June 02, 2017

Batterie Dell Inspiron M101

Le consortium travaille déjà sur les prochaines améliorations du standard comme la partie audio et la capacité à créer des réseaux Mesh (maillés). Pour ce dernier, l’idée est de créer un maillage d’objets connectés et qui se partagent les données via la connexion Bluetooth. Il reste que d’autres technologies existent pour l’IoT comme par exemple Sigfox ou LoRa pour les réseaux à très bas débit, ou le LTE-M et le NB-IoT sur les réseaux cellulaires.L’écran sans bord du Galaxy S8 s’accompagnerait des disparitions du bouton physique et du jack. Des innovations par lesquelles Samsung espère faire oublier le fiasco du Note7.Comment Samsung pourrait reprendre pieds sur le marché des smartphones après le fiasco du Galaxy Note7 ? En innovant de manière suffisamment marquante pour se distinguer de ses concurrents. Les iPhone d’Apple d’une part mais aussi désormais de Huawei, qui n’a pas caché ses ambitions de conquérir la place de numéro 1, et de Google qui, avec les Pixel, a lancé sa propre offre haut de gamme.

L’innovation en question pourrait principalement se traduire sur le Galaxy S8 par un terminal plein écran et, petite révolution chez le constructeur coréen, la disparition physique du bouton Home, croit savoir Bloomberg qui s’appuie sur des sources non citées. Après les bords arrondis des Galaxy Note7 et Edge, Samsung passerait donc à un écran sans bord qui envelopperait totalement la face avant du terminal. Le bouton de retour à l’accueil, tactile, serait noyé dans le verre éclairé en technologie Oled (organic light-emitting diode) considérée comme moins consommatrice que le Led mais plus difficile à produire. Par ailleurs, le S8 ferait le plein de mémoire : 6 Go en RAM et jusqu’à 256 Go en stockage flash.Enfin, d’autres rumeurs évoquent la disparition de la prise jack. Le casque-micro se connecterait donc par l’intermédiaire du port USB C au même titre que le chargeur. Une innovation chez Samsung mais pas sur le marché. En la matière, le constructeur coréen suivrait les traces d’Apple et de l’iPhone 7.

Des informations qui resteront à confirmer. Mais il est certain que Samsung mise gros sur le S8 pour compenser l’échec du Note7. L’arrêt de sa production pour cause de surchauffe des batteries et le rappel des quelque 2,5 millions d’unités distribuées dans le monde aura coûté plus de 6 milliards de dollars au constructeur. Et une dégradation de son image difficile à quantifier aujourd’hui. Mais les ventes ont significativement reculé au troisième trimestre, particulièrement aux Etats-Unis où Apple a repris le dessus.Le prochain Mobile World Congress (MWC) de Barcelone pourrait être l’occasion pour Samsung de dévoiler, fin février, le Galaxy S8. Si un lancement commercial était à l’origine évoqué pour mars, celui-ci serait retardé d’un mois pour renforcer les procédures de tests et validation, toujours selon Bloomberg. Samsung n’a en effet plus droit à l’erreur.Fonction SSI identifiée, mises à jour régulières, robustesse des mots de passe, cloisonnement du réseau… Le plan d’action français sur la sécurité des systèmes d’information de santé (« plan d’action SSI ») propose un calendrier à 6, 12 et 18 mois de réalisation de mesures prioritaires.

Annoncé par la ministre des affaires sociales et de la santé, Marisol Touraine, le 3 octobre dernier, le plan d’action sur la sécurité des systèmes d’information (« plan d’action SSI ») est diffusé. Il s’adresse aux établissements de santé, laboratoires de biologie médicale, centres de radiothérapie et centres d’imagerie et de radiologie, qu’ils soient publics ou privés. Une instruction datée du 14 octobre, et validée en novembre, présente le plan et ses priorités.« Le plan d’action SSI ne se substitue pas aux obligations de sécurité que doivent mettre en place les structures, mais il propose un calendrier à 6, 12 et 18 mois de réalisation de mesures prioritaires en termes d’efficacité par rapport, notamment, au risque de piratage informatique », précise le ministère de la Santé. Il revient aux Agences régionales de santé (ARS) d’assurer la diffusion large du plan.Une première série de mesures est à mettre en place dans les six mois. Parmi ces mesures figurent : l’identification de la fonction RSSI, une charte utilisateur, une procédure de signalement, la sécurisation des comptes par mots de passe robustes ou encore des sauvegardes testées.

