March 03, 2016

Batterie ASUS F75VD

Ajouter une tâche à faire en secouant simplement votre mobile
Grâce au gyroscope intégré dans le ZenFone 2, il est possible d’effectuer une capture en agitant votre mobile. Autre fonctionnalité pratique, le système va automatiquement créer une tâche à faire dans l’application » Do It Later ». Pour activer cette fonctionnalité, il suffit de vous rendre les paramètres du mobile puis ZenMotion => Gestuelle mouvement et d’activer la fonction » Secouer Secouer ».

Modifier les raccourcis sur l’écran de déverrouillage
Sur ZenUi, vous disposez de trois raccourcis vous permettant d’ouvrir rapidement l’appareil photo, vos messages ou le pavé numérique pour passer un appel. Il est possible de modifier les applications mises en avant sur le lockscreen. Bonne nouvelle, vous pouvez choisir n’importe quelle application. Pour ce faire, direction les paramètres du mobile puis Écran de déverrouillage et enfin Accès rapide. Une fois à cette étape, il vous suffit de simplement sélectionner l’application à remplacer par celle de base.

Comme à l’accoutumée, cet article est à destination des personnes les moins avertis. N’hésitez pas à partager vos astuces sur l’utilisation du ZenFone 2 en commentaires !Ces dernières semaines, une grande partie de la presse s'est un peu enflammée autour la puissance supposée de l'iPad Pro. A coup de benchs et de démonstrations d'usage, quantité de sites tentent de démontrer que la tablette surclasse très souvent un ordinateur, y compris les derniers Core iX d'Intel qui équipent les Surface Pro de Microsoft.

Il faut dire qu'Apple n'a pas ménagé les journalistes en évoquant dès la keynote que son SoC A9X était de « la même trempe que celui des ordinateurs fixes ». Là où les gros CPU d'Intel nécessitent entre 15 et 100 Watts pour fonctionner, voilà qu'une petite tablette qui ne grappille que quelques Watts serait tout à coup capable de rivaliser avec un Core i7, y compris sur le plan graphique ? Pour étayer son argumentaire, la Pomme a offert quelques démonstrations pratiques au public, comme la possibilité de traiter 3 flux 4x simultanés, chose parfois compliquée, y compris sur un ordinateur portable haut-de-gamme.

Gordon Mah Ung n'est pas un « Apple Hater », mais il s'agit tout de même du rédacteur en chef de PC World, un site habituellement plutôt en faveur du duo Windows/Intel. Mais contrairement à TheVerge, Re/Code et autres Mashable, on peut imaginer que son média ne subisse pas encore trop les influences de Cupertino, ce qui lui permet de publier ce long décryptage autour de l'A9X. Même si le dossier est forcément un peu orienté, il a le mérite de remettre à plat quelques idées reçues et de garder la tête froide face à cette débauche de marketing exacerbé.

Pour Gordon, la plus grosse erreur des journalistes consiste à ne baser leurs benchs que sur l'outil « Geek Benchs » de Primatelabs. Cet utilitaire multiplateforme offre en effet des scores transversaux, que vous ayez un téléphone, un Mac, un PC ou une tablette, ce qui permet alors de dresser des comparatifs entre des architectures et des CPU pourtant très différents. Certains spécialistes pointent cependant la pondération de ces scores, pas toujours très favorables aux puces Intel. Petit exemple, le chiffrage SHA2 est particulièrement bien optimisé par les puces AX d'Apple, dont la dernière version met une grosse fessée à presque tous les CPU Intel du marché, y compris des modèles qui consomment presque 100 Watts :

Ce chiffre représente pourtant un tiers du résultat sur les entiers, une pondération jugée excessive par beaucoup. Il faut bien comprendre que certaines puces sont particulièrement optimisées pour certains traitements alors qu'elles se monteront nettement moins à l'aise sur d'autres tâches. Difficile dans ces conditions, pour les éditeurs de ces programmes, de proposer un outil réellement objectif. Linus Torvalds juge même régulièrement Geek Bench (et la plupart des programmes de ce type) comme de véritables « programmes de m***** », sans réelle valeur comparative.

En guise d'alternative, le journaliste publie ici des benchs issus de TabletMark3, un outil qui juge les performances en se basant sur des routines plus proches du « monde réel » : HDR, surf sur le web, envoi d'e-mails... Si cela vous intéresse, l'éditeur a publié un livre blanc qui regroupe l'ensemble des libs, compilateurs et des technologies employées sur chacun des appareils.

Le résultat obtenu avec ce programme (lui aussi, forcément sujet à controverses) se montre cette fois nettement à l'avantages des puces Intel... et quelque part, plus réaliste lorsqu'on met en perspective les prix, la consommation et le niveau de technologie de chaque puce :
Le problème se pose aussi côté GPU. Apple vante à chaque nouvelle version de sa puce, ses qualités graphiques, souvent présentées comme 2 à 4 fois plus rapide que l'itération précédente, là où les GeForce et les Radeon arrivent à peine -et c'est déjà pas mal- à performer de 15 à 20% chaque année. Mais là encore, tout dépend à quel test on se fie...

Avec le programme Ice Storm Unlimited de 3DMark, qui simule la physique d'un moteur 3D de jeu vidéo avec les libs utilisées notamment par Grand Theft Auto V, Trials HD etc, on se rend compte que le GPU intégré d'Intel conserve encore une belle avance face à la puce d'Apple. Même la Surface Pro 3 (qui n'est plus toute jeune) apparait ici nettement devant l'iPad :

L'app permet également -c'est amusant- de tester les performances 3D du CPU (sans le GPU, donc), une utilisation peu habituelle, mais nettement plus efficace sur les puces x86 :A l'arrivée, notre confrère considère toujours l'A9X comme un excellent processeur mobile, capable de rivaliser selon lui avec les meilleurs puces ARM du marché (comme le Tegra K1 d'NVidia par exemple). Il trouve en revanche la mise en perspective souvent mal faite lorsqu'il s'agit de comparer différentes architectures, et notamment les processeurs Core iX d'Intel. « J'aimerais bien voir OS X tourner avec une puce A9X » s'amuse-t-il, car le vrai problème avec la tablette d'Apple est bien de comparer ce qui est comparable : il n'existe à ce jour pratiquement aucun logiciel ou système d'exploitation de « la même trempe que celui d'un ordinateur ». Comparer un export 4k dans iMovie ou un calcul JavaScript dans un browser ne sera jamais suffisant pour mettre en perspective deux mondes si différents.
Il y a quelques jours, mauvaise surprise: impossible d’allumer mon PC portable. Problème de chargeur? Ou pire, de batterie? Me voilà partie pour la Fnac -d’où vient d’ailleurs ce PC- pour le découvrir. Une fois au comptoir du service après-vente, je présente mon problème. On commence par me demander si j’ai la garantie de mon appareil. Hélas non, celui-ci a un peu plus de 3 ans et n’est donc plus sous garantie. Je comprends alors que je vais avoir du mal à obtenir ne serait-ce qu’un peu d’aide…

Le type du SAV daigne quand même prendre mon PC et mon chargeur, il les branche, rien ne se passe… « C’est peut-être la batterie, me dit-il, et dans ce cas, ça ne vaut souvent pas le coup d’en acheter une neuve ». Oui merci, ça j’avais bien compris. Mais serait-il possible de vérifier que ça ne vient pas tout simplement du chargeur, en testant avec un autre, par exemple?Lui: « Je vais voir si j’en ai un qui soit compatible…. » Moi: « Vous n’avez pas de chargeur universel? » Lui: « Ils ne fonctionnent pas sur ce type d’appareil ». Bon là je lui laisse le bénéfice du doute. Mais au fait, dans ce cas, il sert à quoi le SAV?

Bon heureusement, il finit par trouver un chargeur et constate que le problème vient bien de là. Ca valait le coup d’insister quand même! Parce qu’entre racheter une batterie, voire un nouveau PC, et racheter un chargeur, c’est quand même pas le même budget. Enfin quoique… C’était sans compter sur le super conseil du SAV là encore, qui n’ayant pas le bon chargeur en stock, me propose de me rendre chez 1001piles. Ca tombe bien il y a une boutique pas loin. Je regarde quand même rapidement leur site. Ils se présentent comme ayant un très grand nombre de références et à des tarifs compétitifs…. Ok j’y vais.

