February 25, 2017

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De plus en plus, les fabricants de PC font des expériences avec Android, étant donné que les machines reposant sur Windows 8 ont du mal à attirer les consommateurs, selon les analystes. Google favorise Android comme système d'exploitation libre et ouvert, et de nombreuses entreprises de haute technologie sont déjà appuyés sur cet OS pour construire leurs smartphones et leurs tablettes. Rappelons que HP a déjà proposé un Chromebook animé par le Chrome OS du même Google. L'écosystème Android est toutefois beaucoup plus riche au niveau des applications.Les fabricants de PC s'en sortiront-ils en diversifiant leurs catalogues avec plus d'appareils Android, « mais la question qui vient immédiatement à l'esprit est de savoir à quoi cela va-t-il ressembler ? », a déclaré Bryan Ma, analyste chez IDC. « La plupart des bonnes applications Android ne sont pas vraiment adaptées pour des écrans plus grands. » D'autres constructeurs ont choisi d'adopter une approche plus hybride. Tant Asus et que Samsung ont dévoilé ce mois-ci des convertibles tablette/PC portable - sur base Intel cette fois - qui peuvent exécuter à la fois Windows et Android. Une étude montre que les personnes dont l'hémisphère gauche est dominant ont tendance à mettre leur téléphone à l'oreille droite, et vice-versa. Un résultat qui peut servir pour remplacer un test avant une chirurgie du cerveau

D'après un rapport sur HealthDay News, 95% de la population mondiale a un hémisphère gauche dominant, et ces personnes sont le plus souvent droitières. Le côté dominant du cerveau abrite la parole et le centre du langage. Dans une étude du Henry Ford Health System, à West Bloomfield dans le Michigan, des chercheurs ont trouvé que sur 700 personnes étudiées, 70% d'entre elles mettaient leur portable à l'oreille qui se trouvait du même côté que leur main dominante.Les chercheurs expliquent que cette étude pourrait permettre aux médecins de localiser le centre de la parole du patient avant une chirurgie du cerveau. « En définitive, cette procédure pourrait remplacer le test de Wada », explique le Dr. Michael Seidman, l'auteur de l'étude, à HealthDay News. Test standard pour déterminer la localisation exacte du centre de la parole chez un patient en chirurgie, le test de Wada est essentiel « afin de préserver avec soin les aptitudes linguistiques d'une personne », a-t-il ajouté. Or, ce test est invasif et risqué, et bien que regarder de quel côté le patient tient son portable n'est pas une preuve infaillible, cela peut donner au médecin « une petite idée d'où se trouve l'hémisphère dominant », explique-t-il.

Selon HealthDay News, parmi les personnes étudiées se trouvait 90% de droitiers. 68% d'entre eux utilisaient l'oreille droite, 25% l'oreille gauche et 7% les deux oreilles. Parmi les gauchers, 72% se servaient de leur oreille gauche, 23% de la droite et 5% des deux oreilles.Apple a dévoilé deux premiers frameworks permettant de prendre en charge les manettes de jeux vidéo sur iPhone et iPad, ce qui ravira les gamers et les développeurs de jeux.Selon des documents découverts par Touch Arcade sur le portail de développeurs d'Apple, le firme de Cupertino prévoit deux types de manettes : une qui accueillerait l'iPhone et le transformerait en console portative, et une autre indépendante, qui, comme la Playstation ou la Xbox, se connecterait sans fil au smartphone. Même si les détails sur ce projet manquent, il semble clair que Apple vise à standardiser le jeu sur iPhone et iPad, afin d'améliorer la jouabilité.

