July 15, 2016

Batterie Batterie ASUS A2D

Avec son système unique de photos éphémères, Snapchat a déjà séduit plus de cinquante millions d'utilisateurs. Vous n'avez que dix secondes maximum pour profiter des clichés que l'on vous envoie. À mi-chemin entre la photo et le réseau social, l'application est idéale pour partager vos petites joies passagères avec vos proches.
À mi-chemin entre la tablette et l'ordinateur, le Chromebook est parti à la conquête du marché des PC portables d'entrée de gamme. Fin, léger, démarrant quasi instantanément, conçu pour fonctionner avec des applications stockées sur le cloud, le Chromebook commence à rencontrer son public. Il devrait s'en vendre 5,2 millions dans le monde en 2014, selon Gartner. Le cabinet d'études mise sur une constante accélération des ventes, avec un marché mondial qui devrait s'établir à 14,4 millions en 2017.

«La concurrence s'est intensifiée sur le marché des Chromebook, avec huit modèles sur le marché en 2014», explique Isabelle Durand, analyste principale chez Gartner. Les Chromebook devraient toutefois rester un marché de niche face aux PC pendant les cinq prochaines années. Cette année, quelque 308 millions de PC devraient être écoulés dans le monde. Mais après? Porté par une demande de plus en plus forte des consommateurs ou de secteurs comme l'éducation, le Chromebook semble avoir de beaux jours devant lui.Cette montée en puissance vient fragiliser un peu plus le marché des PC traditionnels. L'an dernier, Samsung représentait près de 70 % des ventes de Chromebook et décidait de se désengager des PC. Lenovo et HP, respectivement numéro un et deux sur le marché des ordinateurs, se sont aussi positionnés sur ce créneau. Acer a dévoilé ce 11 août le dernier-né de sa gamme Chromebook, l'Acer Chromebook 13: 13 comme la taille de son écran (en pouces) et l'autonomie de sa batterie (en heures). Il est commercialisé à 299 euros.

Cette tendance est surtout une mauvaise nouvelle pour Microsoft. Les Chromebook tournent sous Chrome OS, un système d'exploitation développé par Google, qui met en avant ses applications et ses services de stockage en ligne. Déjà fragilisé par les tablettes, Microsoft a de plus en plus de mal à imposer son propre système opérationnel, Windows. Mi-juillet, lors de la Worldwide Partner Conference, le groupe a annoncé qu'il se positionnait finalement en face des Chromebook, en mettant en avant des PC dont le prix de vente est compris entre 200 et 300 dollars. Reste à savoir si les clients potentiels trouveront plus «cool» d'avoir un Chromebook ou un PC.
Ils n’ont que ces deux mots à la bouche: réalité virtuelle. Tous les constructeurs foncent tête baissée sur un marché prometteur. Dont Samsung, bien sûr, avec son Gear VR: ce casque de réalité virtuelle réalisé en partenariat avec le champion de la discipline, Oculus, est totalement dédié au Galaxy Note 4. Une fois vissé sur la tête, place au spectacle et à l’immersion: vidéo, jeux vidéo, animation en 3D… Une grosse claque visuelle. Pour que l’expérience soit intégrale, il faut impérativement y ajouter un casque audio. Un gros bémol toutefois: impossible de mettre un autre smartphone que la phablette star du coréen. D'où une facture (mobile+casque) de 669 +199 euros. La douleur au portefeuille n’est, elle, pas virtuelle!

Léger comme une phablette! Qui l’eût cru? Quand les smartphones aux écrans XXL sont souvent synonymes de poids lourd, le Desire 820 de HTC s'en démarque. Ce 5,5 pouces affiche 155 grammes sur la balance, soit 22 de moins que l’iPhone 6 plus. Et ça se sent dès la prise en main. Dommage que le design ne suive pas. Avec sa coque en plastique lisse et des finitions un peu "cheap" sur les bords, le dernier né de la gamme Desire peine un tantinet face à la concurrence. D’autant que les spécifications techniques sont au rendez-vous: processeur octo-cÅ“ur, 2 Go de mémoire vive, appareil photo de 13 millions de pixels et 8 millions de pixels en frontal pour de bons "selfies". Le tout pour 359 euros. Honnête.

Quoi de plus banal qu’une souris d’ordinateur. Et pourtant la vie peut devenir un cauchemar pour l’utilisateur mal équipé. Une souris trop lourde ou qui glisse mal transforme une navigation en calvaire. C’est pourquoi Logitech a pensé sa MX Master comme une souris de compétition, aussi utile (sa technologie) qu'agréable (son design). Cet appareil bluetooth est dédié à la productivité. Il permet de naviguer sur plusieurs ordinateurs et différents systèmes d’exploitation sans perdre de temps, en appuyant sur un bouton. Avec sa roulette complémentaire au niveau du pouce, la navigation horizontale devient un jeu d’enfant. Du haut de gamme qui a forcément un coût: 99,99 euros.

Le photographe Paul Adshead est souvent confronté a un problème, il aime vérifier ses photos sur son ordinateur portable pendant un shooting en extérieur. Mais la luminosité d’un portable sur batterie étant faible il ne voyait jamais bien son travail à cause du soleil.Au détour d’un voyage dans une grande enseigne suédoise il croise une boite de rangement en tissu, le nom est comme d’habitude en rapport avec le produit : "Dröna”. Mais ce qui attire notre photographe ce sont les dimensions de la boite, 33x38x33cm ! Et son ordinateur est un peu plus petit que ça, il décide donc de prendre une boite pour tester une idée ingénieuse.Et la lumière ne fût plus un problème ! Le portable rentre parfaitement dans la boite qui protège l’écran des rayons du soleil, ainsi la visualisation des photos est beaucoup plus simple et Paul peut travailler dans des conditions optimales.