Et là, je tombe sur un vendeur certes plus sympathique que celui de la Fnac mais qui m’annonce presque amusé « désolé, je risque de vous gâcher votre journée, ça fera 78 euros ». Heureusement, avant de passer à la caisse, je me suis dit que n’étant pas si pressée que ça, j’allais vérifier au préalable le prix d’un chargeur sur Amazon… Et bien m’en a pris, puisque je l’ai trouvé à 14 euros!

Bref, je comprends maintenant mieux pourquoi la Fnac se porte si mal!Si vous lisez régulièrement FrAndroid, il y a de bonnes chances que vous fassiez partie de ces gens qui consultent très (trop) souvent leur mobile. Une étude récemment réalisée et publiée par le cabinet Deloitte va vous permettre de vous sentir moins seul.Cette étude, astucieusement intitulée A Game of Phones, porte sur l’utilisation et l’usage des smartphones et des objets connectés chez les Français pour l’année 2015. Elle est assez sérieuse puisqu’elle porte sur un échantillon de 2000 répondants français âgés de 18 à 75 ans. Deloitte précise également que l’enquête a été réalisée entre mai et juin 2015 par Ipsos.

Le smartphone est présent partout et dès le lever du soleil
Cette enquête ne révèle rien de vraiment surprenant. Mais elle permet de mettre des chiffres sur des usages et de confirmer que les Français ont définitivement adopté les smartphones. On apprend ainsi que 70 % des Français disposent maintenant d’un smartphone. Et ils l’utilisent beaucoup, dès le réveil. 16 % des Français regarderaient ainsi leur smartphone dans les cinq minutes qui suivent leur réveil. Chez les 18-24 ans, ils ont même 35 % à regarder leur téléphone en sortant du lit.

Au quotidien, le smartphone est présent partout. L’étude indique ainsi que « 38 % des Français consultent en moyenne 10 fois leur smartphone sur la journée et 28 % jusqu’à 25 fois. Les publics des 18-24 ans tranchent dans ces statistiques par un usage beaucoup plus addictif. Ainsi, près de la moitié des 18-24 ans ont un usage intensif jusqu’à 50 fois par jour et 6 % des 18-24 ans sont en mode addictif en consultant leur smartphone plus de 200 fois par jour. »

Et les Français l’utilisent partout, que ce soit au travail, dans la rue, devant la télévision et même au volant. C’est d’ailleurs au travail où il est le plus présent puisque 34 % l’utilisent toujours ou très souvent, et ce, quel que soit l’âge. Les jeunes se montrent toutefois moins prudents que les autres classes d’âges au volant. 22 % des 25-34 ans utilisent toujours, très souvent ou occasionnellement leur smartphone au volant, contre 10 % des 45-54 ans. Un chiffre à relativiser puisque cet usage prend en compte des applications d’aide à la conduite comme Waze ou des applications de GPS et de trafic.

Oppo a donc bien profité du GITEX (Gulf Information Technology Exhibition), un salon consacré aux nouvelles technologies se tenant à Dubai pour dévoiler le Oppo R7s. Un smartphone sans réelle surprise puisque la plupart des rumeurs à son sujet se sont révélées exactes. Il s’agit d’un donc d’un smartphone de 5,5 pouces (ses dimensions sont de 151,8 × 75,4 × 6,95 mm pour un poids de 155 grammes) dont le design est très proche de l’Oppo R7 (coque en métal unibody). Les bordures d’écran ont toutefois été considérablement rétrécies puisqu’elles ne font plus que 2,2 mm sur les côtés.

Si on ne connaît pas encore le prix de vente du Oppo R7s, on sait déjà qu’il sera en vente en Asie dès novembre prochain. Selon le site Mobipicker, les Européens et les Américains devraient pouvoir l’acheter dès décembre prochain sur le site OPPOstyle, toujours à un tarif inconnu.Déjà aperçu auparavant dans les documents de la TENAA, le Xiaomi Redmi 3 refait une apparition officielle via le site de microblogging chinois Weibo. En plus de son visuel, le smartphone dévoile sa date de présentation.Il ne faisait déjà aucun doute que Xiaomi préparait dans ses locaux le Redmi 3, successeur logique du Redmi 2, mais voilà que la marque chinoise lève les dernières ambiguïtés au travers d’un message officiel sur Weibo, le principal réseau social local.

  1. http://www.flipsnack.com/delicado/toshiba-pa5024u-1brs-replacement-battery.html
    http://www.flipsnack.com/delicado/hp-probook-4710s.html
    http://www.flipsnack.com/delicado/akku-fur-lenovo-3000-n500.html
  2. http://oowerusern.podbean.com/e/toshiba-pa5024u-1brs-replacement-battery/?token=54f4772dac70e3fb2d715953ac20f132
    http://oowerusern.podbean.com/e/toshiba-pa3817u-1brs/?token=5993f88273df7cde23f9111742c0e49c
    http://oowerusern.podbean.com/e/asus-a42-u31-replacement-battery/?token=d7702be180768257e71a644a102a9a98
    http://oowerusern.podbean.com/
  3. http://socialbookmarking-mar.com/entries/view/53018/akku-lenovo-thinkpad-t520i.html
    http://socialbookmarking-mar.com/entries/order/user/103869
  4. http://www.showmejamaica.com/pin/2539

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March 02, 2016

Akku samsung np n143-dp01ua

Die Spezifikationen sind atemberaubend. Nur der nicht austauschbare Akku befleckt ein wenig das Datenblatt. Dies könnte allerdings mit dem Militärstandard und IP67 zusammen hängen (obwohl es Smartphones mit Wechselakku gibt, die IP67 Standard erfüllen).Das HP Elite x3 bietet ein Desk Dock Zubehör, das ganz ähnlich funktioniert wie Microsofts Continuum Dock oder die Dockingstation des Acer Liquid Jade Primo. Das Elite x3 wird senkrecht hineingesteckt und profitiert im Continuum Modus von vielen verschiedenen Anschlussmöglichkeiten auf der Rückseite des Docks.

HP gibt sich aber nicht einfach mit einem Dock zufrieden. Mittels HP Mobile Extender, wird das Smartphone zum Ultrabook. Per USB-C oder Miracast verbindet man das Elite x3 mit der „Laptop-Hülle". Damit erhält man einen 12.5 Full HD Laptop mit 4-Zell Akku, Tastatur und Trackpad. Insgesamt besitzt es 3 USB-C Anschlüsse, einen Micro HDMI und einen Kopfhörerzugang. Das Gewicht wird mit 1 kg angegeben.

Leider gibt es keine Informationen bezüglich der Preisgestaltung für das HP Elite x3 und Zubehör. Angesichts der Highend Komponenten wird sie wohl entsprechend hoch ausfallen.Als Releasetermin wird Sommer 2016 angegeben. Sollten weitere Informationen auftauchen, werden wir diesen Beitrag aktualisieren.

Hewlett Packard hat im Vorfeld des Mobile World Congress in Barcelona sein erstes Smartphone mit Windows 10 Mobile vorgestellt. Das HP Elite x3 positioniert das Unternehmen als Lösung für Business-Anwender, die Phablet, Laptop und Desktop-PC in einem Gerät vereint. Die Produktivitätsfunktion Continuum unterstützt HP mit dem optionalen Desk Dock sowie dem Mobile Extender – einer Dockingstation im Laptop-Format.

„Durch Continuum in Windows 10 ermöglicht das HP Elite x3 einen reibungslosen Übergang zwischen mehreren Bildschirmen, wie dem integriertem Bildschirm und einem externen Bildschirm, beispielsweise dem eines Desktop-PCs", heißt es in einer Pressemitteilung von HP. „Aufgrund dieser Möglichkeiten können Nutzer mühelos zwischen der Verwendung des HP Elite x3 als Desktop-PC, Laptop oder Mobilgerät wechseln."

Angetrieben wird das HP Elite x3 von Qualcomms neuem Flaggschiff-SoC Snapdragon 820, dem 4 GByte RAM zur Seite stehen. Der interne Speicher von 64 GByte lässt sich per MicroSD-Karte theoretisch um bis zu 2 TByte erweitern, praktisch sind es 200 GByte, da es derzeit keine größeren microSD-Karten gibt. Das 5,96 Zoll große AMOLED-Display löst 2560 mal 1440 Pixel auf. Es wird von einer Abdeckung aus Gorilla Glas 4 geschützt.

