Mit dem S-Pen kann der Nutzer nun auch den Menü- und Zurück-Button unterhalb des Bildschirms bedienen. Bei den bisherigen Note-Modellen war dies nicht möglich, was etwas gestört hat, da der Nutzer immer statt des Stiftes den Finger nehmen musste.Auch bei einigen Anwendungen von Fremdanbietern kann der S-Pen jetzt mit speziellen Funktionen eingesetzt werden. So steht beispielsweise bei der Nachrichten-App Flipboard die Air-View-Funktion bereit. Diese zeigt dem Nutzer nähere Informationen an, wenn der Eingabestift über einem Objekt schwebt. Bei Flipboard geschieht das, wenn der S-Pen über einzelne Streams gehalten wird.

Das Galaxy Note 8.0 hat einen 8 Zoll großen Touchscreen mit einer Auflösung von 1.280 x 800 Pixeln, was einer Pixeldichte von 189 ppi entspricht. Das iPad Mini hat im Vergleich dazu eine Auflösung von 1.024 x 768 Pixeln und eine Pixeldichte von 163 ppi.Im Inneren des Galaxy Note 8.0 arbeitet ein Exynos-Quad-Core-Prozessor mit einer Taktrate von 1,6 GHz. Der Arbeitsspeicher ist 2 GByte groß und es gibt einen Steckplatz für Micro-SD-Karten bis maximal 64 GByte. Das UMTS-Modell funktioniert in den UMTS-Bändern 850, 900, 1.900 sowie 2.100 MHz und unterstützt Quad-Band-GSM. Im HSPA-Betrieb sind im Download bis zu 21 MBit/s und im Upload bis zu 5,76 MBit/s möglich. Zudem sind Dual-Band-WLAN nach 802.11a/b/g/n, Bluetooth 4.0 und ein GPS-Modul vorhanden. Einen NFC-Chip gibt es nicht.Samsung liefert das Galaxy Note 8.0 mit der bereits veralteten Android-Version 4.1.2 alias Jelly Bean aus. Ob es ein Update auf Android 4.2 geben wird, ist noch nicht bekannt.

Das Gehäuse des Galaxy Note 8.0 misst 211 x 136 x 8 mm und ist damit 0,8 mm dicker als das iPad Mini von Apple. Das Gerät ist aus dem Samsung-typischen Kunststoff, der sich ähnlich wie beim Galaxy S3 anfühlt. Die UMTS-Ausführung des Tablets wiegt 345 Gramm und ist damit 33 Gramm schwerer als das iPad Mini, wirkte aber nicht schwerer als das Apple-Tablet. Die Nur-WLAN-Ausführung wiegt 340 Gramm und damit 32 Gramm mehr als das iPad Mini.Samsung verspricht für die beiden Tablets eine Bereitschaftszeit von 60 bis 75 Tagen. Wie lange der 4.600-mAh-Akku bei der Videowiedergabe durchhält, hat der Hersteller nicht genannt.Ein erster Händler hat Samsungs Galaxy Mega 6.3 gelistet. Mit einem 6,3-Zoll-Display gehört es zu den größten Smartphones am Markt und soll gleich mit Android 4.2 erscheinen. Diese Woche wurden erstmals technische Details zum Galaxy Mega 6.3 bekannt - und schon ist das neue Samsung-Smartphone bei einem ersten Händler gelistet. Bei Notebooksbilliger kann das Smartphone mit dem 6,3 Zoll großen Touchscreen zum Preis von 700 Euro vorbestellt werden. Der Händler verrät aber nicht, wann er das Smartphone liefern will.

In Anbetracht der Ausstattung des Smartphones erscheint der Preis vergleichsweise hoch. Samsung hat das Gerät bisher nicht angekündigt, so dass es keinen offiziellen Preis gibt. Es ist denkbar, dass das Galaxy Mega 6.3 zu einem deutlich niedrigeren Preis auf den Markt kommt. Derzeit wird ein Marktstart im Mai 2013 erwartet.Die Angaben von Notebooksbilliger bestätigen den Großteil der in dieser Woche bekanntgewordenen technischen Spezifikationen des Galaxy Mega 6.3. In einigen Punkten widersprechen sich die technischen Daten aber auch: So hat der 6,3 Zoll große Touchscreen laut dem Händler HD-Auflösung. Auch Sammobile.com hatte diese Woche erfahren, dass das Galaxy Mega ein HD-Display haben soll. An anderer Stelle ist aber von Full-HD-Auflösung die Rede.In jedem Fall wäre das Galaxy Mega 6.3 derzeit das Smartphone mit dem größten Display. Huawei hat in diesem Monat das Ascend Mate mit einem 6,1 Zoll großen Touchscreen auf den Markt gebracht. Als Tablets gelten Geräte ab einer Displaygröße von 7 Zoll. Das Galaxy Mega 6.3 soll zudem einen Dual-Core-Prozessor mit einer Taktrate von 1,7 GHz haben und wird wahlweise in einer UMTS- und einer LTE-Ausführung erscheinen. Die UMTS-Version trägt den Codenamen GT-I9200 3G und das LTE-Modell nennt sich GT-I9205 LTE.

Das Smartphone soll auf der Rückseite eine 8-Megapixel-Kamera und auf der Vorderseite eine 2-Megapixel-Kamera haben. Der Arbeitsspeicher ist 1,5 GByte groß und es gibt einen Steckplatz für Micro-SD-Karten sowie einen GPS-Empfänger. Es werden Dual-Band-WLAN nach 802.11 a/b/g/n und Bluetooth 4.0 unterstützt.Laut Notebooksbilliger wird das Galaxy Mega 6.3 mit Android 4.2 auf den Markt kommen. Sammobile hatte diese Woche berichtet, dass noch nicht entschieden sei, ob das Gerät noch mit Android 4.1.2 oder gleich mit Android 4.2.2 veröffentlicht wird. In jedem Fall läuft Samsungs eigene Nature-UX-Oberfläche darauf.Das Gehäuse soll 167,6 x 88 x 7,9 mm messen, so dass das Galaxy Mega 6,3 ähnlich dick ist wie Samsungs Galaxy S4. Für den 3.200-mAh-Akku nennt Notebooksbilliger eine Sprechzeit von 7 Stunden und eine Bereitschaftszeit von 28 Tagen. Zum Gewicht liegen weiterhin keine Angaben vor.

Vor allem für Park-and-Ride-Nutzer ist der Elektroroller Zeit Eco interessant, der mit klappbarem Lenker, faltbaren Fußstützen und abnehmbarem Vorderrad dank einer Länge von 1,15 Metern auch in den Kofferraum von Autos passen soll. Der Zeit Eco ist ein Elektroroller mit einer maximalen Geschwindigkeit von 25 km/h, der mit seinem Lithium-Eisenphosphat-Akku (LiFePo4) rund 25 bis 40 km weit kommen soll. Die Finanzierung der Produktion des an einen riesigen Karton erinnernden Rollers erfolgt über die Plattform Kickstarter. Neben einem Lautsprechersystem ist eine kleine Transportluke eingebaut, die allerdings gerade einmal ein Essen oder ein Tablet beinhalten kann. Bei größeren Transporten muss der Fahrer mit einem Rucksack arbeiten.Das Fahrzeug misst 1.150 x 850 x 150 mm, wobei sich das Vorderrad laut dem Entwicklerteam leicht abnehmen lässt, um das Packmaß leicht zu reduzieren. Der Lenker lässt sich genau wie die Pedale wegfalten, damit der Transport erleichtert wird. Das Gewicht wird vom Hersteller mit rund 19 kg (40 Pfund) angegeben.

Der Elektroroller ist deshalb vor allem für alle interessant, die das Fahrzeug nur zur Überwindung kleinerer Distanzen nutzen wollen - etwa vom Park-and-Ride-Parkplatz in die Innenstadt und zurück. LED-Front- und Heckleuchten sind in das Gehäuse integriert. Für größere Überlandfahrten ist die Geschwindigkeit von 25 km/h und die Reichweite von bis zu 40 km mit dem Standardakku zu gering. Das Entwicklerteam will allerdings auch einen Akku mit größerer Reichweite anbieten. Was der kosten wird, ist aber noch unbekannt.Der Akku kann über die Haushaltssteckdose geladen werden, wobei eine Komplettladung rund 2,5 Stunden dauern soll. Ein Ladegerät für Pkws ist ebenfalls im Lieferumfang enthalten. Dabei dauert es aber sechs Stunden, bis der Akku vollständig wieder geladen ist. In 2,5 Stunden sollen 70 Prozent erreicht sein. Der Zeit Eco selbst kann mit seinem Akku über eine USB-Schnittstelle mobile Geräte aufladen.

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Akku HP EliteBook 8460w

Werden Akkus mit Memory-Effekt wiederholt aufgeladen, bevor sie vollständig entladen sind, sinkt die Arbeitsspannung der Batterie durch die unvollständigen Lade-/Entladezyklen mit der Zeit. Obwohl die Batterie noch Ladung hat, ist die Spannung, die sie liefert, irgendwann so niedrig, dass sie ihren Dienst nicht wie gewünscht verrichten kann. Konkret hat der Memory-Effekt zwei negative Folgen: Zum einen wird die nutzbare Speicherkapazität der Batterie reduziert. Zum anderen wird die Korrelation zwischen Spannung und Ladezustand verschoben, so dass Letzterer nicht mehr verlässlich anhand der Spannung bestimmt werden kann.Seit langem bekannt ist der Memory-Effekt bei Nickel-Cadmium- und Nickel-Metallhydrid-Akkus. Bei den seit Anfang der 1990er Jahren erfolgreich vermarkteten Lithium-Ionen-Akkus wurde jedoch bisher die Existenz eines solchen Effekts ausgeschlossen.

Festgestellt haben die Forscher von PSI und Toyota den Memory-Effekt nun an einem der meistverbreiteten Materialien für die positive Elektrode von Lithium-Ionen-Akkus: Lithium-Eisenphosphat (LiFePO4). Bei Lithium-Eisenphosphat bleibt die Spannung nämlich über einen großen Bereich des Ladezustands praktisch unverändert. Das bedeutet, dass bereits eine kleine anomale Abweichung der Arbeitsspannung als eine große Veränderung im Ladezustand missdeutet werden könnte. Oder mit anderen Worten: Wenn aus der Spannung auf den Ladezustand geschlossen wird, kann hier schon durch eine kleine Abweichung der Spannung ein großer Schätzfehler entstehen.Die Forscher um Petr Novak, Leiter der Sektion Elektrochemische Energiespeicherung des Paul Scherrer Instituts, halten ihre Entdeckung vor allem im Hinblick auf die zu erwartende Verbreitung von Lithium-Ionen-Akkus im Bereich der Elektromobilität für relevant. Insbesondere bei Hybridautos, die bei jedem Bremsvorgang ihre Akkus durch den zum Generator verwandelten Motor aufladen, könnten so extrem viele Ladezyklen entstehen und zu Problemen führen. Die vielen aufeinanderfolgenden Zyklen unvollständiger Ladung beziehungsweise Entladung können durch Aufsummierung der einzelnen kleinen Memory-Effekte einen großen Memory-Effekt zur Folge haben, wie die neue Arbeit der Forscher zeigt.

Die Ursache für den Memory-Effekt liegt nach Ansicht der Wissenschaftler in der Art und Weise, wie das Laden beziehungsweise Entladen der Akkus auf der mikroskopischen Ebene vor sich geht. Das Elektrodenmaterial - in diesem Fall Lithium-Eisenphosphat(LiFePO4) - besteht aus einer sehr großen Zahl extrem kleiner Partikel, die nacheinander aufgeladen und entladen werden.Das Laden schreitet Partikel für Partikel voran und besteht darin, dass die Teilchen Lithiumionen abgeben. Ein komplett geladenes Partikel ist demnach Lithium-leer und besteht nur noch aus Eisenphosphat (FePO4). Das Entladen wiederum besteht in der Wiederansammlung von Lithium-Atomen in den Elektrodenpartikeln, so dass aus Eisenphosphat (FePO4) wieder Lithium-Eisenphosphat (LiFePO4) wird. Die Änderungen des Lithium-Anteils, die mit dem Laden beziehungsweise Entladen einhergehen, verursachen eine Änderung des chemischen Potenzials der einzelnen Partikel, was wiederum die Spannung der Akkus verändert.

Allerdings seien Laden und Entladen keine linearen Prozesse. Zunächst steige beim Laden das chemische Potenzial mit der fortschreitenden Abgabe von Lithium-Ionen. Dann aber erreichen die Partikel einen kritischen Wert des Lithium-Anteils (und des chemischen Potenzials). An diesem Punkt findet ein abrupter Übergang statt: Die Partikel geben ihre verbleibenden Lithium-Ionen sehr rasch ab, ohne dass sich dabei ihr chemisches Potenzial verändert. Und genau dieser Übergang erkläre, warum die Spannung der Batterie über einen großen Bereich praktisch unverändert bleibt. Die Existenz dieser Potenzialbarriere soll nun zum Auftreten des Memory-Effekts führen. Haben die ersten Partikel die Potenzialbarriere überschritten und sind Lithium-leer geworden, kommt es zur Aufspaltung der Partikel-Population der Elektrode. Das heißt: Es gibt nun eine scharfe Trennung zwischen Lithium-armen und Lithium-reichen Partikeln. Wenn die Batterie nicht vollständig geladen wird, bleibt also eine bestimmte Anzahl Lithium-reicher Partikel übrig, die es nicht über die Barriere geschafft hat. Diese Partikel bleiben aber nicht lange am Rand der Barriere, denn dieser Zustand ist nicht stabil, sondern ihr chemisches Potenzial sinkt wieder. Selbst wenn die Batterie wieder entladen wird und alle Teilchen wieder vor der Barriere liegen, bleibt diese Aufspaltung in zwei Gruppen bestehen.

Beim nächsten Ladevorgang wird zuerst die erste Gruppe (Lithium-ärmere Partikel) über die Barriere gebracht, während die zweite Gruppe (Lithium-reiche Partikel) quasi "hinterherhinkt", so die Forscher. Damit die zweite Gruppe die Barriere erreicht, muss ihr chemisches Potenzial weiter erhöht werden, und genau das verursacht die den Memory-Effekt kennzeichnende Überspannung.Dabei spiele die Zeit, die zwischen Laden und Entladen eines Akkus verstreicht, eine wichtige Rolle für den Zustand des Akkus am Ende dieser Vorgänge. Laden und Entladen sind Prozesse, die das thermodynamische Gleichgewicht der Batterie aufheben, und durch eine Wartezeit kann sich dieses Gleichgewicht wieder einstellen. Die Forscher von PSI und Toyota fanden heraus, dass eine ausreichend lange Wartezeit den Memory-Effekt auslöschen kann, wenn man nach einem Zyklus bestehend aus partieller Ladung und anschließender vollständiger Entladung lange genug wartet. Wartet man hingegen vor der Entladung, bleibt der Effekt bestehen.

Forscher Novák räumt aber ein, dass der Effekt winzig ist: "Die relative Abweichung in der Spannung beträgt nur wenige Promille". Er geht davon aus, dass der Effekt durch eine intelligente Anpassung der Software im Akku-Management-System rechtzeitig festgestellt und berücksichtigt werden kann. Sollte das gelingen, stünde der Memory-Effekt dem sicheren Einsatz von Lithium-Ionen-Batterien in Elektroautos nicht im Wege.Neben dem Smartphone bleibt auch gerne das Portemonnaie liegen. Beides ist ein schmerzlicher Verlust, den die Entwickler des Smartwallits verhindern wollen. Die Einstecklösung sorgt dafür, dass beide Gegenstände aufeinander achten und notfalls den Besitzer warnen. Das Smartwallit wird ins Portemonnaie gesteckt und nimmt über Bluetooth 4.0 Kontakt mit dem Smartphone auf. Mit Hilfe einer App für iOS und Android wird die Verbindung kontrolliert. Bleibt die Geldbörse liegen, fängt das Telefon an zu piepen und umgekehrt. Das Smartwallit kann auch an anderen Gegenständen wie Kreditkarten, Kameras oder Gepäckstücken befestigt werden. Insgesamt können vier Geräte gleichzeitig verwaltet werden.

Ist hingegen das Telefon nicht zu finden, kann der Besitzer des Smartwallits einen Knopf auf dem Gerät drücken, damit das Telefon ein Piepsen von sich gibt. Umgekehrt funktioniert das auch und bringt verlegte Geldbörsen wieder zum Vorschein. Die Entwicklung des 25 Gramm schweren Moduls wird über Kickstarter finanziert.Mit zweimal Klopfen kann der Träger des Smartwallits den Alarm ausschalten. Möglich machen das Bewegungssensoren im Gerät. Das ist sinnvoll, wenn zum Beispiel einmal das Smartphone absichtlich liegen gelassen wird. Etwa, wenn der Besitzer vom Bürotisch zur Toilette geht. Auf Wunsch kann das Smartwallit automatisch in regelmäßigen Abständen vibrieren, damit der Träger weiß, dass er sein Portemonnaie noch bei sich trägt.Der in das Smartwallit zusätzlich eingebaute Lichtsensor nimmt wahr, wenn der Benutzer sein Portemonnaie öffnet. Diese Information wird mitsamt Datum und Ortsangabe in der Smartphone-App gespeichert. So soll der Benutzer eine Hilfestellung erhalten, wenn er ein Haushaltsbuch führt: Bei jedem Bezahlvorgang wird ein Eintrag erstellt, der noch mit den bezahlten Beträgen und gekauften Dingen ergänzt werden kann.