La deuxième série d’actions doit être déployée dans les 12 mois. Ces mesures couvrent, entre autres : l’appréciation du risque avant mise en production d’un SI, les mises à jour régulières (OS, terminaux, serveurs et équipements biomédicaux), la protection de tous les accès à Internet, la gestion des comptes utilisateurs. Et, enfin, la sensibilisation à la SSI des personnels.La troisième batterie de mesures doit être initiée dans les 18 mois. Elle inclut : le cloisonnement du réseau par départements (administration, paie, plateau technique…), l’encadrement contractuel de tous les accès et la réalisation d’une analyse de risque SI de la structure concernée.Les mesures pour sécuriser les SI des établissements de santé sont associées à des références réglementaires. C’est notamment le cas de la politique de sécurité des SI pour les ministères chargés des affaires sociales (PSSI-MCAS) et de la politique de sécurité des SI de santé (PGSSI-S). Le programme hôpital numérique piloté par la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) et les guides de l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (ANSSI) en font partie également.

Aux États-Unis, les cyberattaques dans le monde hospitalier se multiplient. La France n’est pas à l’abri. Selon Symantec, l’Hexagone est entré en 2015 dans le top 10 des pays les plus touchés par le piratage informatique. Tous les secteurs d’activité sont concernés.Google vient d’initier le déploiement de la version 7.1.1 d’Android « Nougat ». Au-delà des habituels corrections de bug, les nouveautés se concentrent sur l’introduction de nouveaux raccourcis d’applications disponibles depuis un lanceur, dont les icones arrondies peuvent être définies par les applications elles-même. Les images sont désormais supportées depuis le clavier. Ils pourront notamment envoyer de nouveaux émoticons à caractère professionnels quelle que soit l’application de communication utilisée. Notons également des améliorations pour la programmation des threads VR (réalité virtuelle) pour optimiser leur latence.

Seule une poignée d’utilisateurs profitera de cette mise à jour de l’OS mobile numéro 1 du marché. Les possesseurs d’un smartphone maison, à savoir les Nexus 5X, Nexus 6P, Nexus 6, Nexus 9, Nexus Player, Pixel C, Android One (General Mobile 4G), et les récents Pixel et Pixel XL. La mise à jour s’effectuera par les airs au long des prochaines semaines. Les utilisateurs impatients peuvent télécharger et installer les images binaires (depuis cette page). Google indique que les appareils inscrits dans le programme Android Beta bénéficieront également d’Android 7.1.1 s’ils sont compatibles. Les autres devront attendre que les constructeurs respectifs adaptent la nouvelle version de l’OS à leur distribution qu’ils pousseront, ou pas, vers les utilisateurs finaux selon la compatibilité des terminaux. Ce qui risque de demander quelques mois de patience.

Conséquence, Android Nougat n’est pas près de s’imposer sur le marché. Plus de trois mois après sa disponibilité en août dernier, Android 7.x est installé sur 0,4% des smartphones Android. Pas de quoi pousser les développeurs à précipiter leurs applications sur Nougat. A ce rythme, il est difficile de croire que la nouvelle version d’Android se déploiera à la même vitesse que la précédente, Marshmallow, qui compte pour 26,3% des smartphones utilisés. Si Android 6 dépasse aujourd’hui Android 4.4 KitKat crédité de 24% par l’éditeur de Mountain View, elle reste loin derrière le ténor des distributions Android, à savoir Lollipop (version 5) et ses 34%. Notons que Jelly Bean (Android 4.1 à 4.3) résiste avec près de 13% d’installations. Les précédentes versions n’ont pas totalement disparues. Froyo (Android 2.2), Gingerbread (2.3) et Ice Cream Sandwich (4) survivent sur 2,4% des smartphones Android.

Il faudra probablement attendre l’arrivée de nouveaux terminaux dotés d’Android Nougat pour espérer voir se dernier prendre du poids dans l’écosystème de Google. Néanmoins, au regard des premiers smartphones qui l’ont accueilli, Android 7.0 semble réservé aux modèles plutôt haut de gamme. Alors que le majorité du marché Android se trouve sur l’entrée et le milieu de gamme. Une chose est certaine : Android Nougat n’équipera pas le Galaxy Note7 que Samsung a définitivement retiré du marché suite à ses problèmes de batterie (ou ou de conception).L’engagement des salariés de Huawei participe largement au succès de la société sur le marché des terminaux mobiles, estime Juro Osawa dans les colonnes du Wall Street Journal.En très peu de temps, Huawei s’est hissé à la troisième place du classement des constructeurs de smartphones. Il talonne ainsi Apple, qu’il pourrait doubler plus rapidement que prévu. Samsung reste toujours le champion du secteur, mais a récemment souffert de l’échec du Galaxy Note 7. Une aubaine pour le constructeur chinois, qui redouble d’efforts pour gagner son pari : devenir le numéro un des smartphones d’ici 5 ans.