Der Akku mit einer Kapazität von 4150 mAh wird durch die Unterstützung von Qualcomms Quick-Charge-3.0-Technik besonders schnell geladen, und zwar kabelgebunden oder drahtlos. Trotz des großen Akkus ist das Gehäuse des x3 nur 7,9 Millimeter dick – bei einem Gewicht von 190 Gramm.An Kommunikationsoptionen bietet das Phablet LTE Cat6, WLAN, NFC, und Bluetooth 4.2. HP stattet das Gerät zudem mit einer 8-Megapixel Frontkamera mit HDR-Support, einer 16-Megapixel-Kamera mit Blitz auf der Rückseite sowie nach vorne gerichteten Lautsprechern des dänischen Anbieters Bang & Olufsen aus. Omni-direktionale Mikrofone mit Rauschunterdrückung sollen die Nutzung des Sprachassistenten Cortana und auch von Kommunikationsdiensten wie Skype verbessern.

Die Anmeldefunktion Windows Hello unterstützt das Elite x3 dank integriertem Iris-Scanner sowie Fingerabdruckleser. Weitere Sicherheitsfunktionen sind Secure Boot, ein Reset-Schutz und eine Anti-Roll-Back-Funktion. Das Gehäuse ist zudem wasserdicht nach IP67 sowie stoßgeschützt nach MIL-Standard 810G. Es soll also Stürze aus einer Höhe von rund 120 Zentimetern unbeschadet überstehen.

Für Windows Continuum stellt HP mit dem Desk Dock eine eigene Lösung zur Verfügung. Sie bietet einen DisplayPort-Anschluss für einen externen Bildschirm sowie zwei USB-A-, einen USB-C- und einen LAN-Anschluss – letzterer fehlt Microsofts eigenem Display Dock. Das Elite x3 selbst wird im Portraitmodus in das Dock eingesetzt – das Smartphone soll auch mit einer Schutzhülle in das Dock passen.

Der Mobile Extender wiederum macht aus dem Elite x3 ein vollwertiges Notebook mit einem 12,5 Zoll großen FullHD-Display. Er bringt rund ein Kilogramm auf die Waage und erlaubt es, externe Geräte per USB-C oder Micro-HDMI anzuschließen. Der Mobile Extender speichert jedoch keine Daten. Alle Apps, Passwörter und Daten werden nur vom Elite x3 verwaltet und gespeichert.

Die Mobilität steigert HP zudem durch eine HP Workspace genannte Funktion. Sie stellt auf dem Elite x3 einen virtuellen PC zur Verfügung, der den Zugriff auf vom Arbeitgeber verwaltete x86-Anwendungen erlaubt. In Verbindung mit Desk Dock und Mobile Extender lassen sich die Anwendungen sogar mit Maus und Tastatur bedienen.

„Windows 10 wurde für das Zeitalter der PC-Nutzung entwickelt, in der Erfahrungen, Inhalte und Daten jederzeit verfügbar sind", wird Microsoft-CEO Satya Nadella in der Pressemitteilung zitiert. „Gemeinsam mit Partnern wie HP und Qualcomm sind wir darauf fokussiert, unseren Kunden jederzeit und an jedem Ort ein Höchstmaß an Produktivität zu bieten. Dieser Ansatz spiegelt unsere Mission wider, jede Person und jede Organisation auf diesem Planeten dabei zu unterstützen, mehr zu erreichen."

Im Inneren des Elite x3 werkelt Qualcomms neuer Flaggschiff-SoC Snapdragon 820, dem 4 GByte RAM zur Seite stehen. Der interne Speicher von 64 GByte lässt sich per MicroSD-Karte theoretisch um bis zu 2 TByte erweitern, praktisch sind es 200 GByte, da es derzeit keine größeren microSD-Karten gibt. Das 5,96 Zoll große AMOLED-Display löst 2560 mal 1440 Pixel auf. Es wird von einer Abdeckung aus Gorilla Glas 4 geschützt.

Für die Stromversorgung ist ein 4150-mAh-Akku an Bord. Er wird durch die Unterstützung von Qualcomms Quick-Charge-3.0-Technik besonders schnell geladen, und zwar kabelgebunden oder drahtlos. Trotz des großen Akkus ist das Gehäuse des x3 nur 7,9 Millimeter dick – bei einem Gewicht von 190 Gramm.

Die Datenkommunikation kann per LTE Cat6, WLAN, NFC, und Bluetooth 4.2 erfolgen. HP stattet das Gerät zudem mit einer 8-Megapixel Frontkamera mit HDR-Support, einer 16-Megapixel-Kamera mit Blitz auf der Rückseite sowie nach vorne gerichteten Lautsprechern des dänischen Anbieters Bang & Olufsen aus. Omni-direktionale Mikrofone mit Rauschunterdrückung sollen die Nutzung des Sprachassistenten Cortana und auch von Kommunikationsdiensten wie Skype verbessern.

Die Anmeldefunktion Windows Hello unterstützt das Elite x3 dank integriertem Iris-Scanner sowie Fingerabdruckleser. Weitere Sicherheitsfunktionen sind Secure Boot, ein Reset-Schutz und eine Anti-Roll-Back-Funktion. Das Gehäuse ist zudem wasserdicht nach IP67 sowie stoßgeschützt nach MIL-Standard 810G. Es soll also Stürze aus einer Höhe von rund 120 Zentimetern unbeschadet überstehen.

Für Windows Continuum stellt HP mit dem Desk Dock eine eigene Lösung zur Verfügung. Sie bietet einen DisplayPort-Anschluss für einen externen Bildschirm sowie zwei USB-A-, einen USB-C- und einen LAN-Anschluss – letzterer fehlt Microsofts eigenem Display Dock. Das Elite x3 selbst wird im Portraitmodus in das Dock eingesetzt – das Smartphone soll auch mit einer Schutzhülle in das Dock passen.

Der Mobile Extender wiederum macht aus dem Elite x3 ein vollwertiges Notebook mit einem 12,5 Zoll großen FullHD-Display. Er bringt rund ein Kilogramm auf die Waage und erlaubt es, externe Geräte per USB-C oder Micro-HDMI anzuschließen. Der Mobile Extender speichert jedoch keine Daten. Alle Apps, Passwörter und Daten werden nur vom Elite x3 verwaltet und gespeichert.

Die Mobilität steigert HP zudem durch eine HP Workspace genannte Funktion. Sie stellt auf dem Elite x3 einen virtuellen PC zur Verfügung, der den Zugriff auf vom Arbeitgeber verwaltete x86-Anwendungen erlaubt. In Verbindung mit Desk Dock und Mobile Extender lassen sich die Anwendungen sogar mit Maus und Tastatur bedienen.

„Windows 10 wurde für das Zeitalter der PC-Nutzung entwickelt, in der Erfahrungen, Inhalte und Daten jederzeit verfügbar sind", wird Microsoft-CEO Satya Nadella in der Pressemitteilung zitiert. „Gemeinsam mit Partnern wie HP und Qualcomm sind wir darauf fokussiert, unseren Kunden jederzeit und an jedem Ort ein Höchstmaß an Produktivität zu bieten. Dieser Ansatz spiegelt unsere Mission wider, jede Person und jede Organisation auf diesem Planeten dabei zu unterstützen, mehr zu erreichen."

Als Partner hat HP auch Salesforce.com gewonnen, dessen CRM-Lösung Salesforce1 auf dem Elite x3 vorinstalliert ist. „Geschwindigkeit ist die neue Währung in der Geschäftswelt. Dadurch ist jedes Unternehmen dazu angehalten, seinen Nutzern überall und jederzeit diejenigen Werkzeuge zur Verfügung zu stellen, die sie für die Bewältigung ihrer Aufgaben benötigen", so Marc Benioff, Chairman und Chief Executive Officer von Salesforce.

Das Elite x3 ist laut HP voraussichtlich ab Sommer 2016 verfügbar. Die genauen Preise des Geräts sowie des Zubehörs will das Unternehmen zu einem späteren Zeitpunkt ankündigen.

Bestimmte Notebook-Akkus der Firma Toshiba können unter Umständen überhitzen. Es besteht die Gefahr von Verbrennungen oder Bränden. Das Unternehmen tauscht betroffene Akkus kostenlos aus.