Die Reichweite des Smartwallits soll bei 30 Metern liegen. Der Lithium-Polymer-Akku soll eine Betriebsdauer von 25 Tagen ermöglichen. Das Wiederaufladen soll zwei Stunden dauern.Das Smartwallit wiegt 25 Gramm und misst 60 x 36 x 4,9 mm. Die Kickstarter-Kampagne läuft noch bis zum 4. Mai 2013. Insgesamt werden 40.000 US-Dollar benötigt, um die Serienproduktion zu starten. Das Ziel ist schon jetzt knapp erreicht. Ein Smartwallit soll rund 50 US-Dollar kosten. Dazu kommen 10 US-Dollar für den internationalen Versand.Apple hat in den USA einen Patentantrag für einen Hybridrechner eingereicht. Das Display des Notebooks kann abgenommen und separat benutzt werden, wenn die Tastatur nicht benötigt wird. Strom und Daten werden drahtlos übertragen. Apples Patentantrag beschreibt einen mobilen Rechner, bei dem die Computertechnik fast vollständig in der Basis und nicht im Touchscreen-Display steckt. Die Basis mit Prozessor, Tastatur, Trackpad und Anschlüssen macht das Gerät zum Notebook. Das Konzept ähnelt optisch Hybrid-PCs wie dem HP Envy x2 oder dem Asus Transformer Book und dem Fujitsu Stylistic Q702. Technisch ist es jedoch anders aufgebaut.

In der Patentschrift beschreibt Apple, dass die Basis mit einem Prozessor, einem Funksender im 60-GHz-Bereich und einem Akku ausgerüstet sein soll, während das Display einen Funkempfänger besitzt, über den die Daten von der Basis empfangen werden.Im Notebookmodus soll die Stromversorgung zwischen Basis und Display ganz normal über Kontakte laufen. Wenn das Display hingegen nicht eingesteckt wird, soll die Stromübertragung per magnetischer Resonanz erfolgen. Dabei werden die Spulen von Sender und Empfänger auf der gleichen Frequenz zum Schwingen gebracht. Durch magnetische Resonanz wird dann die elektrische Energie übertragen. An dieser Technik arbeitet auch der Chiphersteller Intel. Dabei kann elektrische Energie auch über eine Distanz von mehreren Metern übertragen werden.Eine solche Gerätekombination könnte die Funktion eines Notebooks bei Bedarf mit der eines Tablets vereinen. In der Windows-Welt versuchen das mit diesem Konzept mehrere Hersteller. Allerdings gibt es einen großen Unterschied. Die Basis ist bei den Windows-Geräten nicht mit dem Prozessor ausgestattet. Der sitzt im Display, das abgenommen als Tablet fungiert. Bei Apple ist das Display auf die Rechenleistung der Basisstation angewiesen.

Einen etwas anderen Weg, um aus einem Macbook ein Tablet zu machen, ist der Hersteller Modbook gegangen. Die Innereien eines 13,3 Zoll großen Macbook Pro sowie ein stiftempfindliches Display wurden in einem neuen Gehäuse untergebracht, bei dem die Tastatur fehlt. Eine Eingabe mit den Fingern über einen Touchscreen unterstützt das Modbook nicht.Das Galaxy S4 bietet die Deutsche Telekom ohne Vertrag zum Preis von 600 Euro an. Damit ist Samsungs neues Topsmartphone dort günstiger als bei der Konkurrenz. Der Onlinehandel verlangt mindestens 640 Euro für das Android-Smartphone in der 16-GByte-Ausführung. Ende April 2013 will Samsung das Galaxy S4 in Deutschland ausliefern, bei den meisten großen Onlinehändlern kann das Android-Smartphone vorbestellt werden. Kunden können das Gerät auch bei den vier deutschen Mobilfunknetzbetreibern vorbestellen. Allerdings gibt es Samsungs Topmodell bei Vodafone und O2 weiterhin nur mit Vertrag. Das war bei der Deutschen Telekom zunächst auch so, mittlerweile kann das Galaxy S4 auch ohne Vertrag vorbestellt werden und kostet dann 600 Euro.

Im deutschen Onlinehandel ist das Galaxy S4 ansonsten erst ab einem Preis von um die 640 Euro zu haben. Die meisten Händler verlangen 650 Euro, dazu gehören auch die großen Elektronikmärkte Media Markt und Saturn. Auch bei der E-Plus-Marke Base kann das Galaxy S4 für 650 Euro vorbestellt werden. Das Basismodell des Galaxy S4 hat 16 GByte Flash-Speicher.Prinzipiell gibt es das Smartphone auch mit 32 GByte und 64 GByte internem Speicher. Diese Modelle sind aber weiterhin nur bei wenigen Händlern gelistet. Mit 32 GByte steigt der Preis auf mindestens 750 Euro, bei der 64-GByte-Ausführung auf 800 Euro und mehr.Das Galaxy S4 hat einen 5 Zoll großen Super-Amoled-Touchscreen mit einer Auflösung von 1.920 x 1.080 Pixeln. Das entspricht einer Pixeldichte von 441 dpi, was exakt auf dem Niveau des Xperia Z von Sony und des Padfone Infinity von Asus liegt. Der Galaxy-S4-Touchscreen wird durch Gorilla-Glas 3 vor Beschädigungen geschützt und kann mit normalen Handschuhen bedient werden.

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Akku Acer Aspire TimelineX 3820TG

Einige Kameras arbeiten mit einer hohen Auflösung, andere sind dafür lichtempfindlicher. Die neue A7II hingegen fällt ein wenig aus dem Raster: Ihre Auflösung von 24 Megapixeln ist kein Novum und mit ISO 24.600 erregt sie wenig Aufsehen. Neu ist der Bildstabilisator, der den riesigen Sensor, der so groß ist wie ein Dia, in fünf Achsen bewegen kann. So sollen zitternde Hände des Fotografen oder eine leichte Drehung beim Auslösen keine katastrophalen Auswirkungen auf das Bild haben. Die Kamera verfügt über eine fünfachsige Bildstabilisierung, ähnlich wie sie auch Olympus in die E-M5 OM-D eingebaut hat. Sie wirkt nicht nur Kipp- und Seitwärtsbewegungen, sondern auch Drehungen entgegen, und funktioniert auch mit Objektiven, die selbst über eine Stabilisierung verfügen. Das Objektiv übernimmt dann seine dreiachsige Stabilisierung, die Sony-Kamera übernimmt nur zwei Achsen. Das funktioniert ohne einen Handgriff vollautomatisch - Kamera und Objektiv tauschen sich untereinander aus.

Die Kamera arbeitet sowohl mit einem Kontrast- als auch mit einem Phasenvergleichsautofokus mit 117 Phasendetektionspixeln und soll so besonders schnell und präzise scharf stellen können. Ob das klappt und die Bildstabilisierung wirklich überragend gut ist, hat Golem.de mehrere Wochen lang ausprobiert.Das Gehäuse der Sony A7II ist wetterfest und auch der optionale Hochformatauslöser widersteht Regen und Schnee. Golem.de hat die Kamera im Winterwetter genutzt - und trotz eisiger Kälte, Schneetreiben und Regenschauern kam es weder zu Ausfällen noch zu Beeinträchtigungen. Dabei fiel auf, dass sich die Kamera mit Fingerhandschuhen recht gut bedienen lässt. Sie ist etwas größer und schwerer als die A7S, die wir im Sommer 2014 ausprobierten. Einige Knöpfe wurden auch verlagert und der Handgriff ist stärker ausgeprägt. Vor allem der Auslöser ist nun einfacher zu erreichen. Sein etwas unpräziser Druckpunkt ist Geschmackssache - wer hier empfindlich ist, sollte die Kamera im Laden ausprobieren.

Wie bei allen aktuellen Sony-Kameras steht auch bei der A7II ein Schnellmenü zur Verfügung, das sich der Anwender selbst zusammenstellen kann. Neben der ISO-Einstellung gehört unserer Meinung nach auch die Belichtungskorrektur auf einen Knopf. Eine rasche Verstellung des Autofokus-Messpunktes ist ebenso wünschenswert wie das Umschalten zwischen verschiedenen Belichtungsmessmethoden oder dem HDR-Modus. Durch langes Ausprobieren muss letztlich jeder selbst herausfinden, wie das persönliche Schnellmenü aussehen soll. Damit lässt sich die Handhabung der Kamera enorm vereinfachen.Die Sony A7II kostet als Gehäuse ohne Objektiv im Handel ungefähr 1.800 Euro. Dazu kommen noch die Objektive, von denen wir als Allrounder das Sony Vario-Tessar T* FE 24-70 mm F4 ZA OSS empfehlen können. Es ist allerdings recht schwer, dafür aber lichtstark und schon bei offener Blende scharf. Die Vignettierung ist gering und die Verarbeitung sehr gut. Auch das FE 70-200 F4 G OSS ist sehr empfehlenswert, wenngleich auch etwas sehr groß und mit 840 Gramm ebenfalls kein Leichtgewicht.

Sonys neue Kamera macht einen gemischten Eindruck: Die Kamerabedienung ist gegenüber früheren A7-Modellen deutlich besser geworden - zumindest, was die Ergonomie des Gehäuses angeht. Bei der Menüsteuerung gibt es keine nennenswerten Änderungen, Übersichtlichkeit kann nur mit dem Schnellmenü geschaffen werden. Die ungünstige Platzierung des Menüknopfs störte auch nach langer Verwendungszeit immer noch, weil er ein Umgreifen oder eine zweite Hand erfordert. Die Bildqualität des Sensors erfreute uns bei höheren ISO-Werten nicht. Zu schnell ist das Bild verrauscht. Da ist Sony bei anderen Sensoren deutlich besser. Bei normalen Belichtungsverhältnissen hingegen kann die Kamera mit detailreichen Bildern glänzen.Wenig glücklich machen die Raw-Dateien, denen die verlustbehaftete Kompression anzumerken ist, sobald an den Bildern heftige Korrekturen in Hinblick auf Farbe und Belichtung gemacht werden.

Vor dem Kauf sollte abgewogen werden, ob die Bildstabilisierung ein wichtiges Kriterium ist - der Autofokus, den Sony überarbeitet hat, ist bei schlechter Beleuchtung oder schnellen Motiven immer noch nicht so gut, wie man es von Nikon oder Canon gewohnt ist. Auch Olympus' Systemkamera schneidet hier deutlich besser ab - und hat ebenfalls einen hervorragenden Sensor mit Stabilisierungsfunktion.Vielleicht vermengt Sony beim Nachfolger der A7II die Fähigkeiten der A7S in puncto Lichtempfindlichkeit und Rauschverhalten und die Autofokus-Fähigkeiten aus der A6000. Dann hätte nur noch die Menüstruktur eine Überarbeitung nötig.Wie immer stellen wir einige Rohdaten (zip) sowie unbearbeitete JPEGs (zip) und Videos (zip) in voller Auflösung zum Download und für eigene Bewertungen sowie Nachbearbeitungen zur Verfügung.

Anwender können jetzt den Tonpegel anpassen, wenn sich der Abstand zur Geräuschquelle ändert, ohne die Aufnahme unterbrechen zu müssen. Auch die ISO-Empfindlichkeit lässt sich während des Drehs nachjustieren, wenn trotz schlechter Lichtverhältnisse Blende und Verschlusszeit aus Kontinuitätsgründen gleich bleiben sollen. Außerdem hat Samsung zwei Gamma-Modi eingebaut, die entweder für mehr Kontrast oder einen größeren Dynamikbereich sorgen sollen. Das war einer der Hauptkritikpunkte von Testern wie Cinema5D, die den Dynamikbereich von ungefähr 10,1 Blendenstufen als zu gering einstufen.Wer will, kann nach dem Update die Autofokus-Geschwindigkeit verändern, um etwa die Schärfeverlagerung für einen natürlicheren Seheindruck zu verlangsamen. In der Regel wird in professionellen Umgebungen die Schärfe allerdings manuell eingestellt. Beim Filmen lässt sich zudem dem kontinuierlichen AF verbieten, die Schärfeebene zu verändern, wenn sich unerwartet ein Objekt ins Bild bewegt.

Durch das Update lässt sich die Kamera weitgehend individualisieren. So kann man zum Beispiel den WLAN-Knopf mit anderen Funktionen belegen. Das ist praktisch, denn die eigentliche Videoaufnahmetaste lässt sich kaum ertasten, da sie im Gehäuse versenkt wurde.Außerdem können die Tonwerte an das gewünschte Videosystem angepasst werden. Der Schwarzwert lässt sich in 31 Stufen variieren (-15 bis +15). Für die Helligkeitswerte stehen drei Bereiche zur Auswahl (0-255, 16-235, 16-255). Auch das war ein Kritikpunkt der Tester von Cinema5D.Bei der NX1 lassen sich zudem nach dem Update Gitterlinien und eine Markierung in der Bildmitte einblenden und Video-Seitenverhältnisse wie 4:3 oder 2:35:1 einstellen. Damit Bild und Ton beim Einsatz eines externen Aufnahmegeräts synchron laufen, überträgt die NX1 nach dem Update 1.2 einen Zeitcode über die HDMI-Schnittstelle.

Durch das Update kann die Kamera künftig nicht nur über WLAN, sondern auch über Bluetooth gesteuert werden. Diese Funktion war in den Menüs bislang ausgegraut. Außerdem kann die NX1 nun auch per USB-Kabel vom Windows-PC aus gesteuert werden. Eine entsprechende Software (Samsung Remote Studio Software) will Samsung noch auf den Markt bringen. Auch ein SDK für eigene Entwicklungen soll folgen.Zwei Probleme wird Samsung auch mit dem Firmware-Update nicht lösen können: Die NX1 zeichnet im Format H.265 auf, was derzeit große Probleme macht, weil es von vielen Videoschnittprogrammen nicht unterstützt wird und die Umwandlung in gebräuchlichere Formate sehr zeitraubend ist. Zum anderen bemängelten Tester bei der NX1 einen massiven Rolling-Shutter-Effekt, der bei Fotos oder Videoaufnahmen von bewegten Objekten auftreten kann. Ein gutes Beispiel sind Aufnahmen von rotierenden Propellern, deren Blätter im Film stark gekrümmt aussehen, obwohl sie es in der Realität natürlich nicht sind.

Auch wenn es sich so anhört, als sei das Update nur für Videofilmer interessant - ein wenig profitieren auch Fotografen davon. Der Modus "Automatische Aufnahme" erlaubt es der Kamera, selbstständig Fotos zu machen, wenn das Motiv zum Beispiel gerade einen Ball schlägt oder springt. Die Fotofalle, die die Kamera dank ihrer Autofokussensoren und Bildauswertung aufstellen kann, nennt Samsung "Trap Shot". Hier kann der Nutzer nun den Punkt im Bild festlegen, den ein sich bewegendes Motiv erreichen muss, damit die NX1 auslöst. Dabei empfiehlt es sich, ein Stativ zu verwenden.Die Firmware-Version 1.2 für die Samsung NX1 steht ab sofort zum Download bereit. Informationen zum Aufspielen hat Samsung online bereitgestellt.

Das Gehäuse der NX1 ist 14 x 10,2 x 6,6 cm groß und wiegt 550 Gramm. Hier zeigt sich der größte Vorteil einer Systemkamera ohne Spiegel: Sie ist sehr leicht. Dazu kommt dann allerdings noch das Objektivgewicht. Samsung bietet das Objektiv 50-150 mm f/2.8 S ED OIS an, das einen Kleinbild-Brennweitenbereich von 77 bis 231 mm abdeckt und über einen Bildstabilisator verfügt. Die durchgängige Lichtstärke von f/2,8 dürfte dabei besonders interessant sein, erlaubt sie doch schnelle Verschlusszeiten auch bei schlechtem Licht. Das Objektiv ist allerdings mit 920 Gramm recht schwer und misst 8,1 x 15,39 cm. Als Zubehör bietet Samsung einen Hochformatgriff mit zusätzlichem Akku an.Die Samsung NX1 kostet zusammen mit dem Objektiv 16-50 mm F3.5-5.6 1.700 Euro. Der Batteriegriff wird für 250 Euro angeboten und das lichtstarke Teleobjektiv für 1.600 Euro.

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Akku HP hstnn-db4d

Vorn befinden sich neben dem grellen, orangefarbenen Autofokus-Hilfslicht das Bajonett, ein Drehrad sowie auf dem Handgriff der Auslöser nebst Ein- und Ausschalter. Auf der rechten Seite ist die Klappe für die Speicherkarte zu finden, die sich leider beim Herausnehmen der Kamera aus einer Tasche oft öffnet. Zum Glück springt die Speicherkarte nur auf Druck hervor, sonst bestünde die Gefahr, dass sie abbricht. Auf der rechten Seite sind unter einer Klappe der Tonanschluss sowie ein Mini-HDMI-Ausgang und die Micro-USB-Buchse zu finden. Der Boden der Kamera wird durch die Klappe für den Akku und das Stativgewinde beherrscht.Auf der Kamerarückseite befinden sich mit Abstand die meisten Bedienungselemente. Das große 3-Zoll-Display ist ein OLED. Darüber ist die Menütaste angebracht - ein seltsamer Ort, zumal der Benutzer diesen Knopf häufig benötigt. Auf gleicher Höhe rechts vom Sucher sind eine belegbare Taste und ein Drehrad untergebracht, das recht klein ist, aber erstaunlich präzise bedient werden kann. Darunter befinden sich der AF/MF/AEL-Wahlhebel mit eigener Taste und eine Funktionstaste.

