March 21, 2016

Batterie HP 484170-002

Malgré la grossièreté de l’arnaque, il faut bien admettre que les faux profils "amis" sont troublants. Une personne de notre rédaction s’est d’ailleurs faite attraper à ce petit jeu. Au bout de quelques échanges, on débusque l’entourloupe, malgré toute l’empathie que l’on peut mettre dans cet appel au secours de l’un de nos amis. L’escroc, tant qu’il est satisfait de recevoir de l’argent, ne s’arrêtera pas, et vous fera téléphoner des dizaines de fois sans vergogne. Et plus la conversation s’étale, plus l’orthographe devient approximative. Pour repérer le fraudeur, n’hésitez pas, dans le fil de la conversation, à poser des questions précises sur vous à votre contact. Cela pourrait vous mettre la puce à l’oreille si l’usurpateur n’est pas capable de vous dire où vous vous êtes connus, par exemple, ou quel est le loisir que vous avez en commun, si c’est une personne avec qui vous jouez habituellement aux cartes...

Comme attendu, Samsung a présenté lors de sa conférence pré-CES une tablette 2-en-1 pensée avant tout pour la productivité, la Galaxy TabPro S. Contrairement à ce que suggère son nom en revanche, elle ne tourne que sous Windows.Pour la première fois hier, nous entendions parler de la Galaxy TabPro S, une tablette visant à concurrencer la Surface Pro de Microsoft. Sans surprise, celle-ci a été officialisée cette nuit par Samsung dans le cadre du CES 2016. Sans surprise non plus, et comme l’évoque la mention « Pro » dans son nom, il s’agit bien d’une tablette de 12 pouces à laquelle peut s’adjoindre un clavier.

En plus de son écran Super AMOLED de 12 pouces en définition WQHD (2160 × 1440 pixels), la Galaxy TabPro S est équipée d’un processeur Intel Core M 6th Gen, un dual-core cadencé à 2,2 GHz. On y retrouve également 4 Go de RAM, un SSD de 128 à 256 Go de stockage, deux appareils photo de 5 mégapixels (l’un à l’arrière avec autofocus, l’autre en façade sans autofocus), et une batterie de 5200 mAh annoncée comme capable de tenir 10,5 heures en utilisation pour une charge complète s’effectuant en 2,5 heures. Tous les capteurs et autres connectivités sont bien sûr de la partie, comme le GPS, l’accéléromètre, le NFC, le Bluetooth 4.1, le WiFi 802.11 a/b/g/n/ac MIMO ou la LTE de catégorie 6. Enfin, l’ensemble mesure 290,3 × 198,8 × 6,3 mm et pèse entre 693 et 696 grammes en fonction du modèle.

Le principal attrait de cet appareil reste son clavier complet, fourni avec la tablette et disposant d’un touchpad. La tablette et son accessoire communiquent ensemble grâce à un connecteur Pogo pin, évitant ainsi tout problème d’appairage.Pour aller plus loin encore, un adaptateur multi-port (HDMI, USB Type-A, USB Type-C) et un stylet sont également proposés séparément.

En ce qui concerne le système d’exploitation, deux sont proposés, Windows 10 Home et Windows 10 Pro, s’adaptant ainsi aux besoins des particuliers comme des professionnels. Contrairement à ce que laissait penser la mention « Galaxy » dans le nom, Android n’est donc pas présent à bord. Cela dénote d’une certaine volonté de Samsung de proposer une ligne haut de gamme sous différents OS, sans différenciation de nom.

La Samsung Galaxy TabPro S sera disponible à partir de février prochain. Son prix, en revanche, n’est pas encore connu.Le Nexus 5 aura mis deux ans à trouver un successeur, dont le concepteur reste LG. Ce smartphone à l’incontestable succès sera remplacé par un Nexus 5X aux caractéristiques pour certaines très enthousiasmantes, pour d’autres un peu moins. Voyons comment se positionne ce nouveau venu par rapport à son illustre prédécesseur.

Deux modèles, un seul constructeur. À un Nexus 5 conçu en 2013 par LG, succède un Nexus 5X également signé du Coréen. Et en deux ans, les choses ont changé, la faute à une percée notable de quelques marques chinoises sur la scène internationale, à des produits de milieu de gamme toujours plus performants et aux prix toujours plus bas, mais aussi à une reconnaissance de la gamme Nexus comme potentiellement intéressante pour le grand public, elle qui visait initialement les développeurs.