Als Microsoft im vergangenen Herbst das Surface Book vorstellte, jubelte die Technik-Welt. Notebooks wurden in den letzten Jahren nur schneller und schlanker, echte Innovation war dünn gesät. Da kam das clevere Surface Book gerade recht. Zumal die Surface-Tablets wie das Surface 4 Pro schon seit Jahren überzeugen. Ob der leistungsstarke Hybrid aus Notebook und Tablet wirklich etwas taugt, verrät der Test.

  1. http://www.stockhouse.com/blogs/hp-elitebook-8440w-%E4%BA%92%E6%8F%9B%E3%83%8F%E3%83%83%E3%83%86%E3%83%AA%E3%83%BC
  2. http://www.shareswf.com/game/48463/http-www-dearbattery-co-uk-asus-a42-u31-battery-htmlhttp://www.shareswf.com/game/48462/http-www-pcakku-kaufen-com-hp-484170-001-laptop-akku-html
  3. http://www.jukebox.fr/denchimall-com/clip,denchimallcom,xmfmum.html
    http://www.jukebox.fr/dearbattery-co-uk/clip,dearbatterycouk,xmfmuf.html
  4. http://www.memecenter.com/fun/6508355/http-www-dearbattery-co-uk-toshiba-pa5024u-1brs-battery-html
    http://www.memecenter.com/fun/6508359/www-pcakku-kaufen-com
    http://www.memecenter.com/fun/6508361/www-denchimall-com
    http://www.memecenter.com/fun/6508367/www-pcakku-kaufen-com
  5. http://favim.com/user/delicado/

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Akku Toshiba satellite a660d

Die Forscher sind der Meinung , dass sich die Technologie auch für andere Sensor-Arten einsetzen lässt, etwa für Bewegungen, Licht und Luftfeuchtigkeit. Als Einsatzgebiete könnten neben smarten Gebäuden auch Payment-Systeme oder industrielle Anwendungen in Frage kommen. An den Kosten dürfte das Ganze jedenfalls nicht scheitern. In der Massenproduktion könnte der Preis für die Fertigung eines Sensors auf 20 Eurocent gedrückt werden.

Auf unseren Schreibtischen und in unseren Wohnungen tummeln sich immer mehr Gadgets, die per USB aufgeladen werden wollen. Eine praktische Lösung zum Aufladen mehrerer Smartphones und Tablets stellen sogenannte Muli-Port-Ladegeräte dar. Über sie könnt ihr über nur eine Steckdose eine ganze Reihe mobiler Endgeräte aufladen. Auf Indiegogo ist mit dem Tylt Energi jetzt eine Ladestation aufgetaucht, die darüber hinaus noch mit einem weiteren interessanten Feature aufwartet: In der Station befindet sich ein herausnehmbarer Akku, der eure Geräte auch unterwegs mit Strom versorgen soll.

Tylt Energi verfügt über insgesamt fünf USB-Anschlüsse zum Aufladen eurer Gadgets. Der fünfte sitzt in dem externen Akku-Pack und kann bei bedarf einfach herausgenommen und in die Tasche gesteckt werden. Geht euch unterwegs der Saft aus, könnt ihr euer Smartphone dann direkt an den externen Akku anschließen. Der lässt sich bei längeren Trips wiederum auch direkt mit eurem regulären USB-Ladegerät an einer Steckdose aufladen und bringt es auf 3.200 Milliamperestunden. Zu Hause oder auf eurem Schreibtisch wird er zum Aufladen einfach wieder in die Ladestation gesteckt.

Das Gehäuse des Tylt Energi verfügt über eine Aussparung für eure Kabel. So sollt ihr dem Kabelsalat auf eurem Schreibtisch entgegenwirken können. Leider ist die Ladestation nicht direkt günstig. 55 US-Dollar plus Versand müsst ihr derzeit über die dazugehörige Indiegogo-Kampagne dafür bezahlen. Das Early-Bird-Special, bei dem das Gerät für 35 US-Dollar verkauft wurde, ist leider schon vergriffen.

Das ursprüngliche Ziel von 30.000 US-Dollar haben die Macher bereits weit überschritten. Derzeit steht die Crowdfunding-Kampagne bei über 75.500 US-Dollar. Sie läuft noch bis zum 31. Oktober 2015. Immerhin soll die Ladestation ungewöhnlich schnell für eine Crowdfunding-Kampagne beim Käufer sein: Die Macher peilen November 2015 als Auslieferungstermin an. Wie üblich bei einer Crowdfunding-Kampagne gibt es aber natürlich keine Garantie dafür, dass ihr das Gerät rechtzeitig oder überhaupt bekommt.

Lenovo zeigt auf der CES ein modulares Windows 10-Tablet. Je nach Einsatzzweck könnt ihr Beamer, Zusatzakku oder Intels RealSense-Kamera anstecken. Auch eine ThinkPad-Tastatur gehört dazu. Wir nähern uns der spannenden Hardware in einem Kurztest.Alcatel hat im Rahmen des Mobile World Congress 2016 das Plus 10 vorgestellt, ein 2-in-1-Gerät (Laptop inklusive Tastatur-Dock) mit Windows 10 an Bord.

Bei Alcatel hat man auf dem diesjährigen Mobile World Congress einige neue Geräte vorgestellt und eines davon ist etwas untergegangen, das Plus 10. Es handelt sich dabei um ein 2-in-1-Gerät, also eine Mischung aus Tablet und Laptop. Wobei es mehr Tablet mit einer Tastatur-Dock ist. Es wird von Windows 10 angetrieben.

Zur Ausstattung gehört unter anderem ein 10 Zoll großes IPS-Display, welches mit 1280 x 800 Pixel auflöst, ein Intel Cherry Trail T3 Z8350, 2 GB Arbeitsspeicher, 32 GB interner Speicher, ein Akku mit 5830 mAh (Tablet, plus 2580 mAh im Keyboard) und eine Kamera mit 5 Megapixel auf der Rückseite und 2 Megapixel auf der Front.

Alcatel plant eine Verfügbarkeit im Sommer, voraussichtlich Juni 2016, es gibt aber noch keinen Preis. Dafür gibt es eine Produktseite mit weiteren Informationen.

Das Plus 10 ist das erste 2-in-1-Gerät mit Windows 10 von Alcatel. Der Hersteller stellt das neue Gerät auf dem Mobile World Congress 2016 in Barcelona vor. Das 2-in-1-Gerät besitzt ein 10-Zoll-Display und kann in drei Modi eingesetzt werden. Im Tablet-Modus oder im Laptop-Modus zum produktiven Arbeiten mit der dazugehörigen Tastatur, Im Dock-Modus zum Anschauen von Videos und Filmen auf dem IPS-Display mit einer Auflösung von 1.280 x 800 Pixeln und Dual-Frontlautsprechern.
Das Alcatel Plus 10 besitzt ein Doppel-Akku. Jeweils ein Akku im Tablet und ein Akku in der Tastatur. Die Gesamtleistung liegt bei 8.410 mAh. Die per 4G LTE Cat-4 (150 Mbps) zu verbindende Tastatur ist auch als WLAN-Hotspot für bis zu 15 Nutzer einsetzbar.

Im Plus 10 steckt eine mobile 4-Kern-CPU von Intel, deren Kerne mit jeweils 1,92 GHz getaktet sind. Zur weiteren Ausstattung gehören 2 GB Arbeitsspeicher, eine 5-MP-Hauptkamera, eine 2-MP-Frontkamera und 32 GB interner Speicher. Der interne Speicher lässt sich über MicroSD um bis zu 64 GB erweitern. Im Plus 10 kommt der Chipsatz Intel Cherry Trail T3 Z8350. Das Gerät unterstützt Wi-Fi 802.11 b/g/n und Bluetooth 4.0. Das Plus 10 ist 259,3 x 156,2 x 8,35 Millimeter groß. Das Plus 10 wird in Europa ab Juni 2016 in Metallic-Silber erhältlich sein. Der Preis wieder später bekannt gegeben.

Laptop, Tablet oder Handys sind ab April im aufgegebenen Gepäck bei Flugreisen verboten - zumindest wenn es nach dem Willen der Zivilluftfahrtorganisation ICAO geht. Der Grund: Eine von Lithium-Ionen-Akkus ausgehende Brandgefahr.