Das Multifunktionsrad zum Navigieren in Menüs ist sehr klein und mit einer leichten Rasterung versehen. Es lässt sich in vier Richtungen eindrücken, um beispielsweise zu den ISO- und Serienbildfunktionen oder unterschiedlichen Display-Darstellungsmodi zu gelangen. Unten sind noch der Play-Knopf und der Löschknopf untergebracht. Über das Layout lässt sich streiten - letztlich befindet sich zwar fast alles an den gewohnten Plätzen, es fällt jedoch auf, dass der Nutzer oft beim ersten Versuch daneben greift, weil die Elemente allesamt recht klein sind.Oben auf der Kamera befinden sich zwei Wählräder - eines für die Belichtungskorrektur und das Programmwahlrad, mit dem die üblichen Belichtungsautomatiken, die Filmfunktion und sogar der Panoramamodus erreicht werden. Dazu kommen noch zwei frei belegbare Knöpfe. Ein eingebauter Blitz fehlt, aber natürlich gibt es einen Blitzschuh für ein externes Blitzgerät.

Die A7II liegt gut in der Hand, auch wenn diese etwas größer ist. Beim Videofilmen stört allerdings der weit außen liegende rote Startknopf. Ohne Verwackelung wird man ihn kaum betätigen können - sowohl beim Ein- als auch beim Ausschalten. Die Kamera verfügt über einen elektronischen Sucher und ein nach oben und unten klappbares Display, das leider nicht als Touchscreen ausgeführt ist. Die Festlegung von Schärfepunkten oder Menüeingriffe sind nur mit den Knöpfen der Kamera steuerbar. Das Display ist hell, klar und recht unempfindlich gegen Sonneneinstrahlung, soweit das im Winter zu beurteilen ist. Der Kontrast mag in der Grundeinstellung etwas zu stark sein, doch das lässt sich im Menü ändern. Das optional einblendbare Histogramm hilft bei der richtigen Belichtungsauswahl und -korrektur jedoch mehr als das Display selbst.

Einen optischen Sucher gibt es nicht, dafür aber ein elektronisches Exemplar, das ohne merkliche Verzögerung arbeitet, aber ein wenig klein ist. Schaut der Nutzer nicht genau in die Mitte seines Okulars, sind die äußeren Beschriftungen auf dem Display nicht mehr scharf. Für eine manuelle Scharfstellung kann das Bild vergrößert werden. Ein farbiger Schleier setzt sich auf Wunsch auf die Bereiche, die scharf gestellt sind, was die Arbeit erleichtern kann.Die farbliche Hervorhebung der Kanten kann auch verändert werden - gerade bei hellen Motiven empfiehlt sich ein Farbwechsel. Leider ist diese Option recht tief im Menü verborgen - für Gelegenheitsknipser dürfte der manuelle Scharfstellmodus aber sowieso nichts sein. Dank der Bildstabilisierung kann der manuelle Fokus mitsamt Vergrößerung auch bei etwas längeren Brennweiten verwendet werden, ohne dass dem Fotografen aufgrund des Schwankens übel wird. Bei 200 mm Brennweite kann das durchaus passieren.

Der Bildstabilisator hat uns überzeugt - und spürbar ist er auch. Wenn die Kamera eingeschaltet wird, fühlt man die Bewegung des großen Sensors. Er ermöglicht es, maximal drei Blendenstufen länger mit der Hand zu belichten. Das heißt auch, dass der Nutzer seltener ein Stativ braucht und weniger Gepäck mit sich herumtragen muss. Durch die längeren Verschlusszeiten ohne Verwacklungsgefahr kann der Anwender auch die Lichtempfindlichkeit um eine oder zwei Stufen herunterregeln und muss so weniger Bildrauschen erdulden. Davon allerdings bringt die A7II jede Menge mit. Ab ISO 3.200 wird das Rauschen schon sehr merklich - und ab ISO 10.000 dürften sich diejenigen, die ein Bild 1:1 betrachten, aufregen. Der Modus mit ISO 25.600 sollte nur zu dokumentarischen Zwecken verwendet werden - hier verliert das Motiv jede Plastizität und ähnelt in der Vergrößerung eher einem Aquarell. Man fragt sich angesichts dieser Sensorqualitäten, ob Sony die Bildstabilisierung benötigt, um die Unzulänglichkeiten der sonstigen Hardware auszugleichen. Natürlich hilft es enorm, das verrauschte Bildmaterial in ein kleineres Format umzurechnen, doch das kann nicht der Weisheit letzter Schluss sein.

Doch wie sieht es bei normalen Lichtverhältnissen aus? Da kann die Kamera durch ihre hohe Detailauflösung durchaus glänzen. Die Fotos wirken - was allerdings auch ein Verdienst der guten Objektive ist - plastisch. Besser sind Nikon und Canon in dieser Disziplin auch nicht. Beim Weißabgleich zeigen sich jedoch gelegentlich Schwächen auf dem Bildmaterial, die so auf den Displays nicht angezeigt werden: Gerade bei schwierigem Licht wie im Schnee oder der Dämmerung macht der automatische Weißabgleich Fehler. Natürlich können diese entweder durch einen manuellen Weißabgleich vor der Aufnahme ausgeschlossen oder später am Rechner korrigiert werden, doch das kostet Zeit und Mühe.

Sony verwendet eine verlustbehaftete Kompression bei seinen Rohdatenbildern. Die Rohdatenbilder sind alle gleich groß auf der SD-Karte, während JPEGs manchmal sogar größer ausfallen können, vor allem bei höheren ISO-Werten. Teilweise kommt es bei den Rohdaten zu einer Tontrennung bei besonders dunklen oder hellen Bildpartien, wenn man die Bilder stark aufhellt oder abdunkelt. Auch die Farbgenauigkeit leidet unserer Einschätzung nach unter der verlustbehafteten Kompression ein wenig. Wie sich diese Quantisierungseffekte zeigen, hat die Website Rawdigger anschaulich dargestellt.Die Kamera arbeitet sowohl mit einem Kontrast- als auch mit einem Phasenvergleichsautofokus mit 117 Phasendetektionspixeln und soll so besonders schnell und präzise scharf stellen können. Wir haben sowohl zwei kürzere Zoomobjektive (Vario-Tessar T* FE 16-35 mm F4 ZA OSS und Vario-Tessar T* FE 24-70 mm F4 ZA OSS) als auch das Telezoom FE 70-200 mm F4 G OSS ausprobiert. Bei normalen Motiven ohne viel Bewegung stellen alle Optiken zufriedenstellend schnell und vor allem auch präzise scharf.

Ein etwas anderes Bild ergibt sich, wenn der kontinuierliche Autofokus aktiviert wird und die Kamera selbstständig ein sich bewegendes Motiv scharf halten soll, etwa einen fliegenden Vogel. Zwar ist deutlich zu erkennen, dass die Kameraelektronik das Motiv mit dem Phasenautofokus erfasst und verfolgen kann - sie markiert es schlicht im Bild. Das bedeutet aber noch lange nicht, dass sie auch eine hohe Trefferquote bei der Schärfe erreicht. Es empfiehlt sich, den Serienbildmodus zu aktivieren und ausreichend viele Fotos zu machen. So steigen auch bei der A7II die Chancen auf gute Bilder. Die Kameraelektronik bietet auch eine Vorfokussierung an und stellt auf Wunsch scharf, wenn sie bemerkt, dass der Nutzer die Kamera vors Auge hält. Das mag in Einzelfällen die Fokussiergeschwindigkeit erhöhen, doch die Option ist ein Akkufresser. Der vergleichsweise kleine Akku hält ohne diese Spielereien etwa 350 Bilder durch. Das ist recht wenig, weshalb ein zweiter Akku eine sinnvolle Anschaffung ist. Der Akku wird in der Kamera über Micro-USB geladen. Das ist praktisch, weil ein spezielles Ladegerät entfällt und auf Reisen weniger Kabel und Steckernetzteile mitgeführt werden müssen.

Filmen kann die A7II natürlich auch, allerdings nur in Full-HD. Neben XAVC S kann auch in AVDHC gefilmt werden, wobei die höchste Qualität mit XAVC S erzielt wird, bei dem Full-HD mit bis zu 60 Bildern pro Sekunde bei 50 Mbit/s aufgenommen werden kann. Das Bildmaterial beim XAVC-S-Format ist deutlich klarer und schärfer, was auch an der höheren Datenrate liegt, während das AVDHC-Material weniger überzeugen kann. In allen Fällen sollte ganz genau auf die korrekte Belichtung geachtet werden, da es schnell zu ausgerissenen Lichtern oder abgesoffenen Schatten kommt. Bei höheren ISO-Werten ist die Kamera sehr rauschanfällig und die Farbgenauigkeit nimmt rasch ab. Wer hochwertige Videos erstellen will, liegt mit der A7II nicht unbedingt richtig, auch wenn es enorm viele Einstellungen gibt, bis hin zu professionellen Bildprofilen wie einer S-Log2-Lookup-Table und manueller Tonaussteuerung. Auch eigene Bildprofile lassen sich anlegen und übrigens auch bei Fotos nutzen. Einen eigenen Bildstil schon in der Kamera zu kreieren, dürfte für viele Anwender interessant sein.

Klein ist die A7II nicht. Das Kameragehäuse misst 127 x 96 x 60 mm und wiegt inklusive Akku jetzt 556 Gramm. Bei der A7 waren es nur 474 Gramm und das merkt man auch. Da auch die Objektive eher schwer sind, ist zumindest ein früher oft genannter Vorteil von spiegellosen Systemkameras dahin.Durch die zahlreichen Funktionen und Einstellungsmöglichkeiten der Kamera leidet die Übersichtlichkeit in den Menüs stark. Dieser Umstand zieht sich durch das gesamte uns bekannte Sortiment von Sony und macht auch vor den technisch sehr guten Kompaktkameras nicht halt. Im Grunde genommen handelt es sich um mehrseitige Textmenüs mit Untermenüs. Wer die knappen Beschriftungen nicht versteht, muss auf das Handbuch ausweichen. Es wäre ein großer Schritt nach vorn, wenn Sony es schaffte, die Menüwüsten durch etwas zu ersetzen, was intuitiver und schneller nutzbar ist. Da helfen auch die größtenteils frei belegbaren Knöpfe der Kamera nicht viel, denn es wird nie für alle Unterpunkte und Optionen einen Knopf geben. Natürlich lernt der Benutzer nach und nach, welche Menüpunkte wichtig sind und steuert diese schneller an. Ärgerlich ist: Die Knöpfe sind nicht beleuchtet, bei schlechtem Licht muss der Nutzer tasten.

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February 26, 2017

Batterie Dell Inspiron 6400

C'est dans le cadre d'un projet interne baptisé « Project Spoutnik »que Dell développe depuis six mois son XPS 13 sous Ubuntu. Le constructeur a aussi travaillé avec la communauté Open Source pour mettre au point des outils, des pilotes et des logiciels permettant au système d'exploitation, nom de code Precise Pangolin, de travailler sur ce portable mince et léger. L'ultrabook de Dell est équipé d'un processeur Intel Core i7, de 8 Go de RAM, offre 256 Go de stockage et affiche un écran de 13 pouces. Pour l'instant, Dell n'a pas donné d'indications sur son poids ou l'autonomie de sa batterie. Cet XPS 13 sous Ubuntu est d'ores et déjà disponible aux États-Unis et au Canada au prix de 1549 dollars H.T, avec un an d'assistance sur site, et sera disponible dans d'autres pays l'année prochaine. Dell vend principalement des ordinateurs portables sous Windows et pour l'instant, aucun grand fabricant de PC ne vend d'ultrabooks sous Linux. Le constructeur vend déjà un XPS 13 sous Windows 8 à un prix qui démarre à 999 dollars H.T, soit beaucoup moins cher que son cousin sous Linux. Dell destine plutôt son XPS 13 sous Ubuntu à des développeurs, mais le fabricant compte aussi vendre son produit à des entreprises et au grand public. Selon Nnamdi Orakwue, vice-président de Dell Cloud, « le XPS 13 sous Ubuntu apporte aux développeurs l'essentiel de ce dont ils ont besoin, tout en restant fidèle à nos valeurs fondamentales d'ouverture et d'accessibilité».

Le développement de l'Ultrabook a été dirigé par George Barton, Web Vertical Director de Dell. Le fabricant a travaillé avec Canonical et d'autres développeurs Open Source pour mettre au point les pilotes et les outils permettant au système d'exploitation Linux de tourner sous le XPS 13. Cette collaboration a aussi contribué à faire émerger des fonctionnalités dont ce modèle d'ultrabook sera le seul à bénéficier. L'une d'elles, appelée «outil le profil», permet aux développeurs de mettre facilement en place des environnements de développement logiciel en offrant un accès rapide aux outils pour Ruby, Javascript et Android dans les référentiels Github. Autre caractéristique du XPS 13, le « Lanceur Cloud », lequel, selon Dell, permet de simuler des environnements cloud sur le portable et de les déployer ensuite directement dans le cloud.

Dans le passé, Dell a déjà vendu des portables et des netbooks sous Ubuntu Linux, mais ses projets autour de l'XPS 13 sous Ubuntu sont plus ambitieux. Jusque-là, Dell s'était contenté de livrer des images d'installation du système d'exploitation Ubuntu, mais n'avait pas collaboré avec la communauté Open Source à une aussi grande échelle. Nnamdi Orakwue et George Barton ont tous deux déclaré que « Dell marquait son engagement dans l'Open Source », affirmant que « le constructeur continuerait à développer pour Linux et à faire évoluer son produit ». S'il est bien sûr toujours possible d'installer une distribution Linux sur un portable, il est toujours plus confortable - pour tous ceux qui ont en assez de bricoler ou pour les entreprises - d'acquérir directement un produit avec les bons pilotes et un minimum de support et de mises à jour. Un exemple à suivre. En 2012, 75% des personnes résidant en France métropolitaine se sont connecté à Internet au cours des trois dernier mois, un chiffre en progression de 19 points en cinq ans selon les dernières données de l'Insee. L'internet mobile se démocratise, puisque 40% des gens ont surfé en 2012 en dehors de chez eux, via un ordinateur portable, un smartphone ou une tablette.

Avec le temps, l'Insee constate une réduction de la fracture numérique entre les catégories sociales : si plus de 90% des cadres se connectent régulièrement, il en va de même pour environ 70% des employés et des ouvriers. L'âge moyen des internautes de plus de 15 ans a ainsi augmenté, passant de 37 ans et demi en 2007 à 41 ans et demi en 2012. Dans le même temps, la part des internautes âgés d'au moins 60 ans est passée de 7% à 16%. De fait, les 15-29 ans ne représentent plus qu'un quart des internautes en France.Parmi les services en évolution ces cinq dernières années figurent notamment les vente d'objets aux enchères (26% en 2012, +19pts depuis 2007) et les achats de biens et services (39%, +16%). Désormais, près de la moitié des internautes consultent également leur compte bancaire sur internet. L'activité la plus répandue demeure toutefois la gestion de ses e-mails (2 personnes sur 3) tandis que la création d'un site Web/blog (6%) ou les jeux en réseaux (10 %) sont fortement minoritaires.

L'Internet mobile s'est fortement développé entre 2007 et 2912, à tel point que près de 40% des gens se sont connectés hors de chez eux via un terminal mobile en 2012. Son utilisation est surtout fonction de l'âge puisque d'un côté 75 % des 15-29ans l'ont adopté contre, de l'autre, 16% des 60-74 ans et 3% des 75 ans ou plus.Alors qu'en 2012, le taux d'utilisation de l'Internet fixe est comparable entre zones urbaines et zones rurales, des différences sont à noter en ce qui concerne l'Internet mobile, plus répandue dans les grandes agglomérations. L'Insee note que 35% des mobinautes se plaignent d'une connexion trop lente et 10% de factures plus élevées que prévues.Les données présentées ici sont issues de l'enquête sur les technologies de l'information et de la communication (TIC) de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), réalisée en 2012 en France métropolitaine et dans les DOM auprès de 11 617 ménages. L'organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) a décidé d'abandonner son système de vidéoconférence au profit de celui développé par Vidyo. Les raisons motivant cette décision portent sur le passage d'une solution propriétaire à une version commerciale. «Nous n'aurons pas à nous occuper de la formation », a indiqué Tim Smith, responsable des services d'information et de collaboration au siège du CERN à Genève, en Suisse. « Vidyo se chargera de l'expérimentation et de l'apprentissage. »

Tim Smith est en relation avec les physiciens qui font de la recherche au CERN pour faire tourner le laboratoire de physique de particules (qui abrite les expériences du Large Hadron Collider). Ceux-ci ont besoin d'un minimum d'instructions quand il s'agit de nouvelles technologies.M. Smith qui a été docteur en physique des hautes énergies et chercheur au CERN pendant 10 ans avant d'être en charge de l'IT, affirme que les produits commerciaux sont parfois en retard en matière de capacités, comparés à ceux créés par le CERN qui incluent de la vidéoconférence. «Très souvent, ce que nous faisons, c'est de développer de notre côté, en raison d'un besoin auquel ne nous ne pouvons pas répondre», a-t-il souligné.Le CERN compte environ 3 000 scientifiques dans le monde qui participent à des expérimentations et qui examinent des analyses avant que les résultats ne soient publiés. Alors que les nombreux instituts qui collaboraient avec le centre de recherche avaient accès à des salles de vidéoconférence, il n'existait pas de système web permettant à des petits groupes ou à des utilisateurs isolés d'entrer en conférence en utilisant un PC.

Ainsi, lorsque l'organisme a eu besoin, en 1996, d'un tel système de vidéoconférence, il a opté pour une plate-forme propriétaire développée par une institution extérieure (sans mentionner laquelle). Ce système a été utilisé jusqu'au début de cette année, moment où Vidyo est entré en pleine production.Les exigences du CERN pour utiliser son nouveau système étaient strictes. Ce dernier devait prendre en charge une variété de salles de vidéoconférence, ainsi qu'un vaste choix de PC portables, d'ordinateurs de bureau et de terminaux mobiles.Le système propriétaire utilisé jusqu'au début de cette année avait un logiciel client qui était téléchargé sur les PC des participants à travers leurs navigateurs, et qui pendant des années, a primé sur toute autre solution commerciale disponible.Tim Smith a indiqué que le CERN avait examiné l'ensemble de la technologie de sa plate-forme pour décider si les outils commerciaux étaient suffisamment efficaces et pratiques à adopter.

