January 19, 2017

Batterie Lenovo ThinkPad X61s

UN IMPACT FAIBLE MAIS RÉEL
On peut néanmoins explorer des pistes possibles. Nokia mobiles, dont l’acquisition a été finalisée en avril 2014, va perdre la moitié de ses effectifs, soit 12 500 emplois sur les 18 000 à supprimer au total. Or Nokia mobiles compte seulement 60 salariés en France. Ils s’occupent du support client et des relations avec les opérateurs télécoms et la distribution. Il n’y a ni centre de développement, ni usine. On voit mal Microsoft amputer l’effectif ici de moitié.
En revanche, la simplification de l’offre avec la sortie des téléphones basiques et du recentrage sur une seule plateforme logicielle, Windows Phone, diminue les besoins de personnel. D’autant qu’il y a probablement des doublons avec l’équipe en charge de Windows Phone chez Microsoft France. "On peut avoir quelqu’un qui s’occupe d’Orange chez Nokia et de quelqu’un qui fait la même chose chez Microsoft", cite en exemple Priscille Bellenger. Il risque d’y avoir un impact sur cette activité mais il serait faible.

Hors Nokia mobiles, 5 500 suppressions de poste concernent Microsoft dans le monde. Un chiffre comparable au plan social précédent de 5000 emplois lancé en 2009. "C’est beaucoup, estime la déléguée CFE-CGC. Cela veut dire que tout le monde risque d’être touché ou que certaines activités entières pourraient être arrêtées, pour être par exemple mutualisées au niveau européen ou externalisées. Il y a plein de schémas possibles."
Lors du plan social de 2009, Microsoft France a réussi à passer à travers les mailles du filet. Du moins officiellement. Les suppressions de postes concernaient surtout les services centraux et peu les gens sur le terrain. La situation pourrait être différente cette fois-ci. Mais si impact il y a, il serait amorti par la mobilité du personnel. "Chaque année, il y a 50 à 70 départs naturels, qui pourraient alors ne pas être remplacés pour éviter des départs forcés", note Priscille Bellenger.

En 2012, un plan social de 30 postes dans l’activité online (moteur de recherche Bing et publicité en ligne) a été évité en faisant jouer la carte du reclassement en interne et dans l’entité qui gère ce business au niveau européen.
Le marché informatique est en pleine mutation, et le géant du secteur, Microsoft, en fait les frais. Le groupe va licencier d'ici un an 18 000 salariés. Objectif ? Alléger l'organisation de l'entreprise pour lui redonner le dynamisme dont elle manque et mettre en Å“uvre le tournant stratégique pensé par le nouveau patron du groupe, Satya Nadella, résolument tournée vers le mobile et le cloud.

[Actualisé] Deux chercheurs ont découvert que l'USB, qui est universellement utilisé en informatique pour connecter des appareils et même transférer des données, présente une faille de sécurité grave, inhérente à son design. Ils sont parvenus à modifier le firmware (logiciel interne) d'un appareil pour lui faire exécuter du code malicieux intraçable. Deux autres experts en sécurité sont parvenus à recréer ce code malicieux et l'ont mis en ligne, à disposition de tous.
Les risques de sécurité liés aux transferts de fichiers via USB, et notamment par clés USB, sont connus depuis longtemps. Mais le danger posé par ces connexions est en réalité bien pire qu'on ne le pensait. Après plusieurs mois de recherche, deux experts travaillant pour le cabinet SR Labs ont découvert qu'il est possible de compromettre la technologie USB en elle-même de manière pratiquement indétectable. Sur le site américain Wired, Karsten Nohl et Jakob Lell expliquent qu'il est possible de reprogrammer le firmware des appareils USB pour y cacher du code malicieux. Une pratique contre laquelle il n'existe pas de parade.