Der Transport von Lithium-Ionen-Akkus im Laderaum von Passagiermaschinen soll ab dem 1. April verboten werden. Das beschloss die Internationale Zivilluftfahrtorganisation (ICAO) im kanadischen Montreal. Lithium-Ionen-Akkus sind unter anderem in Laptops und Smartphones verbaut. In die Kabine dürfen sie dem Beschluss zufolge aber weiterhin mitgenommen werden.

Hintergrund der Entscheidung der UN-Sonderorganisation sind Sorgen um eine Feuergefahr durch die Akkus. Erst kürzlich hatte die US-Luftfahrtbehörde FAA gewarnt, dass Lithium-Ionen-Akkus im aufgegebenen Gepäck explodieren könnten. Tests ergaben demnach, dass die standardmäßig vorhandenen Feuerschutzanlagen in Passagierflugzeugen die dadurch ausgelösten Brände nicht löschen konnten.

Die Rechargeable Battery Association hatte sich gegen ein Verbot ausgesprochen. Sie befürchtet Lieferengpässe, unter anderem bei Akkus in medizinischen Geräten.

Boeing 787 "Dreamliner" | Bildquelle: REUTERSgalerieIn einem geparkten Boeing-Dreamliner ist durch einen verbauten Lithium-Ionen-Akku im Januar 2013 ein Feuer ausgebrochen.
Beschluss ist nicht bindend

Der Beschluss der ICAO ist nicht bindend. Die meisten UN-Mitglieder folgen jedoch den Vorgaben der Behörde. Laut ICAO hatten sich Fluggesellschaften und Pilotenvereinigungen für ein Verbot des Akku-Transports ausgesprochen. Das Verbot soll vorerst bis 2018 gelten. Dann will die ICAO ein Maßnahmenpaket zum Umgang mit Lithium-Ionen-Akkus beschließen.

Die Akkus waren vor einigen Jahren in die Schlagzeilen geraten, weil sich in Boeing-Maschinen verbaute Exemplare überhitzt hatten. Bei einem am Boden geparkten Flugzeug brach dadurch ein Feuer aus. Im Januar 2013 wurden wegen der Probleme sämtliche Boeing 787 Dreamliner weltweit für mehrere Monate aus dem Verkehr gezogen.Darf man ins Flugzeug bald kein Smartphone und keinen Laptop mehr mitnehmen? Aufgrund einer erhöhter Brandgefahr der Lithium-Ionen-Akkus möchte die internationale Zivilluftfahrtorganisation diese Geräte auf Linienflügen verbieten.

Montreal - Die Internationale Zivilluftfahrtorganisation (ICAO) hat am Montag beschlossen, dass Lithium-Ionen-Akkus nicht mehr im Laderaum von Passagiermaschinen transportiert werden dürfen. Die UN-Sonderorganisation reagiert damit auf die erhöhte Brandgefahr, die von den Batterien ausgeht.Dieser Beschluss bedeutet, dass alle Smartphones und Laptops in Zukunft nicht mehr im Gepäck mitgenommen werden dürfen, da sie mit diesen Stromquellen ausgerüstet sind!

Das Verbot soll demnach ab dem ersten April bis vorerst 2018 gelten. Rechtlich ist er nicht bindend, jedoch folgen die meisten UN-Mitglieder den Vorgaben der Behörde. In die Kabine dürfen die Geräte laut dem Beschluss weiterhin mitgenommen werden.Lesen Sie hier: Zugunglück in Holland - Medien berichten von Toten

Erst kürzlich hatte die amerikanische Luftfahrtbehörde FAA gewarnt, dass die Akkus im aufgegebenen Gepäck explodieren können. In Tests stellten die Prüfer fest, dass die dadurch ausgelösten Brände nicht von den standardmäßig in Flugzeugen installierten Löschanlagen unter Kontrolle gebracht werden können.

Die Akkus waren weltweit 2013 in die Schlagzeilen geraten, weil sich bei den neuen Boeing 787 Dreamliner-Modellen die eingebauten Lithium-Ionen-Akkus überhitzten. Bei einer am Boden geparkten Maschine brach daraufhin sogar ein Feuer aus. Daraufhin wurden alle Flugzeuge des Typs weltweit für einige Zeit aus dem Verkehr gezogen.Ihre Meinung ist uns wichtig! Wir wollen az-muenchen.de noch besser machen. Was gefällt Ihnen bereits an unserem Angebot, was vermissen Sie, was sollen wir verändern? Nehmen Sie teil an unserer Leser-Befragung.Düsseldorf/Montréal. In Smartphones und Laptops verbaute Lithium-Ionen-Akkus stehen in Verdacht, leicht in Brand zu geraten. Daher sollen sie ab April in aufgegebenem Fluggepäck verboten werden.

Das beschloss die Internationale Zivilluftfahrtorganisation (ICAO) am Montag (Ortszeit) im kanadischen Montréal. Das Verbot bezieht sich nur auf Gepäck, das im Laderaum der Flugzeuge verstaut wird. In die Kabine dürfen sie dem Beschluss zufolge aber weiterhin mitgenommen werden.

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March 01, 2016

Batterie Asus X52JB

Après l'ordinateur, l'imprimante est bien utile à la maison : éditer les billets de train ou d'avion, les rapports de stage, les dessins à colorier… C'est encore mieux quand elle est multifonctions. Pour copier ou scanner un document : l'administration s'ouvre de plus en plus vers la réception de documents numérisés chez soi. Si cela ne coûte rien, il en est malheureusement autrement avec l'impression. Car les imprimantes jet d'encre grand public paraissent souvent abordables et même très bon marché (quelques dizaines d'euros).L’écran semble néanmoins qualitatif, avec une dalle assez proche de la vitre de protection. L’interface du constructeur étant très colorée, il est difficile d’émettre un premier avis sur la fidélité des couleurs. Dalle IPS oblige, les angles de visions sont bons.

On le sait, la Predator 8 est propulsée par un SoC Intel Atom x7-Z8700 combiné à un GPU Intel HD de 8e génération. Un couple va devoir prouver qu’il est de taille à lutter avec les plus grands. Si Intel est réputé dans le domaine des CPU, il l’est bien moins côté GPU, et on voit mal la tablette lutter contre ce que sait faire Nvidia ou Qualcomm.

Néanmoins, on y trouve 3 Go RAM, et ce devrait être suffisant pour ne pas manquer de mémoire vive en pleine partie. Les modèles présentés ne sont pas des versions commerciales, et on doit bien dire qu’on a connu plus rapide et réactif niveau tablettes, celle-ci ayant parfois besoin d’un laps de temps pour quitter une application. Nul besoin de préciser que le produit sera optimisé avant sa commercialisation. Cela fait en tout cas du bien de voir Android 5.1 Lollipop sur un produit du constructeur taïwanais, lui qui n’est pas en avance sur ce sujet.

On aurait bien voulu faire tourner quelques benchmarks sur l’appareil, mais malheureusement le Wi-Fi semble y avoir été bloqué, et impossible d’établir une connexion avec notre smartphone en mode modem. Il faudra donc attendre d’avoir la tablette en test pour pouvoir émettre de premiers avis sur les performances réelles de la Predator 8. Sur les quelques usages multimédias effectués avec la bête, nous n’avons pas noté de chauffe particulière ni de bugs inquiétants. C’est déjà une bonne chose.

Après cette première prise en main, on a comme l’impression qu’Acer prend quelques risques avec ce produit. À vouloir faire des économies et à ne pas avoir poussé l’aspect « performance » et « qualité » plus haut, le constructeur prend le risque que sa tablette ne sorte pas du lot. C’est dommage, d’autant qu’elle est franchement séduisante de loin. Une fois entre nos mains, elle charme moins, d’autant qu’elle sera facturée 349 euros.

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Ce n’est qu’en passant la tablette sous notre protocole de tests, et en épluchant ainsi les performances de l’Atom X7, qu’on pourra se faire un avis définitif sur la Predator 8. Sortir une tablette gaming est ambitieux, mais laisse difficilement la place aux compromis. Si le grand public a des attentes diverses et variées, les joueurs sont moins conciliants.