Dans cette veine, l'organisme a mesuré la vitesse de la solution de vidéoconférence de Vidyo aux environs de 2009 et 2010 pour voir si elle pourrait s'adapter aux besoins de l'organisation, qui prend en charge 250 conférences par jour et 3 000 participants. La plus grande conférence avait rassemblé plus de 250 personnes et donné lieu, au global, à 3 000 connexions d'utilisateurs indépendants en une journée.Vidyo et son prédécesseur sont similaires en ce sens qu'ils nécessitent le téléchargement d'un client local, et la configuration d'équipements audio (haut-parleurs ou casque) et vidéo (caméra portable ou vidéo). Le CERN a ouvert une salle de test permanent pour que tous les participants éligibles puissent se connecter en amont de leur conférence afin de s'assurer que l'équipement est correctement configuré.Grâce au support de la norme de compression vidéo SVC (codage vidéo scalable), l'offre de Vidyo peut fonctionner sur des connexions très basses, en utilisant une fenêtre d'affichage plus petite, avec une faible résolution et peu d'images par seconde.La solution prend en charge les équipements fonctionnant sous Windows, iOS, Linux et Android. Il est éventuellement possible d'ouvrir des sessions de vidéoconférence via des smartphones mais lorsqu'un participant a un avion à prendre, la seule option est de se connecter depuis l'aéroport. Le support des terminaux iOS faisait partie des fonctions que le système propriétaire ne possédait pas, a fait remarquer le représentant du CERN.

En utilisant Vidyo, le CERN est en mesure de placer la vidéoconférence sous le contrôle direct de ses groupes de collaboration, a ajouté Tim Smith. Cela permet au service d'uniformiser le support du système. Le porte-parole du CERN a ajouté que les utilisateurs avaient à peine remarqué le passage à Vidyo.L'ancien système du CERN n'a toutefois pas disparu avec Vidyo, même s'il fournit l'infrastructure de base. Le centre de recherches avait créé un outil de gestion vidéo appelé Indico qui agit comme un hub central pour programmer des conférences audio et vidéo, réserver des salles et à d'autres infrastructures de conférences telles que les systèmes de salle vidéo. Indico restera en usage car il fonctionne suffisamment pour pouvoir répondre aux besoins de l'organisme et qu'il est familier pour les utilisateurs.Dans le même temps, le CERN poursuit sa quête sans fin pour un meilleur équipement. Actuellement, il utilise du matériel Tandberg pour ses salles de conférences, mais dans le cadre de l'étude permanente d'autres options, l'organisme envisage de se tourner vers d'autres fournisseurs. Des chercheurs de l'Université de Washington ont développé une technologie de reconnaissance des gestes, appelée WiSee. Elle est basée sur la détection des légères variations dans le signal WiFi.

Envie de changer de morceau de musique, faites un geste en l'air et hop le tour est joué. C'est un peu cette vision imaginée par des chercheurs du laboratoire réseaux de l'Université de Washington. Ils ont travaillé sur une technologie de reconnaissance de mouvement utilisant les changements de fréquences des signaux WiFi lors d'un déplacement. Baptisée WiSee, cette technique repose sur le décalage des fréquences Doppler. Ces changements peuvent être reconnus par un routeur WiFi programmé pour comprendre certains mouvements avec la main ou un bras et leur appliquer une action.A la différence d'outils de reconnaissance de mouvement comme la Kinect de la Xbox développée par Microsoft qui utilise un signal limité, WiSee repose sur le WiFi qui a une plus grande diffusion notamment à travers les murs. L'idée est que tant qu'il y a un dispositif sans fil quelque part à proximité, les utilisateurs pourront contrôler un appareil électronique ou électroménager, de n'importe quelle pièce de la maison, sans avoir besoin de capteurs ou de caméras.

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Batterie Dell Latitude X1

Sous les applaudissements et les acclamations, Steve Ballmer a annoncé que chaque participant recevrait une tablette Acer Iconia 8.1 pouces sous Windows 8.1 avec Microsoft Office préinstallé, compatible avec un clavier Bluetooth distinct. Selon lui, « cet appareil est un terminal Windows 8 à part entière, plutôt qu'un ordinateur PC ». Il a également dit que davantage de tablettes sous Windows 8 seraient mises sur le marché dans les mois à venir. Julie Larson-Green, qui dirige le département Windows de Microsoft, a aussi eu droit à des applaudissements quand elle a annoncé à chaque participant qu'il recevrait également un combo tablette-ordinateur portable Surface Pro. Lors de la précédente conférence Build qui avait eu lieu à l'automne dernier, Microsoft avait offert aux participants une tablette Surface RT. Pour attirer les développeurs, Microsoft a aussi peaufiné son Windows Store afin que les apps soient plus faciles à chercher, et améliorer ainsi les ventes. Les pages de description ont été relookées : il y a plus d'informations, plus de photos et elles mettent en valeur les autres applications créées par le même développeur, un autre moyen d'encourager les ventes.

Steve Ballmer a reconnu que l'hiver dernier, au moment de sa sortie, Windows 8 avait pâti du manque de dispositifs tactiles sur le marché, ce qui n'a pas permis au système d'exploitation d'être à son meilleur avantage, « parce que sa force réside vraiment dans ses capacités tactiles ». Mais désormais, les appareils sont prêts, et pour stimuler la demande, il faut des applications innovantes capables de tirer parti des nouvelles fonctionnalités de Windows. Au cours du mois prochain, le Windows Store devrait atteindre les 100 000 applications Windows 8. Mais Steve Ballmer voudrait dépasser les prévisions et il espère bien que les nouvelles fonctionnalités vont séduire les développeurs et qu'ils auront envie de les intégrer dans leurs applications.

Le moteur de recherche Bing de Microsoft a évolué. C'est désormais une plate-forme qui peut être utilisée par les applications Windows 8 pour délivrer certains services ou effectuer certaines tâches, par exemple du référencement web, de la reconnaissance optique de caractères, ou encore utiliser les interfaces pour exploiter le langage naturel, comme la parole et la gestuelle, ou intégrer des données du monde réel, la cartographie en particulier. Microsoft a fait la démonstration d'une application de planification de voyage qu'elle a développée : celle-ci peut recevoir des données d'un mobile sous Windows Phone stockées dans le cloud, et les rendre accessibles depuis une tablette Surface. L'application affiche automatiquement une série d'informations sur les villes choisies comme destinations possibles, offre le survol de sites touristiques avec des commentaires audio dits par un système de synthèse vocale sur la base d'informations récoltées sur Internet. L'application exploite une nouvelle fonctionnalité de Windows 8.1, la cartographie 3D, qui peut être intégrée dans les applications. L'application a également été capable de répondre à une question orale : « Qui a conçu ce bâtiment ? » et de fournir une photo et une biographie de l'architecte, également collectées sur Internet.

Une autre application culinaire proposant des recettes, et profitant du mode mains libres a également été montrée. Elle permet au cuisinier de tourner les pages de son livre de recettes d'un geste de la main sans avoir à toucher l'écran. C'est la caméra de la tablette qui interprète les mouvements de la main pour faire défiler les pages.Comme l'a annoncé Steve Ballmer, la prochaine keynote de la conférence sera consacrée aux applications cloud d'entreprises. Une partie de cette keynote expliquera aux développeurs comment utiliser l'extensibilité des applications courantes d'Office pour créer des applications personnalisées, qualifiées « d'applications d'entreprise as-a-service » par le CEO.Le cabinet d'études a révisé sensiblement l'évolution du marché des PC dans le monde. Il prévoit un recul de près de 8% en 2013, une tendance qui s'étend à 2014.Au lieu de 1,3% de baisse initialement prévu, le marché des PC dans le monde reculera de 7,8% en 2013. C'est la correction que vient d'apporter IDC à ses prévisions. Les ventes de PC devraient même diminuer dans le monde au-delà de 2013.

En 2011, il s'est vendu 363 millions de PC dans le monde, 349,2 en 2012. Un coup d'arrêt attribué à la crise économique. IDC prévoyait un autre recul, de 1,3% en 2013, mais le cabinet d'études vient de réviser cette baisse et parle maintenant d'un recul de 7,8% pour ce marché mondial en 2013, avec 321,9 millions de PC. Pire encore, IDC prévoyait une légère reprise en 2014, cette fois c'est à nouveau une baisse de 1,2% qui est prévue pour 2014. En 2017, le marché mondial sera à seulement 333,4 millions de PC vendus.Le marché est en phase de transition et se tourne vers des PC optimisés pour Windows 8, plus minces, tactiles. « Les modèles et les dispositifs d'utilisation évoluent » note Loren Loverde, vice-président chez IDC, « beaucoup d'utilisateurs se rendent compte que l'informatique au quotidien, l'accès au web, aux médias sociaux, l'envoi de courriels, l'utilisation de nombre d'applications, ne nécessite pas beaucoup plus de puissance de calcul ou de stockage en local. Ils privilégient une variété de petits appareils, disposant de plus d'autonomie, avec des fonctionnalités spontanées et intuitives, et des interfaces tactiles. Ces utilisateurs n'ont pas nécessairement abandonné le PC, qui reste un environnement robuste, mais cela reste une part plus réduite de leur temps d'utilisation de l'informatique. »

Dans les entreprises, le marché reste difficile note IDC. Le cabinet s'attend à des remplacements en 2014 avec l'expiration de XP. Mais cela restera limité aux systèmes individuels plutôt qu'à de grands projets de mise à niveau. En outre, beaucoup de salariés ont déjà des PC portables avec des configurations adéquates. Passer à un nouveau système pour bénéficier de la baisse des prix ou pour passer à un PC portable contribue moins que par le passé à la croissance du marché. En outre, le Byod fait que 25% des salariés dans les entreprises de plus de 10 salariés utilisent leur PC personnel pour le travail, ce qui amoindrit les ventes de PC en entreprises. Le sous-traitant taiwanais Foxconn, connu pour fabriquer les iPhone, compte engager plusieurs centaines de spécialistes d'HTML5 à la suite de son partenariat avec Mozilla sur Firefox OS.

Le fabricant de produits électroniques Foxconn a décidé d'apporter davantage de soutien au système d'exploitation Firefox OS. Le sous-traitant entend embaucher jusqu'à 3 000 spécialistes d'HTML5 et du cloud à Taïwan. Entre 2 000 à 3 000 personnes seront engagées pour renforcer les activités de recherche en logiciel du groupe. Foxconn a précisé qu'il souhaitait recruter des ingénieurs solutions ayant des compétences en OS et en applications développées en HTML5, ainsi qu'en cloud.Le groupe taiwanais a annoncé son plan de recrutement deux semaines après avoir noué un partenariat avec Mozilla concernant Firefox OS, son système d'exploitation HTML5 en phase de lancement. Le plus grand sous-traitant de produits électroniques au monde veut offrir à ses clients une plate-forme alternative dans le domaine en pleine expansion des terminaux mobiles.Lors du salon Computex, le fabricant a indiqué qu'il développait plus de cinq terminaux équipés de Firefox OS pour ses clients. Il a l'intention de concevoir des modèles de référence qui incluront des smartphones, des tablettes, des PC portables et des téléviseurs. De son côté, Mozilla cherche à attirer des développeurs dans l'écosystème de Firefox OS. La boutique Firefox Marketplace répertorie actuellement un peu plus de 1 000 applications.

Les premiers modèles équipés de Firefox OS seront des smartphones d'entrée de gamme qui seront lancés sur les marchés émergents en milieu d'année, selon Mozilla. Jusqu'à présent, 18 opérateurs et cinq fabricants dont Sony, Huawei Technologies et LG Electronics, prévoient d'annoncer des terminaux utilisant l'OS mobile.Bien que Foxconn soit principalement connu pour fabriquer des produits à grande échelle pour Apple, Microsoft, Sony et d'autres enseignes de renom, la société accroît ses investissements dans la recherche, en développant des robots pour les chaînes de fabrication. En mars, le Taiwanais avait déclaré qu'il souhaitait recruter 5 000 personnes ayant des compétences dans le matériel, l'automatisation et la robotique. La firme de Sunnyvale a dévoilé ses prochaines puces dédiées au monde de la mobilité. Autour du noyau Jaguar, il faudra maintenant compter sur trois familles de puces répondant aux noms de Richland, Kabini et Tesha.

AMD espère regagner des parts de marché avec ses prochaines puces basées sur le noyau Jaguar, adaptées pour Windows 8 et son successeur. En premier lieu, les puces A6, A8 et A10 rassemblées sous le nom de code Richland, seront jusqu'à 12% plus rapide que les Trinity lancées l'année dernière. Les processeurs Richland - dotés d'un circuit graphique - revendiquent aussi une amélioration de 40% pour l'affichage vidoé. Une caractéristique intéressante des puces Richland est l'AMD Wireless Display, une technologie de diffusion de flux vidéo du PC vers un téléviseur en utilisant le protocole WiFi. Un moyen de rattraper le retard sur Intel qui dispose déjà de cette technologie. AMD précise que cette fonction sera prise en charge sur les portables sous Windows 8.1 cette année. Déjà présente sur les consoles de jeux PS4 et Xbox, cette technologie permettra au PC d'afficher des images sur un maximum de quatre écrans simultanément.Les puces Richland sont également plus économes en énergie que leurs prédecesseurs, augmentant ainsi l'autonomie de la batterie. Le fondeur indique qu'avec une batterie de 55 watts par heure, l'autonomie est de 8,3 heures en navigation web et de 4,3 heures en regardant une vidéo en 720p. La gamme des APU comprend la puce dual core A6-5357m, cadencée à 3,5 GHz et la puce quad-core A8-5557M, avec une vitesse d'horloge de 3,1 GHz et 3,5 GHz pour la quad-core A10-5757M. Elles disposent toutes d'une puissance de 35 watts et sont destinées à des ordinateurs portables de taille standard.

Le fondeur a également présenté des puces A4 et A6 sous le nom de code Kabini à destination des ordinateurs portables low cost. Avec ces puces, AMD entend faciliter le déploiement de PC d'entrée de gamme à faible consommation et dotés d'écran tactile. Acer et HP sont pressentis pour développer des PC portables sur Kabini. L'autonomie devrait selon le constructeur être améliorée avec 6 heures en usage vidéo et 9 heures en mode navigation web. La gamme Kabini comprend la puce A6-5200, cadencée à 2 GHz pour 25 watts de puissance, et le quad-core A4-5000, qui tourne à 1,5 GHz pour 15 watts de puissance. AMD a également annoncé les puces dual-core E1 et E2, qui ont des vitesses d'horloge entre 1 GHz et 1,65 GHz, pour une puissance comprise entre 9 et 15 watts.La mobilité est au centre de la stratégie d'AMD qui a donné quelques détails supplémentaires sur les prochaines puces Temash pour les tablettes. Des démonstrations de terminaux équipés de ces puces seront faites le mois prochain au salon Computex. AMD n'a jamais caché son focus sur Windows 8, même s'il reste ouvert à l'OS Android si les constructeurs souhaitent développer des produits avec le fondeur. Les puces Temash prennent en charge les environnements 64 bits et les destinent aux tablettes haut de gamme ou aux PC portables d'entrée de gamme. Une concurrence directe à la puce Atom Clover Trail d'Intel qui ne peut gérer que le 32 bits.

AMD mise aussi sur l'avantage graphique de ses puces pour le streaming vidéo et les jeux en ligne. Il s'agit de tirer profit de l'intégration des puces dans la PS4 de Sony et la Xbox de Microsoft. La gamme Temash comprend deux puces A4 dual-core (A4-1200 et A4-1250 cadencées à 1 GHz, 1 Mo de cache et des consommations respectives de 3,9 et 9 watts) et une puce A6 quad-core (A6-1450 tournant à 1,4 GHz pour 8 watts et un GPU Radeon HD 8250). Les tablettes qui intégreront la puce quad-core offriront jusqu'à 8 heures d'autonomie pour la navigation web et autour de 5 heures pour la lecture vidéo. Après plusieurs mois d'expérimentation, Dell vient de dévoiler son ultrabook XPS 13 tournant sous Ubuntu Linux 12.04 LTS. La cible visée est clairement celle de la communauté des développeurs.

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Akku HP KU533AA

Die Ricoh GR nimmt Fotos wahlweise im JPEG-Format oder als Rohdatenbild im Adobe-DNG-Format auf und filmt in MPEG-4 AVC/H.264 mit Stereoton mit einer Auflösung von 1.920 x 1.080 Pixeln und 24, 25 oder 30 Bildern pro Sekunde.Gespeichert wird das Datenmaterial auf SD-, SDHC- und SDXC-Karten. Der Lithium-Ionen-Akku soll die Aufnahme von bis zu 290 Bildern ermöglichen, bevor er wieder aufgeladen werden muss. Die Ricoh GR misst 6,1 x 11,7 x 3,47 cm bei einem Gewicht von 245 Gramm inklusive Akku.Der Procison GC-PX100 von JVC erinnert äußerlich an eine digitale Spiegelreflexkamera, doch das Gerät ist zum Filmen von schnellen Bewegungsabläufen gedacht. Damit lassen sich bis zu 600 Bilder pro Sekunde aufnehmen. Die Auflösung sinkt dabei aufgrund der großen Datenmengen unter Webcam-Niveau. Die JVC Procison GC-PX100 ist ein Camcorder, der maximal in Full-HD-Auflösung aufnehmen kann. Wer will, kann aber auch bei 640 x 360 Pixeln mit 120, 240 und 300 Bildern pro Sekunde drehen und das Bildmaterial in Zeitlupe abspielen. Bei 600 Bildern pro Sekunde sinkt die Auflösung auf 320 x 176 Pixel ab. Die Aufnahmegeschwindigkeit kann mit einem Regler neben dem 10fach-Zoomobjektiv verstellt werden. Auch Zeitrafferaufnahmen mit minimal einer Aufnahme in 80 Sekunden sind so möglich.

