April 24, 2017

Batterie Toshiba PA3395U-1BRS

Le Predator 15 est évolutif. Une trappe facile à retirer (seulement 2 vis) permet d'accéder à deux emplacements libres pour de la RAM en DDR4, au HDD préinstallé et à un emplacement supplémentaire pouvant accueillir un second SSD au format M.2 PCIe. Côté connectique, tout y est, qui plus est de manière très accessible : quatre ports USB 3, un port USB Type C, un port HDMI, un RJ45, un DisplayPort, une sortie jack casque et une entrée micro. Petite originalité pour optimiser le refroidissement, Acer propose de série un ventilateur supplémentaire qui s'installe très facilement en remplacement du lecteur optique. Il permet de faire descendre la température de quelques petits degrés supplémentaires. Sans ce ventilateur, on relève ainsi un point chaud à 42,6°C à l'avant, et 55,6°C à l'arrière. Comme sur le ROG G752, la chaleur est principalement évacuée par l'arrière. En ajoutant le ventilateur supplémentaire, la température passe à 38,9°C à l'avant et reste quasiment la même à l'arrière. Le bruit passe quant à lui de 39 dB à 40 dB. La machine est donc un poil plus bruyante que le ROG G752, qui oscille, lui, entre 37,5 dB et 41 dB. On entend ainsi un souffle permanent mais acceptable durant un jeu gourmand en ressources.

Le Predator 15 d'Acer profite d'un écran mat IPS de 15,6 pouces affichant une définition Full HD (1920 x 1080 px). C'est un format intéressant pour jouer et qui offre un bon compromis entre le confort visuel et la compacité. La dalle affiche une luminosité maximale satisfaisante (320 cd/m²), mais un taux de contraste un peu décevant qui ne dépasse pas 680:1. Reste que la dalle mate offre tout de même une bonne lisibilité. La colorimétrie est plutôt bonne, avec un delta E mesuré à 4,3 et une température des couleurs à 6630 K. Des chiffres très corrects qui se traduisent par des couleurs assez fidèles et un rendu équilibré. La courbe gamma est relativement régulière mais met en évidence des noirs assez bouchés.Dans la catégorie des PC portables gamer, l'écran du Predator 15 se situe donc dans le haut du panier, essentiellement grâce à sa bonne colorimétrie et sa dalle mate.Impossible d'imaginer autre chose qu'un processeur Intel Core i7 de sixième génération dans une machine comme celle-ci. On profite donc d'un 6700HQ, CPU à 4 cÅ“urs proposant des fréquences allant de 2,6 GHz à 3,5 GHz en mode Turbo. Les 16 Go de RAM en DDR4 et le SSD de 128 Go couplés à cette configuration permettent d'espérer un très bon indice de performance... et il est bien au rendez-vous.Que ce soit pour de la bureautique avancée, du montage vidéo lourd ou de la retouche photo à haut niveau, le Predator 15 ne bronche pas. Windows 10 tourne ainsi comme un charme, démarre en 12 secondes et se coupe en 11 secondes.

D’ici deux jours, deux nouveaux smartphones de haut de gamme devrait être lancés par Samsung : les Galaxy S8 et S8+. Avec leurs caractéristiques techniques avancées, et leurs grands écrans, ces terminaux devraient pouvoir remplacer efficacement le Note 7. Il faudra toutefois probablement attendre avril pour pouvoir mettre la main sur ces nouveaux smartphones.La malédiction Samsung se poursuit, avec un incendie dans une de ses usines de production de batteries. Un site qui produira des batteries pour le Galaxy S8.Un feu mineur a pris dans une usine opérée par Samsung SDI à Tianjin, dans le nord-est de la Chine. Il a pu être éteint et aucun blessé n’a été dénombré.L’affaire aurait pu en rester là. Mais, ironie de l’histoire, l’incendie a pris dans un conteneur à déchet contenant – entre autres – des batteries. L’usine concernée n’est autre qu’une des deux qui avait été en charge de produire les batteries du Galaxy Note 7. Un smartphone affublé de problèmes de chauffe pouvant mener à l’enflammement de sa batterie.

