April 29, 2016

Batterie toshiba satellite l670d-103

Si l’on s’attarde sur le look, le groupe de Redmond fait de la rupture dans la continuité. Il n’y a pas de grands bouleversements par rapport aux précédents modèles de la gamme, mais quelques améliorations indispensables au confort de l’utilisateur. Et cela passe tout d’abord par le poids: 150 grammes pour un écran de 5,2 pouces. L’effort est de taille pour une marque qui avait tendance à afficher une surcharge pondérale handicapante. Autre élément de séduction: le très bel écran Amoled de 2.560 × 1.440 pixels. Les couleurs sont chatoyantes et les contrastes, bien présents. Très agréables à regarder.

Dotés de certains aspects caractéristiques de la gamme Latitude, les ordinateurs portables XPS sont très faciles à administrer et ils sont couverts par les meilleures garanties de sécurité. Les modèles de la gamme XPS s’adressent aux utilisateurs qui recherchent les meilleures conditions pour travailler et se divertir, à l’image de Thunderboltâ„¢ 3, qui permet de se connecter avec un seul câble et de profiter de vitesses de téléchargement jusqu’à huit fois plus rapides qu’avec la technologie USB 3.0, et prochainement de la nouvelle génération des stations d’accueil Latitude (lancement prévu en 2016). Les ordinateurs portables XPS se veulent respectueux de l’environnement, sont conçus au moyen de matériaux durables et conditionnés dans le respect des principes du recyclage et du compostage.L’ubérisation
Toute entreprise est concernée, Veolia compris. Exemple : dans nos métiers classiques de gestion de grands systèmes d’eau ou de chauffage, il y a une activité de relation à la clientèle. Elle est réalisée via des centres d’appels. Aujourd’hui, la facturation peut être automatisée par l’informatique. Des voix virtuelles remplacent les équipes de collaborateurs.

Ces activités courent le risque d’être désintermédiées, "ubérisées” par des prestataires qui se glissent entre nos clients et nous. C’est ce qui s’est passé dans l’hôtellerie avec Airbnb, dans le taxi avec Uber, dans la grande distribution via Amazon et dans la presse aujourd’hui avec Facebook. La désintermédiation est possible jusque dans des activités très sophistiquées.

L’innovation est indispensable pour rester dans la course. L’enjeu est donc d’innover le premier. Le défi est de plus en plus grand en raison de la concurrence. Dans nos métiers, il y a davantage de compétiteurs. Il commence à en arriver de Chine, d’Inde, de partout dans le monde. Aujourd’hui, la Chine ne veut plus être la première usine du monde, elle veut être le premier laboratoire du monde. Ces nouveaux entrants n’ont pas la pesanteur et les habitudes du passé. A contrario, ils n’ont pas non plus les savoir-faire. Chaque année, Veolia consacre 200 millions d’euros à l’innovation. Mais le plus important n’est pas l’argent, mais la créativité et l’imagination.

Revenons sur la consommation électrique. L'activation de la touche « EV » sur la console centrale affiche sur l'écran tactile la consommation électrique du système de conduite, de la climatisation et de l'électronique embarquée. Toujours à l'écran, le mode « éco » à huit niveaux permet, selon votre type de conduite, de « fabriquer » un arbre virtuel. Plus vous roulerez « proprement », plus le feuillage de votre arbre virtuel prendra des couleurs. Un système similaire, cette fois illustré par des sapins, existe sur la Nissan Leaf et l'on se prend vite au jeu. Autre fonction, la « distance parcourable » donne une vision par cercle (vert et rouge) de la « zone accessible » en fonction de l'autonomie restante. En cas de doute, les stations de recharge s'affichent selon leur accessibilité par des symboles de couleurs.
Arrive le moment de la recharge. Le Kia Soul EV dispose d'une trappe à l'avant, dont l'ouverture est actionnée depuis l'habitacle. Derrière celle-ci, deux prises : une recharge rapide (30 minutes) et une normale. C'est la seconde que nous avons utilisée en la branchant sur une prise domestique. À l'intérieur, sur la planche de bord, un indicateur à trois leds de charge s'illumine en bleu.

L'autonomie restante était alors de 83 kilomètres soit 47 % de batterie. Temps de charge estimé : 9h20 pour « remplir » les 53 % manquants. Notre wattmètre a enregistré une consommation de 18,71 kWh pour ces 53 %, soit 35,3 kWh pour atteindre 100 %. En se basant sur 0,14 centimes le kWh, les 100 kilomètres reviennent 3,16 €. À titre de comparaison, les 100 kilomètres sur la BMW i3 nous avaient coûté 2,28 € et 4,34 € avec la Tesla Model S.