JVC setzt einen hintergrundbelichteten, 1/2,3 Zoll großen CMOS-Sensor ein, der auch Standbilder mit 12,8 Megapixeln Auflösung erlaubt. Das 10fach-Zoomobjektiv ist mit einem Bildstabilisator ausgerüstet. Der Camcorder nimmt in MPEG-4 AVC/H.264 auf. Die beste Qualität sollte der Full-HD-Modus mit 1.920 x 1.080/60p und einer Bitrate von 36 MBit/s erzielen.Der 3 Zoll (7,62 cm) große, klappbare Touchscreen auf der Rückseite ermöglicht die Kamerasteuerung, wobei die Funktion des "Instant Zooms" besonders interessant ist. Damit lassen sich mehrere Einstellungen des Motorzooms mit einem Fingertipp abrufen. Einen Farbsucher zum Aufstecken soll es gegen Aufpreis geben. Wie viel der Sucher kostet, ist noch unbekannt.Die Kamera ist mit einem WLAN-Modul ausgestattet, über das Bilder und Videos zu einem Smartphone oder Tablet mit iOS oder Android kopiert werden können. Die dazugehörige App gibt JVC kostenlos ab. Sie ermöglicht auch das Zeichnen auf dem Bildmaterial, um zum Beispiel bei Hochgeschwindigkeitsaufnahmen von Sportlern Bewegungsabläufe zu markieren. Auch der Vergleich von zwei Videos nebeneinander ist mit der App auf Tablets möglich.

Kurz vor der Auslieferung der ersten Google-Glass-Modelle an Entwickler hat Google Details zu seiner Datenbrille, das zugehörige API und eine passende Android-App veröffentlicht. Googles Datenbrille Glass hat zwar nur ein winziges Display, für den Nutzer soll es sich aber anfühlen wie ein hochauflösendes 25-Zoll-Display, das aus knapp 2,5 m Abstand betrachtet wird. Zur Auflösung des Displays macht Google im Datenblatt zu Glass zwar keine Angaben, in der API-Dokumentation wird aber eine Auflösung von 640 x 360 Pixeln genannt.Die integrierte Kamera verfügt über eine Auflösung von 5 Megapixeln und nimmt Videos in 720p zusammen mit Audio auf. Zudem hat Google ein Knochenmikrofon (Bone Conduction Transducer) integriert.Zur Kommunikation mit der Außenwelt unterstützt Google Glass WLAN nach IEEE 802.11b/g und Bluetooth. Die Datenbrille verfügt über 16 GByte Flash-Speicher, von denen 12 GByte nutzbar sind und automatisch mit Google Cloud Storage synchronisiert werden.Der Akku in Googles Datenbrille soll bei typischer Nutzung einen Tag durchhalten, dann sollten aber nicht zu viele Hangouts oder Videoaufzeichnungen gemacht werden, da diese recht viel Leistung benötigen. Aufgeladen wird die Brille über Micro-USB.

Google Glass kann zusammen mit der Smartphone-App Myglass verwendet werden. Diese läuft unter Android ab der Version 4.0.3, sofern das Telefon Bluetooth unterstützt. Myglass versorgt die Brille mit GPS-Daten und ermöglicht es, über die Datenbrille SMS zu versenden und zu empfangen.Für Entwickler hat Google ein Mirror API genanntes SDK für Google Glass veröffentlicht. Sie sollen damit Glassware genannte Apps für die Datenbrille entwickeln.Das von Google für Glass entwickelte Interface organisiert sämtliche Informationen in sogenannten Cards in einer Zeitleiste, durch die Nutzer vorwärts oder rückwärts blättern können. Diese Cards können Informationen aus verschiedenen Glassware-Apps enthalten. Zudem gibt es einige Standardkarten, die fest in der Timeline verankert sind und immer an der gleichen Stelle erscheinen - beispielsweise eine Card mit der aktuellen Zeit und eine, die alle Aufgaben zeigt, die sich mit Glass ausführen lassen. Über viele Cards lassen sich weitere Aktionen ausführen. Dazu müssen Nutzer nur einmal tippen.

Entwickler können neue Cards anlegen, vorhandene Cards ändern, auf Eingaben der Nutzer reagieren und auf Ereignisse reagieren, die Glass zur Verfügung stellt.Wer das Mirror API ausprobieren will, kann das auch ohne Google Glass tun. Google hat dazu einen Glass-Playground eingerichtet. Dieser gibt auch einen Eindruck davon, wie das User Interface von Glass funktioniert. Zudem erläutert Google in Videos auf Youtube, wie das Mirror API genutzt werden kann.Nokia will in den nächsten Tagen die Windows-Phone-8-Smartphones Lumia 520 und Lumia 720 auf den Markt bringen. Das Lumia 520 richtet sich vor allem an Einsteiger, der Listenpreis beträgt 200 Euro, im Handel kann es aber auch schon für 180 Euro bestellt werden. Voll im Zeitplan bringt Nokia die beiden neuen Lumia-Modelle 520 und 720 nun auf den Markt. Beide Modelle waren für das zweite Quartal 2013 angekündigt und kommen nun bereits zum Beginn des Quartals in den Handel. Nokia selbst verspricht, dass die beiden neuen Windows-Phone-8-Smartphones bereits bei einzelnen Händlern zu bekommen sein sollen. Aber weder bei den vier deutschen Mobilfunknetzbetreibern noch bei Onlinehändlern sind die beiden neuen Lumia-Modelle derzeit vorrätig. In den kommenden Tagen werden die beiden Smartphones aber wohl verfügbar sein.

Nokia hatte sowohl das Lumia 520 als auch das Lumia 720 auf dem Mobile World Congress Ende Februar 2013 in Barcelona vorgestellt. Der Listenpreis für das Lumia 520 liegt unverändert bei 200 Euro, im Handel kann es aber schon für 180 Euro vorbestellt werden. Damit ist es das bisher preisgünstigste Lumia-Smartphone von Nokia. Als Nokia seinerzeit das Lumia 620 als preisgünstiges Windows-Phone-8-Smartphone vorstellte, sollte es für 240 Euro auf den Markt kommen, kam dann aber für 270 Euro. Für das Lumia 720 hat Nokia einen Listenpreis von 380 Euro festgelegt; Kunden bekommen es aber schon für 340 Euro.Das Lumia 520 hat einen 4 Zoll großen Touchscreen mit einer Auflösung von 800 x 480 Pixeln, was einer Pixeldichte von 233 ppi entspricht. Das Display soll kratzfest sein und sich auch ohne Einschränkungen mit herkömmlichen Handschuhen oder Fingernägeln bedienen lassen. Rückwärtig ist eine 5-Megapixel-Kamera mit Autofokus eingebaut, auf eine Frontkamera wurde wohl aus Kostengründen verzichtet. Im Smartphone steckt ein Dual-Core-Prozessor mit 1-GHz-Taktrate aus Qualcomms Snapdragon-Familie. Der Arbeitsspeicher fasst 512 MByte, der Flash-Speicher ist 8 GByte groß und es gibt einen Steckplatz für Micro-SD-Karten mit bis zu 64 GByte.Das Smartphone unterstützt die UMTS-Frequenzen 900 und 2.100 MHz sowie HSDPA mit bis zu 21 MBit/s. Ferner gibt es Quad-Band-GSM, Single-Band-WLAN nach 802.11 b/g/n sowie Bluetooth 3.0. Im Gerät stecken ein GPS-Empfänger und eine 3,5-mm-Klinkenbuchse.

Das Gehäuse des Lumia 520 misst 119,9 x 64 x 9,9 mm und wiegt 124 Gramm. Die Hüllen können vom Käufer ausgetauscht werden. Im UMTS-Betrieb wird mit einer Akkuladung eine Sprechzeit von knapp 10 Stunden versprochen, die sich im GSM-Betrieb auf fast 15 Stunden erhöhen soll. Im Bereitschaftsmodus gibt Nokia eine Akkulaufzeit von maximal 15 Tagen an. Der Akku hat eine Kapazität von 1.430 mAh.Das Mittelklassemodell Lumia 720 hat ebenfalls einen Touchscreen, der mit herkömmlichen Handschuhen oder mit den Fingernägeln bedient werden kann. Bei einer Bilddiagonalen von 4,3 Zoll gibt es eine Auflösung von 800 x 480 Pixeln, was eine Pixeldichte von 217 ppi ergibt. Durch Gorilla-Glas sollen Kratzer und Beschädigungen am Display verhindert werden.Für Foto- und Videoaufnahmen gibt es auf der Gehäuserückseite eine 6,7-Megapixel-Kamera mit Autofokus, BSI-Sensor und LED-Licht. Auf der Vorderseite ist eine 1,3-Megapixel-Kamera für Videokonferenzen untergebracht. Prozessor, Arbeitsspeicher, Flash-Speicher und Speicherkartensteckplatz sind identisch zum Lumia 520.

Das Smartphone deckt die vier UMTS-Frequenzen 850, 900, 1.900 und 2.100 MHz ab und arbeitet in allen vier GSM-Netzen. Es beherrscht GPRS, EDGE sowie HSDPA mit bis zu 21 MBit/s und HSUPA mit bis zu 5,7 MBit/s. Als weitere Drahtlostechniken gibt es Single-Band-WLAN nach 802.11 b/g/n sowie Bluetooth 3.0. Im Gerät stecken ein GPS-Empfänger mit Kompassfunktion, ein NFC-Chip und eine 3,5-mm-Klinkenbuchse.128 Gramm wiegt das Lumia 720, das in einem 127,9 x 67,5 x 9 mm großen Gehäuse steckt. Der 2.000-mAh-Akku soll im GSM-Betrieb eine beachtliche Sprechzeit von etwas mehr als 23 Stunden schaffen. Im UMTS-Betrieb verbleiben immer noch gut 13 Stunden. Für den Bereitschaftsmodus gibt Nokia eine Akkulaufzeit von fast 22 Tagen an. Das Lumia 720 unterstützt wie das Lumia 820 und das Lumia 920 die drahtlose Ladetechnik, mit der der Akku ohne Anstöpseln von Kabeln geladen werden kann.

Samsungs Galaxy Xcover 2 ist für Nutzer gedacht, die ihr Smartphone auch jenseits gemähter Rasen und geteerter Straßen nutzen wollen. Nach einem ersten Tauchgang hat uns das Gerät aber einen gehörigen Schrecken eingejagt. Es hat den Charme eines Schweizer Taschenmessers und ist auch für den Außengebrauch gedacht: Das Galaxy Xcover 2 von Samsung ist nach IP67 zertifiziert. Versenkt man es eine halbe Stunde einen Meter tief unter Wasser und buddelt es dann im Sand ein, soll es weiterhin tadellos funktionieren. Wir haben beides getan. Ganz dicht schien das Camping-Smartphone aber nicht. Auch ganz so schick und kräftig wie das ebenfalls wasserdichte Xperia Z von Sony ist es nicht. Dafür kostet es aber weniger als die Hälfte. Die Hardware des Galaxy Xcover 2 ist nicht gerade aktuell. Auf dem Samsung-eigenen Exynos 4210 sind zwei CPU-Kerne verbaut, die sich mit bis zu 1 GHz takten lassen. Entsprechend niedrig fiel mit 615 das Resultat des Geekbench-Benchmarks aus. Aktuelle Smartphones mit Quadcore-CPUs, etwa das Xperia Z mit 2.048 Punkten, liegen allesamt im vierstelligen Bereich. Selbst das etwas betagte Galaxy Nexus mit seinem Zweikernprozessor schafft durchschnittlich 1.050 Punkte.

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Akku HP EV06

Das Fonepad hat ein Display mit einer Bilddiagonalen von 7 Zoll und einer Auflösung von 1.280 x 800 Pixeln, was eine Pixeldichte von knapp 216 ppi ergibt. Damit entsprechen die Daten denen des Nexus 7. Beim Ausprobieren auf dem Mobile World Congress 2013 zeigte sich, dass das IPS-Panel blickwinkelstabil ist. Uns störte allerdings, dass das Display schnell verschmierte. Asus verzichtet vermutlich aus Preisgründen auf eine Antifettbeschichtung.Im Inneren des Fonepads arbeitet ein Z2420-Atom-Prozessor von Intel mit 1,2 GHz. Damit ist die Leistung des Prozessors von der Taktrate her niedriger als die des Z2480 beim Motorola Razr I (2 GHz) und des Z2460 beim ZTE Grand X In (1,6 GHz), und das war beim Antesten auch spürbar. Das SoC hat nur einen Kern und Intels Hyper-Threading-Technik kann das nicht ausgleichen: Ab und an bemerkten wir beim Aufrufen von Webseiten oder beim Scrollen ein Stocken. Unter Umständen wurden diese Ruckler durch Optimierungen beim fertigen Gerät noch ausgeglichen.

Da Intel-Prozessoren im Standby-Betrieb die Leistungsaufnahme auf ein Minimum zurückschrauben, dürfte die Akkulaufzeit des Fonepads im täglichen Betrieb vergleichbar gut sein wie die des Razr I und des Grand X In. Asus gibt die Laufzeit des 4.270-mAh-Akkus mit bis zu neun Stunden an. Der Wert wurde bei Betrachtung eines 720p-Films bei einer Bildschirmhelligkeit von 100 nits und mit aktiviertem WLAN und UMTS ermittelt. Im Bereitschaftsmodus mit aktiviertem Modem soll der Akku rund 31 Tage durchhalten.Das Tablet mit 1 GByte Arbeitsspeicher hat 16 GByte Flash-Speicher und einen Steckplatz für Micro-SD-Karten mit bis zu 32 GByte. Dem Nexus 7 fehlt ein solcher Steckplatz, so dass sich der Besitzer mit dem internen Speicher begnügen muss. Rückseitig hat das Fonepad in Deutschland keine Kamera, nur vorne gibt es eine 1,2-Megapixel-Kamera. Asus liefert das Tablet mit Android 4.1 alias Jelly Bean aus. Ob es später ein Update auf das aktuelle Android 4.2 geben wird, ist nicht bekannt.Das Fonepad unterstützt Quad-Band-GSM und UMTS auf den Frequenzen 850, 900, 1.900 und 2.100 MHz mit HSDPA mit maximal 21 MBit/s und HSUPA mit bis zu 5,76 MBit/s. Für den Mobilfunkbetrieb ist eine Micro-SIM-Karte (3FF) notwendig. Zudem unterstützt es nur Single-Band-WLAN nach 802.11b/g/n. Bluetooth wird in der Version 3.0 unterstützt, ein GPS-Modul ist ebenfalls eingebaut.

Der Aiptek Car Camcorder X-mini ist eine kleine Videokamera für das Auto, die automatisch zu filmen beginnt, wenn sich das Fahrzeug in Bewegung setzt. Auch wenn das Auto parkt, filmt die Kamera, wenn sich im Erfassungsbereich etwas bewegt. Die Unfallkamera Aiptek Car Camcorder X-mini filmt den Straßenverkehr aus einer Position hinter der Windschutzscheibe. Dort wird sie mit dem beiliegenden Saugnapf befestigt. Damit möglichst viel vom Verkehrsgeschehen aufgezeichnet wird, wurde ein Weitwinkelobjektiv mit einem Blickwinkel von 128 Grad eingebaut. Die Auflösung der Kamera liegt bei 1.920 x 1.080 Pixeln bei 30 Bildern pro Sekunde. Gespeichert wird das H.264-Videomaterial auf SDHC-Speicherkarten mit maximal 32 GByte Kapazität. Die Aufnahme startet, wenn das Fahrzeug in Bewegung gesetzt wird. Droht die Speicherkarte vollgeschrieben zu werden, löscht die Kamera die ältesten Daten automatisch. Ein Unfall wird durch den Beschleunigungssensor automatisch erkannt und die Videos auf der Speicherkarte vor dem Überschreiben geschützt.Die Stromversorgung erfolgt über den Zigarettenanzünder oder einen integrierten Akku. Der kann auch genutzt werden, um die Bewegungserkennung beim Parken zu nutzen. Sie startet eine Aufnahme, wenn sich im Sichtbereich der Kamera etwas tut. Eine LED soll die unmittelbare Umgebung erleuchten.

Die Videos können auf dem 2,4 Zoll großen Display oder über HDMI ausgegeben werden. Der Car Camcorder X-mini von Aiptek misst 65 x 62 x 27 mm und soll rund 120 Euro kosten. Ein technisches Datenblatt hat Aiptek als PDF zur Verfügung gestellt.Toshiba führt mit "Kira" eine neue Luxusmarke ein. Als erstes Produkt unter dem neuen Namen stellt das Unternehmen das Kirabook vor, ein High-End-Ultrabook, das auf seinem 13,3-Zoll-Display 2.560 x 1.440 Pixel zeigt. Was bei Apple Retina heißt, nennt Toshiba Pixelpure. Ein hochauflösendes Display, ein Gehäuse aus Magnesium und Aluminium, hochwertiges Design und Platinum-Support sollen Toshibas neues Kirabook prägen. Es ist das erste Gerät von Toshibas neuer Luxusmarke Kira, das auf den Markt kommt. Kira-Geräte sollten mehr sein als nur eine Zusammenstellung aktueller Hardware: ein Aushängeschild für Ingenieurskunst, erklärt Toshiba. So ist das Kirabook Toshibas erstes Notebook, das mit einem Pixelpure-Display ausgestattet wird. So bezeichnet Toshiba Displays mit sehr hoher Pixeldichte. Apple nennt das Retina. Mit 2.560 x 1.440 Pixeln auf einem 13,3-Zoll-Display kommt das Kirabook auf eine Pixeldichte von 221 Pixeln pro Zoll. Das liegt minimal unter den 227 Pixeln pro Zoll, die Apples Macbook Pro mit 13,3 Zoll erreicht, das 2.560 x 1.600 Pixel zeigt. Mit 239 Pixeln pro Zoll schafft Google Chromebook noch etwas mehr.

