March 30, 2016

Batterie HP Compaq HSTNN-DB28

Nous faisons face à un changement culturel majeur, surtout dans les grandes organisations. Il est impératif de faire comprendre que la digitalisation de l’économie nous concerne aussi. Ce message n’est pas facile à faire passer. Cela implique une remise en cause. De l’organisation, du management, des façons de travailler. Il y a quatre ans, nous avons lancé un plan de transformation.

Psychologiquement, devant la nécessité de cette remise en cause, certains ont l’impression d’avoir fauté. Mais aucun salarié de Veolia n’a rien fait de mal, c’est le monde qui change, c’est la vie qui change. La principale difficulté est d’accepter qu’il faut changer beaucoup de choses. Une grande entreprise est par définition plus rigide, le fruit du travail des générations précédentes. Nous avons pour mission de l’améliorer de la transmettre. Le fait de devoir beaucoup changer est perturbant. Il faut donc déculpabiliser.

Il y a deux bémols, cependant: la notion d'outil de travail est assez relative quand on parle d'une tablette sous Android. Sans souris et sans pointeur, la plupart des applications (souvent 'grand public') doivent se contenter de commandes tactiles qui ne facilite pas toujours la tâche: on doit passer du clavier à l'écran sans cesse pour appuyer sur un bouton, il n'y a pratiquement jamais de raccourci clavier... Pas de souci, cependant, si on se limite à la suite Office (Word, Exel, etc) ou aux outils de Google (Docs et Sheets), à part quelques habitudes à changer, lorsqu'on veut sélectionner du texte par exemple.

L'autre reproche que l'on peut faire à la Pixel C et à son clavier, c'est qu'ils sont vendus séparément, alors que l'accessoire se révèle vite indispensable. 499€ minimum pour la tablette (32 Go de stockage non extensible), et 169€ pour le clavier. On arrive à 668€, c'est le prix d'un portable assez puissant sous Windows (mais assez lourd et encombrant également).

Les prix sont relativement similaires à ceux de la Surface 3 de Microsoft (la version de 2014, donc) et à l'iPad Air d'Apple. A vous de choisir l'OS qui vous convient le plus.Présenté lors du CES 2015 de Las Vegas, le Toshiba Satellite Click Mini (L9W-B-102) est le dernier-né des appareils abordables de la marque nippone. C’est un détachable, tout comme le T100 Chi d’Asus, c’est-à-dire que l’écran se désolidarise du clavier pour se transformer en ardoise Windows 8.1. Toutefois à l'inverse du T100, le Click opte pour un format plus contenu de 8,9 pouces. Cela permet à Toshiba de bénéficier de deux largesses de Microsoft. La première, l’implantation de Windows 8.1 Bing Edition, dont la licence coûte moins chère (10 dollars voire gratuite) que celle du Windows 8.1 (50 dollars environ) au constructeur. Second avantage, la taille de l’écran permet à ce netbook 2.0 d’être éligible au programme Office 365. Un abonnement d’un an aux applis bureautiques de Microsoft est ainsi compris dans son prix, de seulement 330 euros. Pas cher, mais vaut-il le coup pour autant ?

Le Toshiba Satellite Click Mini pourrait presque prétendre au titre d'ordinateur de poche ultime avec son petit écran 8,9 pouces, son poids inférieur à 1 kg (dont 472 g pour l'ardoise) et un boîtier dont l'épaisseur flirte avec les 2 cm. Pour un peu, nous voilà propulsés quelques années en arrière, lorsque le premier netbook faisait son apparition, le feu Asus EeePC 701. Un sacré jouet !

Sauf qu’aujourd’hui, le netbook d'antan est mort. Remplacé par sa version ô combien moderne ! Ainsi l’écran se détache du clavier d'une simple pression sur le bouton idoine et, dans le cas de ce Toshiba, chaque partie intègre une batterie. Mais, les tâches allouées à ce Click Mini restent les mêmes que celles que nous pouvions confier à nos EeePC et autres Samsung NC10 : de la bureautique légère, du visionnage de vidéos et du surf sur Internet aussi bien à la maison que dans l'avion.

