July 14, 2016

Batterie Batterie ASUS Eee PC 1015PED

Toutefois, avant de jeter la pierre au constructeur devant ces rares nouveautés, il ne faut pas oublier que depuis Sense 6.0, HTC découple ses principales applications développées en propre de l'OS en lui-même. Concrètement, les HTC Zoe, Gallery, Sense TB, Fletch, Dot View, Sense Input, Scribe... vivent depuis leur propre vie sur Google Play et sont mises à jour indépendamment du système d'exploitation. Cela permet de les enrichir indépendamment les unes des autres, et à un rythme beaucoup plus soutenu.
Enfin, celles et ceux qui reprochent à l'interface graphique de ne pas avoir évolué semblent avoir mal fait leurs devoirs. Le constructeur propose en effet désormais la possibilité de personnaliser à outrance l'aspect graphique en question. En passant par une application banalement baptisée "Themes", il est possible de modifier en profondeur toutes les composantes de cette interface. On peut par exemple partir de n'importe quelle photo et décliner tous les éléments graphiques pour qu'ils soient assortis à cette photo, y compris les icônes ! En fait, à notre connaissance, aucun constructeur n'offre d'options de personnalisation aussi poussées.

Sous le capot, HTC a sorti l'artillerie lourde pour animer son One M9, puisque ses entrailles abritent un Qualcomm Snapdragon 810, 3 Go de mémoire vive et une puce graphique Adreno 430. Autant vous dire que cette configuration devrait se chamailler avec celle des Galaxy S6 et S6 Edge pour le titre de "chipset le plus puissant du premier semestre". Nous n'avons pas rencontré de problème particulier de microlags lors de notre manipulation, mais nous n'avons pas été en mesure de le pousser dans ses retranchements en installant des jeux en 3D bien gourmands en ressources. Comme pour la partie photo, il faudra donc attendre le test complet pour être fixé sur ce point.

Un smartphone dont on ne parle pas en disant systématiquement : "il est bien, mais..."Avant de conclure, précisons que l'écran du One M9 semble identique à celui que l'on trouve dans le One M8, avec une diagonale de 5", pour une définition Full HD de 1 920 x 1 080 px. Elle procure une densité tout à fait convenable de 441 pixels par pouce. Les technophiles pourront s'offusquer de voir HTC proposer cette définition sur trois modèles coup sur coup, puisqu'elle a été inaugurée avec le One M7. En pratique, elle s'avère plus que suffisante pour profiter de tous les types de contenus. Et nous n'aurions trouvé à y redire... si le One M9 n'allait pas sortir en avril au prix public conseillé de 749 €. Soit plus encore que les 709 € que demandera Samsung pour son S6 en France. À ce tarif, les utilisateurs seraient en droit d'attendre le nec plus ultra dans tous les domaines. Toutefois, le dernier-né de HTC nous a tout de même fait une très bonne première impression. Il dégage évidemment une forte sensation de déjà vu, mais si la fonction photo est enfin à la hauteur du design et que le reste ne réserve pas de mauvaise surprise, les amateurs de la marque taïwanaise tiendront enfin un smartphone dont on ne parle pas en disant systématiquement : "il est bien, mais...".
Intégrer l'essentiel d'un ordinateur dans l'espace réduit d'une souris, telle est l'ambition de l'équipe de Mouse-Box, une start-up polonaise qui présente son concept homonyme. Le prototype intègre un processeur ARM 4 cÅ“urs cadencé à 1,4 GHz, 128 Go d'espace de stockage, deux ports USB 3.0, une connectique Wi-Fi, un accéléromètre et un gyroscope. L'intégration de RAM est également prévue, et la batterie devrait être proposée en option : en pratique, la Mouse Box devrait être utilisée avec un tapis de souris permettant sa charge par induction.

L'objectif d'un tel gadget : être facilement transportable, utilisable simplement mais aussi discrètement, comme le montre la vidéo présentée sur le site du projet.Dans l'immédiat, Mouse-Box est juste un projet, mais ses concepteurs assurent qu'il est viable. Ils sont à la recherche de financement pour transformer leur prototype en un produit commercialisable. Il y a fort à parier qu'un tel produit se retrouvera prochainement sur une plateforme de financement de type Kickstarter ou IndieGogo dans les mois à venir.

L'Asus ROG G750 est un ordinateur 17,3 pouces destiné aux gamers. Il a rencontré un certain succès dans sa version 2013 qui avait récolté 5 étoiles lors de notre test. Physiquement très similaire, la version 2014 se différencie par l'intégration de nouvelle carte graphique Nvidia GeForce GTX série 800, le reste des composants demeurant identique. Autre différence, cette fois-ci logicielle, le modèle 2014 est doté du programme GPU Tweak qui permet d'overclocker facilement la carte graphique. Est-ce suffisant pour détrôner son prédécesseur ? Réponse à la fin du test...

Extérieurement, rien ne différencie ce modèle de celui de l'année dernière. On retrouve donc un châssis entièrement noir mis en valeur par les logos colorés sur la face arrière de l'écran. Ce capot est recouvert d'une matière gommée noire qui résiste bien aux traces de doigts. Le repose-poignet s'habille d'aluminium tandis que la base est en plastique dur et légèrement granuleux. La qualité de fabrication est identique à celle du modèle précédent, c'est-à-dire irréprochable.