Orange et Objenious se bougent pour Lora. L’union fait la force. Concurrents dans le civil, Orange et Objenious (filiale de Bouygues Telecom) ont décidé de s’associer pour accélérer le développement d’applications pour l’Internet des objets (IoT) sur le protocole Lora. En association avec des partenaires technologiques (Microchip Technology et Sagemcom) et sectoriels (Groupama, Schneider Electric et Colas), les deux opérateurs lance le Lora IoT Challenge. Ce hackathon invite les développeurs à construire des services, applications, prototypes d’objets connectés ou même de connecter un objet existant pour répondre aux cas d’usages des partenaires. Agriculture, smart-cities et voiture connectée sont les principaux domaines d’application du concours. Les participants auront accès aux kits de développement Lora, à des machines de fabrication (imprimantes 3D, découpes laser…) du Fab-lab Usine IO, et à des capteurs. Les gagnants bénéficieront d’un soutien financier et d’accompagnement pour développer leur projet. Officiellement lancé demain, mercredi 14 décembre, les épreuves se dérouleront les 17 et 18 janvier prochains après un suivi qui commencera le 15 décembre. Au-delà de l’opportunité donnée à des développeurs de faire connaître leur projet, l’initiative permet aussi aux acteurs de Lora en France de promouvoir le réseau IoT bas débit basse consommation concurrent de Sigfox.

Et si les problèmes du Galaxy Note7 ne venaient pas de la batterie mais de la conception même du smartphone ? C’est ce que suggèrent des ingénieurs de Instrumental, une société qui propose des solutions d’aide à la conception de produits industriels. Selon eux, le problème qui a poussé Samsung à mettre fin à la production de son smartphone vedette de la rentrée ne provient pas du module énergétique. Sinon, « pourquoi annuler la ligne de produits et céder plusieurs trimestres de revenus aux concurrents ?, interroge Anna Shedletsky sur le blog de l’entreprise Nous pensons […] qu’il y avait un problème fondamental avec la conception du téléphone lui-même. »instrumental extincteur Armé d’un banc de mesures et d’un extincteur (photo ci-contre), deux ingénieurs d’Instrumental ont donc enquêté sur les phénomènes qui poussent la batterie du Note7 à surchauffer au point d’exploser. Et ils ont découvert que « le design [du boîtier] peut compresser la batterie même en fonctionnement normal ». Une compression du module qui agirait sur la couche en polymères, laquelle sépare les ions positifs et négatifs dont la circulation d’une zone à l’autre génère l’énergie. Or, « si jamais les couches positives et négatives se touchent, le flux d’énergie va directement dans l’électrolyte, provoquant son échauffement et la perte de plus d’énergie - ce qui se traduit généralement par une explosion », indique l’ingénieure.

Il faut savoir que, lors des charges et décharges des batteries au Lithium, le processus chimique provoque une dilatation du boîtier, même infime. Et il est courant de laisser un espace, de 10% généralement, entre les bords de la batterie et ceux de son réceptacle. Ce qui n’était apparemment pas le cas du Galaxy Note7, vieux de deux mois, qu’a étudié Instrumental. Samsung aurait probablement réduit cette marge pour gagner de la place, la batterie étant le composant le plus volumineux d’un téléphone. « Sous l’angle de la conception, les ingénieurs de Samsung ont clairement essayé d’équilibrer le risque d’un processus de fabrication super-agressif pour maximiser la capacité », ajoute Anna Shedletsky.Selon elle, le problème aurait pu être résolu avec une nouvelle batterie, plus compacte. Mais avec pour conséquence de fournir un appareil doté d’une autonomie inférieure à celle de son prédécesseur, le Note5, et, pire, l’iPhone 7 d’Apple. Impensable pour un smartphone haut de gamme. Aux yeux de l’experte, « Samsung a pris une mesure délibérément dangereuse, et leur infrastructure de test existante et le processus de validation de conception a échoué. Ils ont expédié un produit dangereux ».