Rappelons les faits : déjà auteur du Nexus 4, LG produisait en 2013 un Nexus 5 qui avait tout pour plaire. Un écran de 4,95 pouces – autant dire 5 pouces – pour une définition Full HD, une dalle True HD IPS+ offrant une résolution de 445 ppp et dotée d’une vitre Gorilla Glass 3, un SoC Snapdragon 800 combiné à 2 Go de RAM, un espace de stockage de 16 ou 32 Go, et un appareil photo dorsal de 8 mégapixels (1,3 MP en façade). Le tout tournait évidemment sous KitKat avant d’être mis à jour vers Lollipop, comprenait une batterie de 2300 mAh, et mesurait 137,9 x 69,2 x 8,6 mm pour 130 grammes. En somme, un téléphone à la pointe des technologies de son époque, relativement compact, à l’allure pas vraiment raffinée, mais sobre et sympathique, et à un prix de départ de 350 euros : en somme, certainement le meilleur rapport qualité-prix de l’année, et qui a propulsé la gamme Nexus parmi les favoris non plus seulement des technophiles avérés, mais aussi des simples curieux.

Le Nexus 5X tout juste officialisé ne peut plus être considéré, comme le Nexus 5 en son temps, comme une version revue à la sauce Google du flagship de l’année en cours – le G2, en 2013. Car notre Nexus 5X souffre de nombreuses différences par rapport à un G4, dont il reprend essentiellement le processeur.

Les points communs entre les deux Nexus sont nombreux. D’abord, ils partagent leur définition d’écran, du 1920 x 1080 pixels (Full HD), leur traitement Gorilla Glass 3 quand le Gorilla Glass 4 est disponible. Mais l’écran (LCD) du Nexus 5X est plus grand de 0,2 pouce, mesurant 5,2 pouces de diagonale : il présente donc une résolution de 424 ppp contre 445 ppp pour son prédécesseur. En revanche, il faudra comparer la qualité des dalles employées avant de crier au scandale, un très bon écran pouvant compenser les quelques pixels perdus, et on se rappellera à se titre que les Nexus 5 de première génération ont souvent vu leur écran se casser en cas de chute. Il n’empêche : on s’attendait à un peu plus, à l’heure de l’avènement du QHD.

Autre point commun, et pas des moindres : la mémoire vive. Le Nexus 5 2013 embarquait 2 Go de RAM, ce qui représentait alors le maximum à trouver dans des terminaux mobiles. Son successeur, lui, compte également 2 Go de LPDDR3, mais associés à un processeur bien différent. Une petite déception à l’heure où les 3 Go deviennent un standard sur le haut de gamme, et où les 4 Go se démocratisent. Toujours au rayon de la mémoire, notez que Google mise toujours sur des espaces de stockage de 16 et 32 Go, considérant que le cloud suffit à compenser cette offre maigrichonne. C’est dommage, et l’on espérait un peu plus de générosité, ne serait-ce que pour installer un nombre conséquent d’application sans craindre la pénurie d’espace libre.

Moins de puissance, plus de capteurs
Si le renouveau n’est pas entièrement à chercher du côté de la puissance, on trouve du changement entre les deux générations de Nexus 5 au rayon des capteurs. Le Nexus 5X est en effet doté d’une caractéristique inédite sur cette gamme de produits : un lecteur d’empreintes digitales. Celui-ci est pris en charge nativement par Android 6.0 Marshmallow, son OS (que l’on trouvera aussi sur le Nexus 5 sous forme de mise à jour), dispose d’un revêtement oléophobique, et sera particulièrement adapté au paiement mobile via Android Pay. C’est résolument l’un des points forts de ce Nexus 5X, pour le coup à la pointe de ces technologies.Et pour montrer qu’il est bien là pour définir un standard dans le monde du mobile, ce Nexus 5X inclut un port USB type-C dédié à la charge et au transfert de données. Il est donc possible de brancher un câble compatible dans n’importe quel sens.

Des performances brutes et résultats photo améliorés
Les Nexus n’ont jamais été réputés pour être les meilleurs photophones du marché, bien que le Nexus 5, décevant à ses débuts, ait bénéficié de mises à jour aux résultats encourageants. Son capteur de 8 mégapixels laisse en revanche la place à un appareil de 12,3 mégapixels au dos, avec une ouverture à f/2.0, des pixels de 1,55 µm (pour faire entrer plus de lumière), et un autofocus laser. De véritables améliorations sont donc à attendre en termes de résultats photo dans des conditions de basse luminosité, mais aussi en termes de rapidité de mise au point. Cependant, la stabilisation optique fait défaut sur le smartphone, et c’est là un manque : le Nexus 5 en était doté.En revanche, ce Nexus 5 propose une caractéristiques qui faisait défaut à son prédécesseur, puisqu’il est capable d’enregistrer des vidéos en 4K. Dommage toutefois que la mémoire interne du téléphone soit un peu juste pour en profiter sereinement.

