January 12, 2017

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Ce nouveau service vidéo, à propos duquel Chad Hurley a révélé très peu de détails, serait une version améliorée de YouTube, dans laquelle les utilisateurs auraient une meilleure flexibilité pour créer du contenu.
Si Chad Hurley affirme que son équipe et lui-même ne sont "pas prêts à tuer YouTube pour l’instant", et qu'"il y aura toujours une place pour YouTube", il espère toutefois créer une plateforme mieux adaptée à la collaboration, explique Adweek.
Les problèmes de transports coûteraient chaque année 266 milliards de dollars aux 30 plus grandes villes du monde, selon une étude réalisée par le cabinet Roland Berger qui présente la "mobilité connectée" comme une solution d'avenir. Les smartphones ainsi qu'un accès facilité aux données de transports devraient notamment contribuer à désengorger des réseaux au bord de l'implosion.
Se rendre sur son lieu de travail représente pour beaucoup d'usagers une préoccupation quotidienne. Les incidents divers, pour les utilisateurs des transports en commun, ou les embouteillages, pour ceux qui utilisent un véhicule privé, sont ainsi les symptômes de réseaux de transports surchargés.

Selon une étude récente du cabinet Roland Berger, cette paralysie que connaissent les 30 plus grandes mégalopoles mondiales représenterait en effet un coût de 266 milliards de dollars par an. L'étude cite notamment deux cas extrêmes : Moscou, où les automobilistes passent en moyenne deux jours en moyenne par an dans les bouchons, et Los Angleles, avec une perte de temps estimée dans les transports en commun de 72 heures par personne chaque année.
Et avec la croissance démographique des grands centres urbains, la situation ne devrait pas s'arranger. En 2011, la planète comptait 23 villes de plus de 10 millions d'habitants, elle en dénombrera 37 en 2025. Une ville comme Kinshasa en République démocratique du Congo gagne ainsi 424 000 habitants chaque année, indique Roland Berger. En 2025, la population des grandes agglomérations d'Inde ou de Chine devrait ainsi dépasser Tokyo, qui détient actuellement le record avec 37 millions d'habitants (plus qu'au Canada ou en Algérie).

Depuis l'avènement de l'impression en trois dimensions, les spécialistes du secteur prévoient une démocratisation des imprimantes 3D qui devraient devenir de plus en plus accessibles en matière de taille et de coûts.
Grâce à trois étudiants de l'Université de Berkeley en Californie, David Pastewka, Ricard Berwick et Will Drevno, cet objectif se rapproche. Les trois américains ont réalisé le prototype d’une borne en libre-service capable d’imprimer un objet en 3D à partir de n’importe quel modèle, la Dreambox.
Le but de ces jeunes entrepreneurs : faciliter l’accès à l’impression 3D tout en réduisant les coûts et les délais de fabrication. Grâce à cette machine, n’importe quel utilisateur peut programmer une impression, en utilisant un format compatible depuis une clé USB ou en choisissant parmi les modèles préconçus personnalisables.

Une fois l’impression terminée, un sms est envoyé à l’utilisateur. Il ne lui reste plus qu’à se rendre à la borne la plus proche et entrer le code permettant d’ouvrir un casier où se trouve l’objet en question.
Pour le moment, la Dreambox n’est qu’un prototype. La question du prix et des délais de conception ne sont pas connus, mais les trois étudiants espèrent trouver des investisseurs prêts à les aider pour lancer la production de leur machine et des bornes dans tous les Etats-Unis.
Les lunettes de réalité augmentée imaginées par Google n'auraient pas que des avantages. Des spécialistes de l'ophtalmologie mettent en garde les futurs utilisateurs contre les dangers au niveau de l'alignement des yeux tandis qu'un bar américain a décidé d'interdire les lunettes pour protéger la vie privée de ses clients.

Google fait tout son possible pour promouvoir son dernier produit, les lunettes de réalité augmentée Google Glass, dont la mise en vente est prévue fin 2013. Mais malgré sa campagne de communication, le géant d’internet doit faire face à des premiers signes de méfiance de la part du public.
Dans un article daté du 4 mars, le magazine américain Forbes cite l’ophtalmologiste spécialisée dans les technologies, Sina Fateh et Steve Mann, professeur de l’Université de Toronto. Ces deux spécialistes mettent en garde les futurs utilisateurs des lunettes de Google contre les risques de confusion visuelle.