Si vous rencontrez le même problème que Paul Adshead (son compte instagram), rendez vous chez IKEA ou sur leur site pour récupérer votre boite "pare-soleil” pour 3 petits euros (un prix original puisqu’elle coûte 6$ aux États-Unis !).Accusé d’espionnage, l’informaticien américain de 31 ans avait révélé les programmes de surveillance de masse américain et britannique. A l'occasion de la sortie de Citizenfour en France, docu qui retrace son histoire, il se confie depuis son exil moscovite. Moscou, juin 2014. Un message vient d’arriver sur ma "machine propre" – un Macbook Air où n’est installé qu’un robuste pack de cryptage. "Changement de programme, m’informe mon contact. Soyez à 13 heures dans le lobby de l’hôtel "X”. Munissez-vous d’un livre et attendez qu’ES vous identifie."

ES, c’est Edward Snowden, l’homme le plus recherché du monde, ancien cadre de la NSA accusé de vol, d’espionnage et d’utilisation illégale de biens gouvernementaux. Voilà neuf mois que je tente d’obtenir une interview avec lui: de San Francisco, (où se trouve la rédaction du magazine Wired), j’ai pris l’avion pour Berlin, Rio de Janeiro (deux fois) et New York (à de multiples reprises) pour parler avec ses quelques proches susceptibles de m’aider à le rencontrer. Une question m’obsède particulièrement: comment le jeune informaticien a-t-il décidé de "leaker" (faire fuiter en français, ndlr) ces centaines de milliers de documents classés top secret, révélant indirectement l’immense portée de la surveillance du gouvernement américain sur ses citoyens ainsi que sur les populations de pays étrangers, y compris sur certains de leurs dirigeants, dont François Hollande et Angela Merkel ? En mai, j’ai enfin reçu un mail de son avocat, Ben Wizner, me confirmant que Snowden me répondrait à Moscou et qu’au-delà de l’entretien, je pourrais même passer un peu de temps (trois jours entiers, pour être précis) avec lui et ainsi évoquer son quotidien de réfugié politique. Depuis son arrivée sur le sol russe le 23 juin 2013, le fugitif n’est jamais resté aussi longtemps en compagnie d’un journaliste. Par ailleurs, les détails du rendez-vous demeuraient jusqu’ici assez mystérieux et j’ai atterri dans la capitale russe sans savoir où et quand je finirais par le voir. Les choses sont désormais plus claires.
Quand, l’an dernier, Edward Snowden a fui les États-Unis pour Moscou après avoir supposément dérobé une quantité astronomique de secrets d’État, on racontait à Washington qu’il ne pouvait qu’être un agent des Russes. Mais pour avoir depuis côtoyé l’individu en question, cette rumeur me semble improbable. C’est un vrai patriote – un patriote déçu, peut-être, mais un patriote tout de même.

Une fois arrivé dans l’hôtel, je prends place dans un fauteuil du lobby et j’ouvre un livre, comme cela me l’avait été demandé. À 13 heures précises, Snowden apparaît, vêtu d’un jean noir et d’un manteau sport marron, un gros sac à dos noir sur l’épaule. Il scrute l’espace un moment mais ne m’aperçoit que lorsque je me lève: "Où étiez-vous ?", me demande-t-il. Je lui montre simplement ma place et lui réponds: "Et donc vous bossiez pour les services secrets, c’est bien ça ?" Il rit.«Mon pays ne peut laisser ses lois devenir une arme contre ses citoyens. Peu importe la compensation: je refuse de faire partie de ça.»

Parvenus dans la chambre qu’il a réservée pour l’interview, il pose son sac sur le lit et retire sa casquette. Il est mince, voire squelettique, et sur son visage en lame de couteau pousse une jeune barbiche. Il porte les lunettes rectangulaires qu’on lui connaît. Sa chemise bleu clair paraît bien trop grande pour lui, sa large ceinture très serrée. Aux pieds, une paire de mocassins noirs. Il a la dégaine d’un étudiant en master d’informatique. Snowden n’est pas sans ignorer les consignes dites de "sécurité opérationnelle" que l’on applique dans le monde du renseignement et qu’il applique aujourd’hui pour se protéger. Il change constamment d’ordinateur et de compte mail. En ce moment-même, dans la chambre, il retire la batterie de son iPhone car il sait, grâce à son passé dans le métier, que c’est la seule manière d’empêcher la NSA de transformer à distance l’appareil – même éteint – en micro. C’est en partie parce qu’il connaît quantité de tuyaux de ce genre que Snowden a réussi pour le moment à rester libre. C’est aussi parce qu’il évite les lieux moscovites fréquentés par les Américains et par les Occidentaux en général. Mais il peut tout de même arriver que certains locaux l’identifient: alors il les fixe en souriant et pose un doigt sur sa bouche. Le garçon a beau être l’objet d’une traque internationale, il n’en paraît pas moins détendu et enjoué, alors que nous partageons une pizza que nous a montée le room service. Il espère un jour pouvoir revenir aux États- Unis: "J’ai dit au gouvernement américain que je me portais volontaire pour aller en prison, à l’unique condition que ce soit pour servir une peine qui corresponde à la réalité de mes actes. Mon sort me préoccupe moins que celui des États-Unis. Mais mon pays ne peut laisser ses lois devenir une arme politique contre ses citoyens, ni faire en sorte de persuader les gens de ne pas user de leurs droits. Peu importe la compensation: je refuse de faire partie de ça."

Posted by: akkusmarkt at 02:39 PM | No Comments | Add Comment
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