Côté performances, le Nexus 5X joue la prudence, et se rapproche d’un LG G4. Il est en effet doté d’un SoC Snapdragon 808 de Qualcomm, une puce hexa-core cadencé à 2 GHz, compatible 64 bits et incluant un GPU Adreno 418. Ce dernier a montré ses résultats le Motorola Moto X Style et le Motorola Moto X Style, et épargne à l’utilisateur des problèmes de performances et de chauffe rencontrés avec le Snapdragon 810. Pour l’heure, il reste certainement le meilleur rapport performances-confort d’utilisation. Voilà qui rassure en tout cas.

En 2013, le Nexus 5 de Google et LG pouvait être considéré comme le fleuron du mobile d’alors. Très performant au regard des standards du moment, doté d’un bel écran, il avait l’avantage de proposer des caractéristiques haut de gamme à un tarif très abordable, et surtout sans compromis. Son successeur reste intéressant, puisque son Snapdragon 808 et ses différentes fonctionnalités font de lui un smartphone haut de gamme. Mais il n’apparaît plus véritablement comme le fer de lance de tout un marché, avec son design sans grand charme, et encore moins comme une bonne affaire. Car avec des caractéristiques en-deçà de smartphones de haut de gamme et un prix à peine en-dessous de celui de LG G4 ou Samsung Galaxy S6, sortis au premier semestre et dont le prix a baissé, il perd certainement son atout principal. Du moins, pour qui n’accorde pas véritablement d’importance à détenir parmi les premiers la toute dernière version d’Android, ici la 6.0 Marshmallow.

E-CIGARETTE - Les smartphones, malgré toutes les innovations du monde, ne font toujours pas le café. Mais la société Vaporcade a souhaité qu'ils fassent tout de même de la fumée... ou plutôt de la vapeur, avec Jupiter, le premier smartphone qui fait vapoteuse.Le site de Jupiter propose de réserver son exemplaire du smartphone pour 499 dollars. Premiers envois prévus pour décembre 2015. Pour le moment, Jupiter n'est disponible à aucun endroit du globe. Aux Etats-Unis, il n'a pas encore été autorisé à la vente. Mais il existe bel et bien. Le site TheVerge n'y croyait pas, alors Vaporcade a répondu avec cette vidéo postée sur Facebook.Nomophobes ET accros au tabac, s'abstenir (Nomophobie : peur de perdre son téléphone portable). En perdant votre smartphone, vous risquez de cumuler les frustrations.

Fumer son smartphone : quand le mix de deux addictions devient réalitéJupiter/VaporcadePhoto:
Les concepteurs du smartphone Jupiter ont plus d'un tour dans leur sac. Réunir deux technologies différentes pour associer deux addictions. Hybride mi-mobile mi-cigarette électronique, Jupiter réunit les adeptes de ces deux joujoux high-tech autour d'un seul objet.

Point commun des amateurs de vapeur et de smartphones ? Ils chargent tous les deux leur matériel en USB. Autre point commun : quand vous les entendez parler technique, vous décrochez. Vape, vapote, clearomiseurs et juices (liquides aromatisés) font partie du vocabulaire du fumeur repenti, doté d'une cigarette qui se recharge désormais en USB. Côté smartphone, les geeks du mobile aiment comparer leurs dalles tactiles, processeurs de deux à huit cÅ“urs ou autres GPU (processeurs graphiques). Ici, ils trouvent un point d'orgue. Jupiter compile la technologie d'un smartphone 4G LTE (dont on n'apprend rien de plus pour le moment sur son site à part qu'il embarque un écran 5,3 pouces). et celle d'une cigarette électronique amovible.

La présidente du conseil départemental a annoncé ce jeudi sur les ondes de France Bleu Provence la fin du dispositif Ordina13. Mis en place en 2003 par Jean-Noël Guérini, il consistait à donner un ordinateur à chaque élève de 4e du département pour « développer l’équipement des établissements et lutter contre la fracture numérique ».
En janvier dernier, l’ancien président du Département, en campagne électorale, avait même proposé d’élargir le dispositf à tous les collégiens et de remplacer les ordinateurs par des tablettes hybrides. « Cette nouveauté possède une vertu non négligeable : son prix. Elle est en effet 20 % plus faible que le PC actuellement fourni aux collégiens », écrivait Jean-Noël Guérini sur son blog.

Posted by: akkusmarkt at 12:41 PM | No Comments | Add Comment
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