February 24, 2017

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La Chine compte 420 millions d'internautes mobiles en 2013, soit 18% de plus que l'année précédente, selon le Centre d'informations sur l'internet chinois (CNNIC). «Les App Stores mobiles sont un point d'entrée important pour l'internet dans son ensemble et sont d'un intérêt stratégique pour Baidu», commente Kaiser Kuo, porte-parole, interrogé par le journal français Le Monde.Le marché chinois se distingue par le refus des utilisateurs de mettre la main au porte-monnaie pour acquérir une application. Android, qui couvre 51,4% du marché ne propose que des app gratuites dans son Play Store.«Le potentiel est fort, mais la distribution des applications, autant que leur développement, sont maîtrisés par une multitude d'acteurs tiers, ce qui rend le terrain complexe, même pour les grands du web chinois», explique Yin Jingxue, spécialiste de l'Internet mobile au sein du cabinet Analysys, qui suit les évolutions du Web chinois, cité par Le Monde.

Baidu avait déjà déboursé 366 millions de dollars au mois de mai pour racheter la plateforme de vidéos en streaming PPStream. Pour sa part, NetDragon, qui a cédé ses parts, s'est effondré à la clôture de la bourse de Hong Kong en perdant 21,2% de sa valeur. Le PDG de Microsoft, Steve Ballmer, a déclaré lors de la conférence Build destinée aux développeurs que les utilisateurs équipés de terminaux à écrans tactiles sous Windows 8 étaient plus satisfaits que ceux possédant Windows 7.Le patron de Microsoft, Steve Ballmer, n'a pas hésité à dire que l'utilisation de Windows 8 sur un terminal à écran tactile rendait les utilisateurs plus heureux, comparé à Windows 7. C'est le résultat quelque peu surprenant d'une étude sur le comportement des clients de la firme, compte-tenu du fait que Windows 8 est très critiqué pour ses lacunes et par l'absence d'un grand nombre des fonctionnalités qui étaient présentes dans le précédent OS. Steve Ballmer a fait cette déclaration lors de l'ouverture de Build, la conférence de Microsoft dédiée aux développeurs, au cours de laquelle les dirigeants du groupe ont détaillé les fonctionnalités de Windows 8.1. La première mise à jour majeure de la plate-forme a été lancée à l'automne dernier. Celle-ci visera à restaurer de nombreuses fonctions qui avaient été retirées de la précédente version.

Steve Ballmer a reconnu que Windows 8 avait été lancé à un moment où le matériel, qui aurait dû être à son plus niveau avec des PC à écrans tactiles, n'était pas disponible. Mais aujourd'hui, de nombreux équipements existent dans une grande variété de configurations sous forme de tablettes, de mini-tablettes, de tout-en-un ou d'ultrabooks. « On assiste littéralement à une déferlante de PC portables tactiles », a souligné le dirigeant. « Les portables et ordinateurs de bureau traditionnels équipés de cette technologie ont également fait leurs preuves », a-t-il ajouté.Ces observations interviennent alors que Microsoft a publié une version preview de Windows 8.1, dont les principales caractéristiques ont déjà été exposées par la firme. Microsoft a fait un peu marche arrière pour compenser les changements les moins populaires réalisés lors du passage de Windows 7. Au premier rang de ceux-ci, figure le retour du bouton démarrer qui permet de lancer son PC directement sur le bureau plutôt que sur l'écran. 2013 marque la fin d'une époque, celle des netbooks. Le quotidien taïwanais DigiTimes annonce qu'Asus et Acer, les deux derniers constructeurs à encore produire ce type de PC, ont décidé d'arrêter la production de leurs derniers modèles en ce début d'année.