Il serait possible d’anticiper le climat de la Terre sur 100 ans. C’est l’objectif de plusieurs scientifiques américains. Ils comptent créer un ordinateur Exascale, 100 fois plus puissant que les machines actuelles, capable de prévoir le bouleversement climatique à très long terme.

C’est un travail titanesque, imaginé par des experts américains du climat. Pour comprendre à quel point le changement climatique va affecter notre monde, ils comptent sur un super ordinateur qui n’existe pas encore. Car pour le moment, ce projet reste à l’état de rêve, impossible encore à réaliser avec les techniques actuelles. Il faudrait une machine capable de réaliser d’immenses calculs pendant plusieurs semaines et d’ajuster, des centaines de fois, les données obtenues avec des variables toujours différentes. Mais cet ordinateur, baptisé Exascale, consommerait beaucoup d’énergie. Trop pour le faire fonctionner. Il engloutirait, en électricité, l’équivalent de 200 000 maisons pour une facture de 20 millions de dollars par an.

UN TRAVAILLE TITANESQUE, RÉALISABLE SEULEMENT EN 2020 ?

D’après les experts, pour arriver à ce niveau de technologie, il faut encore attendre entre 5 et 8 ans. En effet, entre les années 2020 et 2023, cette nouvelle génération d’ordinateur devrait voir le jour. Ces derniers seraient alors capables de supporter la charge de données tout en étant moins énergivore.

A lire aussi: L’EVEREST SANS GLACIERS, C’EST POUR 2100

Pour Krishna Palern, docteur en informatique à l’Université de Rice à Houston, le processus de création pourrait aller plus vite. Pour passer outre ce besoin énergétique, il entend utiliser les batteries de téléphones portables afin d’augmenter la vitesse de calcul des ordinateurs tout en diminuant le besoin d’énergie. Les cÅ“urs utilisés dans les appareils portatifs (smartphone, tablette), sont, en effet, conçus pour fonctionner sur de petites batteries et donc, un supercalculateur construit à partir de ses produits, pourrait être plus rapide et moins exigeant en énergie électrique.

Actuellement, l’informatique de haute performance est limitée en raison de sa production de chaleur et de sa consommation électrique. Mais, en utilisant ce système, cela pourrait signifier une machine plus évolutive.

Certains scientifiques craignent qu’en utilisant ces outils, les résultats trouvés soient moins précis car qui dit machine plus petite, dit moins de vitesse de calcul à la seconde. Mais pour le docteur Palern, ce n’est pas un problème.

Les supers ordinateurs actuels calculent les évolutions du climat sur une échelle de 100 kms. Il suffirait donc de réduire cet échelon à un seul kilomètre pour augmenter la précision des prédictions et réduire cette « zone d’inexactitude ».

Si on suit la logique du docteur Palern, ce modèle nécessiterait plus de 200 millions de cellules (actuellement les ordinateurs portables en comptent 6), et environ trois semaines de calcul pour évaluer le changement climatique sur un siècle. Pour le scientifique, ce manque de précision n’est pas gênant car l’estimation des manifestations locales comme la formation des nuages, le vent et la pression, peuvent être calculées sans grande finesse.

En plus des lentilles, le kit comprend une petite sacoche en tissu, et deux caches. Mais c’est bête : il en faudrait le double : une lentille a forcément deux faces ! Un côté restera donc exposé aux chocs, et à la poussière. Dommage !Bon, il faut reconnaître que le joujou a ses limites. Pour un iPhone, le capteur photo est tout en haut, la pince est simple à positionner. Alors que pour d’autres smartphones, comme Samsung, le capteur est bien plus bas, et la pince à linge sera un peu juste. On se contentera d’un test avec un iPhone 6.

C’est intéressant, car on peut vraiment capter des détails impossibles sans la lentille. Comme une touche d’ordinateur, les épines d’un cactus… Bref, ça fonctionne bien. Et le résultat a quelque chose de chic. Par contre, c’est un peu déroutant : il faut presque coller le capteur à l’objet pour obtenir une mise au point. Avec le cactus, ce fut un peu… épique ! Et avec le chat…Des correctifs et l’abandon de CM 12
Dans le même message, l’équipe de Cyanogen précise que les patchs de sécurité mensuels ont été ajoutés aux branches de CM 12.1 et CM 11. En revanche, en raison du faible nombre d’appareils et d’utilisateurs encore sous la version 12 de la ROM, Cyanogen a décidé de désactiver un certain nombre de builds de cette branche. Certains terminaux ne supportant pas encore CM 12.1 sont néanmoins conservés.

CM 13 pour bientôt
C’est également le moment pour CyanogenMod de rappeler que la version 13 de la ROM, basée sur Android 6.0 Marshmallow, arrivera « bientôt ». Aux dernières nouvelles, cette version est attendue pour Noël, même si pour le moment, aucune date définitive n’est encore fixée.

On peut voir que seuls les ordinateurs équipés du Bluetooth 4.0 sont compatibles au standard« Low Energy » de cette souris. Aussi c’est dommage que Logitech n’ait pas fourni un adaptateur Bluetooth dans la boite. Il faudra se contenter de la liaison radio dans de cas (qui marche très bien cela dit).

Une fois sur le dos, la souris nous livre ses secrets. Dotée d’un capteur Darkfield elle est utilisable sur toutes les surfaces. En tout cas je n’ai jamais eu de soucis avec le capteur ce qui est appréciable. Toujours en dessous de l’engin, quatre larges patins qui assurent une glisse très appréciable sans que cela soit une savonnette. Le bouton marche/arrêt est aussi de la partie à coté de celui de connexion Bluetooth. Dernier bouton très important, celui de sélection d’ordinateur/tablette nommé « Easyswitch ». Comme je le présentais plus haut, la MX Anywhere 2 est capable d’être paramétrée pour 3 machines, ce qui permet une reconnaissance instantanée et sans devoir re-paramétrer). Il suffit d’appuie sur le bouton surmonté de 1/2/3 pour basculer d’un ordinateur à l’autre. Enfin, comble du détail, la lumière blanche de sélection s’éteint pendant votre utilisation et ne s’allume que lorsque vous retournez la souris.

Sommaire Malgré un certain immobilisme en termes de design et de spécifications, le MacBook Air d'Apple reste un ultra portable de référence grâce à son extraordinaire autonomie. Les performances ne sont pas en reste.
Au cours des dernières années, le MacBook Air a consciencieusement évolué, en intégrant les dernières générations de processeurs Intel ou en modifiant quelquefois sa connectique ou le type de disque SSD embarqués. Mais ces changements sont mineurs, surtout comparés au tout nouveau MacBook 12 pouces, incroyablement fin et bien dessiné, ou encore au MacBook Pro mis à jour en 2012 avec un écran Retina et un design affiné.

Nous n'enterrons pas pour autant le MacBook Air. Il reste l’un des ordinateurs portables les plus pratiques du marché grâce à sa finesse, ses excellents clavier et pavé tactile, ses performances et sa formidable autonomie. À 999 euros, le MacBook Air 11" est le moins cher des MacBook. Le modèle de 13 pouces commence à 1 099 euros. Il est "à la portée" de beaucoup de consommateurs qui ne veulent pas débourser les 1 450 euros du nouveau MacBook ou d’autres modèles concurrents sous Windows souvent aussi chers.

De nombreuses machines portables concurrentes ont rattrapé les MacBook Air d'Apple, et parfois réussi à le dépasser en terme de design. Le MacBook Air conserve obstinément la plus grande autonomie. Cela tient au passage à la nouvelle puce Intel Core i de 5ème génération alias Broadwell. Le gain de performance s'avère négligeable, mais ces nouveaux processeurs apportent en revanche une amélioration significative en matière d’efficacité énergétique. Outre ce nouveau processeur Core i, la dernière plateforme Broadwell d'Intel comprend une nouvelle partie graphique. Le MacBook Air 2015 bénéficie aussi d’un saut de performance pour le transfert des données grâce au passage au Thunderbolt 2. Le stockage flash qui est passé à l’interface PCIe depuis la précédente mise à jour du MacBook Air offre aussi un débit plus rapide. Reste que dans le cadre d’un usage quotidien il est peu probable que vous remarquiez ces améliorations.