Toshiba bietet das Kirabook sowohl mit als auch ohne Touchscreen an. Bei den Touchscreen-Modellen kommt Cornings Concore Glass zum Einsatz. Es soll das Display vor Kratzern schützen und Multitouch mit bis zu zehn Fingern erlauben.Damit das Kirabook auch gut klingt, hat Toshiba Stereolautsprecher von Harman Kardon integriert, die durch eine Audioverarbeitung von DTS ergänzt werden.Das Gehäuse des Kirabook besteht aus der Magnesium-Aluminium-Legierung AZ91, die in eine Honigwabenstruktur gepresst wird. Es soll so zehnmal fester sein als Aluminium allein. Für das Innere setzt Toshiba auf sein Kühlsystem Airflow 2 und verbaut eine SSD mit 256 GByte Speicherkapazität. Zudem stecken 8 GByte Speicher und ein Intel-Core-Prozessor der dritten Generation in dem Gerät.Ein Lithium-Polymer-Akku (vier Zellen, 52 Wh) ist fest integriert und soll für eine Akkulaufzeit von rund 6 Stunden sorgen. Dabei wiegt das Kirabook rund 1,18 kg und ist 1,77 cm dick.

Ergänzt wird das Luxusversprechen der neuen Marke durch Toshibas Platin-Support. Dieser umfasst zwei Jahre Garantie, Telefonsupport rund um die Uhr, schnelle Reparaturen, Hilfe bei der Einrichtung und eine kostenlose jährliche Überholung des Geräts. Als Betriebssystem kommt Windows 8 Pro zum Einsatz.Toshiba will das Kirabook vorerst nur in den USA in drei Konfigurationen anbieten. Das kleinste Modell mit Core i5 und ohne Touchscreen soll 1.599 US-Dollar kosten, das mittlere mit Core i5 und Touchscreen 1.799 US-Dollar und das große mit Core i7 und Touchscreen 1.999 US-Dollar. Das Kirabook soll in den USA ab dem 3. Mai 2013 vorbestellt werden können. Die Auslieferung soll am 12. Mai 2013 starten.Eine dreidimensionale Nanostruktur soll einem Lithium-Ionen-Akku Eigenschaften verleihen, die sonst Superkondensatoren vorbehalten sind. Die neue Technik soll winzige und dennoch leistungsfähige Stromspeicher ermöglichen. Forscher in den USA haben einen neuen Mini-Akku entwickelt. Dieser soll die positiven Eigenschaften sowohl von Akkus als auch von Superkondensatoren haben.

Akkus können zwar viel Energie speichern, geben diese aber nur langsam ab und werden auch nur langsam geladen. Superkondensatoren hingegen können schnell viel Energie abgeben und ebenso schnell wieder geladen werden. Dafür ist ihre Speicherkapazität begrenzt. Der Lithium-Ionen-Akku, den die Wissenschaftler um William King von der Universität von Illinois in Urbana-Champaign entwickelt haben, soll beides können. Das Geheimnis sei der innere Aufbau des Akkus, erklären die Forscher: Die Mikroarchitektur ermögliche gleichzeitig den schnelleren Transport von Ionen und Elektronen, schreiben sie in der Fachzeitschrift Nature Communications. Ausgangspunkt war die Kathode, die eine Forschergruppe der Universität von Illinois um Paul Braun 2011 vorgestellt hatte. Auch diese verfügt über eine dreidimensionale Nanostruktur, die schnelles Laden und Entladen ermöglicht, ohne die Speicherkapazität der Akkus zu schwächen.Das Team um King hat nach diesem Konzept eine Anode entwickelt und aus den beiden Elektroden einen Akku gebaut, der Energie speichere wie ein Akku und schnell Leistung freisetze sowie geladen werde wie ein Kondensator. Durch Veränderungen an der Nanostruktur sei es zudem möglich, die Akkus etwas mehr auf Leistung oder Speicherfähigkeit zu trimmen.

"Jedes elektronische Gerät ist von der Größe des Akkus abhängig - bis jetzt", sagte King. Viele Geräte etwa hätten eine winzige Elektronik, aber einen überdimensional großen Akku. "Jetzt ist der Akku auch winzig." Entsprechend ließen sich auch Geräte in allen möglichen Sparten schrumpfen: Implantate, Sensoren und natürlich auch mobile Endgeräte - etwa ein Mobiltelefon von der Größe einer Kreditkarte, das in knapp einer Sekunde geladen sei.Ricoh hat mit der GR eine Kompaktkamera mit einem Sensor vorgestellt, der sonst vor allem in DSLRs eingebaut wird. Das APS-C-Modell nimmt Fotos mit 16,2 Megapixeln auf und besitzt keinen Tiefpassfilter. Das soll die Abbildungsqualität erhöhen. Die GR ist Richos aktuelle Kompaktkamera. Ihr APS-C-Sensor (23,7 x 15,7 mm) arbeitet mit einer Auflösung von 16,2 Megapixeln. Ihm fehlt der sonst übliche Tiefpassfilter zur Reduzierung von Moiré-Effekten. Durch das Weglassen wird das Auflösungsvermögen des Sensors erhöht, so dass mehr Details in den Bildern zu sehen sind. Sollten doch einmal diese Effekte auftreten, können sie laut Ricoh auf Knopfdruck per Softwareeingriff reduziert werden.

Die Lichtempfindlichkeit der kleinen Kamera reicht von ISO 100 bis 25.600 und die Serienbildfunktion ermöglicht Aufnahmegeschwindigkeiten von bis zu 4 Bildern pro Sekunde.Auch das Zoomobjektiv ließ Ricoh weg und baute ein Festbrennweitenmodell mit 28 mm Brennweite (Kleinbild) mit einer Anfangsblendenöffnung von f/2,8 ein. Ein eingebauter ND-Filter gibt die Möglichkeit, das einfallende Licht zu reduzieren, auch wenn die Blende weit geöffnet sein soll. Das Gehäuse der Ricoh GR besteht aus einer Aluminium-Magnesium-Legierung.Nach Angaben des japanischen Herstellers soll die Einschaltzeit bei ungefähr einer Sekunde liegen. Innerhalb von 0,2 Sekunden soll die Kamera scharf stellen. Neben der Programmautomatik stehen auch eine Zeit- und Blendenautomatik sowie eine ISO-Automatik nach Zeit- und Blendenvorwahl und eine manuelle Einstellmöglichkeit für Belichtungszeit und Blende zur Verfügung. Wer will, kann eine automatische Belichtungsreihe mit variabler Zeit und unterschiedlichen Weißabgleichseinstellungen, Effekten und Kontrasteinstellungen aufnehmen.Die Ricoh GR verfügt über einen eingebauten Blitz mit einer Leitzahl von 5,4. Auf den Blitzschuh kann ein externer Zusatzblitz oder ein optional erhältlicher optischer Sucher gesteckt werden. Ansonsten übernimmt das 3 Zoll (7,62 cm) große Display mit 1,23 Millionen Bildpunkten die Aufgabe des Suchers.

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February 25, 2017

Akku Acer Aspire AS5745PG-5978

Der APS-C-Sensor mit 28 Megapixeln (6.480 x 4.320 Pixel) kann nicht nur Fotos aufnehmen, sondern auch Cinema-4K- und UHD-Videos drehen - allerdings im unhandlichen, weil noch nicht sehr breit unterstützten H.265-Format im HEVC-Codec. Die Auflösungen liegen bei 4.096 x 2.160 Pixeln (24p) und 3.840 x 2.160 Pixeln (30p). Auch Full-HD mit 60p, 50p, 30p, 25p und 24p ist möglich - auf den 120p-Modus hat Samsung bei der kleineren Version verzichtet. Die Kamera kann Standbilder in voller Videoauflösung aus dem Filmmaterial heraus exportieren.Dazu kommt ein Autofokussystem, das Samsung in beiden Kameras einsetzt und das noch bei recht schlechtem Licht arbeiten kann. WLAN (802.11/b/g/n) beherrscht die neue Kamera ebenfalls, um Daten zu Smartphones, Tablets oder Rechnern zu übertragen. Auch Bluetooth ist eingebaut.

Die NX500 kann allerdings "nur" 9 Bilder pro Sekunde im Serienbildmodus aufnehmen - während es bei der NX1 15 Fotos pro Sekunde in voller Auflösung bei nachschärfendem Autofokus sind. Die NX500 besitzt ein ausklappbares Display mit Touchscreen und 3 Zoll großer Diagonale. Es ist als Amoled ausgeführt und erreicht eine Auflösung von 1,04 Millionen Bildpunkten. Einen optischen Sucher wie bei der NX1 gibt es bei der NX500 nicht. Wer im grellen Sonnenlicht fotografiert, dürfte wie bei einer Kompaktkamera Probleme mit der Ablesbarkeit des Displays bekommen.Der winzige Akku soll für 370 Fotos gut sein, bevor er wieder aufgeladen werden muss. Ein Zweitakku sollte deshalb bei längeren Ausflügen geladen in der Fototasche liegen.

Ohne Objektiv misst die NX500 120 x 64 x 43 mm und wiegt samt Akku 287 Gramm. Die kleine Kamera soll ab März 2015 in den Farben Schwarz, Weiß und Braun zusammen mit dem Objektiv "16-50mm F3.5-5.6 Power Zoom ED OIS" für rund 750 Euro auf den Markt kommen.Microsoft bietet sein neues Smartphone Lumia 435 ab nächster Woche in Deutschland an. Für 90 Euro bekommen Nutzer ein einfaches Einsteigergerät mit 4-Zoll-Display, Dual-Core-Prozessor und 21 Tagen Standby-Zeit. Das neue Windows-Phone-Smartphone Lumia 435 soll Mitte Februar 2015 in Deutschland erscheinen. Das Gerät ist mit einer unverbindlichen Preisempfehlung von nur 90 Euro das bisher günstigste Lumia auf dem deutschen Markt. Das Lumia 435 ist ein klassisches Einsteigergerät: Das Display ist 4 Zoll groß und hat eine Auflösung von 800 x 480 Pixeln, was zu einer Pixeldichte von 233 ppi führt. Im Inneren des Smartphones arbeitet ein älterer Snapdragon-200-Prozessor als Dual-Core-Variante mit einer Taktrate von 1,2 GHz. Der Arbeitsspeicher ist 1 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher 8 GByte. Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten bis 128 GByte ist eingebaut.

Erfahrungsgemäß reicht eine derartige Ausstattung bei Windows-Phone-Smartphones für eine ruckelfreie Darstellung, was die günstigen Lumias mit zu den besten preiswerten Einsteigergeräten auf dem Markt macht. So läuft etwa das Lumia 520 mit Dual-Core-Prozessor und 512 MByte Arbeitsspeicher ebenfalls flüssig. Bis Android 4.4.x alias Kitkat war das bei günstigen Android-Geräten eher nicht der Fall.Das Lumia 435 deckt Dual-Band-UMTS auf den Frequenzen mit 900 und 2.100 MHz ab, hat einen GPS-Empfänger und unterstützt Quad-Band-GSM, Bluetooth 4.0 sowie Single-Band-WLAN nach 802.11 b/g/n.Verglichen mit dem Lumia 520 hat das 435 eine geringer auflösende Kamera: Die Rückkamera hat 2 Megapixel, die Frontkamera 0,3 Megapixel. Der Akku hat eine Nennladung von 1.560 mAh und soll laut Hersteller für eine Standby-Zeit von 21 Tagen reichen. Die Gesprächszeit im UMTS-Modus soll 11,7 Stunden betragen. Wie diese Werte ermittelt wurden, ist unbekannt.

Das Lumia 435 wird mit Windows Phone 8.1 und Lumia Denim ausgeliefert. Zunächst wird das Smartphone nur bei der Deutschen Telekom erhältlich sein, kann dort aber ohne Vertrag gekauft werden.Übereinander statt nebeneinander: Samsungs ePOP integriert Arbeits- und Flash-Speicher in ein Package. Das spart Platz, der für einen größeren Akku verwendet werden kann - etwa im Galaxy S6. Samsung hat die Serienfertigung des laut eigener Angabe weltweit ersten ePOP angekündigt. Das steht für Embedded Package on Package und beschreibt die Integration zweier für Smartphones wichtiger Bauteile: den Arbeitsspeicher und den Flash-Speicher in Form einer eMMC (Embedded Multimedia Card).Samsungs Embedded Package on Package kombiniert 3 GByte LPDDR3-1866-Arbeitsspeicher und 32 GByte NAND-Flash in einem Chipgehäuse, indem der DRAM und die eMMC samt einer zusätzlichen Controllereinheit übereinandergestapelt werden (Die Stacking).

Bei bisher üblichem Package on Package sitzt der Arbeitsspeicher auf dem System-on-a-Chip, da der DRAM kleiner ist als der Prozessor und daher sein Kontakt nach unten durchgeführt und dort mit der Hauptplatine verlötet wird. Laut Samsung belegt eine solche Kombination beispielhaft 15 x 15 mm plus 13 x 11,5 mm für die eMMC - insgesamt also eine Fläche von 375 mm².Wird das Embedded Package on Package bestehend aus DRAM, Flash und Controller auf das System-on-a-Chip gestapelt, bleibt es bei der Größe des Prozessors - also 15 x 15 mm oder 225 mm². Samsungs Lösung würde somit nur knapp zwei Drittel des Platzes eines Package on Package zuzüglich der eMMC benötigen. Laut Hersteller soll die bei Smartphones übliche maximale Package-Höhe von 1,4 mm nicht überschritten werden.Die eingesparte Fläche resultiert in einer kompakteren und weniger komplexen Hauptplatine, womit im Smartphone mehr Platz für einen größeren Akku bleibt oder das Gerät bei identischer Hardware kleiner ausfallen kann.

Eine riesige, weitgehend frei zugängliche Inselwelt voller Abenteuer: Das Action-Spiel Radiation Island erinnert an Titel wie Far Cry - läuft aber auf aktuellen Smartphones und Tablets unter iOS. Das Ziel in dem nur für iOS verfügbaren Radiation Island: Überleben, die aus vier Inseln bestehende Welt erkunden und einen Weg zurück nach Hause finden. Wenn es etwas gibt, das in Filmen und Spielen zuverlässig schiefläuft, dann das sagenumwobene Philadelphia Experiment. Es bildet auch die Basis für den Titel von Atypical Games und ist eine unkomplizierte Erklärung, warum der namenlose Spieler eines schönen Tages allein an einem Traumstrand aufwacht. Der Spieler sieht die Welt aus der Ich-Perspektive, die Steuerung erfolgt über eine Art virtuelles Touchpad. Praktisch: Wer ganz am Horizont einen Feind sieht, kann ihn durch simples Antippen auf dem Touchscreen als Ziel markieren. Dann hält ihn die virtuelle Kamera zuverlässig in der Bildschirmmitte. In Kämpfen muss der Spieler ein links und rechts an der Seite angebrachtes Symbol berühren, um so etwa mit seiner Axt zuzuschlagen.

Anfangs macht der einsame Abenteurer so Jagd auf Karnickel - in Radiation Island muss er regelmäßig essen, um maximal kampfbereit zu sein. Später geht es dann auch gegen Wölfe, Bären und vor allem gegen gefährliche Zombies. Die jeweiligen Aufgaben kann der Spieler in seinem Journal sehen. Das listet auf mehreren (kurzen) Seiten alle Jobs auf, inklusive der finalen Flucht.Neben der Erkundung der Welt und den zahlreichen Kämpfen gibt es noch mehr zu tun. So gibt es ein einfaches Crafting-System, für das der Spieler allerlei Ressourcen sammeln muss, um neben Waffen auch eine Angelleine oder Kleintierfallen basteln zu können.Die Grafik macht für ein Mobilegame einen erstklassigen Eindruck: Insbesondere auf den neuen Geräten von Apple mit Unterstützung der Metal-API ist die Sichtweite enorm. Es gibt sehr unterschiedliche Umgebungen: breite Strände, schöne Seen, kleine verlassene Dörfer, Berge und mehr.

Dazu kommt ein gut umgesetzter Tag- und Nachtwechsel - bei Dunkelheit ist das Umherstreifen natürlich besonders gefährlich. Ein nicht ganz unerhebliches Problem der rechenintensiven Grafikpracht ist übrigens, dass Radiation Island den Akku sehr schnell leert - länger spielen ist fast nur mit angeschlossenem Stromkabel möglich.Radiation Island ist für rund 3 Euro als circa 750 MByte große Universal App über iTunes erhältlich. Das Spiel benötigt mindestens iOS 7. Ganz klar ist leider nicht, auf welchen Geräten das Spiel wirklich gut läuft. Einigermaßen sicher können Spieler ab einem iPhone 5 sein.Die Entwickler selbst sagen, dass ihr Programm für iPhone 6 und iPhone 6 Plus optimiert ist. Auf Hardware mit A7- und A8-Prozessor verwendet es die Grafik-API Metal; der A7 wird im ersten iPad Air, dem iPad Mini 2 und 3 und dem iPhone 5S verbaut. Eine offizielle deutsche Alterseinstufung durch die USK liegt nicht vor; nach Einschätzung von Golem.de würde das Spiel wohl eine Freigabe ab 12 oder 16 Jahren erhalten.

