February 28, 2017

Batterie Dell PC764

Depuis l'introduction du Raspberry Pi plusieurs autres ordinateurs monocartes bon marché ont été introduits sur le marché. Pour 60 dollars le Cubieboard, qui a été annoncé en septembre, intègre un processeur ARM cadencé à 1 GHz et 4 Go de RAM. Il tourne sous Android ainsi que sous Ubuntu et Linux. Dans le même temps, l'UG802 est apparu, au prix de 89 dollars. Ce mini PC fonctionne sous Android 4.0 (également appelé Ice Cream Sandwich) par défaut. Il est équipé d'un processeur ARM dual-core cadencé à 1,6 GHz, de 1 Go de RAM, 4 Go de stockage, de ports USB, d'un connecteur HDMI et d'un slot microSD. Un autre modèle est sorti le mois dernier, l'A13-OLinuXino, vendu 57 dollars, avec un processeur ARM cadencé à 1 GHz, un processeur graphique 3D Mali400, et 512 Mo de RAM.

Pendant ce temps, les développeurs continuent de trouver des applications intéressantes pour le Raspberry Pi. Ainsi, des chercheurs de l'Université de Southampton ont crée un mini-HPC en Lego avec des unités Raspberry Pi et ont également conçu un serveur Minecraft. Les ultrabooks, ces ordinateurs portables ultra-fins et légers devaient révolutionner le marché. Pourtant, vendus à des prix élevés, confrontés à la concurrence des smartphones et des tablettes, ils peinent à se vendre.L'année 2012 devait être celle des ordinateurs ultra-portables, dont les analystes prévoyaient des ventes atteignant les 22 millions de pièces. Cependant, selon le dernier rapport IHS iSuppli Compute Platforms Topical, publié le 1er octobre, ces estimations n'étaient pas réalistes et ont été revues à la baisse : on prévoit désormais que seuls 10,3 millions d'ultrabooks seront vendus d'ici la fin de l'année."Jusqu'ici, le secteur n'a pas su créer auprès des jeunes consommateurs l'engouement nécessaire pour faire de l'ultrabook un objet grand public. Cela pose vraiment problème lorsque l'on est confronté au grand buzz créé par les tablettes et les smartphones. Ajoutez à cela des prix prohibitifs, et les ventes d'ultrabooks ne pourront atteindront les objectifs initiaux en 2012", explique Craig Stice, auteur du rapport.

Les difficultés liées au mauvais marketing et aux prix trop élevés sont surmontables - surtout que les ventes d'ultrabooks tirent tout de même le marché vers le haut -, mais pour répondre à la concurrence, le seul moyen reste l'amélioration des fonctionnalités les plus recherchées par les consommateurs.Dans ce domaine, le rapport reste optimiste et note qu'Intel, dont les composants et les spécifications définissent le terme même d'ultrabook, a présenté de nombreuses nouveautés pour ses futurs modèles : technologies tactiles, reconnaissance vocale, capteurs de mouvement et GPS, des technologies à l'origine du succès des tablettes.Les fabricants, notamment Acer, HP et Dell, ont par ailleurs bon espoir pour leurs ultrabooks hybrides, à écran détachables ou rotatifs, disposant d'écrans tactiles ou capables de se transformer en tablettes pour offrir aux utilisateurs le meilleur des deux technologies. L'Acer Aspire S7 peut par exemple, s'ouvrir à 180° et dispose d'un écran tactile optimisé pour fonctionner sous le futur Windows 8. De son côté, le Dell XPS Duo 12 possède une charnière, qui permet à l'écran d'effecteur une rotation sur lui même pour devenir une tablette. Confrontés à la baisse de ses ventes de PC et de serveurs HP a vu son chiffre d'affaire global reculer de 10% et ses bénéfices de 32%. Les analystes ne semblent pas inquiets et s'attendent même à un rebond dans les prochains trimestres.