La firme a un secret pour s’imposer sur le marché : l’engagement sans faille de ses salariés. « Huawei a surpris ses rivaux au cours des cinq dernières années, en doublant son chiffre d’affaires à près de 60 milliards de dollars et en devenant le numéro trois des fabricants de smartphones », constate Juro Osawa, dans une analyse publiée par le Wall Street Journal.« Cette croissance explosive est en partie le résultat de la capacité des employés à sacrifier leurs vacances, à renoncer à des heures supplémentaires et, parfois, à risquer leur vie pour promouvoir la cause de l’entreprise. » Cette culture du travail et de l’engagement envers la société a directement été insufflée par Ren Zhengfei, fondateur de Huawei, société qu’il commande toujours à 72 ans.Sur le troisième trimestre 2016, les chiffres d’IDC sont sans appel, avec une forte montée de Huawei : +23 % sur un an, 33,6 millions de smartphones vendus et 9,3 % de parts de marché. Dans le même temps, Apple a reculé : -5,3 %, 45,5 millions d’iPhone et 12,5 % de PDM. Voir pour plus de détails « Samsung, Apple et Huawei, maîtres du marché des smartphones ».

En Chine, Huawei est ici aussi numéro trois sur Q3 2016, avec 18 millions de smartphones venus : +5,1 % sur un an et 15,7 % de parts de marché. Le constructeur se trouve ici au coude à coude avec Vivo (19,2 millions de smartphones) et Oppo (20,1 millions). Deux étoiles filantes qui pourraient retomber rapidement en 2017. Voir aussi « Les constructeurs chinois de smartphones maîtres sur leur marché ».Les iPhone d’Apple semblent presque à portée de main du ‘loup affamé’ Huawei (comme l’aime à le désigner son patron). Reste que la firme de Cupertino devrait retrouver de sa superbe pour les fêtes de fin d’année et conserver ainsi une confortable avance sur son concurrent.Samsung sera plus difficile à battre. Tout dépendra en effet de la capacité du constructeur coréen à faire oublier la débâcle du Galaxy Note 7. Mais aussi de l’engagement des forces vives de la société, qui auront probablement à cÅ“ur de contrer la montée de Huawei.

Lors de la présentation du smartphone grand écran Mate 9 à Munich, Richard Yu, le responsable de la branche consumer electronics de Huawei, n’a pas manqué de railler son concurrent : « Pas d’explosions ! » a-t-il promis. Terminal Android 7.0 de 5,9 pouces, le Mate 9 comprend 4 Go de RAM, 64 Go de stockage et une large batterie de 4000 mAh. Il est pourvu d’un double capteur photo signé Leica. Son processeur est un modèle maison, le Kirin 960. Il comprend 4 cÅ“urs ARM Cortex-A72 à 2,4 GHz, assistés de 4 cÅ“urs Cortex-A53 à 1,8 GHz.Le BlackBerry « Mercury » DTEK70 devrait être commercialisé début 2017. Les premières photos – en fuite sur la Toile – laissent apparaître un terminal à clavier physique non rétractable.Un nouveau terminal mobile BlackBerry pourrait bientôt être proposé au public. Ce produit connu sous le nom de code de Mercury sera un smartphone Android de large taille, proposant un clavier physique. Une sorte de dérivé du BlackBerry Priv, mais avec un clavier non rétractable.Des photos du smartphone sont en fuite sur le réseau social chinois Weibo. L’existence de cette machine reste encore sujette à caution, mais pourrait renforcer le constructeur canadien sur la scène des smartphones à clavier physique… comme le patron de la firme John Chen l’a promis récemment.

  1. http://dovendosi.mee.nu/
  2. http://www.kiwibox.com/dovendosi/blog
  3. http://akkusmarkt.blogs.lalibre.be/

Posted by: akkusmarkt at 03:40 AM | No Comments | Add Comment
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