Le clavier de type chiclet offre tout le confort attendu d'une machine haut de gamme. Les touches sont de bonne taille et correctement situées. Elles offrent un excellent confort de frappe, avec une résistance correcte et une course longue mais précise. Le touchpad est grand, agréable à utiliser et reconnaît les gestes de Windows 8.1. Si on ne peut le conseiller aux joueurs, il est parfaitement adapté à la bureautique et à la navigation.

Le clavier dispose également d'un rétroéclairage blanc réglable sur 4 niveaux d’intensité.
Côté connectique, on a tout ce que l'on peut attendre d'un modèle de ce genre : 4 ports USB 3.0, 1 port Thunderbolt, 1 sortie HDMI, 1 sortie VGA, 1 port RJ45, 1 entrée micro, 1 sortie casque, 1 port mini-DisplayPort et 1 lecteur de cartes SD. Un lecteur Blu-ray trouve sa place sur la tranche gauche.La connectivité sans fil n'a pas été oubliée, avec le Bluetooth et le Wi-Fi. Ce dernier offre un signal assez stable, à -49 dBm entre 5 et 10 mètres et qui tombe à -52 dBm à 20 mètres.

L'extraction de l'air chaud se fait à l'arrière, ce qui permet de garder un clavier proche de la température ambiante. Autre avantage, on peut poser l'ordinateur sur n'importe quelle surface sans gêner la ventilation.La gestion des températures est plutôt bonne étant donné la configuration embarquée. On atteint un maximum de 53,3°C au niveau de la sortie arrière droite de l'ordinateur. Le plus appréciable est le silence de fonctionnement, puisque l'Asus ROG G750JZ n'a jamais dépassé 38,9 dB sous notre instrument de mesure.

L'Asus G750JZ est équipé d'une dalle IPS mate Full HD (1920 x 1080 px) qui limite les reflets sur l'écran. Nous avons relevé une luminosité maximale de 334 cd/m², ce qui est suffisant pour contrer la plupart des reflets, même en extérieur. Le taux de contraste maximal s'établit à 515:1, un score particulièrement décevant, surtout lorsque l'on se souvient que le modèle 2013 atteignait 1060:1.

La colorimétrie reste en revanche proche de ce que l'on avait rencontré en 2014. À commencer par le DeltaE — écart entre les couleurs idéales et les couleurs mesurées — qui est contenu à 3,6 ; un bon résultat pour un écran d'ordinateur portable. La température des couleurs s'établit à 8195 K, pour une norme fixée à 6500 K ; les couleurs tirent donc un peu sur le bleu.

L'Asus G750JZ est équipé d'une entrée jack micro et d'une sortie jack casque. Cette dernière est de très bonne qualité. La puissance maximale est très élevée et sans distorsion. La spatialisation est dans le même registre. Le G750JZ reste une référence dans ce domaine.

Les haut-parleurs sont légèrement en retrait, avec une belle puissance de sortie. Les basses sont cependant inexistantes malgré la présence d'un boomer, tandis que les aigus sont convaincants mais malheureusement accompagnés d'un peu de distorsion à haut volume.
Comme pour l'affichage, la partie audio est en retrait de celle de la génération précédente.

La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-4700HQ, 32 Go de mémoire, une carte graphique Nvidia Geforce GTX 880M, un HDD de 1 To accompagné d'un SSD de 256 Go. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les G750 2014, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances. L'Asus G750JZ se montre tout de même particulièrement véloce. Les tâches les plus gourmandes sont avalées en un minimum de temps tandis que le de SSD permet un allumage et une extinction des plus prompts.

C'est dans ce domaine des jeux qu'intervient le plus gros changement par rapport au modèle 2013, puisqu'Asus dote ce ROG d'une carte graphique de dernière génération, une Nvidia GeForce GTX 880M accompagnée de 4 Go de mémoire graphique. Elle utilise un GPU GK104 à 1536 unités de calcul fonctionnant à 954 MHz de base. Il s'agit donc d'un renommage de la GeForce GTX 780M (823 MHz) de 2013 qui était elle-même un simple renommage de la GeForce GTX 680MX (720 MHz) de 2012. Pour faire le parallèle avec les cartes graphiques d'ordinateurs de bureau, on se trouve face à l'équivalent des GeForce GTX 680 et GeForce GTX 770, mais avec des fréquences GPU et mémoire réduites.
La carte se montre très à l'aise dans les jeux, même avec tous les réglages au maximum, puisqu'elle dépasse les 60 images par seconde dans des titres comme Tomb Raider (65 i/s) et Bioshock Infinite (61 i/s). Même les titres les plus gourmands comme Metro : Last Light et Crysis 3 s'en tirent honorablement, avec 40 i/s pour le premier et 30 i/s pour le second.

Asus permet également d'overclocker sa carte via l'utilitaire GPU Tweak. Très simple d'utilisation, il permet d'augmenter la fréquence du processeur et de la mémoire graphique. Avec notre modèle de test, nous sommes parvenus à faire tourner la carte de manière stable à une fréquence GPU de 1123 MHz et une fréquence mémoire de 1500 MHz contre 1250 MHz d'origine. Les gains de performance en jeu s'améliorent alors de 10 %. Attention cependant, les résultats d'overclocking peuvent varier d'une machine à l'autre.

Posted by: akkusmarkt at 01:21 AM | No Comments | Add Comment
Post contains 1839 words, total size 16 kb.




What colour is a green orange?




27kb generated in CPU 0.0109, elapsed 0.1026 seconds.
35 queries taking 0.0956 seconds, 78 records returned.
Powered by Minx 1.1.6c-pink.