On est bien loin des 212 kilomètres annoncés, mais plutôt sur une autonomie moyenne de 150 à 190 kilomètres, conditionnée selon le type de conduite et selon que l'on opte ou non pour le mode « éco » et l'utilisation de la climatisation. Il faut savoir que cette dernière est programmable lorsque la voiture est en charge.
L'écran de 8 pouces de la Kia Soul EV affiche une définition de 800 x 480 px, un peu légère, mais suffisante avec un recul de plus de 50 cm. La bonne surprise vient du calibrage : les couleurs sont fidèles (Delta E moyen à 2,6), la courbe de gamma est parfaite (moyenne à 2,2) et même la température moyenne est idéale avec une moyenne mesurée à 6 330 K. Cette dalle IPS offre en plus des angles de vision très larges, ce qui permet au conducteur et au passager d'avoir la même image sans variation gênante. Technologie IPS oblige, le contraste est un peu faible, puisqu'il ne dépasse pas les 830:1, mais cela n'est pas handicapant pour un écran de voiture où le critère le plus important reste la luminosité maximale. Justement, sur ce point l'écran s'en sort très bien. Avec une luminosité maximale mesurée à 571 cd/m², l'écran de la Kia est parfaitement lisible en plein jour. Sans parler de la taille, il vient même concurrencer l'écran en technologie VA de la Tesla Model S.
Le Kia Soul EV intègre un système audio composé de 6 haut-parleurs couplés à un amplificateur externe. Toutefois, aucune trace de la marque Infinity qui équipe les versions thermiques haut de gamme de ce modèle. Kia a pris le soin de placer subtilement les tweeters sur la partie supérieure des ouïes de ventilation latérales. Quant aux boomers, ils sont entourés d'un liseré lumineux que l'on peut activer ou non ; liseré qui s'éclaire au rythme de la musique que l'on écoute.

L'interface accessible depuis l'écran tactile est bien conçue et intègre les éléments nécessaires tels que : balance, graves, médiums, aigus et adaptation du volume en fonction de la vitesse. On peut aussi souligner le fait que la radio DAB (numérique) est intégrée nativement à ce système. Côté connectique, on retrouve une liaison Bluetooth, un port USB qui détecte directement le téléphone et un port mini-Jack 3,5 mm pour lire les fichiers audio lossless (type Flac).
À l'écoute, l'ensemble du spectre audible est plutôt fidèle et détaillé, avec des médiums bien présents permettant de retranscrire des voix intelligibles sans la moindre déformation. Les aigus sont bien retransmis et les sifflantes (sons en 's', 'f', 'tss'…) sont maîtrisées. Le seul bémol, concerne les basses qui sont un peu en retrait avec un rendu un peu trop mou. La puissance totale offerte par ce système est très élevée, mais manque de contrôle avec l'apparition de distorsion. Enfin, le rendu stéréophonique est très correct, même s'il manque légèrement de profondeur.
Concernant le kit mains libres, il fonctionne très bien à l'arrêt, mais l'écoute devient très pénible pour l'interlocuteur une fois que la vitesse atteint les 40-50 km/h. On ressent une sensation d'échos avec un son qui semble lointain.

Dans tout cela, j'entends certains des fans enragés de Linux hurler que Microsoft force toujours des entreprises Android à payer pour ce qui est probablement des brevets invalides liés à Linux. Oui, oui, il le fait. Grâce à ces 310 brevets, Microsoft tire des milliards de dollars d'Android. Rien qu'avec Samsung, Microsoft gagne un milliard de dollars par an, seulement en promettant de ne pas poursuivre le fabricant pour violations de brevet.

Terrible, n'est-ce pas ? Laissez-moi vous poser une question. Si vous gagniez des milliards grâce aux brevets, les ouvririez-vous ? En feriez-vous don à tous via l'Open Invention Network ?Je ne pense pas que vous le feriez. Et je sais pertinemment qu'aucun PDG d'une entreprise cotée ne peut renoncer à des milliards de dollars pour la bonne volonté de quelques programmeurs.Finalement, ces brevets expireront. Et lorsque cela se produira, je ne vois pas Microsoft emprunter le chemin d'un patent troll. Cela lui réussit très bien d'embrasser Linux, le logiciel open source et les méthodes du développement open source.