Ecran déployé, sa dalle IPS Full HD (1920 par 1200 pixels) s’allume et affiche le menu à tuiles de Windows. On pose rapidement les doigts sur l’écran, pas de souci, ça réagit bien. La qualité d’affichage de ce dernier manque malgré tout de luminosité (276 cd/m2) et le taux de contraste est un peu fort (1045:1). De fait, les couleurs sombres sont très accentuées voire un peu déformées. Quoi qu’il en soit, difficile d’exiger une dalle irréprochable à ce prix.

TEn revanche, une fois nos mains posées sur les repose-paumes, on se sent clairement à l’étroit. Les paumes se calent davantage sur la tranche du clavier que sur les 30 cm2 de plastique libres. Etroit, on l’est encore plus lorsqu’on passe à la saisie de textes. Et pourtant, la plupart des touches sont presque à taille standard (1,4 x 1,4 cm). Pour tweeter rapidement, mettre à jour un profil Facebook, ça passe. Voire même pour apporter quelques corrections à un document en se servant de l'abonnement d'un an à la suite Office 365, offert avec l'appareil. En revanche, il faut oublier la saisie de ses Mémoires durant des heures. À moins d'aimer les crampes.

Un petit mot sur le touchpad. Sa surface prend en charge plusieurs manipulations et mouvements effectués avec 1 à 4 doigts. De très petite taille, il n'est pas du tout probant. En fait, pour le pointage, et rares sont les articles où nous écrivons ceci, mieux vaut utiliser ses doigts sur l’écran. C’est bien plus efficace.

C’est l’Atom Z3735F et son contrôleur graphique qui gèrent le système et l'affichage. Côté mémoire vive, 2 Go répondent présents et, même remarque que sur le T100 Chi, on aurait apprécié que Toshiba en soude 4 Go sur la carte mère. De même, un module SSD de plus grande capacité aurait été préférable car avec seulement 32 Go, on est vite à court de place. Heureusement que la partie clavier est pourvue d’un lecteur de carte SD et d’une prise USB.

La tablette, quant à elle, embarque un lecteur de microSD afin d’étendre les possibilités de stockage de l’engin. Toujours sur les flancs de la tablette se trouvent une sortie microHDMI (adaptateur non fourni) et une prise audio combinant entrée micro et sortie stéréo. Ce sont aussi sur les côtés que sont logées les petites enceintes. Seules, elles délivrent un son agressif et peu puissant. Une fois l'utilitaire Dolby activé, le rendu est meilleur mais il faut prévoir un bon casque pour une écoute prolongée.

Passé au crible au moyen de nos logiciels de test, le Satellite Click Mini se comporte comme un netbook 2.0. Ses scores ne sont pas très élevés mais suffisent pour les usages détaillés plus haut. Pour la 3D, il ne faut pas compter sur lui. Seuls de petits jeux comme HearthStone voire de très vieux titres pourront se lancer sur la plateforme.

A la lumière de nos tests, deux éléments sont à noter. Tout d'abord, nous n’avons pas réussi à évaluer correctement les performances du SSD. PC Mark 8 Storage refusait purement et simplement de se lancer faute d'espace libre suffisant sur les modules. Ensuite, l’absence de système de ventilation actif est certes appréciable pour nos tympans, mais il en résulte une chauffe assez conséquente au niveau du processeur dès lors qu'on le sollicite un peu trop. Il a donc tendance à baisser ses fréquences de fonctionnement, nuisant à la réactivité du système. Attention donc à ne pas surestimer la puissance matérielle délivrée par la petite plateforme embarquée.

«Quitter la France en 2008 avec un objectif environnemental et revenir alors que mon pays organise la COP21, c’est un timing parfait auquel je n’avais pas songé en partant». Et pour cause. Quand il quitte son Isère natale le 11 août 2008, Olivier n’a qu’un objectif en tête : boucler un tour du monde sans utiliser d’énergies fossiles, en se déplaçant avec des moyens neutres : vélo, parapente et voile.

