July 22, 2016

Batterie Batterie Asus G73JX

Le Logitech Type + est un étui pour Ipad Air 2 disposant d’un clavier intégré. Ses dimensions sont de 183,7 mm de hauteur, 259,9 mm de largeur pour une épaisseur de 17,1 mm et un poids de 430g. La batterie présente elle aussi une autonomie de 3 mois pour 2 heures quotidiennes rechargeable via le port micro-USB. Le Type + est composée d’un rabat pliable qui va accueillir l’Ipad et du clavier dont la matière extérieure résistante, le tout est disponible en rouge ou en noir. Une fois que l’on a positionné l’Ipad dans l’étui grâce aux ergots de fixation sur le haut de la tablette, et pour pouvoir utiliser le clavier, il suffit de placer le bas de l’Ipad sur une ligne aimantée située au dessus des touches. L’Ipad ainsi posé sur son support et retenu par le rabat plié met automatiquement sous tension le clavier que l’on peut immédiatement utiliser… en l’ayant bien sur accepté parmi les appareil Bluetooth dans les réglages de la tablette. A l’utilisation, le Type + offre un véritable confort en situation d’utilisation sur un bureau. On dispose d’un vrai clavier pour son Ipad tout en ne sacrifiant pas au confort de la tablette tactile dans son encombrement. Les touches mécaniques n’ont rien à envier à un clavier d’ordinateur portable, tout juste une petite habitude à prendre par rapport à la taille du clavier et l’écartement des touches. Comme le Key to go, le clavier reprend la disposition Mac. En plus des touches citées pour le Key to Go, la touche de verouillage… dévérouille ! Le prix de vente sur le site Logitech est de 119€.

Le Logitech Utrathin est un clavier Bluetooth se muant en protection pour Ipad lorsque celui ci n’est pas utilisé. Ses dimensions sont une hauteur de 240 mm, une largeur de 173.3 mm pour une épaisseur de 6.4 mm et un poids de 331 g. L’alimentation est assurée par une pile plate accessible sur le coté du clavier avec une autonomie annoncée de 2 ans pour 2 heures d’utilisation quotidienne. Il se présente sous la forme d’un clavier avec un support d’accueil pour la tablette situé au dessus des touches. Ce support est une fente aimantée adaptée à la taille de l’Ipad, en l’y glissant l’Ipad tient verticalement. Pour éviter que l’Ipad ne soit trop vertical, cet emplacement est inclinable pour un meilleur confort de lecture sur la tablette. A l’usage, l’appairage se fait sans problème dès la première utilisation. Le bouton d’alimentation sur la tranche du clavier est facilemnt accessible. Concernant le clavier en lui même, celui ci étant mécanique on retrouve facilement ses repères de clavier « classique » L’étendue du clavier est suffisamment large pour accéder facilement à chacune des lettres. Les touches de raccourcis sont les mêmes que pour les deux claviers présentés précédemment. La clavier Ultrathin fait aussi office de protection pour le transport de l’Ipad. Dans ce cas, le haut du clavier dispose d’un volet qui va caler un coté long de l’Ipad (je conseille la partie sans bouton) tandis que la solidarisation du clavier de l’Ipad sera assurée par des aimants à l’opposé coté touches du clavier. Le prix est de 99.99€ disponible sur le site de Logitech

Cette batterie est capable à la fois de se charger très rapidement et de restituer son énergie très vite, selon le communiqué.Le prototype étant finalisé, la prochaine étape est d'optimiser et de fiabiliser les procédés en vue d'un futur déploiement industriel.Au cours des dernières années, les téléviseurs – et les consommateurs ! – ont dû s’adapter à plusieurs reprises à de nouvelles normes. Et ce n’est pas fini ! En 2016, la diffusion des chaînes hertziennes passera sur un encodage Mpeg4. L’actuelle diffusion en Mpeg2 cessera alors. Explications.
Ces derniers mois, le public a entendu un certain nombre d’informations incomplètes, imprécises ou contradictoires relatives à la diffusion des programmes télévisés et aux conséquences que cela pourrait avoir sur les téléviseurs présents dans les foyers français.

