January 07, 2017

Batterie Toshiba Satellite L300

LES AUTORITÉS CALIFORNIENNES INFLEXIBLES
Google s'est vu signifier une fin de non-recevoir. La Californie l'a non seulement obligé à mener des tests sur routes, mais a exigé une modification de son prototype, explique le Wall Street Journal. Pas question de laisser des véhicules sans volant ni pédales limer le bitume : Google a donc dû ajouter ces pièces sur ses exemplaires de tests. Un nouveau réglement entrant en vigueur le 16 septembre oblige en effet tout véhicule à disposer d'équipements permettant au conducteur d'en prendre les commandes en cas d'urgence. Google a donc modifié les premiers exemplaires de ses Google cars qui devraient circuler sur des routes privées dans les prochains mois.

Nouvel épisode de notre série consacrée au principaux lancements de produits depuis l'été dernier. Aujourd'hui retour sur Watch Dogs : sorti en mai 2014 sur consoles et PC, il permet d'incarner un hacker lâché dans les rues de Chicago. Particulièrement attendu, ce nouveau jeu vidéo d'Ubisoft a battu des records de ventes et s'impose déjà comme la nouvelle licence phare de l'éditeur français, dans la lignée des Assassin's Creed.
Aiden Pierce, un hacker qui vous veut du bien. Le personnage principal du nouveau jeu vidéo d'Ubisoft - Watch Dogs - se présente comme le gardien de Chicago, un geek aussi habile avec les armes traditionnelles qu'avec un ordinateur. Doté de son smarthone, il est capable de pirater les installations électriques publiques, des caméras de surveillance aux feux de circulation, mais aussi d'accéder à n'importe quel compte en banque ou autres données stockées en ligne. Un héros hyperconnecté qui s'inscrit parfaitement dans l'époque actuelle, surfant sur les tendances du big data, du cloud et de la cybersécurité.

DU LANCEMENT REPOUSSÉ AU RECORD DE VENTES
La présentation de ce nouveau titre lors de l'E3 en 2013 avait suscité une grande attente chez les joueurs du monde entier. Douche froide quelques mois plus tard : alors que son lancement était prévu pour la fin d'année, Ubisoft annonce qu'il doit encore peaufiner son jeu, dont le développement est assuré depuis 2009 par les studios de Montréal de l'éditeur.
Les joueurs ne le regretteront pas... et Ubisoft non plus. Lors de sa sortie, fin mai 2014, Watch Dogs réalise le meilleur démarrage de l'histoire de l'éditeur français avec 4 millions d'unités écoulées en une semaine. Au premier trimestre de l'exercice 2014-2015, Ubisoft annonce un chiffre d'affaires record de 360 millions d'euros, une performance qu'il attribue au succès de son nouveau jeu.

NE NOUVELLE FRANCHISE "BANKABLE" POUR UBISOFT
Sorti simultanément sur les consoles d'ancienne et de nouvelle générations mais aussi sur PC, ce jeu a clairement bénéficié d'un effet de masse, profitant au passage des très bons démarrages des Playstation 4 et Xbox One. Si Ubisoft n'a pas encore officialisé l'annonce d'une suite, Watch Dogs s'annonce d'ores et déjà comme une nouvelle franchise à succès pour l'éditeur. Un digne successeur pour la série des Assassin's Creed qui s'essoufle avec 13 épisodes au total depuis la sortie du premier en 2007, en comptant les deux derniers opus - Unity et Rogue - annoncés pour la fin d'année.

Plus de mille mini robots se sont rassemblés pour former la figure qu’on leur a indiquée : ce "flash mob" inédit a été déclenché par deux laboratoires de l’université Harvard, qui ont ainsi démontré qu’une troupe nombreuse de robots pouvait réaliser une tâche complexe de manière coopérative, sans intervention humaine.
Ils sont malhabiles, leur intelligence est limitée, ils ne communiquent qu’avec leurs voisins immédiats, mais ensemble ils se débrouillent pour s’assembler en créant une forme relativement complexe comme une étoile ou la lettre K. Les 1024 mini robots créés à l’université d’Harvard démontrent comment un grand nombre de robots très simples peuvent réaliser une tâche complexe grâce à un comportement coopératif.
En un sens, les chercheurs d’Harvard n’ont rien inventé : ils ont pris exemple sur la nature, où l’on trouve de nombreux exemples de systèmes organisés qui résultent de l’auto-assemblage de milliers ou millions d’individus très simples : la croissance des cristaux, les organismes multicellulaires, mais aussi les colonies de fourmis qui fabriquent des ponts... Sur ce principe de l’intelligence coopérative, plusieurs laboratoires ont testé des petits robots qui réalisent ensemble des opérations, sans intervention humaine. Les chercheurs d’Harvard eux-mêmes avaient déjà mis au travail une petite équipe de robots termites.