Schon als Technikdemo würde Radiation Island eine sehr gute Figur machen: Es ist mal wieder beeindruckend, was Smartphones und Tablets mittlerweile an virtuellen Welten und an imposanter Grafik darstellen können. Mit richtig aktuellen PC-Spielen hält das Programm zwar nicht mit - aber ein Far Cry 4 kann auch auf Ressourcen in ganz anderer Größenordnung zugreifen.Zum Glück ist Radiation Island auch spielerisch gelungen. Sogar die Steuerung mit der ausreichend zuverlässigen Zielaufschaltung sogar über große Distanzen funktioniert gut. Auch der Rest der Bedienung ist durchdacht, etwa die gute Übersichtskarte und das Journal. Dazu kommen interessante Aufgaben, eine vergleichsweise abwechslungsreiche Insellandschaft und viele Überraschungen.

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Akku HP 2000-425nr

Das Venue 8 7840 ist mit 6 mm sehr dünn, Dell bezeichnet es als das dünnste Tablet der Welt. Das OLED-Display ist 8,4 Zoll groß und hat mit 2.560 x 1.600 Pixeln eine sehr hohe Auflösung - die Pixeldichte beträgt 359 ppi. Im Inneren arbeitet Intels Atom-Z3580-Quad-Core-Prozessor mit einer Taktrate von 2,3 GHz. Der Arbeitsspeicher ist 2 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher 16 GByte. Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten bis 512 GByte ist eingebaut. Bluetooth läuft in der Version 4.0, WLAN nach 802.11a/b/g/n und ac. Ein Mobilfunkmodem hat das Tablet nicht.Besonders ist die Kameraausstattung des Venue 8: Das Realsense genannte Kamerasystem nimmt mit drei Objektiven Fotos mit Tiefeninformationen auf. Dadurch kann bei Fotos im Nachhinein der Fokus neu gesetzt werden, diese Funktion gibt es bereits bei anderen Herstellern wie etwa HTC. Neu ist hingegen die Möglichkeit, Details aufgenommener Fotos maßstabsgenau ausmessen zu können. So können beispielsweise Entfernungen oder Höhen berechnet werden.

Bei der Vorstellung des Venue 8 machte Dell umfangreiche Versprechungen bezüglich der Tauglichkeit in Unternehmen. Dell unterstützt den eigenen Dellcast-Stick, um aus dem Tablet einen Rechner zu machen. Zudem soll es Support-Optionen geben, die den Unternehmenseinsatz erleichtern. Administratoren sollen zentral in der Lage sein, die Geräte zu untersuchen, Passwörter zu löschen und Profile zu modifizieren. Per Miracast kann der Bildschirminhalt an einen entsprechenden Monitor gespiegelt werden.Das Venue 8 7840 ist 215,8 x 124,4 x 6 mm groß und soll nur 305 Gramm wiegen. Ausgeliefert wird es mit Android 4.4. Der Akku hat eine Kapazität von 21 Wattstunden und soll besonders lange durchhalten. Nähere Angaben zur Akkulaufzeit macht der Hersteller nicht.

Der Wettstreit um die höchste Auflösung geht weiter: Canon hat zwei Vollformat-DSLRs mit einem 50-Megapixel-Sensor vorgestellt. Allerdings lassen sie in manchen Bereichen zu wünschen übrig. Digitale Spiegelreflexkameras (DSLR) mit der Auflösung einer Mittelformatkamera: Der neue Vollformatsensor des japanischen Herstellers Canon hat eine Auflösung von 50,6 Megapixeln - das entspricht beispielsweise der Auflösung der Mittelformatkamera Pentax 645z. Verbaut ist der Sensor in den beiden Kameras EOS 5DS und EOS 5DS R. Mit dem 50-Megapixel-Sensor, einem CMOS-Chip, übertrifft Canon die D810 von Konkurrent Nikon: Die im vergangenen Jahr vorgestellte Vollformat-DSLR hat eine Auflösung von 36,3 Megapixeln.Der Autofokus der beiden DSLRs bietet 61 Messpunkte, davon sind 36 Kreuz- und 5 Doppelkreuzsensoren. Das entspricht dem Autofokussystem der 2012 vorgestellten EOS 5D Mk III. Die Kameras sind mit einem System zur Schärfenachführung auf Gesichter und Gegenstände ausgestattet, das Canon als iTR (Intelligent Tracking and Recognition) bezeichnet. Der optische Sucher hat einen Ausschnitt von 100 Prozent.

Die Lichtempfindlichkeit hingegen ist nicht so stark: Sie reicht bei beiden Kameras von Iso 100 bis Iso 6.400 und kann nach unten und oben jeweils um eine Stufe auf Iso 50 und Iso 12.800 erweitert werden. Zum Vergleich: Die EOS 5D Mk III hat eine Lichtempfindlichkeit von Iso 100 bis Iso 25.600, die auf Iso 50 bis Iso 102.400 erweitert werden kann.Die relativ geringe Lichtempfindlichkeit bedeutet ein besseres Rauschverhalten: Mit steigender Iso-Zahl wird auch das Rauschen stärker. Ein Höchstwert von Iso 12.800 ist dennoch relativ gering für eine Vollformat-DSLR. Es ist vorstellbar, dass sich die Programmierer von Magic Lantern dessen annehmen. Falls sie eine Version der alternativen Firmware für die beiden Kameras programmieren, könnten sie den Iso-Bereich erweitern.Die Kameras nehmen fünf Bilder pro Sekunde bei voller Auflösung auf. Für die Bilderverarbeitung sorgt jeweils ein Dual-Digic-6-Prozessor. Die Belichtungszeit reicht von 1/8.000 Sekunde bis zu 30 Sekunden. Der Crop-Faktor der Kameras lässt sich verändern: von Vollformat, also 1, auf 1,3 und 1,6 - Letzteres entspricht dann dem Bildausschnitt einer Kamera mit APS-C-Sensor.

Das kann verschiedene Vorteile haben: Bei einem größeren Crop-Faktor verlängert sich auch die Brennweite um diesen Faktor. Zudem hat ein Bild dann unter Umständen eine bessere Qualität: Die Abbildungsqualität eines Objektivs wird zu den Rändern hin schlechter. Wird der Bildzuschnitt verkleinert, wird nur der mittlere Bereich abgebildet, also der mit der geringsten Verzerrung. Allerdings sinkt dadurch die Auflösung: Bei einem Crop-Faktor von 1,6 beträgt sie 19 Megapixel.Der Flüssigkristallbildschirm auf der Rückseite der Kamera hat eine Diagonale von 3,2 Zoll (8,1 cm) und eine Auflösung von 1,04 Megapixeln. Wie bei der EOS 7D, die Canon auf der Photokina 2014 präsentierte, kann auch bei den beiden neuen EOS-5D-Modellen das Display nicht geklappt und geschwenkt werden. Offensichtlich hat Canon diese Funktion nur für die zwei- und dreistelligen Modellreihen vorgesehen.

Wie inzwischen bei DSLRs üblich, nehmen auch die EOS 5DS und die EOS 5DS R Videos auf. Die Auflösung ist allerdings Full-HD, also 1.920 x 1.080 Pixel. Wie bei der EOS 7D verzichtet Canon auch hier auf 4K. Die Bildrate bei voller Auflösung beträgt 30 Bilder pro Sekunde, bei einer Auflösung von 1.280 x 720 sind es 60 Bilder pro Sekunde. Bilder und Videos werden auf Compact-Flash- und SD-Karten gespeichert - die DSLRs haben zwei Einschübe für Speicherkarten.Das Gehäuse der Kameras besteht aus einer Magnesiumlegierung. Es ist etwa 15 x 12 x 8 cm groß. Das Gewicht ohne Akku und Speicherkarte beträgt etwa 850 Gramm. Die beiden Kameras unterschieden sich in einem Punkt: Beide haben sie einen Tiefpassfilter, der den Moiré-Effekt verhindern soll. Die EOS 5DS R hat zudem noch einen Tiefpass-Aufhebungsfilter, der für mehr Detailschärfe sorgt.

Zusammen mit den beiden DSLRs stellt Canon ein neues Ultraweitwinkel-Zoom vor, das den Brennweitenbereich von 11 bis 24 Millimetern abdeckt. Das Objektiv zeichnet sich laut Canon durch eine sehr geringe Verzerrung aus. Es hat eine Anfangsblende von f/4. Die Naheinstellungsgrenze bei einer Brennweite von 24 Millimetern liegt bei 28 Zentimetern. Das Objektiv ist gut 13 Zentimeter lang, der größte Durchmesser beträgt knapp 11 Zentimeter. Es wiegt knapp 1,2 Kilogramm.Canon hat die beiden Kameras für Juni angekündigt. Die EOS 5DS soll 3.500 Euro kosten, EOS 5DS R 3.700 Euro. Das Objektiv EF 11-24mm 1:4L USM kommt bereits Ende dieses Monats für 3.000 Euro auf den Markt.Canon hat gleich zwei Nachfolgemodelle für die EOS 700D vorgestellt. Beide Mittelklasse-DSLR-Modelle haben einen Sensor mit einer erhöhten Auflösung und Canons Digic-6-Bildprozessor - eines ist jedoch etwas besser ausgestattet.

MOS-Sensor mit einer effektiven Auflösung von 24,2 Megapixeln und nehmen im APS-C-Format auf. Der Sensor im Vorgängermodell EOS 700D kam auf eine Auflösung von 18 Megapixeln und es gab noch nicht Canons aktuellen Digic-6-Bildprozessor, sondern die Vorgängerversion. Die Lichtempfindlichkeit lässt sich auch bei den neuen Modellen von ISO 100 bis 25.600 einstellen. Unverändert blieb auch die Geschwindigkeit; es lassen sich bis zu 5 Bilder pro Sekunde in Serie aufnehmen. Für eine möglichst effiziente Schärfenachführung gibt es den neuen Hybrid-CMOS-Autofokus III, der auch weiche Fokusübergänge bieten soll. Das setzt aber Steppermotor-Objektive voraus, die durch ein STM-Kürzel gekennzeichnet sind. Die Scharfstellung soll dabei besonders leise sein und nicht ruckartig erfolgen - das ist beim Filmen wichtig.

Beide Kameras nutzen jetzt 19 Autofokus-Kreuzsensoren, im Vorgängermodell kamen nur neun solcher Sensoren zum Einsatz. Vor allem bei Sportaufnahmen sollen damit immer scharfe Motive entstehen. Das mit der EOS 7D Mark II eingeführte Verfahren zur Flacker-Erkennung verspricht mehr Flexibilität und gleichmäßig belichtete Bilder bei Leuchtstoffröhrenlicht. Videos können unter anderem im MP4-Format mit einer Auflösung von maximal 1.920 x 1.080 Pixeln bei 24, 25 oder 30 Bildern pro Sekunde samt Stereoton aufgezeichnet werden.Beide Kameras haben wie das Vorgängermodell einen 3 Zoll (7,62 cm) großen Touchscreen mit 1,04 Millionen Bildpunkten. Das Display ist klapp- und drehbar, damit sich Aufnahmen aus ungewöhnlichen Blickwinkeln heraus besser kontrollieren lassen. Als weitere Neuerung unterstützen beide Kameras jetzt WLAN und NFC, um Daten bequemer von der Kamera zu bekommen und an andere weiterzugeben. Die Kameras sind mit einem Steckplatz für SD-Karten versehen.

Im Unterschied zur EOS 750D hat die EOS 760D zusätzlich auf der Gehäuseoberseite ein LC-Display sowie ein Schnellwahlrad auf der Gehäuseseite. Damit soll sich die Kamera schneller und bequemer bedienen lassen.Das Kameragehäuse der EOS 750D misst 131,9 x 100,7 x 77,8 mm, die EOS 760D ist in der Höhe mit 100,9 mm minimal größer, die übrigen Daten sind identisch. Auch beim Gewicht gibt es geringe Unterschiede: Die EOS 750D wiegt mit Akku und Speicherkarte 555 Gramm, bei der 760D sind es 565 Gramm.Samsung hat mit der NX500 eine Systemkamera im Kompaktformat vorgestellt, die zahlreiche Funktionen der NX1 geerbt hat: Ein 28-Megapixel-Sensor und die 4K-Videoaufnahme sind dabei, genauso wie ein schnelles Autofokussystem. Auf einen optischen Sucher muss der Fotograf aus Platzgründen verzichten. Samsung hat die NX1 geschrumpft - dabei herausgekommen ist die NX500. Sie ist ebenfalls eine Systemkamera, die aber deutlich kleiner und leichter ist als die NX1, die DSLR-Format erreicht.

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Batterie DELL Vostro V13

De plus en plus, les fabricants de PC font des expériences avec Android, étant donné que les machines reposant sur Windows 8 ont du mal à attirer les consommateurs, selon les analystes. Google favorise Android comme système d'exploitation libre et ouvert, et de nombreuses entreprises de haute technologie sont déjà appuyés sur cet OS pour construire leurs smartphones et leurs tablettes. Rappelons que HP a déjà proposé un Chromebook animé par le Chrome OS du même Google. L'écosystème Android est toutefois beaucoup plus riche au niveau des applications.Les fabricants de PC s'en sortiront-ils en diversifiant leurs catalogues avec plus d'appareils Android, « mais la question qui vient immédiatement à l'esprit est de savoir à quoi cela va-t-il ressembler ? », a déclaré Bryan Ma, analyste chez IDC. « La plupart des bonnes applications Android ne sont pas vraiment adaptées pour des écrans plus grands. » D'autres constructeurs ont choisi d'adopter une approche plus hybride. Tant Asus et que Samsung ont dévoilé ce mois-ci des convertibles tablette/PC portable - sur base Intel cette fois - qui peuvent exécuter à la fois Windows et Android. Une étude montre que les personnes dont l'hémisphère gauche est dominant ont tendance à mettre leur téléphone à l'oreille droite, et vice-versa. Un résultat qui peut servir pour remplacer un test avant une chirurgie du cerveau

D'après un rapport sur HealthDay News, 95% de la population mondiale a un hémisphère gauche dominant, et ces personnes sont le plus souvent droitières. Le côté dominant du cerveau abrite la parole et le centre du langage. Dans une étude du Henry Ford Health System, à West Bloomfield dans le Michigan, des chercheurs ont trouvé que sur 700 personnes étudiées, 70% d'entre elles mettaient leur portable à l'oreille qui se trouvait du même côté que leur main dominante.Les chercheurs expliquent que cette étude pourrait permettre aux médecins de localiser le centre de la parole du patient avant une chirurgie du cerveau. « En définitive, cette procédure pourrait remplacer le test de Wada », explique le Dr. Michael Seidman, l'auteur de l'étude, à HealthDay News. Test standard pour déterminer la localisation exacte du centre de la parole chez un patient en chirurgie, le test de Wada est essentiel « afin de préserver avec soin les aptitudes linguistiques d'une personne », a-t-il ajouté. Or, ce test est invasif et risqué, et bien que regarder de quel côté le patient tient son portable n'est pas une preuve infaillible, cela peut donner au médecin « une petite idée d'où se trouve l'hémisphère dominant », explique-t-il.

Selon HealthDay News, parmi les personnes étudiées se trouvait 90% de droitiers. 68% d'entre eux utilisaient l'oreille droite, 25% l'oreille gauche et 7% les deux oreilles. Parmi les gauchers, 72% se servaient de leur oreille gauche, 23% de la droite et 5% des deux oreilles.Apple a dévoilé deux premiers frameworks permettant de prendre en charge les manettes de jeux vidéo sur iPhone et iPad, ce qui ravira les gamers et les développeurs de jeux.Selon des documents découverts par Touch Arcade sur le portail de développeurs d'Apple, le firme de Cupertino prévoit deux types de manettes : une qui accueillerait l'iPhone et le transformerait en console portative, et une autre indépendante, qui, comme la Playstation ou la Xbox, se connecterait sans fil au smartphone. Même si les détails sur ce projet manquent, il semble clair que Apple vise à standardiser le jeu sur iPhone et iPad, afin d'améliorer la jouabilité.

Même si Microsoft et Sony ont présenté des fonctionnalités toujours plus innovantes à venir sur la prochaine génération de consoles pendant l'E3 de Los Angeles, il semblerait que les jours des consoles de salon soient comptés. En effet, l'avenir du gaming pourrait se jouer dans les appareils mobile comme les smartphones et les tablettes.Par exemple, Juniper Research prévoit que d'ici 2017, 64,1 milliards d'applications de jeu seront téléchargées par an sur appareils mobiles, contre 21 milliards en 2012. Cet engouement grandissant a déjà un fort impact sur le marché traditionnel des jeux vidéo, avec des consoles portables comme la Sony PS Vita qui se battent pour se faire une place aux côtés des derniers smartphones signés Samsung ou Apple. Des chercheurs d'Intel étudient l'activité cérébrale des conducteurs pour améliorer la sécurité de la conduite et réduire le nombre d'accidents sur les routes. Plusieurs expériences ont été menées dans ce sens.Intel veut en savoir plus sur la façon de conduire des automobilistes. Pour cela, la société utilise une technique de scanner cérébral aussi appelée spectroscopie à infrarouge pour faire la différence entre les moments où le conducteur se concentre sur la route et ceux pendant lesquels ses pensées sont occupées à autre chose.