Samsung doit, de son côté, présenter les résultats de son enquête avant la fin de l’année, comme il le constructeur coréen l’a promis. Plus que quelques semaines pour expliquer la catastrophe industrielle du Galaxy Note7.Samsung va lancer une nouvelle mise à jour logicielle de son Galaxy Note 7 pour en limiter la charge de la batterie afin d’éviter les risques d’explosion et de blessures.Samsung va effectuer une nouvelle mise à jour par les airs (OTA) de son Galaxy Note 7. Cette deuxième opération de mise à niveau après celle opérée en septembre dernier devrait intervenir à partir du 31 octobre prochain. Comme la précédente, elle vise à limiter le chargement de la batterie du smartphone à 60% de sa capacité. Une initiative visant à réduire les risques de surchauffe et d’explosion de l’appareil.

Samsung a décidé de mettre fin à la commercialisation du Note 7 et a lancé un programme de récupération et d’échange, tant pour la première génération du terminal haut de gamme, que pour la seconde qui était censée corriger les problèmes précédemment constatés. Mais il semble que nombre de clients ne souhaitent pas se séparer de leur terminal flambant neuf. Seuls les deux tiers des Note 7 auraient ainsi été récupérés en Europe. Or, « notre priorité absolue reste la sécurité des clients », a déclaré Conor Pierce, responsable de Samsung Mobile pour le Royaume-Uni et l’Irlande.Même si aucune nouvelle explosion du Note 7 n’a été reportée après la décision de Samsung de remiser son produit phare aux oubliettes des catastrophes industrielles, la mise à jour logicielle s’inscrit donc comme une mesure de sécurité pour les clients récalcitrants. Le constructeur coréen entend surtout profiter de l’occasion pour leur faire prendre conscience des risques qu’ils encourent à poursuivre l’utilisation du smartphone jugé défaillant. « Cette nouvelle mise à jour logicielle de la batterie est spécifiquement conçue pour rappeler à tous les clients du Galaxy Note 7 de remplacer leur appareil dans les meilleurs délais possibles », insiste le responsable local.

Ne doutons pas de sa sincérité, d’autant que des cas de blessures ont été rapportés en Amérique du Nord et certaines explosions du Note7 ont provoqué des dégâts matériels conséquents (une voiture partie en fumée notamment). Mais prévenir de potentielles surchauffes de l’appareil vise aussi limiter la casse financière pour Samsung. Le constructeur estime aujourd’hui à 5,3 milliards de dollars les pertes dues à cette catastrophe industrielle. Une facture qui pourrait s’alourdir au fil des des procédures judiciaires qui commencent à émerger aux États-Unis. Humains, matériels ou financiers, Samsung n’a pas fini de payer les conséquences de l’échec du Galaxy Note 7.Samsung pourrait pousser un correctif pour limiter le chargement des batteries du Galaxy Note 7 à 60%. En attendant les rappels s’organisent.Les problèmes de surchauffe de batteries qui peuvent entraîner leur combustion dans les Galaxy Note 7 touchent-ils plus le marché nord-américain que le reste du monde ? Toujours est-il que les incidents s’y multiplient. Parfois de manière spectaculaire comme ce fut le cas en Floride où le smartphone a explosé dans une Jeep provoquant un incendie qui a détruit le véhicule. Au-delà de cette affaire qui a fait grand bruit dans la presse américaine, 70 cas de combustions auraient été rapportés à Samsung depuis la commercialisation du terminal le 19 août dernier aux Etats-Unis.

C’est dans ce cadre que le constructeur travaille avec les autorités nationales pour organiser la récupération des Note 7 potentiellement dangereux. Ainsi la CPSC (Consumer Product Safety Commission), agence américaine ayant pour mission de protéger les personnes contre les « risques déraisonnables de blessures provenant de produits grand public », a signé un accord avec Samsung pour mettre en Å“uvre ce que le constructeur appelle un « programme d’échange ». Programme qui a été lancé sur les dix marchés de commercialisation du produit. Environ 2,5 millions d’appareils seraient en circulation. Essentiellement aux Etats-Unis et Corée du Sud où le produit est sorti en amont. Selon les accords passés avec les opérateurs, les clients qui devaient bénéficier du Note 7 pourront se voir prêter un Galaxy J ou équivalent. Il est aussi possible d’opter pour un Galaxy S7 ou S7 Edge et de se faire rembourser la différence, avance ITespresso.fr

Posted by: akkusmarkt at 02:25 AM | No Comments | Add Comment
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