Lors de notre test d’autonomie, ce MacBook Air 2015 a tenu 18 heures, écrasant son prédécesseur ainsi que tous ses concurrents. Et même si des tâches plus exigeantes ou du streaming vidéo réduisent ce temps de 40%, on est encore sur la base d’une journée complète d’autonomie.

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Batterie Asus X8C

Cette avancée n'est pas sans rappeler le supercondensateur qu'a développé la jeune américaine Eesha Khare l'année dernière. Basée sur des nanotiges à base de TiO2 hydrogéné et de polyaniline, sa technologie prétend aux mêmes performances (30 secondes de temps de charge) et lui a valu de recevoir un Intel Foundation Young Scientist Award.

Mais contrairement aux technologies concurrentes qui se basent sur des métaux lourds, StoreDot insiste sur le fait qu'elle emploie des nanoplots bio-organiques, disponibles en abondance, peu chers à fabriquer et non toxiques. La rétention de charge de sa batterie serait de plus équivalente à celle des batteries au lithium-ion, et sa capacité d'environ 2 000 mAh (l'équivalent d'une batterie de smartphone de taille moyenne).

Elle appelle son innovation MFE, pour "Multi-Fonction Electrode". Elle agit d'une part comme un supercondensateur qui se recharge très rapidement, et d'autre part comme une électrode au lithium, qui se décharge lentement. L'utilisation de nanoplots dans l'électrolyte augmente l'efficacité de cette MFE. La technologie pourrait à terme être adaptée pour une utilisation à bord de véhicules électriques, en modifiant l'électrode pour qu'elle supporte des courants plus élevés.

Nintendo a confirmé il y a maintenant plusieurs mois son partenariat avec DeNa pour la création de ses premiers jeux mobiles. En octobre, l’éditeur présentait les premiers éléments du titre qui inaugurera son implication dans le jeu mobile : Miitomo. Le CEO de DeNa vient de préciser ce dont il va s’agir.

Miitomo sortira en mars 2016, comme l’indiquait Nintendo il y a deux mois. On savait alors que ce titre, encore un peu flou, serait une app dédiée à la communication entre Mii (les avatars de joueurs sur consoles Wii) et qu’il contiendrait des achats in-app. Ce sont ces derniers que le CEO de DeNa, Isao Moriyasu, a précisés au Wall Street Journal.

D’après le responsable de la firme partenaire de Nintendo, il faut s’attendre à des mini-jeux intégrés dans l’app Miitomo, mais aussi à une personnalisation avancée des avatars. C’est d’ailleurs ici que devraient intervenir les achats in-app, puisqu’il sera par exemple possible d’acheter de nouveaux vêtements pour son Mii. Un aspect d’autant plus important que, d’après Moriyasu, « communiquer avec des amis qui ressemblent à vos amis dans la vie réelle procure une sensation vraiment différente de la communication par écrit ». C’est d’ailleurs en ce sens, comme pour enrichir les services d’autrui, que DeNa indique « penser à lier le jeu avec la liste d’amis Facebook de l’utilisateur« . En somme, beaucoup d’éléments semblent encore à définir avant le lancement de Miitomo, mais une chose est sûre : l’app ne sera pas chiche en micro-transactions.

Champion olympique de descente à Sotchi en 2014, l’autrichien Matthias Mayer restera également le premier skieur à avoir filmé en direct sa propre course, lors des Mondiaux de Schladming en 2013, grâce à la RiCam, un ensemble caméra-émetteur-batterie de 64 grammes fixé sur le bandeau de ses lunettes et fabriqué par l’allemand Riedel.

Dans le ski, comme dans d’autres disciplines, surtout les sports extrêmes, les caméras embarquées sont à la mode. Ainsi, en février dernier, lors des championnats du monde de cyclisme sur piste à Saint-Quentin-en-Yvelines, HBS, l’opérateur hôte, a inauguré, en accord avec l’Union cycliste internationale (UCI) et en partenariat avec les anglais Broadcast RF (racheté depuis par le groupe Euro Media) et Videosys, une caméra embarquée sur les vélos, après un test réalisé avec l’équipe de France et un ultime essai au siège de l’UCI, à Aigle (Suisse), en janvier.
"En quatre semaines à peine, nous avons réussi à abaisser le poids de l’ensemble de 300 à 220 grammes, voire 202 grammes, pour le pack caméra-émetteur, en intégrant certains connecteurs au boîtier caméra et en perdant du poids sur la batterie et les fixations, qui étaient en plastique », explique Julien Bertin, producteur exécutif chez HBS. « Néanmoins, nous avons conservé certains éléments en aluminium de peur que la forte chaleur dégagée par l’émetteur (Cobham Solo7 HD Nano) ne fasse fondre celles-ci. » Compte tenu de la taille de la caméra, fixée sur la tige de la selle, les réglages étaient effectués via un Remote Control Panel (RCP) virtuel sur un écran d’ordinateur. Par ailleurs, un système AJA FS2 permettait d’ajuster la correction colorimétrique sur les treize autres sources du dispositif. Au final, quatre minicaméras de direct, embarquées sur autant de vélos, furent utilisées sur cinq épreuves, dont le kiring.

Du prototype au phénomène généralisé
Sur route également, le cyclisme s’ouvre à ce type de captation. Cette année, comme en 2014, des images enregistrées la veille et tournées à l’aide de huit GoPro sont venues enrichir les retransmissions du Tour de France. Deux autres minicaméras, gérées par Euro Media, prestataire de la Grande Boucle, ont même été utilisées en direct, dans les rues d’Utrecht (Pays-Bas), sur les quelques kilomètres du départ fictif de la deuxième étape.
L’an passé, un premier test sur la course des femmes, dans l’étape finale des Champs-Elysées, avait déraillé en raison d’un problème de multiplexage. « Un décrochage HF sur la minicaméra risquait de perturber la liaison de la moto image qui lui servait de relais », éclaire Nicolas Bladou, responsable Euro Media de la HF sur le Tour. « Aussi, pendant le direct, avons-nous décidé de changer de configuration. »
De son côté, Jean-Maurice Ooghe préfère s’attarder sur les perspectives nouvelles révélées par la géolocalisation des coureurs. « Quand on se rendra compte qu’un coureur équipé d’une caméra est devant Contador, par exemple, on pourra déclencher la caméra à distance depuis l’avion et on aura à ce moment-là l’image de l’Espagnol, filmé par le vélo qui le précède », se félicite le réalisateur de la Grande Boucle. Pour l’heure, cependant, ce futur n’est qu’hypothétique et dépendra beaucoup de l’évolution des systèmes HF, notamment vers des fréquences bilatérales qui soient en mesure de fonctionner dans les deux sens afin de limiter leur nombre.
D’autant qu’à terme, selon certaines discussions en cours à l’UCI, les caméras embarquées pourraient être généralisées avec des remontées d’images en masse, à l’instar des catamarans engagés dans les régates de la Coupe de l’America ou encore des monoplaces qui disputent le championnat du monde de F1.

Ainsi, à chaque Grand Prix, la FOM (Formula One Management), qui a joué un rôle de pionnier, déploie son propre dispositif, dont des systèmes remote montés sur rotule, lesquels permettent à distance de télécommander un mouvement, par exemple un panoramique, au moment où une voiture en double une autre. Cinquante-quatre minicaméras étaient ainsi embarquées sur les vingt au départ du dernier Grand Prix de Monaco.
D’autres compétitions de sports mécaniques profitent également de ce type d’outil, à l’instar du championnat du monde des rallyes (WRC). « Avec AMP Visual TV comme prestataire, nous avons réalisé une première mondiale lors des trois dernières éditions du rallye de France, en Alsace, en ne faisant appel qu’à des moyens HF et des caméras embarquées pour couvrir l’intégralité des spéciales en direct», rappelle François-Charles Bideaux, directeur du pôle de production sport de Canal+.
De son côté, l’escrime a inauguré la Maskcam, fixée sur le masque du tireur, lors de la Coupe du monde des clubs à Levallois-Perret en 2001.
D’un poids total de 380 g avec l’émetteur HF (Cobham Solo7), la dernière version, développée en collaboration avec Videosys, offre un angle de prise de vue beaucoup plus large grâce à une définition full HD.