Le X-Pro 2 fonctionne comme un charme en mode automatique. Mais l'ergonomie générale du X-Pro2 tient compte du fait que les photographes ont souvent besoin de vérifier les réglages actuels de l'appareil en un coup d'Å“il, même quand celui-ci est éteint. Pour cela, sa molette centrale affiche le temps d'obturation sur les bords extérieurs et les réglages ISO dans la fenêtre intérieure. On ajoute à cela que de nombreuses optiques de Fujifilm disposent d'une bague de variation de l'ouverture (mention "R" sur les optiques) et on obtient un boîtier qui fait la part belle aux réglages manuels.
Pour faire varier la vitesse d'exposition, il faut presser la partie centrale de l'axe de la molette principale. Quant à la sensibilité, elle se contrôle en levant la même molette. Les plus pressés pourront pester contre la complexité de la manipulation pour changer la sensibilité mais, si le boîtier est en ISO Auto, on peut paramétrer le bouton Fn placé sur le dessus de l'appareil pour gérer la plage automatique.
Parmi les modifications ergonomiques, outre le placement de l'ensemble des boutons sur le côté droit de l'arrière de l'appareil qui facilite la manipulation à une main, nous célébrons l'arrivée d'un joystick permettant de déplacer rapidement le collimateur de mise au point. De manière générale, l'ergonomie du X-Pro 2 correspond à celle du modèle précédent, avec des ajustements bienvenus et une plus grande sensation de robustesse.

Dans le monde des hybrides, l'exemple de bond en avant le plus marquant en matière de rapidité d'autofocus reste sans nul doute le passage du Pen E-P2 au Pen E-P3 d'Olympus. On est ainsi passé d'un boîtier sympa mais un peu lent à un boîtier vraiment réactif.
C’est exactement ce qui s’est passé entre le X-Pro 1 et cette seconde version qui réagit enfin comme on le souhaite. Fujifilm n’est pas encore au niveau d’Olympus et de Panasonic, qui profitent du petit capteur Micro 4/3, mais la différence est épatante. Il y a aussi des vrais croyants Microsoft qui ne peuvent envisager que Microsoft puisse réellement abandonner Windows et d'autres programmes propriétaires. Vous avez raison. Il ne le fera pas. A la place, Microsoft a décidé de ne pas sortir de Windows 11. L'éditeur préfère mettre à jour le bureau Windows jusqu'à ce que la majorité d'entre vous utilise Windows sur le Cloud. Alors, vos instances Windows seront exécutées au sein de containers Ubuntu.

Même Apple, de loin plus propriétaire que Microsoft, a amorcé un changement. En 2015, Apple a annoncé qu'il ouvrirait son tout nouveau langage Swift. Oh, et Apple ne l'a pas seulement rendu open source, il a aussi sorti un port Linux pour Swift.Maintenant, Apple n'ira pas aussi loin que Microsoft l'a fait. Ce car Apple n'est pas réellement un éditeur logiciel. C'est une entreprise commercialisant du matériel verticalement intégré. Apple ne veut pas que tourne sur ces gadgets autre chose que son propre logiciel ou du logiciel dont il garde le contrôle. Par conséquent, tant que les consommateurs aiment les appareils Apple et sont prêts à payer une prime pour leur acquisition, Apple ne s'engagera pas de façon majeure dans l'open source.

Pour le cloud, ce vers quoi tout l'IT s'oriente, beaucoup fonctionne déjà sur Linux et utilise des programmes serveur open source. Comme le déclarait l'automne dernier le directeur technique de Microsoft Azure, Mark Russinovich, "une instance [Azure] sur quatre est sous Linux."Et Amazon Web Services (AWS), le plus grand cloud de tous ? Plus grand que tous les autres cloud publics réunis ? Il tourne sur une version personnalisée du code de Red Hat Enterprise Linux (RHEL).

A l'avenir, cette tendance ne fera que continuer. OpenStack, un ensemble Cloud purement open source largement soutenu, gagne toujours en popularité.Et tout le monde sur le cloud, et je dis bien tout le monde, développe aussi vite que possible l'utilisation de Docker et d'autres containers open source afin de maximiser les instances serveur sur leurs équipements.Je vais le dire simplement. Développeurs open source, vous avez gagné. Vous pouvez vous détendre. Développeurs de logiciels propriétaires, créez votre compte GitHub dès à présent, votre monde touche à sa fin.

Posted by: akkusmarkt at 08:47 AM | No Comments | Add Comment
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