5 kg : c'est lourd pour un aspirateur-balai. Heureusement, ce poids est assez bien réparti et cela ne pèse pas trop rapidement sur le bras, même si au bout d'une dizaine de minutes, on commence à le sentir. Dommage, son manque de compacité et son poids le rendent un peu pataud.Vax annonce une autonomie de 50 minutes (2 x 25 min). C'est confortable, même si on aurait pu espérer plus avec deux batteries lithium. En tous cas, on peut espérer ne pas tomber en panne, même si on l'utilise comme aspirateur principal. Promesses tenues puisque nous avons mesuré un peu plus de 27 minutes avant que l'appareil s'arrête, sans perte de puissance.Pratique : un petit bouton sous l'accu permet d'un simple appui de vérifier son état de charge à tout moment pour éviter les mauvaises surprises. Les trois voyants bleus sur la batterie indiquent son niveau de charge.
Sur le marché sur PC portable, Lenovo occupe une place de choix et propose une large diversité de produits. Intéressons-nous aujourd'hui à l'Ideapad Y700-15ISK (que l'on appellera plus simplement Ideapad Y700), une machine qui, sur le papier, dispose de nombreux atouts.

Cette partie du test risque d'être assez courte, puisque le Spectre x360 15 affiche exactement le même design que celui de son homologue au format 13 pouces. Et tant mieux, pourrait-on dire, car l'on profite à nouveau d'une excellente finition, d'un châssis tout aluminium et d'une charnière solide, qui permet de basculer en mode tente ou tablette. Le clavier est particulièrement agréable : de type chiclet, il offre une frappe précise et un rétroéclairage sur un seul niveau. Le touchpad est lui aussi particulièrement convaincant. Très large, il profite par ailleurs d'un liséré doré joliment mis en valeur. La connectique est, là encore, très complète : trois ports USB 3, un port USB Type-C, un lecteur de carte SD, un port HDMI ainsi qu'un mini-DisplayPort. Bref, inutile de s'étendre davantage, le Spectre x360 en version 15 pouces est un modèle de design et de sobriété. C'est clairement l'un des PC portables au format 15 pouces les plus séduisants du marché, esthétiquement parlant tout du moins.Un mot rapide sur la température, largement maîtrisée ici : point chaud de 41°C à l'avant (au niveau du l'alimentation) et 44,5°C sous le châssis, là encore près de l'alimentation. Ces bons résultats s'accompagnent d'une absence quasi totale de bruit, puisque l'on ne dépasse pas 38 dB.

Après l'excellent écran du Spectre x360 en version 13 pouces, nous étions plutôt confiants quant à la qualité de la dalle de sa déclinaison en 15 pouces. Et, malheureusement, nous avions tort. Commençons par le positif, à savoir sa très bonne colorimétrie. La température des couleurs est calée à 6490 K (soit un chiffre très proche de la norme à 6500 K) et le Delta E à 4,1 (écart entre les couleurs affichées et couleurs idéales — considéré comme très bon en dessous de 3). Le rendu est donc équilibré et les couleurs fidèles.Malheureusement, le bilan se ternit dès que l'on aborde le reste. Si la luminosité maximale reste correcte (300 cd/m²), le contraste tombe à 460:1 et la courbe gamma fait du yoyo, signe de noirs bouchés et de blancs brûlés.
Nous sommes globalement déçus par cette dalle.

• Batterie ASUS B50A-AG053E
• Batterie ASUS B50A-AG058C
• Batterie ASUS B50A-AG058E
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• Batterie ASUS B50A-AG166X
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Cette version 15 pouces du HP Spectre x360 est équipée d'un processeur Intel Core i7 6500U, un CPU que l'on retrouve dans bon nombre de PC portables haut de gamme du marché. Il s'agit d'un processeur de dernière génération, équipé de 2 cÅ“urs et qui affiche des fréquences allant de 2,5 à 3,1 GHz en mode Turbo. Notre indice de performance, basé sur une série de benchmarks mêlant conversion vidéo et audio, compression de fichiers et conversion de photos sous Lightroom, est sans surprise très bon.Ce HP Spectre x360 15 pouces est donc à l'aise dans bon nombre d'usages, du plus simple au plus poussé (bureautique avancée, surf sur le web, retouche photo et montage vidéo léger...). C'est un excellent compagnon du quotidien. Il s'éteint par ailleurs complètement en 13 secondes et démarre en 10 secondes.

Pas de carte graphique dédiée sur le HP Spectre x360 15 pouces ; il faut se contenter du chipset intégré d'Intel, ici le HD Graphics 520. N'espérez donc pas jouer à des jeux récents en 3D sur cette machine, ce qui n'est de toute façon pas son usage premier. En revanche, si vous aimez le rétro-gaming ou les jeux en pixel-art, vous pourrez vous faire plaisir.Pour un PC portable de 15 pouces, ce Spectre x360 est plutôt compact et transportable, son poids ne dépassant pas 1,8 kg (100 g de moins que le Dell XPS 15). Le chargeur peu volumineux permet en outre de profiter d'une machine qui se glisse très facilement dans un sac de taille moyenne.