Quel que soit le sport, l’objectif est le même : immerger le spectateur dans l’action, sinon dans l’intimité du cockpit ou du vestiaire, comme au rugby, selon un concept qui rappelle un peu celui de la téléréalité.
Pour ce faire, plusieurs problématiques sont à résoudre du côté des broadcasters et de leurs prestataires. « D’abord, la miniaturisation de l’équipement ; ensuite, la transmission HF parce que nous faisons du direct ; enfin, la qualité de l’image, qui doit être égale à celle des autres sources du dispositif », énumère François-Charles Bideaux.
Sur le premier point, le sport automobile, notamment, a ouvert la voie à la réduction de la taille des équipements et de leur consommation. « Cela nous permet d’avoir des systèmes embarqués à grosse capacité », confirme Stéphane Alessandri, responsable de la HF chez AMP Visual TV, avant de développer : « Aujourd’hui, on installe dans les voitures quatre caméras qu’on commute synchro et on arrive à mélanger images et datas (température du moteur...) en s’interfaçant sur le can bus du véhicule. »
Question latence, la transmission est plus ou moins transparente selon le cas. Ainsi, sur le Tour de France, le délai pour les caméras embarquées sera le même que pour les motos image actuellement. « Dans le meilleur des cas, ce délai est de deux secondes. C’est un très gros handicap au niveau de la réalisation », déplore Jean-Maurice Ooghe. « C’est pourquoi je dis souvent aux techniciens qu’au-delà de 2,5 secondes de latence, je rends mon tablier. »
Encore marginale dans le sport et plutôt limitée à des épreuves du type triathlon ou marathon, la transmission d’images sans relais HF, directement via des encodeurs mobiles et les réseaux 3G/4G, constitue une alternative portée par des sociétés comme Aviwest. Néanmoins, « le problème est qu’on est ici dépendant d’un réseau extérieur qu’on ne maîtrise pas et dont le nombre d’utilisateurs influe sur la fiabilité, outre qu’on a du mal à égaliser les délais entre plusieurs caméras », tempère Stéphane Alessandri.

De même, il est impératif pour les broadcasters et leurs prestataires d’en finir avec ces images de caméras embarquées qui mettent le foie au bord des lèvres. « Jusqu’à présent, les capteurs CMOS n’offraient que des solutions à rolling shut- ter très sensibles aux vibrations », convient Patrick Rojewski, directeur technique chez Horus "Pour notre part, nous avons choisi de développer nos produits autour de capteurs utilisant la technologie global shutter afin de régler définitivement les défauts des caméras grand public. " Outre le poids de la caméra, l’autre contrainte est d’embarquer l’énergie nécessaire pour des tournages de longue durée. « L’autonomie dépend de la capacité de la batterie externe, donc de son poids et de son volume », enchaîne le responsable. « On peut compter sur un minimum de quatre heures pour une 2,5 Ah. »

Un oeil au coeur de l’action
« Pour nous, la problématique du direct, c’est de pouvoir entrer dans l’aire de jeu, sans porter at- teinte ni à la sécurité des acteurs ni à l’intégrité de la compétition », explique de son côté François-Charles Bideaux. Et de constater que si le rugby est entré dans l’ère de la modernité avec l’arbitrage vidéo, la sonorisation des arbitres et, maintenant, la Ref’Cam, le football, lui, met son veto à l’utilisation de tout matériel de captation dans l’espace de jeu.
L’engouement du grand public pour les images les plus folles, abondamment partagées sur les réseaux sociaux, va-t-il changer la donne ? « Aujourd’hui, un jeune sportif qui fait du skate ou du snowboard accroche une GoPro à son casque et, en la reliant à son téléphone portable, il est en direct. Comme lui, des milliers d’autres vont ainsi se mettre en scène et, forcément, les chaînes devront intégrer cette manière de voir le sport », analyse le représentant de Canal +.
Dans les années 1990, David Hill, producteur à Fox Sports, fut l’un des premiers à tester des minicaméras sur des sportifs, notamment des joueurs de hockey sur glace, dont l’équipement, comme celui des footballeurs US, est propice à ce type d’expérience, sans risque pour la sécurité des acteurs.

De son côté, en mars 2013, dans le sillage de Fox Sports Australia qui l’utilisait déjà dans le Super 15, Canal+ a innové sur le Top 14 de rugby grâce à la Ref’Cam, une caméra à l’origine fixée par une sangle sur la tête de l’arbitre et aujourd’hui sur un harnais, avec l’optique placée dans le col de son maillot et l’émetteur dans le dos. Cette solution mono CCD full HD 1920 x 1080, d’un poids de 150 g, a été développée par l’américain BSI, reconnu pour ses prestations, entre autres, dans le championnat de la Nascar, et intégrée par Euro Media, avec une exclusivité sur la France. Contrairement à d’autres systèmes, une télécommande dans le car-régie permet de régler la colorimétrie et le diaphragme en permanence. Ainsi l’étalonnage s’effectue-t-il à l’instar d’une caméra classique.

Par ailleurs, Canal+ suit de près le développe- ment des tee-shirts connectés, comme celui conçu par l’espagnol First V1sion, une start-up de Barcelone associée à Telefonica. Ici, le sportif porte sur la poitrine une caméra puce full HD directement intégrée à sa tenue, dans laquelle est par ailleurs insérée une batterie d’une autonomie de 90 minutes, modulable selon le sport. S’ajoutent un chip Intel Edison dans le dos et des capteurs biométriques qui permettent en temps réel de mesurer le rythme cardiaque et d’autres données physiologiques (température corporelle...). Le tout pour un poids de 370 g. La transmission, sans latence ou presque (2 ms), fait appel à un système wi-fi, dont la portée est d’une centaine de mètres en champ libre. Après avoir, entre autres, été testé en février 2015 par les arbitres du « clasico » Barça – Real Madrid en Euroleague de basket-ball, « nous attendons de voir l’efficacité du système de transmission dans une enceinte garnie de 40 000 spectateurs et la qualité de l’image en direct », prévient François-Charles Bideaux.
Si certains constructeurs proposent de simples systèmes de caméras embarquées, d’autres développent des solutions intégrées avec émetteur HF. Ainsi, GoPro s’est associé avec l’anglais Vislink pour la mise au point des systèmes HeroCast et HeroCast BacPac, présentés comme les plus petits et les plus légers émetteurs sans fil COFDM HD du marché. Compatibles avec les caméscopes maison Hero3+ et Hero4, ces deux solutions bénéficient d’un codec H264 et d’une absence de latence ou presque. Leur lancement a permis à la marque américaine de nouer cette année des partenariats avec la National Hockey League (NHL), l’espagnol Dorna Sports pour les Grands Prix moto et le consortium Velon pour le Tour de France et d’autres courses cyclistes.

De son côté, un autre américain, Marshall Electronics, qui intervient dans les courses et les sports de ballon, propose une minicaméra de 50 g avec différentes focales et des rigs pour les fixer. Son compatriote Garmin, très présent dans la voile et les sports extrêmes avec ses caméras VIRB, a développé des solutions commandées par GPS, qui associent datas et vidéos. Autre constructeur américain : Immersive Media a mis au point la Hex camera, d’un poids de 170 g sans l’optique, qui permet un panoramique complet de 360 degrés. Enfin, l’autrichien Indiecam, présent dans le sport automobile, mise avant tout sur la qualité de l’image avec sa solution GS2K et un système permettant de faire de la 3D.
Après une conférence matinale dédiée à l’Internet des Objets, Samsung a organisé, ce soir, un deuxième événement afin de (re)présenter sa fameuse montre connectée, la Gear S2.

On la connaissait déjà depuis plusieurs jours, cette Samsung Gear S2, qui vient succéder à une Gear S tournant déjà sous Tizen. C’est bien l’OS que le Coréen a choisi d’intégrer à son nouveau bracelet, indéniablement plus élégant et, en réalité, tout simplement portable. Sa Gear S2 se présente en effet sous la forme d’une montre au cadran rond, de 1,2 pouce pour 360 x 360 pixels. Sous son capot, un processeur double-cÅ“ur cadencé à 1,2 GHz et 512 Mo de RAM, 4 Go de stockage et une batterie de 250 à 300 mAh. En fonction de quoi ? De sa connectivité, puisque la Gear S2 sera proposée en versions WiFi et WiFi+3G, auquel cas l’appareil préembarquera une carte eSIM. En revanche, on ignore pour l’heure quels pays auront le droit à cette capacité à se connecter aux réseaux sans-fil.

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