Pour l’heure, la modification la plus proche et la plus certaine concerne la TNT, la télévision numérique terrestre que l’on reçoit par une antenne râteau. En 2016, la norme de diffusion qui lui sera appliquée passera sur un encodage en Mpeg4. Il permet de recevoir des images en haute définition, la HD, et il se substituera au Mpeg2, la définition standard, actuellement utilisé.
Selon le cabinet d’études GFK, sur les 45 millions d’appareils en service dans l’Hexagone, 13 millions ne sont pas compatibles avec le Mpeg4. Autre donnée, celle fournie par le CSA (Conseil supérieur de l’audiovisuel) : 8 % des foyers équipés d’au moins un téléviseur reçoivent les chaînes uniquement par voie hertzienne (antenne râteau) et ne sont pas encore équipés pour cette nouvelle norme de diffusion (voir également notre enquête d’usage menée auprès de 7 000 téléspectateurs).
Des adaptateurs externes à brancher sur les téléviseurs sont cependant disponibles dans le commerce (prix souvent compris entre 25 et 35 &euro . Grâce à eux, les téléspectateurs concernés pourront alors continuer de recevoir les chaînes de la TNT.
Ceux qui visionnent les programmes télévisés par le biais d’une box, du câble ou du satellite n’auront toutefois rien à faire. Ils sont d’ores et déjà prêts ! En outre, tous les téléviseurs vendus depuis le 1er décembre 2012 sont obligatoirement parés pour le Mpeg4. Cette obligation est même en vigueur depuis le 1er décembre 2009 pour les écrans de plus de 26 pouces (66 cm) et le 1er décembre 2008 pour les modèles signalés « HD TV ».
La singularité n'est pas que le nom d'une université ou d'un mode de pensée vulgarisé par Ray Kurzweil. C'est aussi un levier d'innovation que décrypte Olivier Ezraty dans un billet publié sur son blog et que nous vous proposons de (re)découvrir ici. Il nous trace les prémices d'une nouvelle industrie, la "Singularity Industry".

Le thèse de la singularité est née dans les années 1930 puis a pris son essor il y a une vingtaine d’années. Elle a été notamment vulgarisée par Ray Kurzweil en 2005 dans son livre "The singularity is near”. Elle tourne autour du côté inexorable du progrès technologique et notamment informatique et des lois empiriques exponentielles sur lesquelles je m’étais penché dans une autre série d’articles.
Selon cette thèse, à un moment situé aux alentour des années 2030-40, l’homme aura réussi à créer des machines dotées d’intelligence artificielle supérieure à l’équivalent humain. Il sera même potentiellement dépassé par ses propres créations s’il n’arrive pas à les contrôler. On retrouve la thèse dans divers ouvrages tels que Superintelligence de Nick Bostrom et Creating a mind de Ray Kurzweil. Et c’est très bien vulgarisé ici. Pour les plus hardis, cela signifierait la fin de l’espèce humaine ou, dans le meilleur des cas, celle du travail.

Si tout cela relève d’un mélange de prospective, de science et d’économie fiction, il n’en reste pas moins que de nombreux projets de recherche et industriels se situent déjà dans cette trajectoire. Leur impact sera probablement bien plus important sur notre vie et sur l’économie que les actuelles uberisation, nestification et autres transformations numériques du moment. C’est ce que je voudrais creuser ici, histoire de lancer un nouveau débat ! Et aussi, d’alerter sur l’importance politique de ce sujet.
Rappels simplistes sur la singularité et le transhumanisme

Le courant de la singularité est complété par celui du transhumanisme qui associe les innovations informatiques et celles de la biologie et qui pourraient rendre l’espèce humaine quasi-immortelle. Cela passerait par la création de traitements des pathologies mortifères les plus courantes comme les cancers ou d’autres maladies chroniques, notamment d’origine génétique, et par la bionique pour compenser la perte de fonctions ou d’organes, ou pour aller jusqu’à augmenter les capacités humaines, aussi bien cognitives que physiques. On aboutirait à l’homme augmenté par la technologie, nous dirigeant vers la notion de cyborgs.