Les difficultés du marché des PC et de serveurs impactent sérieusement l'activité de HP. Pour le compte du second trimestre de son exercice fiscal 2012-2013, le fabricant américain publie un résultat net de 1,1 milliard de dollars, en baisse de 32% par rapport à la même période l'an passé. Quant au chiffre d'affaires de l'entreprise, il s'est replié de 10% pour atteindre 27,6 milliards de dollars.Toutes les activités du groupe, sans exception, ont accompagné la baisse de ses facturations dans différentes proportions. C'est particulièrement vrai pour la division PC dont les ventes en valeur ont subi une baisse de 20% (-18% pour les desktops et -24% pour les portables) qui reflète la mauvaise santé du marché mondial des PC. Dans le détail, son chiffre d'affaires dans le monde professionnel s'est replié de 14% contre 29% dans le grand public.La division Enterprise Group (serveur, stockage, réseaux...) accuse de son côté un recul de 10% de son chiffre d'affaires, plombée notamment par ses ventes de serveurs (-12%) et de systèmes de stockage (-13%) que la hausse de 1% des ventes de produits réseaux ne suffit pas à compenser.

Comparativement moins impactée, la division Logiciels a vu son activité reculer de 3% en valeur. En cause, la baisse des ventes de licences (-23%) et de services (-5%) dont l'impact négatif a toutefois été adouci par la croissance des revenus de l'activité support.Dernière entité dédiée aux produits chez HP, la division Impression est celle qui s'en sort le mieux avec un chiffre d'affaires en décroissance de seulement 1% sur le trimestre. HP ne communique pas sur la variation de ses ventes de consommables mais il y a fort à parier que ce sont elles qui permettent à la division de rester stable puisque ses ventes de systèmes d'impression ont globalement baissé de 11% (-5% dans le monde professionnel, -13% dans le grand public). Enfin, la division Services accuse un recul d'activité de 8% tandis que celui de la branche Services Financiers atteint 9%.

En dépit de ces mauvais résultats, les bénéfices dégagés par HP sont supérieurs à ceux auxquelles s'attendait le marché. L'entreprise a en effet publié un bénéfice par action de 0,87 $ quand les analystes tablaient sur 0,81$. Dans un communiqué de presse, Meg Whitman, la CEO de HP s'est déclarée « encouragée » par les résultats du fabricant qu'elle a attribué à des performances meilleures que prévues des divisions impression et serveurs ainsi qu'à une politique de réduction de coûts. Lors de ce trimestre, HP est parvenu à faire baisser ses coûts et ses dépenses de 8%. Les marchés financiers ont plutôt bien réagi à ces résultats en prévoyant un rebond pour les prochains trimestres. Les prochains Celeron et Pentium d'Intel seront basés sur l'architecture Silvermont déjà utilisée dans les puces Bay Trail pour tablettes.L'architecture Silvermont de la dernière puce Intel Atom pour tablettes, connue sous le nom de code Bay Trail, sera réutilisée dans les processeurs Celeron et Pentium d'entrée de gamme pour animer des PC portables, des ordinateurs de bureau et des tout-en-un d'entrée de gamme, a expliqué le fondeur de Santa Clara.

De type basse consommation, la puce Bay Trail d'Intel équipe déjà des smartphones, des tablettes et des netbooks. En complément de cette dernière, Intel lancera une version pour les PC nomades baptisée Bay Trail-M et une autre pour les ordinateurs de bureau appelée Bay Trail-D sous les marques Celeron et Pentium, a expliqué Kathy Gill, une porte-parole de la firme.Les processeurs Pentium et Celeron sont aujourd'hui utilisés dans les PC d'entrée de gamme et cette évolution représente un changement architectural radical pour ces marques. Cela indique également qu'Intel accorde une plus grande confiance à son architecture Atom pour animer des PC d'entrée de gamme. La puce Bay Trail est basée sur l'architecture Silvermont, qu'Intel prétend être jusqu'à trois fois plus rapide et cinq fois plus économe en énergie que les anciens noyaux Atom.