Apparu en 2007 avec l'Asus Eee PC et le soutien d'Intel et de sa puce Atom, les netbooks se sont démarqués de la concurrence par leur aspect compact et nomade, ainsi que leur prix défiant alors toute concurrence. Avant de faire marche arrière, Microsoft avait même poussé le vice jusqu'à proposer une version bridée de Windows 7 baptisée Starter qui ne pouvait pas exécuter plus de trois applications en même temps, ne permettait pas de changer de fond d'écran ou encore de lire un simple DVD. Les netbooks ont toutefois représenté jusqu'à un quart des parts de marché des ventes d'ordinateurs en France en 2010, selon GfK. Leur succès a été grandissant jusqu'à l'arrivée sur le marché de l'iPad et la démocratisation des tablettes multimédias. Les consommateurs privilégient la tablette au netbookLa courbe s'est soudainement inversée en 2011, avec 14% des volumes de ventes IT pour les netbooks contre déjà 19% aux tablettes, toujours selon GfK. Les chiffres définitifs pour 2012 ne sont pas encore connus, mais l'offre et les ventes de netbooks n'ont jamais été aussi faibles.Le marché des PC est en pleine mutation, avec l'apparition en 2011 des ultrabooks - encore une fois poussé par Intel -et le développement en 2012 de modèles hybrides, entre tablette et ordinateur portable traditionnel. Tous ces différents segments souffrent du succès des terminaux mobiles (smartphones et tablettes) de plus en plus performants. Après l'existence d'une vulnérabilité sur les Google Glass relative au QR code, Symantec explique qu'il y a un autre problème sur une faiblesse liée au WiFi et connue depuis longtemps.

Des chercheurs de Symantec ont mis l'accent sur une deuxième faille de sécurité dans les Google Glass. Elle serait plus dangereuse que la vulnérabilité QR code découverte et publiée par Lookout cette semaine. Selon Candid Wueest, chercheur sur les menaces chez Symantec « de nombreux appareils WiFi recherchent régulièrement des réseaux auxquels ils ont été connectés auparavant ». Il ajoute « ce comportement est pratique pour les utilisateurs qui n'ont pas besoin de se connecter manuellement à un réseau connu ». Mais pour un peu moins de 100 dollars, un pirate peut acquérir un équipement nommé WiFi Pineapple qui peut détourner un réseau WiFi connu en empruntant son SSID (Service Set Identifier). Par exemple, le Google Glass cherchent un réseau connu sous le SSID « MonWiFiprivé », WiFi Pineapple pourra répondre que ce réseau c'est lui.Cette solution est reconnue comme un outil pour les spécialistes de la sécurité. Il s'immisce entre le terminal de l'utilisateur et l'accès à Internet pour espionner les données et devient un problème de sécurité que l'on appelle man in the middle (MITM). Cette faille n'est pas uniquement réservée aux Google Glass mais touche aussi les PC portables, les smartphones qui se connectent dans des cafés ou des gares. Pour Candid Wueest, le problème de la recherche des réseaux WiFi connus n'est pas une question facile à résoudre.

Les terminaux pourraient vérifier l'adresse MAC (Media Access Control) d'un routeur WiFi et le faire correspondre avec le SSID. Mais selon l'ingénieur, cette adresse peut facilement être truquée. « La solution la plus pratique consisterait à traiter tous les réseaux comme hostile et veiller à ce que les applications utilisent des communications chiffrées de type SSL ou à travers un VPN », conclut Candid Wueest. Google n'a pas fait de commentaires à notre confrère d'IDG NS qui l'avait sollicité. Douglas Engelbart, l'inventeur de la souris, vient de mourir. Il avait créé en 1963 le premier prototype de souris qui allait révolutionner l'informatique.S'il a été créé en 1963, le tout premier prototype de souris a été présenté au public uniquement en 1968 par Douglas Engelbart, un chercheur au Stanford Research Institute (SRI) en Californie, aujourd'hui décédé.En 1979, sa technologie sera largement améliorée par d'autres chercheurs de l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) avec l'ajout d'une boule et de curseurs. Le principe de friction de la boule sur une surface plane permet de déplacer le pointeur à l'écran. À la fin des années 90 apparaissent les premières souris optiques, lesquelles remplacent progressivement les souris à boule, car plus précises et aussi plus propres.

Depuis quelques années, le succès auprès du grand public des ordinateurs portables a peu à peu vulgarisé l'usage des trackpads (pavés tactiles) et rendu la souris de plus en plus obsolète. Même les ordinateurs de bureau ont tendance à peu à peu délaisser aujourd'hui la souris, notamment les All-in-One tactiles. De son côté, Apple commercialise depuis 2010 le Magic Trackpad, un subsitut là encore tactile à la souris d'antan La fin du règne des PC portables dans l'informatique mobile est proche, à en croire DisplaySearch. Selon le cabinet d'études, les ventes de notebooks devraient en effet être surpassées par celles des tablettes en 2016. A cette date, la différence de poids entre les deux segments de marché sera encore peu importante. Le dépassement se sera en revanche largement amplifié en 2017 avec des ventes de notebooks de l'ordre de 393 millions d'unités (208 millions prévues en 2012) contre 416 millions d'unités pour les tablettes (121 millions en 2012).