Sa voile pèse moins de 5 kg, elle tient sur son vélo. Au fil du temps, il apprend à se délester «du superflu», à ne voyager qu’avec l’essentiel, de quoi faire un peu de cuisine, son passeport, un peu d’argent, un duvet qui supporte les températures extrêmes et c'est tout. «Je vis avec moins de besoins, et je n’en suis pas plus malheureux», assure-t-il.

Traverser les océans n’a pas été le plus compliqué. Il faut juste se renseigner dans les marinas, choisir la bonne saison pour les convoyages de bateaux. Devenir équipier pour payer son passage est habituel dans les océans du globe.
Mais s’il partait sur des voiliers, les conditions ont parfois obligé les capitaines à se servir du moteur. Une dérogation à son éthique, mais qui « n’était pas de mon fait. Sur 40 000 kilomètres parcourus en mer, un tiers du trajet ne l’a pas été à la voile », explique l'aventurier.

C’est aux Marquises qu’il découvrira le paysage le plus pur, le moins impacté par l’homme. Parce que Te Fenua Enata, la « Terre des Hommes » est très peu peuplée. C’est à Bali qu’il découvrira l’île la plus polluée. « L’Indonésie en général est épouvantablement sale. Même la montagne est sale. »

Considérant le prix contenu de l’engin, la présence de deux batteries est un tour de force. Une dans la tablette, l’autre dans le clavier. Le nippon annonce 12 heures d’endurance en conjuguant leurs efforts. D’après nos relevés, le Satellite Click Mini plafonne à 10 heures en lecture vidéo continue et 8h30 en utilisation polyvalente. De très bonnes prestations au demeurant, le plaçant même devant l’Asus Transformer Book T100 Chi muni, lui, d’une seule batterie.Toutefois, la tablette seule ne fait pas d’étincelles. Elle est même très décevante. En surf sur Internet, elle ne tient que 5 heures et en utilisation polyvalente, un peu plus de 3 heures. Sans son clavier, cette ardoise perd grandement de son intérêt.

À noter, la recharge des batteries se fait via la prise microUSB de la tablette. Impossible de recharger le clavier plus rapidement ou simultanément. Résultat, il faut compter une matinée pour que les deux accumulateurs d’énergie soient repus. Mieux vaut donc ne pas être trop pressé et/ou penser à la recharger dès qu’une prise est à portée.

Un mot sur les capteurs photos avant et arrière de l'appareil. Le premier est de bonne qualité et permet de faire de la visioconférence dans de très bonnes conditions. Le capteur arrière offre une définition de 5 Mpixels, mais les clichés sont de très mauvaise qualité, teintés de bleu et déformés. La vidéo est, elle aussi, très décevante, aussi bien en HD qu'en Full HD.

Le Toshiba Satellite Click Mini est un petit convertible Windows 8.1 très endurant qui cache bien son jeu. Surtout pour son prix de 330 euros. Il se glisse facilement dans un sac, ne pèse pas lourd et offre assez de confort pour surfer, visionner des vidéos voire travailler occasionnelement. Effectivement, malgré la présence de la suite Office 365, la bureautique se consomme à petite dose car le clavier est difficile à dompter et le touchpad, trop petit et pas assez efficace à notre goût.
En revanche, le mode tablette du Click Mini est décevant. Des scores médiocres voire très bas dans nos tests d'endurance, un capteur photo de piètre qualité et un écran qui manque de luminosité... bref, ce n'est pas l'ardoise Windows 8 de référence !

Breda, le 15 février 2016 - Toshiba Information Systems Benelux étend sa gamme de produits Satellite Pro avec trois nouveaux modèles : le A30-C, le A40-C et le R40-C. Ces laptops, sont spécifiquement orientés vers une utilisation en milieu écolier et vers les petites et moyennes entreprises, augmentent la productivité et l’efficacité, en classe, au bureau et en déplacement. Les trois modèles, disponibles en deux formats d’écran, 33,8 cm (13”) et 36,6 cm (14”), offrent un choix pour chaque employé et chaque entreprise, combiné à un haut niveau de fiabilité, basé sur plus de 30 ans d’expertise et d’expérience dans le domaine du développement et de l’innovation de laptops.

Posted by: akkusmarkt at 06:14 AM | No Comments | Add Comment
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