Même si Microsoft et Sony ont présenté des fonctionnalités toujours plus innovantes à venir sur la prochaine génération de consoles pendant l'E3 de Los Angeles, il semblerait que les jours des consoles de salon soient comptés. En effet, l'avenir du gaming pourrait se jouer dans les appareils mobile comme les smartphones et les tablettes.Par exemple, Juniper Research prévoit que d'ici 2017, 64,1 milliards d'applications de jeu seront téléchargées par an sur appareils mobiles, contre 21 milliards en 2012. Cet engouement grandissant a déjà un fort impact sur le marché traditionnel des jeux vidéo, avec des consoles portables comme la Sony PS Vita qui se battent pour se faire une place aux côtés des derniers smartphones signés Samsung ou Apple. Des chercheurs d'Intel étudient l'activité cérébrale des conducteurs pour améliorer la sécurité de la conduite et réduire le nombre d'accidents sur les routes. Plusieurs expériences ont été menées dans ce sens.Intel veut en savoir plus sur la façon de conduire des automobilistes. Pour cela, la société utilise une technique de scanner cérébral aussi appelée spectroscopie à infrarouge pour faire la différence entre les moments où le conducteur se concentre sur la route et ceux pendant lesquels ses pensées sont occupées à autre chose.

Paul Crawford, directeur de recherche chez Intel Labs et qui travaille sur ce projet, indique, « nous essayons de mieux comprendre les gens, ce qu'ils pensent, ce qu'ils ressentent ». Lors d'une démonstration à San Francisco, le fondeur a mesuré l'activité cérébrale d'un pilote assis dans un simulateur. La personne conduisait virtuellement une formule 1 sur un anneau de course à 80 km/h dans un premier test, puis à 400 km/h dans un second test.Des capteurs infrarouges étaient placés sur la tête du conducteur pour analyser l'activité cérébrale. Les chercheurs ont été capable, lors des 2 tests, de constater des différences de concentration, plus intense quand la voiture va vite, moins soutenue à plus faible vitesse. « Quand vous êtes au volant, parfois vous regardez la route en faisant attention et dans d'autres cas vous regardez aussi la route mais vous êtes distraits. « Il s'agit de différences subtiles, que nous pourrons, je l'espère, expliquer ou au moins émettre des hypothèses », souligne Paul Crawford. Ces informations pourraient être un jour intégrées dans les ordinateurs de bord, qui pourront ajuster certains paramètres en fonction de la conduite, comme le contrôle moteur ou le freinage. « Avec ces données, nous pouvons dire que le conducteur a besoin d'une stimulation supplémentaire avec un changement de station de radio, monter ou baisser le niveau des contrôles, ralentir s'il s'approche de la voiture de devant », imagine le scientifique.

L'OMS (Organisation Mondial de la Santé souligne que les accidents de la route sont la huitième cause de décès dans le monde et la première pour les personnes âgées de 15 à 29 ans. En 2010, le nombre de tués sur les routes était d'environ 1,24 million de personnes.Les recherches d'Intel se focalisent uniquement sur la voiture, mais elles pourraient déborder ce cadre. « Nous avons commencé par les voitures, car c'est un champ d'investigation bien contrôlé et facile à étudier en laboratoire », explique Paul Crawford. Il ajoute, « beaucoup d'entre nous sommes payés pour travailler avec nos cerveaux et nous voulons qu'il soit le plus efficace possible. On peut donc imaginer toutes sortes d'applications dans les entreprises, mais aussi pour le grand public ». A l'occasion de son évènement à San Francisco, Intel a montré un deuxième projet de recherche utile pour diminuer les accidents de la route. Ce travail a été réalisé avec l'Université nationale de Taïwan et porte sur la communication entre les voitures à travers un équipement existant : les feux arrière. Les chercheurs utilisent un PC portable pour moduler la lumière des feux en fonction des mouvements du véhicule (freinage, clignotants pour tourner, vitesse). En l'occurrence, Intel a choisi de tester la chose avec deux scooters. Le suiveur est alerté sur un smartphone des différentes actions du scooter de devant, ralentir, accélérer, tourner, s'arrêter, via un appareil photo numérique collé sur le devant de la machine. Pour Hao Min Lin, doctorant à Taïwan, obtenir une information supplémentaire donne aux conducteurs des fractions de secondes en plus pour réagir. Le vieux rêve de passe-muraille va peut-être devenir une réalité avec les travaux du MIT sur un dispositif qui permet de voir à travers les murs via les ondes WiFi. Les usages sont multiples et les craintes sur la vie privée aussi.