Pour le démontrer, ils ont créé un malware baptisé BadUSB. Celui-ci est installé sur un appareil, qui, une fois connecté à un ordinateur par USB, peut en prendre le contrôle, modifier des fichiers de manière indétectable, rediriger son trafic Internet, etc. Cette faille de sécurité ne concerne pas seulement les clés USB mais n'importe quel objet utilisant une connexion de ce type : clavier, souris, imprimante, smartphone, et bien d'autres.
C'est parce que BadUSB n'est pas stocké sur la mémoire flash des appareils concernés (là où se trouvent par exemple les fichiers d'une clé USB) mais dans leur firmware qu'il est très difficile de le détecter, de l'effacer et même d'empêcher une attaque, à moins d'interdire complètement l'utilisation de connexions USB. C'est un problème dans la conception même de la norme USB qui est ici démontré. Faute d'une évolution de la technologie, il ne sera pas possible de colmater cette brèche. Les deux chercheurs présentent leurs travaux lors de la conférence Black Hat de Las Vegas, qui se déroule du 2 au 7 août.

[Actualisation 3/10/2014] : Deux autres experts en sécurité, Adam Caudill et Brandon Wilson, ont réussi à recréer BadUSB par reverse engineering à partir des informations fournies lors de la présentation de Karsten Nohl, le chercheur qui avait lancer l'alerte sur l'existence de cette faille en août dernier. Mais alors que Nohl et Lell n'avaient pas publié leur code car ils estimaient la faille de sécurité très difficile à réparer, Caudill et Wilson n'ont pas hésité à le mettre à disposition de tous sur le site GitHub. Leur raisonnement ? Cette publication forcera les fabricants à combler cette faille plus rapidement. Une logique difficilement justifiable quand on sait que c'est la norme USB elle-même qui va devoir évoluer afin de sécuriser le firmware mis en cause. Dans l'intervalle, chaque périphérique USB, et notamment les clés USB très utilisées pour échanger des informations, représente un risque de sécurité considérable que les entreprises comme les particuliers vont devoir prendre en compte... Sans pouvoir y faire grand chose, si ce n'est les interdire complètement.Steve Linford, directeur de l'organisation Spamhaus, la cible de cette attaque, a déclaré à la BBC que son organisation était visée depuis plus d'une semaine par des attaques d'une ampleur inédite.
Les pirates ont lancé une attaque par déni de service (DDoS), qui consiste à saturer un site internet en le soumettant à un trop grand nombre de requêtes provenant de multiples systèmes, de manière à le mettre dans l'incapacité d'identifier les utilisateurs légitimes du service et de traiter ce trafic.

"Au vu de l'amplitude signalée de cette attaque, qui a été estimée à 300 gigaoctets par seconde, nous pouvons confirmer qu'il s'agit de l'une des plus importantes opérations DDoS à ce jour", a indiqué dans un communiqué la société Kaspersky Lab.
"De plus graves perturbations pourraient survenir à plus grande échelle si l'attaque s'intensifie", poursuit ce spécialiste de la sécurité informatique.
Pour Paul Vlissidis, directeur technique de NCC, autre acteur de la sécurité informatique, il est d'autant plus difficile de contrer cette attaque qu'un grand nombre d'ordinateurs sont impliqués.
"Si quelques ordinateurs envoient de grandes quantités de données, il est facile de les filtrer. Quand des milliers et des milliers (de machines) participent littéralement c'est beaucoup, beaucoup plus difficile", a-t-il expliqué à Reuters.
Selon lui, les volumes de trafic en jeu dans cette attaque ont déclenché une réaction en chaîne sur l'ensemble d'internet.http://www.batterie-tech.com/batterie-ordinateur-portable-acer.html
Spamhaus est un groupe basé à Genève qui publie des "listes noires" d'adresses de spams dont se servent les messageries pour filtrer les courriels indésirables.
Le Cloud Computing est principalement américain aujourd’hui. Les leaders de ce marché naissant sont outre-Atlantique. Or c’est probablement l’avenir de l’informatique : consommation de ressources à l’usage, à distance. Les particuliers et les entreprises sont en train de migrer leurs données dans le cloud. Cette révolution de l’informatique se fera-t-elle au détriment des entreprises françaises ou européennes ? Pas si sûr : la France a des atouts qui lui permettront peut-être de faire naître des champions du Cloud Computing. Nicolas Aubé, président fondateur de Celeste, en liste cinq.

Posted by: akkusmarkt at 12:40 PM | No Comments | Add Comment
Post contains 1406 words, total size 14 kb.




What colour is a green orange?




26kb generated in CPU 0.0102, elapsed 0.0672 seconds.
35 queries taking 0.0592 seconds, 78 records returned.
Powered by Minx 1.1.6c-pink.