L'adoption des tablettes PC en Amérique du Nord, en Europe de l'Ouest et au Japon constitue un des facteurs importants pour expliquer la progression rapide de leur diffusion. Ces trois zones géographiques génèreront en effet 66% des ventes de tablettes dans le monde en 2012 (80 millions d'unités) et continueront de peser fortement en 2017 avec 60% de parts de marché (254 millions d'unités). Selon le cabinet d'études ISH iSuppli, constructeurs et fondeur devraient faire des efforts pour arriver à proposer aux consommateurs des ultraportables à moins de 200 dollars.Sera-t-il possible de concevoir un PC portable ultrafin à moins de 200 $ ? Pour les analystes du cabinet d'études IHS iSuppli, la réponse est oui. Imaginer une telle éventualité peut paraître insensé étant donné les tarifs actuels de certains ultrabooks et autres portables ultrafins qui démarrent rarement en dessous de 600 $ et atteignent parfois les 1000 $. Mais IHS rappelle toutefois comment les netbooks ont vu leurs prix baisser progressivement jusqu'à se situer sous la barre des 200 $ au plus fort de leur succès il y a quelques années. Surtout, le cabinet d'analystes appuie son discours sur une étude des coûts de conception des machines qui confirme que le seuil des 200 $ pourrait être atteint par un PC portable d'entrée de gamme.

Arriver à un prix de vente aussi bas serait d'autant plus possible pour les industriels du PC sont habitués à travailler sur la base de marge très réduites. Une telle éventualité a d'ailleurs été évoquée par Paul Otellini, le CEO d'Intel, qui a déclaré en avril que des ultraportables tactiles embarquant des processeurs Intel d'entrée de gamme basés sur la technologie Atom pourraient être disponibles d'ici la fin de l'année.Or, Intel est un élément clé de la chaîne de fabrication des PC qui pourrait permettre le lancement de portables ultrafins à moins de 200 $. Le coût de ses produits (le CPU et la carte-mère) représente en effet 33% de la valeur totale des éléments nécessaires à la conception d'un PC. S'il décidait de baisser ses prix, les fabricants d'ordinateurs pourraient améliorer leurs marges et être ainsi en position de baisser leur prix.Autres acteurs ô combien important dans la détermination des prix des PC, les fabricants d'ordinateurs devront trouver eux aussi un biais pour faire descendre les prix des ultraportables autour du seuil des 200 $. Pour cela, ils devront certainement sacrifier leurs marges unitaires en échange d'un accroissement de leurs volumes de vente.

C'est une décision qui permettra de limiter les connections couteuses pour les touristes qui cherchent seulement à regarder leurs e-mails ou à faire une simple recherche sur le web. Basé sur le programme wifi gratuit pour les locaux, iTaiwan se développe pour donner le même accès aux touristes.Pour s'inscrire, les touristes devront présenter leur passeport aux Travel Service Centers qui se trouvent dans les aéroports, les gares et les stations de transports en commun (MRT) les plus importants du pays. Il suffit de donner une adresse e-mail pour recevoir un numéro de compte, afin d'accéder à internet dans les lieux publics.Les voyageurs qui disposent d'un numéro de portable thaïlandais ou d'une carte prépayée peuvent obtenir un compte comme les locaux : il leur suffit d'inscrire leur numéro de portable sur le site iTaiwan, d'entrer un code et d'activer leur compte avec un mot de passe envoyé par SMS.En outre, Kyoto au Japon a étoffé son wifi gratuit, offrant aux touristes des pass de trois heures ou de sept jours. Les hotspots, identifiables grâce à des symboles bleus et violets, sont disponibles aux arrêts de bus et dans les magasins 7Eleven, entre autres.

Posted by: akkusmarkt at 03:20 AM | No Comments | Add Comment
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