Ces thèses se retrouvent plus ou moins vulgarisées dans l’esprit du grand public au travers de livres et de films de science fiction. Nous avons eu le lointain ordinateur HAL de 2001 : a Space Odyssey de Stanley Kubrick en 1968. Et plus récemment en 2014, Her qui raconte l’histoire d’un quidam qui entretient une relation à distance avec une femme qui s’avère être un logiciel, Transcendance qui raconte celle d’un chercheur qui arrive à transplanter son intelligence dans un ordinateur et à survivre à sa mort, le reste partant en sucette un peu comme dans Lucy de Luc Besson, et enfin, Ex Machina (2015) qui raconte la relation entre un homme et une humanoïde cherchant à s’humaniser, version modernisée et noire de Bicentenial Man (1999).
Les prévisions des prospectivistes de la singularité et du transhumanisme sont évidemment sujettes à discussion. Qu’il s’agisse du caractère inexorable des exponentielles de progrès qui sont parfois ralenties par des considérations techniques ou économiques, de l’approche scientifiquement contestable des certains écrits sur la singularité, notamment autour de la génomique, ou encore de considérations éthiques sur le bien fondé de cette vision du futur.
Des événements ont vu le jour sur la singularité, aux USA comme en France. Après la conférence Global Future de juillet 2013 à New York, on peut citer Transvision 2014 qui avait lieu à Paris en novembre 2014, organisée par l’Association Française Transhumaniste, l’association fiXience et le groupe de réflexions Traces de l’ESPCI.

La singularité est un credo qui commencer à opposer les progressistes de la technologie d’un côté et de l’autre, ceux qui au contraire mettent en avant les dangers associés. La conférence française dont les sessions sont disponibles en vidéo met bien en lumière cette opposition. Il existe même un parti politique transhumaniste qui cherche à s’implanter dans différents pays. Il promeut une vision plutôt gauchisante autour de la thèse du "Social Futurism” et de la "Post-scarcity economy". Dans un monde où les biens seraient abondants, car produits principalement par des machines, on pourrait assurer un revenu minimum pour chacun. Ces idées existaient déjà au 19ième siècle pendant les premières révolutions industrielles et on a vu ce qu’il en est advenu. Se pose d’ailleurs une question simple : si les seuls "travailleurs” restant étaient ceux qui développent les logiciels de l’intelligence artificielle et des robots et fabriquent ces derniers, quelle serait leur motivation ? Le pouvoir ? L’argent ? La création ? Dès lors, quelle que soit la motivation, elle serait un facteur clivant entre classes humaines. Une société sans travail serait aussi une société dominée par les loisirs. Le "bon temps” serait la matière rare. Les saltimbanques de toute sorte auraient alors un rôle plus important dans la société qu’aujourd’hui. Notre cher Vinvin deviendrait une star mondiale ! De nouvelles asymétries économiques se redévelopperaient. En théorie… !

Aux USA, le fondateur du parti transhumaniste, un certain Zoltan Istvan, est même candidat à la Maison Blanche comme indépendant. C’est-à-dire, comme candidat quasi-invisible car les USA n’ont pas les dispositifs que nous avons en France et qui assurent un minimum de visibilité dans les médias aux petits candidats. En France, ce mouvement politique transhumaniste n’en est qu’à l’état de pré-parti avec une page Facebook avec 80 "like”. L’exponentielle politique, s’il en est une, n’en est donc qu’à ses débuts.

Certes, la plupart des personnalités qui se réclament aujourd’hui du transhumanisme sont plus des idéologues que des entrepreneurs ou des scientifiques. Mais le côté long-termiste et fortement idéologisé du transhumanisme et de la singularité ne doit pas nous aveugler. Son train peut cacher une belle gare de triage et de vastes enjeux industriels !
Les projets non singuliers de la Singularity University
L’un des temples de la singularité est l’Université du même nom qui est installée dans le Ames Nasa Research Center près de Palo Alto dans la Silicon Valley. Financé notamment par Google, la Singularity University accueille des esprits brillants du monde entier pour plancher sur des projets innovants.

Posted by: akkusmarkt at 12:35 AM | No Comments | Add Comment
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