Mais la grande nouveauté, cette fois, c’est d’avoir lancé un milliers de robots sur une tâche commune. Chaque robot de la taille d’une pièce de monnaie, doté d’un système rudimentaire de déplacement sur 3 pattes, d’un émetteur - récepteur infrarouge pour communiquer avec ses voisins, et d’un microcontrôleur, reçoit au départ une image de la forme à réaliser, et un logiciel pour interagir avec les autres. Ensuite il se débrouille, en coopération avec ses voisins, pour la réaliser, sans autre intervention ni système pour superviser l’ensemble. Les robots n’ont aucune idée de leur position, et ne connaissent que la distance qui les sépare de leurs voisins immédiats. Mais ça marche !
La difficulté vient du nombre de robots autonomes : à cette échelle, les erreurs, pannes, et événements statistiquement rares (robots isolés...) risquent de bloquer toute l’opération. Les chercheurs ont donc ajouté, dans les algorithmes qui régissent les interactions entre les robots, des techniques qui permettent d’éviter les embouteillages, de corriger collectivement les erreurs de mesure…

Pour l’équipe d’Harvard, ces résultats, tout juste publiés dans la revue Science, démontrent que des systèmes robotiques coopératifs à grande échelle peuvent fonctionner physiquement, et non plus seulement, comme c’était le cas jusqu’ici, en simulation sur ordinateur. Leurs pistes de recherche pour la suite ? Continuer à travailler sur les algorithmes capables de détecter et corriger les dysfonctionnements dans les colonies de robots, et créer de nouveaux robots capables de s’accrocher physiquement les uns aux autres pour former des structures stables, comme le font les fourmis. Ajoutons une suggestion : sans doute faudrait-il aussi parvenir à accélérer le mouvement, car la "flash mob" de robots, pour le moment, prend tout de même une dizaine d’heures...
Le Tate Britain est l'un des musées les plus prestigieux de Londres, mais il n'est pas donné à tout le monde de le visiter. Pour pallier à cet état de fait, un projet nommé After Dark permet en ce moment d'explorer le musée après sa fermeture à l'aide de robots contrôlés à distance par les internautes. Une retransmission de ce que filment ces visiteurs mécaniques est également disponible en ligne en temps réel.

Le musée Tate Britain de Londres propose du 13 au 18 août une initiative hors du commun : explorer le musée la nuit, après la fermeture... à l'aide de robots ! Ce projet, baptisé After Dark, est le fruit du travail du studio londonien The Workers. Il a remporté le prix artistique IK Prize 2014, qui récompense la créativité numérique. Après leur victoire, ses initiateurs ont bénéficié de l'aide de l'entreprise RAL Space pour faire de cette idée une réalité. Celle-ci se spécialise habituellement dans le domaine de l'exploration spatiale. Elle les a aidé pour l'occasion à développer le chassis des robots.
Quatre robots sont mis à disposition des internautes sur le web pour explorer le musée. Leurs pérégrinations sont retransmises en direct sur Internet. Ils sont équipés d'une caméra et d'un système sonar qui leur permet de se repérer. Un livestream (visible ci-dessous) sera disponible chaque jour pour la durée du projet, de minuit à 5 heures du matin.
Interagir avec son ordinateur comme si c’était un être humain, ce sera bientôt possible. Des chercheurs ont mis au point un visage numérique capable d’exprimer à la demande certaines émotions : la joie, la colère, la tristesse, la peur, etc. Le système, baptisé Zoe, est le fruit d’une collaboration entre le laboratoire de Toshiba à Cambridge et l’Université de Cambridge en Angleterre.

Les traits de Zoe ont été modélisés à partir d'un vrai visage, celui de l'actrice Zoe Lister. Pour recréer son visage et sa voix, les chercheurs ont passé plusieurs jours à enregistrer ses paroles, à tracer et analyser ses expressions faciales pendant qu’elle parlait avec un logiciel de vision sur ordinateur. Toutes ces données ont été converties en algorithmes générant la voix et les images nécessaires à recréer les expressions sur un visage numérique, directement à partir d’un texte. Pour faire s’exprimer Zoe, l'utilisateur entre le message et spécifie l'émotion à appliquer. Le système utilise une palette de six émotions de base (bonheur, tristesse, tendresse, colère, peur et neutralité qui peuvent être combinées entre elles en jouant avec des paramètres de hauteur, de vitesse et de profondeur de la voix. Par exemple, en combinant le bonheur avec la tendresse et en augmentant légèrement la vitesse et la profondeur de la voix, on obtient une expression amicale et accueillante. La combinaison de la vitesse, de la colère et de la peur donne à Zoe l’impression qu’elle panique. Il est ainsi possible de créer une quasi infinité d'expressions. Selon les concepteurs, c'est l'avatar contrôlable le plus expressif jamais créé, répliquant des émotions humaines avec un réalisme jamais atteint.
Le résultat est un système suffisamment léger, quelques dizaines de Mo, pour être embarqué sur des smartphones ou des tablettes. Ce qui permettra de l’utiliser pour des assistants personnels de type Siri. Dans le futur, il sera possible aux utilisateurs de télécharger leurs propres visages et voix, et de personnaliser complètement leurs assistants numériques.http://www.batterie-tech.com/batterie-ordinateur-portable-toshiba.html

Posted by: akkusmarkt at 02:12 AM | No Comments | Add Comment
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