Le Massachussetts Institute of Technology étonne toujours par ses recherches. Aujourd'hui, des chercheurs ont expérimenté un système appelé Wi-Vi, qui peut suivre des objets en mouvement à travers les murs en utilisant la technologie WiFi. Ce système pourrait être intégré dans un smartphone ou un autre terminal de poche dédié par exemple pour des missions de sauvetage et retrouver des personnes après un tremblement de terre ou l'effondrement d'un immeuble ou des enquêtes policières, souligne Dina Katabi, professeur au MIT qui a développé le Wi-Vi avec le doctorant Fadel Adib. La responsable du projet pense que les personnes pourraient utiliser cette connectivité pour savoir si elles sont suivies ou si quelqu'un se cache derrière une clôture. Elle rassure les inquiétudes, « vous ne pourrez pas voir quelqu'un s'habiller à travers une chambre d'hôtel, du moins pas encore ». L'écran du système a une très faible résolution et le rendu ressemble au suivi d'un avion sur un radar. Mais les deux chercheurs travaillent sur l'amélioration de la résolution et le système pourrait un jour montrer des visages. Cela risque « de poser des problèmes sur la vie privée par encore réglés par la loi. Hors, votre position est considérée comme une donnée personnelle », soulève Hanni Fakhoury, avocat de l'Electronic Frontier Foundation. Dina Katabi botte un peu en touche en expliquant, « comme toutes les technologies dans le monde, cela dépend de comment nous les utilisons ». Ainsi, ce système pourrait permettre de surveiller à distance des personnes âgées sans installer des caméras.

Le Wi-Vi fonctionne en envoyant des ondes WiFi à travers un mur et mesure la façon dont elles rebondissent. Cette technique s'apparente à celle des radars et des sonars, mais sans avoir des équipements coûteux pour des fréquences limitées, selon Dina Katabi. Chaque fois qu'un signal WiFi est réfléchi par un objet, la forme et la composition de cet objet affectent le signal de retour. Mais lorsque le WiFi bute contre un mur, une bonne partie du signal est perdue par réflexion et une faible partie atteint les personnes de l'autre côté du mur. Pour contourner ce problème, Wi-Vi émet deux signaux WiFi dont l'un est l'inverse de l'autre. Les chercheurs ont utilisé les avancées sur la technologie MiMo (Multiple In, Multiple Out) qui envoie plusieurs signaux dans différentes directions et calcule ensuite le meilleur chemin pour émettre.

Avec un système de codage, les deux universitaires ont réussi à annuler l'effet de flash sur les murs et à capter les mouvements au-delà des murs avec un minimum d'interférence. Le schéma de codage est au coeur de cette technologie qui pourra être intégrée dans des puces, explique Dina Katabi. Cela signifie que l'on pourra retrouver cette technique dans un smartphone et pour un coût similaire à un module WiFi classique. La responsable met également en avant que Wi-Vi n'impactera pas l'autonomie des terminaux mobiles.Cette situation de mobilité devrait fortement intéresser les militaires, car les systèmes actuels de radar sont encombrants et nécessitent un transport sur des camions. « L'armée pourrait avoir besoin dans certains contextes d'un outil portable pour voir à travers les murs », constate Dina Katabi. Avec la hausse de la production des NAND flash chez les principaux fabricants, les SSD débarquent en Europe à des prix toujours plus compétitifs. Le M500 de Crucial arrive, par exemple, à un prix serré sans sacrifier les performances.

Posted by: akkusmarkt at 03:52 AM | No Comments | Add Comment
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