En effet, Sina Fateh explique que "l’écran unique au-dessus d’un seul Å“il peut entraîner un risque de confusion visuelle. Le problème est que vous avez deux yeux et le cerveau déteste voir une image en face d'un oeil et rien en face de l'autre. Cet écran pourrait créer un mauvais alignement des yeux".
Contacté par Forbes, Google affirme que les Google Glass sont censées être utilisées pour de micro-usages. C'est une première, le bar 5 Point Café situé à Seattle, aux Etats-Unis, a décidé d’interdire le port des Google Glass dans ses locaux.
Sur la page Facebook du bar, plusieurs messages donnent le ton. Le propriétaire - qui cherchait probablement à faire parler de son bar par la même occasion - affirme vouloir "mettre dehors" tous ceux qui voudraient porter des Google Glass au 5 Point Café.

En cause, le capteur photo et vidéo dont sont équipées les lunettes. Malgré la présence d’un voyant rouge qui alerte du fonctionnement de la caméra, le 5 Point Cafe a préféré interdire les lunettes pour protéger la vie privée de ses clients."Nous avons eu beaucoup de question au sujet des Google Glass. Ne tombez pas dans le piège de la promotion 'sexy' de Google pour leurs nouvelles lunettes. Elles ne sont en réalité qu'un nouvel accessoire de mode pour le genre de personne qui porte un sac banane et qui n'enlève jamais son oreillette bluetooth.", lit-on sur le message posté sur Facebook. La pépite canadienne LVL développe une appli qui prolonge la télévision sur une tablette, un smartphone ou un PC pour des fonctions d’interactivité, d’information sur le contenu ou de discussion via les réseaux sociaux. Elle travaille à l’intégrer dans les SmartTV de Samsung et LG.

Comment capter l’attention du téléspectateur et éviter à ce qu’il se détourne du programme en diffusion pendant les intermèdes publicitaires ? Pour la jeune société canadienne LVL, la réponse réside dans l’amplification de l’expérience télévisuelle par une application numérique de second écran. Le principe est de synchroniser l’émission diffusée sur le téléviseur avec un contenu numérique spécifique accessible au même temps sur une tablette, un smartphone ou un PC.
Le premier objectif est de faire bénéficier le spectateur d’un contenu télévisuel enrichi sur le second écran par des effets spéciaux, la 3D ou de la réalité augmentée. Mais l’autre but est de donner accès à des services numériques associés à l’émission : informations complémentaires, discussions sur les réseaux sociaux, participation au déroulement de l’action (jeu, défi...), interactivité (vote par exemple), etc.

L’application, développée à la demande de la chaîne CBC Sports pour la Nuit de Hockey au Canada, illustre les fonctions apportées par le second écran. Sur une tablette, le téléspectateur accède à des résumés détaillés des buts et des pénalités, à des cartes virtuelles de hockey, aux photos de tous les joueurs et aux statistiques des équipes. Il invité à prédire l’issue de la partie en cours, à participer à des sondages, à répondre à des jeu-questionnaires ou à jouer à des jeux. Il peut inviter ses amis Facebook à se joindre à la partie et voir en temps réel le nombre de funs soutenant en ligne chaque équipe. Des graphiques indiquent les prédictions à l’échelle nationale et par région, et un fil Tweeter intégré retrace les conversations en direct de l’évènement sportif.

UN BOUTON SECOND ÉCRAN
Créée en 2003, à Montréal, LVL a bâti son développement en fournissant ses services dans ce domaine à des chaînes de télévision, des maisons de production télévisuelle ou des opérateurs télécoms. C’est ainsi qu’elle a travaillé avec France Télévision, Orange, Arte ou TV5. Elle a décidé, il y a un an, de franchir une nouvelle étape en créant son propre produit PURPLE. C’est à la fois une appli et une plate-forme de développement d’applications de second écran. Son lancement est prévu en avril 2013.
En tant qu’appli, elle a vocation à s’intégrer dans les plateformes SmartTV des constructeurs de téléviseurs connectés. LVL travaille tout particulièrement avec Samsung et LG dans ce sens. " On peut imaginer un bouton Second écran sur la télécommande du téléviseur, explique John McCalla, directeur R&D. En appuyant dessus, le téléspectateur reçoit sur sa tablette, son smartphone ou son PC un lien de téléchargement de l’appli. " Le modèle économique est de proposer l’appli gratuitement au téléspectateur et de se rémunérer par la publicité sur le second écran.http://www.batterie-tech.com/batterie-ordinateur-portable-sony.html

Posted by: akkusmarkt at 09:16 AM | No Comments | Add Comment
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