Paul Crawford, directeur de recherche chez Intel Labs et qui travaille sur ce projet, indique, « nous essayons de mieux comprendre les gens, ce qu'ils pensent, ce qu'ils ressentent ». Lors d'une démonstration à San Francisco, le fondeur a mesuré l'activité cérébrale d'un pilote assis dans un simulateur. La personne conduisait virtuellement une formule 1 sur un anneau de course à 80 km/h dans un premier test, puis à 400 km/h dans un second test.Des capteurs infrarouges étaient placés sur la tête du conducteur pour analyser l'activité cérébrale. Les chercheurs ont été capable, lors des 2 tests, de constater des différences de concentration, plus intense quand la voiture va vite, moins soutenue à plus faible vitesse. « Quand vous êtes au volant, parfois vous regardez la route en faisant attention et dans d'autres cas vous regardez aussi la route mais vous êtes distraits. « Il s'agit de différences subtiles, que nous pourrons, je l'espère, expliquer ou au moins émettre des hypothèses », souligne Paul Crawford. Ces informations pourraient être un jour intégrées dans les ordinateurs de bord, qui pourront ajuster certains paramètres en fonction de la conduite, comme le contrôle moteur ou le freinage. « Avec ces données, nous pouvons dire que le conducteur a besoin d'une stimulation supplémentaire avec un changement de station de radio, monter ou baisser le niveau des contrôles, ralentir s'il s'approche de la voiture de devant », imagine le scientifique.

L'OMS (Organisation Mondial de la Santé souligne que les accidents de la route sont la huitième cause de décès dans le monde et la première pour les personnes âgées de 15 à 29 ans. En 2010, le nombre de tués sur les routes était d'environ 1,24 million de personnes.Les recherches d'Intel se focalisent uniquement sur la voiture, mais elles pourraient déborder ce cadre. « Nous avons commencé par les voitures, car c'est un champ d'investigation bien contrôlé et facile à étudier en laboratoire », explique Paul Crawford. Il ajoute, « beaucoup d'entre nous sommes payés pour travailler avec nos cerveaux et nous voulons qu'il soit le plus efficace possible. On peut donc imaginer toutes sortes d'applications dans les entreprises, mais aussi pour le grand public ». A l'occasion de son évènement à San Francisco, Intel a montré un deuxième projet de recherche utile pour diminuer les accidents de la route. Ce travail a été réalisé avec l'Université nationale de Taïwan et porte sur la communication entre les voitures à travers un équipement existant : les feux arrière. Les chercheurs utilisent un PC portable pour moduler la lumière des feux en fonction des mouvements du véhicule (freinage, clignotants pour tourner, vitesse). En l'occurrence, Intel a choisi de tester la chose avec deux scooters. Le suiveur est alerté sur un smartphone des différentes actions du scooter de devant, ralentir, accélérer, tourner, s'arrêter, via un appareil photo numérique collé sur le devant de la machine. Pour Hao Min Lin, doctorant à Taïwan, obtenir une information supplémentaire donne aux conducteurs des fractions de secondes en plus pour réagir. Le vieux rêve de passe-muraille va peut-être devenir une réalité avec les travaux du MIT sur un dispositif qui permet de voir à travers les murs via les ondes WiFi. Les usages sont multiples et les craintes sur la vie privée aussi.

Le Massachussetts Institute of Technology étonne toujours par ses recherches. Aujourd'hui, des chercheurs ont expérimenté un système appelé Wi-Vi, qui peut suivre des objets en mouvement à travers les murs en utilisant la technologie WiFi. Ce système pourrait être intégré dans un smartphone ou un autre terminal de poche dédié par exemple pour des missions de sauvetage et retrouver des personnes après un tremblement de terre ou l'effondrement d'un immeuble ou des enquêtes policières, souligne Dina Katabi, professeur au MIT qui a développé le Wi-Vi avec le doctorant Fadel Adib. La responsable du projet pense que les personnes pourraient utiliser cette connectivité pour savoir si elles sont suivies ou si quelqu'un se cache derrière une clôture. Elle rassure les inquiétudes, « vous ne pourrez pas voir quelqu'un s'habiller à travers une chambre d'hôtel, du moins pas encore ». L'écran du système a une très faible résolution et le rendu ressemble au suivi d'un avion sur un radar. Mais les deux chercheurs travaillent sur l'amélioration de la résolution et le système pourrait un jour montrer des visages. Cela risque « de poser des problèmes sur la vie privée par encore réglés par la loi. Hors, votre position est considérée comme une donnée personnelle », soulève Hanni Fakhoury, avocat de l'Electronic Frontier Foundation. Dina Katabi botte un peu en touche en expliquant, « comme toutes les technologies dans le monde, cela dépend de comment nous les utilisons ». Ainsi, ce système pourrait permettre de surveiller à distance des personnes âgées sans installer des caméras.

Le Wi-Vi fonctionne en envoyant des ondes WiFi à travers un mur et mesure la façon dont elles rebondissent. Cette technique s'apparente à celle des radars et des sonars, mais sans avoir des équipements coûteux pour des fréquences limitées, selon Dina Katabi. Chaque fois qu'un signal WiFi est réfléchi par un objet, la forme et la composition de cet objet affectent le signal de retour. Mais lorsque le WiFi bute contre un mur, une bonne partie du signal est perdue par réflexion et une faible partie atteint les personnes de l'autre côté du mur. Pour contourner ce problème, Wi-Vi émet deux signaux WiFi dont l'un est l'inverse de l'autre. Les chercheurs ont utilisé les avancées sur la technologie MiMo (Multiple In, Multiple Out) qui envoie plusieurs signaux dans différentes directions et calcule ensuite le meilleur chemin pour émettre.

Avec un système de codage, les deux universitaires ont réussi à annuler l'effet de flash sur les murs et à capter les mouvements au-delà des murs avec un minimum d'interférence. Le schéma de codage est au coeur de cette technologie qui pourra être intégrée dans des puces, explique Dina Katabi. Cela signifie que l'on pourra retrouver cette technique dans un smartphone et pour un coût similaire à un module WiFi classique. La responsable met également en avant que Wi-Vi n'impactera pas l'autonomie des terminaux mobiles.Cette situation de mobilité devrait fortement intéresser les militaires, car les systèmes actuels de radar sont encombrants et nécessitent un transport sur des camions. « L'armée pourrait avoir besoin dans certains contextes d'un outil portable pour voir à travers les murs », constate Dina Katabi. Avec la hausse de la production des NAND flash chez les principaux fabricants, les SSD débarquent en Europe à des prix toujours plus compétitifs. Le M500 de Crucial arrive, par exemple, à un prix serré sans sacrifier les performances.

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Batterie Sony VGP-BPS9/B

« Les puces Haswell sont plus rapides et plus efficaces sur le plan énergétique que les puces Core de troisième génération, nom de code Ivy Bridge, commercialisées l'an dernier », a déclaré Kelt Reeves, CEO de Falcon Northwest, un fabricant de PC. « Haswell augmente les performances de 10 à 15 % par rapport à Ivy Bridge, lequel avait aussi fait gagner 10 à 15 % en performance par rapport à la génération Sandy Bridge. Haswell consomme encore moins d'énergie et produit moins de chaleur. C'est évidemment un grand pas pour les ordinateurs portables pour lesquels la performance par watt est essentielle » a ajouté le CEO.Les améliorations apportées à Haswell auront plus d'impact sur les ordinateurs portables pour lesquels la vie de la batterie est un facteur important. « Les avantages sur les PC desktop sont moins évidents, mais pas du tout négligeables », a cependant tempéré Kelt Reeves. « Si, comme la plupart des utilisateurs, vous n'avez pas changé votre matériel depuis trois ans et plus, ces nouvelles machines desktop permettent de faire un bond en avant vraiment surprenant. Les dernières générations de processeurs d'Intel ont transformé la plate-forme PC », a affirmé le CEO.

Grâce aux caractéristiques des processeurs Haswell et à des circuits graphiques plus économes en énergie, les fabricants peuvent proposer des machines desktop plus petites qui dissipent moins de chaleur et sont plus silencieuses. « Les disques SSD de grande capacité sont également beaucoup plus abordables, si bien que les machines de bureau sont plus rapides et dissipent moins de chaleur », a ajouté Kelt Reeves. « Au final, on a un PC très avancé par rapport aux machines encore entre les mains de la plupart des utilisateurs. Et cela ne signifie pas seulement que le traditionnel « boîtier beige » auquel ils sont habitués est plus performant. Cela se traduit aussi par de nouveaux facteurs de forme », a déclaré le CEO.C'est le cas de la micro tour Tiki de Falcon Northwest, que le fabricant va faire évoluer vers Haswell. L'entreprise, qui a ses aficionados, va également faire évoluer ses ordinateurs de bureau et d'autres modèles de portables vers Haswell. « Combinés avec les cartes graphiques, les ordinateurs pour gamers avec processeurs Haswell pourront faire tourner les jeux les plus exigeants », ont déclaré des responsables d'Intel dans plusieurs interviews.

De son côté, Asus a annoncé deux PC tout-en-un affichant respectivement un écran de 23 et de 27 pouces. Le modèle 27 pouces ET2702 à écran tactile tout-en-un peut afficher des images en 2560x1440 pixels, il dispose de ports USB et HDMI, et d'un port Thunderbolt en option. Quant au modèle de 23 pouces ET2311 à écran tactile, affichant une résolution de 1920 x 1080 pixels, il est plutôt destiné à un usage de bureau. Asus a également présenté deux ordinateurs de bureau - G10 et M51 - qui auront en option des processeurs graphiques Nvidia ou Advanced Micro Devices. Les tarifs et la disponibilité de ces machines n'ont pas été communiqués. Le cabinet Gartner estime que la popularité des smartphones et des tablettes propulsera Apple devant Microsoft sur le marché des OS mobiles, mais qu'Android continuera à dominer ce marché, avec 1 milliard de terminaux écoulés en 2014.

Selon Gartner, les ventes de terminaux sous MacOS et iOS vont dépasser celles des équipements équipés de toutes les versions de Windows en 2015. Ce changement en terme de leadership interviendra près de 13 ans après que Steve Jobs ait réinventé Apple, en créant l'iPod et en lançant l'entreprise sur une nouvelle voie qui lui a permis de conquérir et de définir de nouveaux marchés, à commencer par les lecteurs de musique, les smartphones, puis les tablettes.L'an dernier, les ventes d'équipements sous Windows étaient beaucoup plus nombreuses que celles de matériels sous Mac OS et iOS, soit 347 millions pour les OS de Microsoft contre 213 pour ceux d'Apple, selon les chiffres publiés par Gartner. Cette avance sera réduite de 23 millions en 2014, et les terminaux MacOS et iOS seront probablement plus nombreux que les périphériques sous Windows d'ici deux ans, a déclaré Carolina Milanesi, vice-présidente de la recherche chez Gartner.« Lorsqu'on décompose les chiffres, on s'aperçoit qu'Apple est déjà leader sur le marché grand public », a commenté l'analyste dans un entretien téléphonique à nos confrères d'IDG News Service. « Aujourd'hui, la firme vend davantage d'OS [avec ses machines] que Microsoft », a-t-elle ajouté. Pour elle, la firme de Redmond reste pertinente grâce à ses utilisateurs professionnels.

Ce changement reflète un paysage informatique en évolution, où les ordinateurs de bureau et les PC portables sont de plus en plus remplacés par les smartphones et les tablettes. Microsoft a bataillé pour tenter d'imposer Windows Phone 8, tandis que Windows 8 et Windows RT ont semé le doute chez certains acheteurs de tablettes.Ce qui est sûr, c'est que Windows restera un système d'exploitation important. Alors que davantage de terminaux équipés des OS d'Apple pourraient être livrés en 2015, la base installée de Windows reste très importante et Gartner entrevoit une certaine adhésion pour les tablettes équipées du futur Windows 8.1. Au-delà du fait que les OS d'Apple surpassent Windows, un évènement quasi symbolique a eu lieu cette année, lorsque les ventes de terminaux sous Android ont dépassé les livraisons combinées d'équipements Apple et Windows.L'OS de Google est déjà le numéro des plate-formes sur les nouveaux équipement, avec un plus d'un demi-milliard de machines commercialisées en 2012, contre 559 millions pour Apple et Windows à la fois. Cette année, Gartner s'attend à ce que Google écoule 867 millions d'appareils Android en tout, pour atteindre 1,06 milliard en 2014.

La montée en flèche d'Android et des OS d'Apple est le résultat de la popularité des smartphones et tablettes. Gartner s'attend à ce que les ventes de tablettes bondissent de 120 millions en 2012 à 202 millions cette année et à 276 millions en 2014. Les livraisons de smartphones sur la même période devraient augmenter et passer de 1,7 à 1,9 milliard.Dans le même temps, les ventes de PC vont continuer à baisser au cours des deux prochaines années alors que les tablettes et les ordinateurs hybrides "ultramobiles" attireront le grand public comme les professionnels. Gartner a déclaré qu'il s'attendait à ce que les livraisons de PC baissent de 11% cette année et de 5% l'an prochain, en grande partie en raison de l'affaiblissement des ventes d'ordinateurs portables.Globalement, le marché des terminaux passera de 2,2 milliards en 2012, à 2,3 milliards cette année et à 2,5 milliards en 2014, selon les estimations du cabinet. Après bien des compagnies aériennes, Air France et KLM testent timidement un service WiFi sur les vols Paris/New York et Amsterdam/Panama.

Air France et KLM annoncent le lancement de la phase d'expérimentation de la connectivité WiFi à bord de deux de ses Boeing 777. Les appareils concernés par ce test relient Paris à New York et Amsterdam à Panama. Grâce à ce service, les passagers Air France et KLM pourront surfer sur la toile, échanger des SMS ou encore envoyer des emails, sans que cela gêne la navigation. Le WiFI à bord sera accessible à partir de tous les appareils mobiles personnels (smartphone, ordinateur portable et tablette), quelle que soit la classe.Pour découvrir cette nouveauté, les voyageurs doivent préalablement souscrire un forfait, fixé à 10,95€ pour une heure ou 19,95€ pour l'ensemble du vol. "L'usage du téléphone portable sera facturé selon les conditions forfaitaires conclues avec leur opérateur téléphonique", rappellent les deux partenaires. Les deux premiers appareils retenus pour cette expérimentation menée avec Panasonic Avionics seront par la suite exploités sur d'autres trajets.Air France et KLM ne sont pas les premières compagnies à se lancer dans la connectivité à bord. United Airlines et American Airlines offrent quant à eux un service WiFi fourni par Gogo sur certains de leurs appareils. Delta Airlines propose aussi une connexion, mais uniquement pour ses vols intérieurs. Qantas ainsi que Virgin Australia testent également l'Internet à bord. Computex - Après avoir annoncé en juin des disques durs de 5 mm d'une capacité de 500 Go, Western Digital loge 1 To dans un boîtier de 7 mm pour les ultrabooks, notamment.

Sur le salon Computex de Taipei, Western Digital a annoncé un disque dur de 1 téraoctet, logeant dans un boîtier 2,5 pouces de 7 mm de hauteur. Le WD Blue, qui succède chez le fabricant à des modèles 500 Go de 5 mm, se destine aux notebooks les plus fins et légers. Il est néanmoins compatible avec les emplacements standards de 9,5 mm que l'on trouve couramment dans ces ordinateurs portables. Ce modèle présente une interface SATA à 6 Gb/s.Intel salue l'arrivée de ce périphérique qui étend les capacités de stockage des ultrabooks, des PC tout-en-un et et autres terminaux fins et légers. Il souligne l'amélioration des performances que ce type de disque apportera à ces équipements en combinaison avec ses processeurs Core de quatrième génération (Haswell). Le disque dur WD Blue s'accompagne d'une garantie de deux ans pour un prix public de 139 dollars HT dans sa version 1 To. Les ventes de smartphones et de tablettes dans le monde vont continuer à croitre d'ici à l'horizon 2015, tandis que la baisse de celles des PC va se poursuivre dans le même temps, selon les dernières projections de l'institut Gartner. Rien qu'en 2013, il devrait s'écouler 67,9% de tablettes de plus qu'en 2012, mais aussi 10,6% moins de PC.

Combinées, les ventes d'ordinateurs, de tablettes et de smartphones devraient atteindre 2,35 milliards d'unités en 2013, soit une progression de 5,9% en un an. Cette tendance sera confirmée en 2014 pour atteindre un chiffre de 2,50 milliards de produits vendus, soit une hausse encore plus importante de 6,7%.Dans le détail, Gartner prévoit une hausse de 67,9% en 2013 puis de 36,8% en 2014 des ventes de tablettes dans le monde pour atteindre alors le score de 276 millions d'unités vendues dans l'année. Les ventes de téléphones portables devraient également continuer à progresser, à une allure plus modérée de 4,3% en 2013 et 4,4% en 2014, soit 1,9 milliard de ventes en un an.Le cabinet d'études table en revanche sur une baisse de 10,6% des ventes de PC en 2013 puis de 5,2% en 2014. Il devrait néanmoins se vendre encore un peu plus de PC (289 millions) en 2014 que de tablettes (279 millions), bien que la tendance semble jouer favorablement aux tablettes sur le long terme. Le HP Slate 21 arrive avec un petit OS pour terminaux mobiles connu sous le nom d'Android. Après le N3-220 d'Acer, une vraie tendance se dessine sur le marché. Le sursaut qu'attendait un segment en crise ?

Après l'Acer N3-220, Hewlett-Packard apporte également sa contribution Android au marché des PC avec un tout-en-un 21,5 pouces livré avec le système d'exploitation de Google. Le dispositif, appelé Slate 21, a été mis en valeur lors d'un événement HP ce lundi à Pékin. Exclusivement équipé d'Android 4.2.2, il repose sur une puce ARM Nvidia Tegra 4 associée à un écran tactile IPS haute définition (1080p), selon le blog officiel de la société en Chine. La machine sera livrée avec 8 Go d'espace de stockage, extensible via une carte microSD. On note la présence de trois ports USB 2.0 Son prix sera de 399$ HT alors qu'une version comparable avec Windows 8 est facturée 499$ HT environ. Plus tôt ce mois-ci, le fabricant taïwanais de PC Acer a également présenté au salon Computex à Taipei un PC tout-en-un 21,5 pouces lui aussi animé par Android. Baptisé Acer N3-220, ce PC utilise un processeur ARM Nvidia Tegra 3 cadencé à 1,6 GHz et sera disponible à l'automne.

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