L'autonomie est très bonne pour du 15 pouces : notre test de lecture sous Netflix (sous Chrome, luminosité à 200 cd/m², casque branché a tourné pendant 5h52. Encore une fois, le Spectre x360 fait mieux que le Dell XPS 15, qui ne dépasse pas les 3h40 de lecture. Dans le cadre d'un usage plus polyvalent, mélangeant surf sur le web et bureautique, vous pouvez compter sur 7h d'autonomie.
La forme de la S3 est un mariage entre un dodécaèdre particulier baptisé "Solide de Platon" (polyèdre à douze faces régulier convexe) et... une balle de tennis, pour le côté Yin Yang des deux parties identiques qui s'embrassent. Toute de blanc vêtue pour notre test, l'enceinte pensée par le designer danois Jakob Wagner peut également se parer entièrement de noir. Quant au tissu acoustique, il se décline en kaki, rose poudré, gris et bleu. Il est même possible via le site du constructeur de visualiser les différentes combinaisons possibles. La qualité des matériaux déçoit toutefois de la part de Bang&Olufsen : le plastique dont est fait le châssis donne une sensation générale de manque de robustesse. Quant au tissu, c'est un simple nylon.

De par son gabarit moyen, la S3 est facile à attraper à une main. La connexion Bluetooth est extrêmement fluide. Les commandes présentes au sommet de l'enceinte restent sommaires : l'appui prolongé sur le bouton principal active le Bluetooth tandis qu'un appui court met le morceau écouté en pause. Fait étrange, réappuyer sur ce même bouton ne relance pas la lecture — c'est donc un pause, mais pas un play. Pas moyen non plus de passer au morceau suivant ou de revenir à la piste précédente, et notons au passage qu'il n'y a pas de bouton pour mettre l'enceinte sous/hors tension. Les +/-, enfin, permettent bien entendu de régler le niveau d'écoute.

La raison officielle qui explique des commandes si frugales, c'est que la S3 s'accompagne d'une application — la bien nommée Beoplay App — qui permet non seulement la navigation entre les pistes, mais également l'appairage stéréo de deux enceintes distinctes, et met à notre disposition un égaliseur (préréglages Lounge, Party, Podcast, Excited, Warm, Relaxed ou personnalisé . Malheureusement, il nous a été impossible de la tester : la S3 n'est même pas détectée par l'application, pourtant installée sur un terminal qui reconnaît l'enceinte et qui est même connecté en Bluetooth. Un comble. L'assistance nous conseille alors d'effectuer une mise à jour via le site. La mise à jour faite, rien n'y fait — nous avons même commandé un second modèle, en vain. C'est doublement dommage, car outre une navigation considérablement plus agréable, on aurait bien aimé tester les effets des pré-réglages sur les mesures acoustiques de l'enceinte.

Une fois n'est pas coutume, la S3 propose bien entendu une connexion Bluetooth (aptX) et une entrée auxiliaire analogique en mini-jack, mais également une entrée micro-USB et une sortie analogique, toujours en mini-jack. Cette sortie sert à chaîner les enceintes en cascade : on peut ainsi brancher jusqu'à 4 modèles en série, la première enceinte — qui reçoit le son en analogique ou en Bluetooth — étant maîtresse et distribuant le son aux trois autres enceintes. Il est néanmoins possible d'appairer deux enceintes sans-fil sans l'application pour une diffusion sonore stéréo. Pour ce faire, il faut maintenir le bouton principal enfoncé pendant 5 secondes sur la première enceinte, qui émettra deux signaux — la LED passe alors d'un bleu clignotant à un blanc clignotant — puis répéter ce protocole sur la seconde enceinte. La première devient alors maîtresse et diffuse le canal gauche.

• Batterie ASUS B50A-AG174X
• Batterie ASUS B50A-AG178X
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• Batterie ASUS B50A-AQ057E

La S3 est une enceinte portable, oui, mais pas nomade : elle ne fonctionne pas sur batterie et dépend d'une prise secteur — "dépend" étant bel et bien le bon mot, le câble d'alimentation ne mesurant que 1,45 m. Les autres câbles (USB, mini-jack) ne sont d'ailleurs pas fournis.La Beoplay S3 est une enceinte de Schrödinger, que nous notons à la fois 2 et 3 étoiles tant que l'on n'a pas choisi le mode d'écoute — ça c'est du teasing ! Mesures acoustiques de la Beoplay S3 en analogique : à gauche, la courbe de réponse en fréquence, à droite, le taux de distorsion harmonique.

Posted by: akkusmarkt at 04:35 AM | No Comments | Add Comment
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