Silvermont va maintenant pouvoir animer d'autres produits Intel Inside comme des PC d'entrée de gamme, des tablettes, des smartphones et des serveurs de faible puissance. Le fondeur compte utiliser Silvermont dans ses prochaines puces pour smartphones, connues sous le nom de code Merrifield, qui sont attendues début d'année prochaine. Intel a déjà annoncé qu'il utiliserait Bay Trail dans les PC, mais n'a pas encore annoncé de marque commerciale pour ses nouvelles puces.« En raison des progrès et de la flexibilité de la ... microarchitecture Silvermont, nous pouvons personnaliser les jeux de fonctionnalités de Bay Trail et développer des variantes sur cette base pour équiper une nouvelle gamme de produits informatiques à des prix très variés », a déclaré Mme Gill. Intel devrait livrer plus de détails sur sa puce Bay Trail à l'occasion du salon Computex à Taipei la semaine prochaine. La société pourrait ainsi montrer des tablettes équipées de cette puce associée à Windows ou Android. Les PC et les tablettes animés par Bay Trail devraient être disponibles un peu plus tard dans l'année.

Les peu couteuses puces Pentium et Celeron étaient jusqu'à présent basées sur la même architecture que celle utilisée dans les véloces processeurs Core mais avec moins de fonctionnalités. Les derniers CPU Pentium et Celeron sont basés sur l'architecture Intel Ivy Bridge.À Computex, Intel va également annoncer de nouvelles puces Core basées sur la microarchitecture Haswell, mais il reste à voir si certains Pentium ou Celeron reposeront sur ce design. « Nous avons des produits Celeron et Pentium aujourd'hui basé sur notre microarchitecture Ivy Bridge, mais nous ne sommes pas encore prêts à divulguer des détails supplémentaires sur la technologie Haswell » a déclaré Mme Gill.Intel a dévoilé son premier processeur Pentium cadencé à 66MHz en 1993, et la première puce Celeron à 300 MHz en 1998. Depuis lors, les PC équipés de ces puces se sont bien vendus, et Pentium reste une marque facile à identifier pour les acheteurs même si aujourd'hui l'équivalent est à chercher du coté des modèles Core i3, i5 et i7. Les puces Pentium sont désormais en concurrence avec des puces bas de gamme d'AMD tels que les A4, A6, Sempron et Athlon. « L'objectif est d'offrir à nos clients la plus large sélection de facteurs de forme, de caractéristiques et de modèles avec uen gamme de prix cohérente », a déclaré Mme Gill. Alors que Google fait les gros titres avec ses lunettes connectées, Recon Instruments vient de dévoiler sa technologie portable sous forme de lunettes de soleil, lors de la conférence Google I/O à San Francisco. Les solaires Recon Jet HUD (heads up display - affichage tête haute) intègrent les dernières technologies pour surveiller ses propres performances sportives, tout en écoutant de la musique et en regardant des vidéos.

Elles intègrent un processeur bicoeur, les connectivités WiFi et Bluetooth, une puce GPS, ainsi que le système ANT+, adapté au sport. Ces lunettes abritent aussi de nombreux capteurs, comme un accéléromètre, un gyroscope, un altimètre, un magnétomètre, un thermomètre, mais aussi une caméra HD. Même si les clients du fabricant Recon sont habituellement des amateurs de sports alpins, la gamme Jet HUD vise un public de coureurs, cyclistes, entre autres sportifs.Ces solaires sont un petit peu plus encombrantes que les lunettes de sport traditionnelles et pèsent 60 grammes, elles sont ainsi plus lourdes que les Google Glass. Mais le magazine spécialisé Wired trouve que le poids des lunettes est bien réparti, avec la batterie à gauche et le système électronique et l'affichage à droite, et que son port est confortable.

Posted by: akkusmarkt at 07:56 AM | No Comments | Add Comment
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